• Le satellite en perdition s'est désintégré au dessus du Pacifique

    le 24 septembre 2011 à 16h57 , mis à jour le 24 septembre 2011 à 18h44         lien

    Le satellite américain est entré dans l'atmosphère dans la nuit de vendredi à samedi au-dessus du Pacifique Nord et à l'ouest des Etats-Unis, où il s'est désintégré.

      
    On avait d'abord évoqué l'Italie. Puis le territoire des Etats-Unis. Finalement, le satellite américain de 6,3 tonnes est entré dans l'atmosphère dans la nuit de vendredi à samedi au-dessus du Pacifique Nord et à l'ouest des Etats-Unis, a indiqué la
    Nasa. Quant à savoir où exactement sont tombés les débris, l'agence spatiale américaine ne peut que confesser son ignorance.

    Le satellite est entré dans l'atmosphère "au-dessus de l'océan Pacifique", a-t-elle ajouté un peu plus tard. "Le moment précis de la rentrée dans l'atmosphère et des endroits où seraient tombés des débris restent indéterminés", écrit la Nasa dans son
    dernier bulletin. L'agence précise "ne pas avoir été informée de blessures ou de dommages matériels" qui auraient résulté de la chute de débris. L'agence spatiale a annoncé une conférence de presse téléphonique sur la chute du satellite à 20 heures samedi.

     
    Avant la chute de ce satellite, annoncée il y a trois semaines, la Nasa avait jugé extrêmement faible le risque qu'un débris blesse quelqu'un ou provoque des dégâts matériels au sol. Il y avait une chance sur 3.200 qu'une personne, quelque part dans le monde, soit touché par un de ces débris -ce qui, sur une planète peuplée de sept milliards d'habitants et dont 90% de la surface est inhabitée, revient à une probabilité de 0,03%-, avait indiqué précédemment l'agence spatiale. Le satellite -nommé "Upper Atmosphere Research Satellite" (UARS)- était de la taille d'un petit bus et la Nasa avait estimé qu'une vingtaine de morceaux d'un poids de un à 158 kg pourraient survivre à la rentrée dans l'atmosphère, et s'éparpiller sur une distance d'environ 750 km.

    Aucun blessé en 50 ans
     
    Samedi matin, l'agence n'avait pas confirmé le nombre de débris provenant de l'UARS qui aurait pu atteindre le sol ni si elle était en mesure de localiser les endroits de leur chute. Selon l'agence, des objets d'une taille comparable à l'UARS retombent sur Terre environ une fois par an. En revanche, "des débris de tailles diverses entrent dans l'atmosphère chaque jour", avait expliqué un expert de la Nasa, Mark Matney. "Et en plus de 50 ans d'histoire spatiale, personne n'a jamais été blessé par un débris venu de l'espace".
     
    A noter qu'en cas de blessure ou de dommage causé par la chute d'un débris du satellite, les Etats-Unis verseraient des compensations aux victimes en vertu d'une convention internationale conclue en 1972.

    le 24 septembre 2011 à 16:57
     

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  • Le Yémen s'embrase après le retour

    du président Saleh

    LEMONDE.FR avec AFP | 24.09.11 | 12h26   •  Mis à jour le 24.09.11 | 13h36

     

    Des protestataires yéménites portent les corps de soldats dissidents tués par la Garde républicaine à Sanaa, vendredi 23 septembre.

    Des protestataires yéménites portent les corps de soldats dissidents tués par la Garde républicaine à Sanaa, vendredi 23 septembre.REUTERS/AHMED JADALLAH

    De violents combats faisaient rage samedi 24 septembre à Sanaa où des dizaines de personnes ont été tuées depuis le retour surprise vendredi du président Ali Abdallah Saleh après une absence de plus de trois mois. La situation s'est détériorée malgré un appel de M. Saleh à une trêve.

