• mardi 31 janvier 2012
    Good Morning Myanmar, un vent de changement souffle sur la Birmanie
     
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    Le ministre des Affaires étrangères français Alain Juppé a rencontré le président Thein Sein à Naypyidaw, le 16 janvier 2012, après avoir rencontré la veille, Aung San Suu Kyi.

    Le ministre des Affaires étrangères français Alain Juppé a rencontré le président Thein Sein à Naypyidaw, le 16 janvier 2012, après avoir rencontré la veille, Aung San Suu Kyi.
    Par Arnaud Dubus

    Un dégel politique a commencé depuis environ dix mois en Birmanie. Figure de proue de ce mouvement de réforme, le président Thein Sein, ancien général, qui dirige le nouveau gouvernement civil. Ce mouvement de réforme a surpris même les plus sceptiques vis-à-vis du régime.

     
    tags : Birmanie

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  • Terrified Orangutans Saved from Hunters (VIDEO)

    202 comments Terrified Orangutans Saved from Hunters (VIDEO)

     

    A startling video shows an orangutan mother and baby being saved in the nick of time from hunters in Borneo earlier this month. A team from a local orangutan orphanage had been searching the area near a palm oil plantation after reports of systematic killing of the apes. The UK Daily Mail quoted primate scientist Dr. Signe Preuschoft, who was on the scene: “Our arrival could not have been more timely. A few minutes later and the orangutans could have been dead. We discovered a gang of young men surrounding them and both victims were clearly petrified. The gang meanwhile were jubilant in anticipation of their rewards for catching and killing the animals.”

    Palm oil companies are alleged to offer a bounty for killing the primates, which are considered to be pests. Orangutan skulls are sold internationally, and the illegal pet industry trades in baby orangutans taken from their mothers. WWF estimates some 200 to 500 orangutans from Borneo are sold into the pet trade every year; inevitably, the mother orangutan is killed when the poachers go after the baby.

    NOTE: Some time after this was posted on Sunday night, the video has been marked Private and is unviewable. I have contacted Four Paws for an explanation.

     

    http://www.youtube.com/watch?v=jjk474jS6J8

    Here is an informational video about the Samboja orangutan rescue center:

    Workers from the nonprofit Four Paws rescued the animals and transported them over rough terrain so that they could be released in a remote area where they would be safer. The animals were tagged and will be monitored to make sure they can adapt to their new surroundings.

    The Bornean orangutan’s habitat has been reduced by some 55 percent in the last 20 years, with a similar decline in the apes’ population. WWF estimates there are only about 40,000 Bornean orangutans left; the population is threatened by loss of habitat, as happens when forests are burned to make way for profitable palm oil plantations.

     

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    Image: Still from YouTube video via Four Paws, http://www.youtube.com/user/4PFOTEN


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  • Oiseaux et papillons s’adaptent, tant bien que mal, au réchauffement

    Les changements climatiques bouleversent le comportement des papillons et des oiseaux, selon une étude inédite coordonnée par des personnalités du monde scientifique. 

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    Ces deux espèces ne se déplacent pas aussi rapidement que les températures, un décalage qui inquiète les spécialistes.

     

    Sous l’égide du biologiste Vincent Devictor, du CNRS de Montpellier, et de l’ornithologue Frédéric Jiguet, du Muséum national d’Histoire naturelle de Paris, de nombreux chercheurs européens et des milliers de naturalistes bénévoles ont observé 9 490 communautés d’oiseaux et 2 130 de papillons pendant plus de vingt ans à travers l’Europe. 

    Durant cette période, les températures ont augmenté de 1°C dans cette partie du monde et se sont décalées de 249 kilomètres vers le Nord. Les papillons et les oiseaux ont suivi cette tendance avec un retard de près de 135 kilomètres pour les premiers et de 212 kilomètres pour les seconds, selon les conclusions de l’enquête.

