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    Rassemblement de soutien à Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier le 13 mai    rassemblement-soutien-a-herve-ghesquiere-stephane-taponier-le-13-mai
     
     

    Un rassemblement de soutien aux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ainsi qu'à leurs trois accompagnateurs, retenus en otages en Afghanistan depuis bientôt 500 jours, aura lieu le 13 mai à 14H15 sur le parvis de France Télévisions.

    Un rassemblement de soutien aux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ainsi qu'à leurs trois accompagnateurs, retenus en otages en Afghanistan depuis bientôt 500 jours, aura lieu le 13 mai à 14H15 sur le parvis de France Télévisions.

    AFP - Un rassemblement de soutien aux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ainsi qu'à leurs trois accompagnateurs, retenus en otages en Afghanistan depuis bientôt 500 jours, aura lieu le 13 mai à 14H15 sur le parvis de France Télévisions.

    Ce rassemblement est organisé par le groupe public en lien avec le comité de soutien, la mairie de Paris et Reporters sans frontières, précise France Télévisions dans un communiqué. Des manifestations sont également prévues en province.

    Une photo symbolisant la longue captivité des otages sera réalisée pour l'occasion: les participants au rassemblement en seront les acteurs en dessinant "500" sur le parvis avec des chiffres hauts de plus de 8 mètres. A cette occasion, Rémy Pflimlin, président de France Télévisions, prendra la parole, ainsi que des proches des deux journalistes otages.

    Tout au long de la journée, France Télévisions mobilisera ses antennes avec des invités et des reportages dans toutes les éditions d'information.

    Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier et leurs trois accompagnateurs ont été enlevés le 30 décembre 2009 en Afghanistan, alors qu'ils enquêtaient pour le magazine de France 3 "Pièces à conviction".

    Le 13 mai, cela fera 500 jours que les cinq hommes sont otages.


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  • Al-Qaïda confirme la mort de Ben Laden et menace de la venger
     
    Al-Qaïda confirme la mort de Ben Laden et menace de la venger
    Al-Qaïda a confirmé le décès d'Oussama Ben Laden dans un communiqué repris par plusieurs sites djihadistes. L'organisation terroriste y indique qu'elle diffusera prochainement un enregistrement de Ben Laden réalisé une semaine avant sa mort.
    Par Dépêche (texte)
     

    AFP - Le réseau Al-Qaïda a confirmé la mort de son chef, Oussama Ben Laden, tué dimanche par un commando américain au Pakistan, tout en menaçant de le venger et en s'engageant à poursuivre le jihad, dans un communiqué publié vendredi sur des sites islamistes.

    "Le cheikh combattant (...) Abou Abdallah, Oussama Ben Mohamed Ben Laden a été tué (...) par les balles de la trahison et de l'apostasie", écrit le réseau extrémiste dans son communiqué, signé du commandement général d'Al-Qaïda et daté de mardi, deux jours après la mort du fondateur de l'organisation.

    La mort de Ben Laden, "une malédiction pour les Américains"

    "Si les Américains ont pu tuer Oussama, on n'a pas à avoir honte (...), mais est-ce que les Américains sauront par leurs médias, leurs agents, leurs équipements, leurs militaires, leurs services de renseignement et leurs services tuer ce à quoi cheikh Oussama a consacré sa vie?", ajoute le texte.

    "Nous confirmons que le sang du cheikh combattant Oussama ben Laden (...) n'aura pas été versé en vain et qu'il sera une malédiction pour les Américains et leurs agents, qui les poursuivra à l'intérieur et à l'extérieur de leurs pays", menace le commandement général d'Al-Qaïda.

    Dans son communiqué, le commandement s'engage à "poursuivre sur la voie du jihad, tracé par nos dirigeants et à leur tête cheikh Oussama, sans hésitation ou réticence".

    "Nous ne nous écarterons pas de cette voie (...) jusqu'à la victoire ou la mort", soulignent les auteurs du texte.

    Conformément au "serment" de Ben Laden, "l'Amérique et ceux qui vivent en Amérique ne sauront jamais jouir de la sécurité tant que notre peuple en Palestine ne sera pas en sécurité", poursuit le texte.