     

    La Garde républicaine, corps d'élite de l'armée yéménite, a bombardé samedi les abords de la place du Changement, épicentre de la contestation du régime à Sanaa, faisant plusieurs morts. L'attaque visait un camp de la première division blindée du général dissident Ali Mohsen al-Ahmar, ralliée à la contestation et déployée aux abords de la place pour protéger les manifestants. Selon le porte-parole des soldats dissidents, une soixantaine d'obus sont tombés sur la camp, faisant onze morts et 112 blessés.

    Dressant un bilan des violences pour la seule journée de samedi, le comité d'orgnisation des protestataires a fait état de quarante morts dans divers quartiers de la capitale Et dans la nuit, les attaques sur la place du Changement ont fait dix-sept morts et cinquante-cinq blessés, selon un médecin de l'hôpital de campagne installé par les protestataires.

    La place du Changement est devenue le symbole du mouvement réclamant le départ du président Ali Abdallah Saleh. Les protestataires y campent depuis huit mois. Les derniers combats portent le bilan des violences à plus de 130 morts en une semaine, en particulier parmi les protestataires qui réclament le départ de M. Saleh.

    L'attaque contre la Place du changement est intervenue quelques heures après le retour surprise à Sanaa de M. Saleh, absent trois mois pour recevoir des soins en Arabie saoudite suite à une attaque contre son palais le 3 juin. M. Saleh a appelé à une trêve dans le combats entre les militaires qui lui sont fidèles et la première division blindée, mais les combats ont repris avec encore plus d'intensité vendredi soir.

    LE PLAN DE SORTIE DE CRISE DES PAYS DU GOLFE

    Les monarchies du Conseil de coopération du Golfe (CCG) pressent M. Saleh de signer "immédiatement" leur plan de sortie de crise, qui prévoit sa démission en échange d'une immunité. Le plan, élaboré en concertation avec les Etats-Unis et l'Union européenne, prévoit la formation par l'opposition d'un gouvernement de réconciliation et la démission de M. Saleh en échange de l'immunité pour lui-même et ses proches. Son application devrait conduire à une élection présidentielle anticipée et garantir une transition pacifique et démocratique du pouvoir.

    L'appel du CCG est formulé dans un communiqué publié au terme d'une réunion des ministres des affaires étrangères de pays membres du CCG, tenue vendredi à New York. Les ministres du CCG dénoncent "le recours aux armes, notamment aux armes lourdes, contre les manifestants", et appellent "à la retenue, à un cessez-le-feu total et immédiat et à la formation d'une commission d'enquête" sur les violences de cette semaine, rapporte le communiqué cité par l'agence saoudienne Spa.

    Contestation au Yémen

    Le président yéménite, Ali Abdallah Saleh, est rentré au pays vendredi 23 septembre. Les faits Yémen : la Maison blanche appelle Saleh à quitter le pouvoir


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  • La jeunesse sarkozienne avec François Hollande !

    L'appel des jeunes pour François Hollande (ou Sarkozy ?)

    Vous voyez ces jeunes ? Ils sont super, non ? Souriants, enthousiastes, engagés… Une vraie jeunesse telle qu'on en rêve. L'équipe de campagne de François Hollande a bien fait, a priori, de choisir cette photo pour illustrer le site L'appel des jeunes pour leur candidat. Seul problème : quand le cliché a été pris, ils regardaient en réalité Nicolas Sarkozy, en meeting à Bercy.

    C'est l'œil du Bison teint , blog « poil-à-grattiste » de Besançon, qui a repéré cette boulette. Interrogé par LeMonde.fr, Pierre Jouvet, responsable national des Jeunes pour François Hollande, a réagi avec amusement :

    « On prend ça avec humour… Y a plus grave ! »

    La photo, qui avait été piquée sur Flickr, a été retirée. Commentaire sarcastique de Franck Louvrier, conseiller com de Nicolas Sarkozy, sur son blog :

    « On ne peut qu'être flatté que François Hollande ait choisi d'utiliser une photo prise lors d'un meeting du candidat Sarkozy à Bercy le 29 avril 2007 pour illustrer ce rêve ! Monsieur Hollande, vous l'avez compris : si vous voulez vous joindre à une assemblée jeune, dynamique, qui regarde vers l'avant au service de la France, vous êtes le bienvenu à l'UMP ! »

    C'est de bonne guerre…


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  • Créé le 24/09/2011 à 12:16, modifié le 24/09/2011 à 14:47 Par SYLVAIN LABBE, envoyé spécial
    De Sports.fr, à l'Eden Park (Auckland)

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    Les Bleus sont loin...

