• Moins de 24 heures après la victoire contre Manchester UnitedBarçà

    850.000 Barcelonais accueillent leurs champions

    Dimanche 29.5.2011. 22:45h Une immense fête de rue, ce dimanche à Barcelone, a permis à la multitude de rendre hommage au Barça, vainqueur de Manchester, moins de 24 heures auparavant. De 17h30 à 20h30, la ville s'est entièrement livrée à l'équipe de Catalogne.

    Ce dimanche soir a été celui d'une célébration absolument gigantesque à Barcelone, où près de 850.000 supporters du Barça ont envahi les rues, pour suivre une véritable procession à laquelle ont participé leurs champions. Après un samedi soir très mouvementé dans le centre de la capitale catalane, les supporters, de tous âges et de toutes conditions, ont salué la présence des joueurs, déjà rentrés de Londres, et juchés sur un bus festif. La Coupe d'Europe et celle de la Ligue espagnole, décrochées cette année par les blaugrana, ont été exposées sur la partie haute du véhicule, qui a parcouru plusieurs kilomètres au pas. Le circuit de cette grande fête qui a paralysé toutes les voies d'accès de la ville a emprunté les grandes avenues qui remontent du port, pour un terminus au stade du Camp Nou, où un événement final s'est déroulé face à 100.000 personnes. Cette partie des célébrations, relativement brève, n'a comporté que la présence de huit joueurs du club, avant une clôture marquée par un spectacle pyrotechnique et musical.

    Cette saison, le Football Club Barcelone s'est adjugé des victoires en Ligue espagnole, en Champions League et en Supercoupe d''Espagne, tout en rassemblant plus de passions que jamais. Dans ce sens, son joueur emblématique, André Iniesta, s'est montré euphorique lors de la fête, en déclarant "mon coeur me dit que la plus grande chose au monde est de faire partie du Barça, et j'en suis fier". Pour sa part, son comparse Gerard Piqué a souhaité rendre hommage aux valeurs sportives, en signalant carrément "Nous ne nous droguons pas, nous ne nous jetons pas à terre, et n'achetons les arbitres. Nous jouons seulement au football". Enfin, Xavi Hernández a évoqué son intime sentiment, en soulignant
    :

    "j'ai toujours été fier d'être supporter du Barça et d'être catalan. Maintenant, c'est plus que jamais"

    LA CLAU : laclau.fr

     


     

     

     

     
    Commentaires

    votre commentaire
  • Ratko Mladic affirme n'avoir rien «à voir avec Srebrenica»

    Créé le 30/05/2011 à 07h56 -- Mis à jour le 30/05/2011 à 11h57

     

    Ratko Mladic, samedi.
    <aside>

    Ratko Mladic, samedi. Press Newspaper / ap / sipa

    </aside>

    MONDE - L'ancien chef militaire s'est exprimé par l'intermédiaire de son fils...

    «Je n'ai rien à voir avec Srebrenica.» C'est le message qu'a fait passer hier Ratko Mladic, par le biais d'une déclaration de son fils à la presse. Il n'empêche, il devrait être extradé ce lundi ou mardi vers le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie de La Haye (Pays-Bas). Le général, ancien chef militaire des forces serbes de Bosnie arrêté jeudi dernier, comparaîtra pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide pour le massacre de Srebrenica en 1995, et le siège de Sarajevo. Hier, des milliers de nationalistes serbes ont défilé à Belgrade et en Bosnie hier, pour protester contre l'arrestation de celui qui reste leur héros.

    Sur la piste de la famille
    Le tribunal spécial serbe chargé des crimes de guerres était enclin à le laisser se rendre sur la tombe de sa fille Ana, située dans un faubourg de Belgrade. Elle s'est suicidée en 1994 avec l'arme de service de son père. Mais les services secrets devraient s'y opposer pour des raisons de sécurité. Des détails commencent par ailleurs à être communiqués sur la capture du général qui se cachait dans la ferme d'un cousin. Par le biais d'écoutes téléphoniques, les enquêteurs ont identifié il y a quelques semaines les membres de sa famille impliqués dans sa protection, a expliqué un responsable serbe. Lors de sa capture dans une pièce aux fenêtres toujours fermées, en désordre, avec une table parsemée de médicaments, Ratko Mladic avait deux pistolets dont il ne s'est pas servi.