    Chaîne alimentaire

    « La bonne nouvelle, c’est que ces espèces s’adaptent en se déplaçant, relativise Frédéric Jiguet. Mais ce décalage entre différents groupes d’une même chaîne alimentaire est inquiétant et prédit des bouleversements importants. » 

    Les changements climatiques ne sont pas un phénomène nouveau dans l’histoire de la Terre mais avant, les phases étaient plus lentes. « Les espèces s’adaptent depuis des millénaires, continue Frédéric Jiguet. Mais depuis vingt ans, les choses s’accélèrent. De gros efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre seront nécessaires pour espérer une amélioration. »

    Des réflexions sont menées et des éléments de paysages, mis en place, comme les trames vertes et des corridors, qui permettent aux oiseaux et autres espèces de circuler, de s’alimenter, de se reproduire et de se reposer. 

    Si les oiseaux observés, issus d’espèces communes, sont fragilisés, leur survie est encore assurée. « L’impact est moins fort que lorsque des espèces rares sont en danger d’extinction, observe l’ornithologue. Mais nous avons beaucoup plus à perdre si ce sont eux qui vont mal. »

    Morgane Pellennec


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  • 30/1/12 - 23 H 08 mis à jour le 31/1/12 - 00 H 15
     
    31/1/12 - 00 h 15 AFP - ECONOMIE
     
    Il faut "mettre le développement durable" au coeur de l'économie, selon un rapport demandé par l'ONU

     

    La crise économique actuelle "nous donne l'opportunité de réformes significatives" pour nous orienter vers "une croissance verte", en mettant le développement durable "au coeur du débat économique", selon un rapport réalisé à la demande des Nations unies.

    Ce rapport donne le ton de la réunion Rio+20, organisée en juin prochain, 20 ans après le Sommet de la Terre, qui avait préparé les conventions de l'ONU visant à protéger la biodiversité et à freiner le réchauffement climatique.

    "Ce qui est excitant est que nous pouvons choisir notre avenir", affirme le texte, intitulé "Des gens qui réagissent, une planète qui réagit, un avenir qui vaut la peine d'être choisi", et remis lundi à Addis-Abeba au secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon.

    En recevant le rapport, ce dernier a indiqué que le développement durable était "une des grandes priorités" de son second mandat. "Nous devons dessiner une voie nouvelle, plus durable pour l'avenir, qui renforce l'égalité et la croissance économique tout en protégeant notre planète", a-t-il déclaré.

    Le rapport a été réalisé par un groupe de travail de 22 membres, dont des ministres ou anciens ministres.

    "D'ici 2030, le monde aura besoin au moins de 50% de plus de nourriture, de 45% de plus d'énergie et de 30% de plus d'eau", rappelle le texte, qui relève encore que "si nous ne parvenons pas à résoudre le dilemme du développement durable, nous courons le risque de condamner jusqu'à trois milliards de personnes à une vie de pauvreté endémique".

    Plutôt que d'être un concept "généralement accepté", le développement durable doit être "une réalité pratique et quotidienne", dit le rapport. "Intégrer les problèmes environnementaux et sociaux dans les décisions économiques est vital pour réussir".

    Cette "nouvelle approche", qui mettra le développement durable "au coeur du débat économique global", rendra "transparents le coût de l'action et celui de l'inaction", ce dernier étant "de très loin plus élevé".

    Parmi 56 recommandations, le rapport suggère aux gouvernements de développer les "emplois verts" et donner les moyens aux consommateurs de faire "des choix informés". Il faudrait encore "doubler la productivité en réduisant drastiquement l'utilisation de la ressource", "incorporer les coûts sociaux et environnementaux dans la régulation et les prix des marchandises", inciter à investir dans le développement durable.

    Il envisage la création d'un nouvel "index ou ensemble d'indicateurs de développement durable" qui aille au-delà du simple PIB, avec la création d'un "Conseil global du développement durable", instance internationale spécialisée.

    "Nous ne pouvons poursuivre comme si le statu quo était la solution la moins coûteuse, ce n'est pas le cas", a souligné la commissaire européenne au climat Connie Hedegaard dans un communiqué.