    Le choc de la Poule A entre la Nouvelle-Zélande et la France samedi à l'Eden Park a tenu ses promesses et s'est conclu par une victoire méritée des All Blacks, auteurs de cinq essais contre deux pour les Bleus signés Mermoz et Trinh-Duc (37-17). Les partenaires de McCaw devraient terminer premiers de la poule, la France, si elle prend un point contre les Tonga, deuxième, avec un quart en perspective contre l'Angleterre.

    A l'image de Nonu face à Traille, les Blacks étaient supérieurs... (Reuters)
     
    A l'image de Nonu face à Traille, les Blacks étaient supérieurs... (Reuters)

    "All Blacks, All Blacks !" A plein poumons, l'Eden Park fête ses héros. Et avec, "LA" revanche. Celle que tout un peuple attendait et espérait de ses voeux. "On a trop pleuré il y a quatre ans", nous lançait le matin même une grand-mère néo-zélandaise dans un grand sourire. Les All Blacks ne sont pas encore champions du monde, mais il semble que le grand dessein de Richie McCaw et ses partenaires passait inévitablement par cette séance d'exorcisme face à la bête noire française. Pour ces Bleus, qui n'auront fait illusion que l'espace de dix minutes, avant de prendre l'eau de toute part, le charme des exploits passés s'est rompu.

    Rien d'irrémédiable cependant, la qualification de l'équipe de Lièvremont pour les quarts de finale ne réclamant plus qu'un dernier coup de rein face aux Tonga dans une semaine, à Wellington. Mais si cette équipe de France n'avait rien d'une équipe B, jamais, ô grand jamais, ces Bleus n'auront été en mesure de contester la domination d'un collectif néo-zélandais qui, sans faire des miracles, aura dominé son sujet de bout en bout. Certains parviendront à se réjouir de ce revers qui "risque" d'envoyer Dusautoir et les siens affronter le tableau final de cette Coupe du monde par la face "Nord"... Le constat sur le fossé qui sépare la France de la référence mondiale, à ce stade de la compétition, a pourtant quelque chose, sinon d'alarmant, du moins inquiétant... Et la haie d'honneur, réservée à Monsieur McCaw, à l'issue du match, ressemblait déjà à un geste d'allégeance.

    Un blanc de dix minutes

    D'ailleurs, loin des inspirations flamboyantes de leurs aînés, c'est un mur
    blanc immaculé, version minimaliste, à la couleur de leurs maillots, que les Bleus opposent au terrible Kapa O Pango, le haka des grandes occasions, que les All Blacks n'oublient évidemment pas, dans une telle circonstance, de conclure par l'égorgement de rigueur. Le ton est donné...

    XV de France-Lièvremont: "On fait trop de fautes"

    C'est un Marc Lièvremont forcément déçu par la prestation de ses joueurs qui a livré son premier commentaire au micro de TF1 après la défaite de son XV de France samedi à Auckland face à la Nouvelle-Zélande (37-17). "L'envie ne suffit pas à ce niveau-là. On prend un essai dès l'entame de la seconde période... On a fait preuve de courage, on s'est accroché mais il y a encore trop d'erreurs. On parvient à réduire le score mais on prend un essai dans la foulée. On ne peut pas faire autant de fautes. Ce n'est pas un résultat positif. On prend 47 à 17 (sic), cinq essais. Il y a des choses intéressantes mais on fait trop de fautes. On leur a fait trop de cadeaux, a assuré le sélectionneur des Bleus. Maintenant, il faut penser aux Tonga. On va récupérer demain. La qualification n'est pas assurée. On va se réorganiser en s'appuyant sur les enseignements de ce match."