    A cette fin, "les soldats de l'Islam vont poursuivre, par groupes et individuellement, et sans relâche la planification" de leur lutte, prévient le commandement d'Al-Qaïda.

    Ben Laden parle du printemps arabe dans un nouvel enregistrement

    Al-Qaïda annonce en outre la diffusion "prochaine" d'un enregistrement sonore d'Oussama Ben Laden sur les révoltes dans le monde arabe, enregistré une semaine avant sa mort.

    Dans son communiqué, le réseau extrémiste exhorte aussi "le peuple musulman du Pakistan, sur le sol duquel a été tué cheikh Oussama, à se révolter pour laver cette honte qui lui a été infligée par une bande de traîtres et de voleurs, lesquels ont tout vendu aux ennemis".

    "Qu'ils (les Pakistanais) se soulèvent avec force pour nettoyer leur pays des Américains qui y ont répandu la corruption", écrit le commandement général du réseau Al-Qaïda dans son communiqué.

    Ennemi public numéro un aux Etats-Unis depuis les attentats du 11 septembre 2001, Oussama Ben Laden a été tué dans la nuit de dimanche à lundi par une opération de commandos américains contre la résidence où il se cachait à Abbottabad, au Pakistan.


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  • Fatah-Hamas : les USA "attendent de voir"

     

    Par Europe1.fr avec AFP

    Publié le 5 mai 2011 à 14h25 Mis à jour le 5 mai 2011 à 14h39

    Les Etats-Unis vont "attendre de voir les détails" de l'accord de réconciliation palestinien avant de se prononcer à son sujet, a prudemment commenté la secrétaire d'Etat Hillary Clinton jeudi à Rome. Washington, a-t-elle réitéré, "ne peut pas soutenir un gouvernement incluant le Hamas à moins que le Hamas n'adopte les principes du Quartette" (ONU, Etats-Unis, Union européenne, Russie), c'est-à-dire la reconnaissance d'Israël, la renonciation à la violence et le respect des accords de paix.

    Mais "de nombreuses mesures restent à prendre en vue de mettre en oeuvre l'accord", a souligné le chef de la diplomatie américaine au cours d'un point de presse en marge d'une conférence sur la Libye.


    Les rivaux palestiniens du Fatah et du Hamas ont célébré mercredi la fin de quatre années d'antagonisme. Leur accord prévoit la formation d'un gouvernement de technocrates, en vue d'élections présidentielle et législatives d'ici à u
    n an.


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  • Hormone de croissance: nouvelle relaxe, déception et lassitude des familles

    publié le 05/05/2011 à 10:23, mis à jour le 05/05/2011 à 14:06

    Hormone de croissance: nouvelle relaxe, déception et lassitude des familles

    File d'attente à l'entrée de la salle d'audience pour le procès le 11 octobre 2010 à Paris de l'hormone de croissance

    afp.com/Jacques Demarthon

    PARIS - La cour d'appel de Paris a confirmé la relaxe jeudi de deux scientifiques accusés d'avoir provoqué par "imprudence", dans les années 1980, la mort de 120 jeunes traités à l'hormone de croissance, faute de pouvoir leur imputer la moindre responsabilité dans ce drame de santé publique.

    Les nombreux proches des victimes, qui s'étaient relayés pour assister au procès, à l'automne 2010, n'ont pas manifesté d'émotion à la lecture de la décision. Mais à la sortie de la salle, les larmes coulaient sur les visages et tous les commentaires disaient la déception et l'immense lassitude des familles.

    Elles avaient subi une première désillusion à l'issue du procès de première instance, en 2008, où aucun des sept scientifiques qui avaient alors comparu n'avaient été condamnés.

    Vingt ans après le décès des premières victimes de la maladie, en 1991, et le début d'une instruction marathon, l'arrêt de la cour d'appel laisse les proches avec leur peine: "aucune faute" n'a été commise par les deux prévenus qui encouraient une sanction pénale en appel, l'ancien biochimiste Fernand Dray, 88 ans, et la pédiatre Elisabeth Mugnier, 62 ans, a expliqué le président Didier Wacogne.

    Parmi tous les intervenants de la chaîne de production de l'hormone mis en cause par la justice, deux sont morts depuis le procès en correctionnelle. A l'encontre de trois autres prévenus relaxés en première instance, le parquet n'avait pas fait appel.

    M. Dray et Mme Mugnier étaient donc les seuls à avoir dû s'expliquer devant la cour, accusés: l'un de "tromperie aggravée", l'autre de complicité, les deux d'"homicide involontaire". De la prison avec sursis avait été requise à leur encontre.

    Il leur était reproché d'avoir commis de "graves fautes d'imprudence et de négligence" dans le traitement de 1.698 enfants, trop petits pour leur âge, avec cette hormone, alors fabriquée à partir de l'hypophyse, glande crânienne prélevée sur les cadavres.

    C'est parce que certaines hypophyses étaient infectées que 120 jeunes sont morts de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), après une longue et terrible agonie.

    Comme en première instance, une grande partie des débats de la cour avait porté sur l'état des connaissances scientifiques à l'époque.

    Comme en première instance, la cour s'est appuyé sur cet argument pour juger qu'"il ne saurait être reproché" à Fernand Dray, ancien directeur du laboratoire de l'Institut Pasteur chargé d'extraire l'hormone, "de ne pas avoir eu l'intuition d'un risque de contamination qu'aucun professionnel évoluant dans ce secteur d'activité n'avait prévu à l'époque".

    Mme Mugnier fut l'une des personnes chargées de la collecte des hypophyses dans les morgues des hôpitaux et dont certaines furent prélevées sur des patients à risque. Cependant elle "n'avait aucun pouvoir pour s'immiscer dans la gestion et l'organisation des établissements" et la "responsabilité de s'assurer que les prélèvements étaient effectués conformément aux règles sanitaires" ne lui incombait pas, note l'arrêt.

    Seule concession des juges à l'idée de faute commise dans le processus, sans dire par qui: "le souci d'accroître le nombre d'hypophyses collectées pour produire plus d'hormone de croissance (...) a surtout eu pour effet pervers d'occulter les risques d'une collecte insuffisamment sélective, les impératifs de rendement étant clairement privilégiés par rapport à ceux de sécurité sanitaire".

    "Par une sorte de bonneteau judiciaire, il n'y a aucune responsabilité. Cela n'est pas conforme au fait et au droit", a dénoncé Me Francis Szpiner, l'un des avocats des victimes tandis que Me Olivier Metzner, défenseur d'Elisabeth Mugnier, a salué "la victoire de la vérité".

    Par AFP


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  • Côte d’Ivoire: L’armée reprend le contrôle de la base navale d'Abidjan

    Mis à jour le 05.05.11 à 13h08

    L'armée ivoirienne a repris le contrôle de la base navale d'Abidjan où étaient retranchées quelques poignées de miliciens fidèles à l'ancien président Laurent Gbagbo, a annoncé un porte-parole militaire, ce jeudi.

    Les combats ont fait plusieurs dizaines de blessés au cours des derniers jours, illustrant les défis auxquels le nouveau chef de l'Etat, Alassane Ouattara, doit faire face pour rétablir le calme dans un pays en proie aux violences depuis l'élection présidentielle controversée du 28 novembre dernier.

    «Des miliciens et des mercenaires sont toujours là»

    «Depuis hier (mercredi), la base navale de Locodjoro, où des miliciens (pro-Gbagbo) et des mercenaires libériens étaient installés, est sous notre contrôle, mais il reste du ménage à faire», a dit le porte-parole. «Il n'y a plus de poches de résistance, en tant que telles, mais des miliciens et des mercenaires sont toujours là-bas», a-t-il ajouté.

    Selon les troupes ivoiriennes, les combattants fidèles à Laurent Gabgbo se trouvent surtout à Yopougon, un quartier d'Abidjan. La base navale d'Abidjan se trouve à Yopougon, au bord de la lagune.

    Il s'agit pour l'essentiel d'hommes venus du Libéria engagés comme mercenaire lors du conflit de quatre mois entre l'ancien président et les forces d'Alassane Ouattara, qui avait été reconnu comme vainqueur du scrutin présidentiel par la majorité de la communauté internationale.

    Avec Reuters

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