    AFP

    Avec cet article

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  • 31/1/12 - 00 h 15 AFP - MONDE
     
    L'Union européenne et les Etats-Unis demandent à l'ONU de mettre fin à la répression en Syrie
     

    Les dirigeants européens ont demandé lundi soir à l'ONU d'agir pour mettre fin à la "répression" en Syrie à la veille d'une réunion du Conseil de sécurité.

    "Nous sommes indignés par les atrocités et la répression commises par le régime syrien et nous exhortons les membres du Conseil de sécurité de l'ONU à prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à la répression", a déclaré le président de l'UE, Herman Van Rompuy, au cours d'une conférence de presse.

    Le président de l'UE a emboîté le pas de la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, qui a également appelé lundi l'ONU à agir pour faire cesser la violence en Syrie.

    "Les Etats-Unis condamnent dans les termes les plus fermes l'escalade des attaques violentes et brutales perpétrées par le régime syrien contre son propre peuple", a déclaré Mme Clinton dans un communiqué.

    "Le Conseil de sécurité doit agir afin de faire clairement savoir au régime syrien que la communauté internationale considère ses agissements comme une menace pour la paix et la sécurité", a ajouté Mme Clinton qui se rendra personnellement à la réunion du Conseil de sécurité mardi à New York.

    Plusieurs ministres des Affaires étrangères européens, dont le Français Alain Juppé et le Britannique William Hague, seront également à New York pour cette réunion.

    Les pays occidentaux souhaitent faire adopter un projet de résolution qui réclame le départ du président syrien Bachar al-Assad. Mais la Russie, qui dispose d'un droit de veto, a réaffirmé lundi son opposition à ce projet.

    Le projet, préparé par les Européens avec plusieurs pays arabes dont le Maroc, reprend les grandes lignes du plan de la Ligue arabe. Celui-ci prévoit la fin des violences et le transfert des pouvoirs de Bachar al-Assad à son vice-président avant l'ouverture de négociations avec l'opposition.

    Le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, et le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem Al Thani, exposeront mardi après-midi le plan arabe devant le Conseil.

    En raison de la "résistance" de la Russie, Alain Juppé estimait lundi que les conditions pour adopter une résolution n'étaient pas encore réunies.

    Selon des sources diplomatiques françaises cependant, "les équilibres au sein du Conseil de sécurité de l'ONU ont évolué", notamment avec l'arrivée début janvier de cinq nouveaux membres non-permanents (Maroc, Togo, Guatemala, Pakistan, Azerbaïdjan), plus convaincus de la nécessité d'agir dans la crise syrienne.

    Parallèlement, le Brésil qui, avec les autres émergents membres non-permanents --Inde et Afrique du sud-- s'opposaient à toute ingérence dans les affaires syriennes, n'est plus au Conseil de sécurité.

    "Au moins dix pays" sur les quinze pourraient désormais être en faveur du projet de résolution, selon des diplomates français.

    La répression en Syrie a fait plus de 5.400 morts depuis mars 2011, selon l'ONU.

    AFP cle

    Avec cet article

    En Syrie, les violences se rapprochent de Damas

    Nouveau bain de sang en Syrie

    Soixante-deux personnes, dont 43 civils, ont été tuées jeudi 26 janvier dans les violences en Syrie, où le régime réprime dans le sang depuis dix mois un mouvement d’opposants, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). À Homs, berceau de la contestation, où l’armée a lancé une offensive, 33 civils, dont neuf enfants, ont été tués.

    Le Conseil national syrien (CNS), plus important groupe de l’opposition, a appelé vendredi 27 janvier le Conseil de sécurité de l’ONU à adopter une résolution qui «condamne les crimes du régime» , déplorant les «bombardements sauvages» de l’armée sur des villes rebelles.

    Le Conseil de sécurité de l’ONU doit se réunir vendredi après-midi pour discuter de la situation en Syrie. Mais la Russie et la Chine s’opposent toujours à l’adoption d’une résolution contre Damas


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