    A. N.

    A. N.

    votre commentaire
  • Éric Naulleau viré deux fois !

    Le Point.fr - Publié le 30/05/2011 à 09:47 - Modifié le 30/05/2011 à 09:57

    À la suite d'un incident avec Erik Orsenna, Éric Naulleau n'a pas pu coprésider un concours d'orthographe tourné pour le compte de France

     

    Éric Naulleau viré deux fois !

    Éric Naulleau n'a pas pu participer au tournoi d'orthographe organisé par France 3. © Christophe Bertolin / IP3 Press / Maxppp

     
    Click here to find out more!

    Décidément, Éric Naulleau a passé une mauvaise semaine... Congédié de France 2 par Laurent Ruquier, le chroniqueur n'a pas pu participer, samedi 28 mai dans l'après-midi, au tournoi d'orthographe organisé par France 3 pour des enfants de cinquième. Naulleau devait faire partie du jury en compagnie d'Erik Orsenna, de l'Académie française.

    Problème : Orsenna conserve un souvenir cuisant de son dernier passage dans On n'est pas couché. En arrivant sur le plateau, il refuse de coprésider le concours si Naulleau est de la partie au motif que celui-ci l'aurait insulté sur France 2. "En fait, j'avais jugé ennuyeux son livre, L'avenir de l'eau", se souvient Naulleau, qui plaide alors "l'union sacrée pour ne pas gâcher la fête des gamins". Orsenna n'en démord pas : si Naulleau reste, ce sera sans lui ! La production est sommée de choisir.

    Elle choisit l'académicien et appelle un taxi pour Naulleau... Viré une deuxième fois en une semaine ! "Ce n'est pas ce que l'histoire retiendra", espère Simone Harari, productrice du concours organisé pour la troisième année consécutive. Le tournoi comptait au départ 5 000 participants. Six finales régionales ont permis de sélectionner douze finalistes. Le tournoi d'orthographe sera diffusé, en prime time, le 13 juin, sur France 3 et sera suivi d'un documentaire retraçant les étapes du concours.


    votre commentaire
  • Les Indignés espagnols poursuivent l'occupation à Madrid

    - Publié le 30/05/2011 à 11:3

    par Tracy Rucinski

    MADRID (Reuters) - Le mouvement des Indignés espagnols a voté lundi la poursuite de l'occupation de la Puerta del Sol, dans le centre de Madrid, où ils protestent depuis des jours contre la gestion de la crise économique et financière.

    La prolongation de l'occupation, au moins jusqu'à jeudi, a été décidée tard dimanche soir par les centaines de personnes qui se trouvaient encore sur la place.

    Le mouvement dont les formes d'organisation s'inspirent du "printemps arabe" est apparu lors de la campagne des élections locales et régionales du 22 mai.

    Il a mobilisé plusieurs dizaines de milliers de personnes à travers l'Espagne pour dénoncer la politique d'austérité et le chômage, conséquence selon ses partisans d'une "séquestration des démocraties européennes par les marchés financiers internationaux".

    "Los Indignados" reprochent aux gouvernements d'avoir renfloué les pertes du secteur financier après la crise de 2008-2009 et d'en faire payer le prix aux peuples, victimes de l'austérité et du chômage (qui dépasse les 20% en Espagne, avec un taux de 45% chez les jeunes).

    Les élections du 22 mai ont tourné à la déroute pour le Parti socialiste, au pouvoir, qui a perdu notamment ses bastions de Barcelone et Séville.

    Le gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero, qui ne briguera pas un nouveau mandat lors des élections législatives de 2012, va devoir trouver un juste milieu entre les revendications contradictoires de ce mouvement social, d'une part, et, d'autre part, des investisseurs et des marchés qui réclament eux davantage de contrôle sur le déficit public.