    Et pourtant, dès les premières minutes, le blanc se détache dans cette cathédrale noire de l'Eden Park : les Bleus apparaissent, comme on n'osait plus les attendre, décomplexés et libérés, selon le voeu de Marc Lièvremont. Dix minutes enlevées, au cours desquelles Morgan Parra, comme pour mieux faire taire ses détracteurs, assume son maillot à deux chiffres avec le cran qu'on lui connaît. Sa percée initiale est un formidable signal (2e), son drop des 35 mètres sur le poteau, un crève-coeur (4e), qui n'entame pas cet appétit tricolore. La famille bleue campe dans les 22 mètres des Blacks et il s'en faut d'un rien pour que Dimitri Yachvili, d'une diagonale ajustée, n'envoie en terre promise un Damien Traille, qui ne peut contrôler l'offrande (5e). Et encore cette percée de Maxime Mermoz, qui déchire le rideau néo-zélandais, sans toutefois concrétiser (7e). On n'y voit que du blanc !

    Dix minutes pour rêver, dix minutes pour que les All Blacks, prisonniers de la pression imposée par tout un pays, entrent enfin dans leur match. Et de quelle façon ! La première attaque est la bonne, qui voit Ma'a Nonu faire d'entrée la différence et laisser le nez dans le gazon Julien Bonnaire et Louis Picamoles réunis, avant d'effacer Traille. Piri Weepu pour éjecter, Dan Carter au relais et Adam Thomson qui libère tout un stade (5-0, 10e). La machine est lancée, le bon début de match français n'est déjà plus qu'un beau souvenir et en quatre minutes, l'affaire presque entendue.

    Le mur blanc s'est fissuré, les impacts sont pour les All Blacks, qui châtient Parra, comme on le craignait. Son match avec Carter tourne au cauchemar, le dix ultime se régale de cette passe intérieur pour l'essai de Cory Jane (10-0, 17e), puis de cette feinte de passe qui, après le nouveau numéro de Nonu, insaisissable, met Israel Dagg sur orbite (19-0, 21e). Il y a déjà belle lurette que les Bleus n'existent plus dans ce sacro-saint combat sans lequel point de salut. Même la mêlée tricolore est dépassée. Chaque secteur de jeu est l'occasion pour McCaw et son orchestre de faire mal, à l'image d'un Jérome Kaino, coupable d'un mauvais geste sur Yachvili. Il faut bien ça pour offrir aux Français leurs premiers points avant la pause (19-3, 39e).

    Carter en démonstration

    Le coaching, aux allures de sanction pour Jérôme Ducalcon, Picamoles et Traille, remplacés par Fabien Barcella, Imanol Harinordoquy et Cédric Heymans, est un coup d'épée dans l'eau, qui n'empêche pas dès la reprise Carter, éblouissant sur ce match, de percer sur cinquante mètres, et d'offrir l'essai du bonus offensif, en même temps que le doublé à Dagg, qui comme une lame s'enfonce à chaque fois dans la défense française (26-3, 41e). Et cette mêlée perdue, qui lâche encore trois points de plus à Carter (29-3, 47e).

    L'interception de Maxime Mermoz sur son ancien coéquipier Carter, qui envoie le Catalan à l'essai, est une piètre consolation pour une équipe de France surclassée (29-10, 54e). Imperturbable, Carter se reprend et ciselle son oeuvre d'un drop imparable (32-10, 65e). Les plus optimistes voudront voir un rachat en même temps qu'une promesse dans l'essai en force et au courage de François Trinh-Duc (32-17, 74e) que l'inévitable Sonny Bill Williams ne pouvait s'empêcher d'effacer d'un ultime coup de rein (37-17, 76e).

    L'Eden Park pouvait fêter ses héros, Richie McCaw, le plus emblématique d'entre eux en tête. Plus que jamais les Blacks sont lancés ! Les Bleus mesurent eux le chemin qu'il leur reste à parcourir...


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  • Rugby: les Wallabies se reprennent contre les Etats-Unis

    Publié le 23-09-11 à 13:45    Modifié à 13:38   

    L'Australie, assommée il y a six jours par l'Irlande, s'est rachetée en battant sans encombre les Etats-Unis (67-5) vendredi à Wellington dans un match comptant pour la poule C de la Coupe du monde de rugby. A lui seul, Adam Ashley-Cooper a inscrit un triplé en l'espace de sept minutes, de la 58e à la 65e minute de jeu. /Photo prise le 23 septembre 2011/REUTERS/Anthony Phelps
 (c) Reuters
     
     
    L'Australie, assommée il y a six jours par l'Irlande, s'est rachetée en battant sans encombre les Etats-Unis (67-5) vendredi à Wellington dans un match comptant pour la poule C de la Coupe du monde de rugby. A lui seul, Adam Ashley-Cooper a inscrit un triplé en l'espace de sept minutes, de la 58e à la 65e minute de jeu. /Photo prise le 23 septembre 2011/REUTERS/Anthony Phelps (c) Reuters

    WELLINGTON (Reuters) - L'Australie, assommée il y a six jours par l'Irlande, s'est rachetée en battant sans encombre les Etats-Unis (67-5) vendredi à Wellington dans un match comptant pour la poule C de la Coupe du monde de rugby.

    Incapables de marquer le moindre essai face aux Irlandais, les Wallabies ont cette fois passé la ligne de but américaine à onze reprises et empochent le point du bonus offensif.

    A lui seul, Adam Ashley-Cooper a inscrit un triplé en l'espace de sept minutes, de la 58e à la 65e minute de jeu.

    Les Australiens, qui joueront leur dernier match de poule samedi 1er octobre contre la Russie, n'ont plus qu'à espérer un faux pas de l'Irlande pour récupérer la première place du groupe et s'épargner un tableau final compliqué.

    "Le score était flatteur, mais je crois que le meilleur élément de cette prestation, c'est la façon dont on s'y est pris pour y parvenir", s'est félicité le capitaine australien, Will Genia.

    Comme lors de leurs deux premiers matches dans le tournoi, la bande de Quade Cooper a toutefois été accrochée en première période par des adversaires réputés plus faibles, d'autant que les Eagles avaient aligné une équipe bis.

    A la 20e minute, les Américains font le siège de la défense australienne, qui finit par céder. La mêlée sifflée par Nigel Owens profite à JJ Gagiano qui se jette dans l'en-but adverse, à quelques centimètres de la ligne de touche.

    Dix minutes plus tard, les Américains s'approchent à nouveau de la ligne de but mais laissent filer la balle. Au terme d'une chevauchée de près de cent mètres, Kurtley Beale aplatit.

    A 22-5 à la pause et avec un essai en leur faveur, les Américains pouvaient une nouvelle fois faire douter les Australiens, candidats au titre final.

    Mais le scénario du match face à l'Italie se répète: accrochée pendant une mi-temps, les Wallabies prennent le large dès le retour des vestiaires et ajoutent sept essais à leur compteur.

    "Nous avons eu une bonne première période. Nous nous sommes essoufflés à la fin, mais je suis immensément fier des gars", s'est félicité le demi de mêlée américain, Tim Usasz.

    "C'est toute la différence quand nous rencontrons les meilleures équipes de la planète, ils vous punissent vraiment pour vos erreurs", a commenté le capitaine américain.

    Jamais inquiétés dans le jeu en deuxième période, les Australiens se sont toutefois fait une frayeur à la dernière minute de jeu, quand Anthony Faingaa, sonné après une collision avec un adversaire, est resté étendu sur le gazon de Wellington.

    Greg Stutchbury, Simon Carraud pour le service français


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