    Le mouvement espagnol, qui se présente sous le nom de "Democracia Real Ya" (Démocratie réelle maintenant), a essaimé ces derniers jours dans d'autres capitales européennes, à Paris notamment, où un mouvement "Réelle démocratie" affirme qu'une "révolution européenne" est en cours.

    Invité dimanche de Canal+, Alain Juppé, le ministre français des Affaires étrangères, a dit cependant qu'il ne croyait pas à un "été européen" qui ferait suite au "printemps arabe".

    A Athènes, qui a dû se résoudre à mettre en oeuvre une sévère politique d'austérité en contrepartie du soutien financier du FMI et de l'Union européenne, plusieurs dizaines de milliers de Grecs ont exprimé leur colère dimanche contre leur classe politique.

    Henri-Pierre André pour le service français


    votre commentaire
  • Toutes les réactions suite à la décision de l'Allemagne

    30/05/11 à 11:25 3 réactions

    Les réactions sont contrastées, après l'annonce de la sortie du nucléaire des Allemands d'ici à 2022.

    La présidente d'Areva, Anne Lauvergeon, lors d'une conférence de presse à Tokyo, le 19 avril 2011. (AFP)
    La présidente d'Areva, Anne Lauvergeon, lors d'une conférence de presse à Tokyo, le 19 avril 2011. (AFP)

    - Anne Lauvergeon, présidente du groupe nucléaire français Areva : "C'est une décision totalement politique. Il n'y a pas eu de référendum, ni d'appel à ce que pensait l'opinion publique, même si les sondages montrent l'émotion des Allemands". Interrogée sur le caractère "irréversible" de la décision allemande, la présidente d'Areva a fait valoir que "d'ici 2022, il peut se passer beaucoup de choses".

    - Laurence Parisot, présidente du Medef, a jugé que le choix de l'Allemagne de sortir du nucléaire était une "décision tout à fait majeure", qui risque de poser un "problème de compétitivité" pour l'Union européenne à terme. "Est-ce que l'Allemagne fait ce choix tout en sachant qu'elle va continuer à importer du nucléaire de France ? C'est ce qu'on appelle la théorie du passager clandestin. Est-ce qu'il y a au contraire derrière cela un plan gigantesque d'innovation technologique ?", s'est-elle interrogée.

    - Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP : "Moi j'y suis, pour la France, totalement défavorable. La situation de la France et de l'Allemagne vis-à-vis de l'indépendance énergétique n'est pas la même sur le nucléaire. 85% de notre énergie est produite par le nucléaire (...) C'est aujourd'hui un élément majeur de la puissance industrielle de la France". (sur RTL)

    - Harlem Désir, numéro 2 du PS : "Je crois que, nous aussi, nous devons nous préparer à la sortie progressive du nucléaire". "On a été très bon dans le nucléaire, ça a joué un rôle à un moment. Demain, il faut qu'on soit pionnier dans le solaire, dans la géothermie, dans les éoliennes". "Personnellement je pense qu'il faut se préparer à en sortir, même si ce sera long. Raison de plus pour commencer dès maintenant" (sur Canal+)

    - Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national du PS à l'international : "On voit bien que Mme Merkel est extrêmement fragilisée dans sa coalition et qu'elle cherche l'électorat écologiste" (sur RFI)

    - Jérôme Cahuzac, président PS de la commission des Finances à l'Assemblée : la décision de Mme Merkel est "probablement une obligation politique mais l'Allemagne est dans un contexte énergétique qui n'a rien à voir avec celui que connaît la France, qui dépend beaucoup plus de l'énergie nucléaire que n'en dépend aujourd'hui l'Allemagne (...) La convergence en la matière avec l'Allemagne n'est pas indispensable. Nous avons une politique énergétique qui a été décidée il y a plusieurs dizaines d'années, tous les gouvernements successifs ont souscrit à cette politique énergétique, je pense qu'il en sera de même à l'avenir même si je crois nécessaire le développement des énergies renouvelables et alternatives" (Europe 1)

    Le Nouvel Observateur - AFP


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires