• Rugby - Résultat Top 14 : Belle victoire de Montpellier face à Agen

    Posté le 31/03/2012 - Rubrique Sports  


     

    Rugby - Résultat Top 14 : Belle victoire de Montpellier face à Agen

    Le Montpellier Hérault Rugby a signé une superbe performance en dominant Agen 44-18; tous les résultats de la 22ème journée du Top 14.

    Battu à Castres la semaine dernière, le
    Montpellier Hérault Rugby se devait de réagir pour rester en bonne position en vue de la qualification pour les phases finales du Top 14. La victoire du Racing face à Castres vendredi soir lui avait mis la pression tout en lui offrant également l'opportunité de reprendre la 4ème place synonyme d'un barrage à domicile.

    Les hommes de Fabien Galthié n'ont pas raté l'occasion en signant une très belle performance face à Agen dans la lignée de leur fin de saison dernière. Cette large victoire a pourtant été longue à se dessiner. Si tout avait bien commencé avec l'essai de Tulou dès la 16ème minute, le MHR eut ensuite du mal à concrétiser sa domination et vit Agen, accrocheur, revenir à 16-10 à la pause et même à 16-15 en début de seconde période.
    Heureusement, Montpellier ne tergiversa pas et repartit de l'avant pour réaliser une énorme fin de match et enflammer Yves du Manoir. Amorosino (60ème), Nagusa (68ème), Trinh-Duc (74ème) et Bustos (76ème) y allaient de leur essai et faisaient exploser la défense agennaise.

    Montpellier s'impose au final 44-18 et décroche le point du bonus défensif. Ce résultat lui permet ainsi de reprendre la 4ème place du Top 14 et de revenir à 6 points de Toulon, battu à Brive.

    Rugby - Résultats 22ème journée Top 14 :

    Racing 27-16 Castres
    Montpellier 44-18 Agen
    Biarritz 15-14 Clermont
    Perpignan 47-9 Bayonne
    Lyon 24-13 Bordeaux-Bègles
    Brive 14-9 Toulon
    Stade Français 18-22 Stade Toulousain

     
    Montpellier Rugby


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  • Le Kosovo accuse la Serbie d'enlèvement

    de policiers et sollicite l'UE

    Mis à jour le 31.03.12 à 22h37

    Le Kosovo a accusé ce samedi la Serbie d'avoir enlevé deux de ses policiers qui patrouillaient à la frontière commune entre les deux Etats et demandé à l'Union européenne d'intervenir pour résoudre la crise.

    Le ministère serbe de l'Intérieur a diffusé des photos des deux hommes, menotés et visage contre le sol, affirmant qu'ils ont été arrêtés en territoire serbe.

    «Le gouvernement de la république du Kosovo appelle tous les acteurs internationaux, principalement l'Union européenne et les Etats-Unis, à prendre toutes les mesures nécessaires pour convaincre Belgrade de mettre fin à ces actes arbitraires et illégaux», a répliqué le ministère de l'Intérieur kosovar dans un communiqué.

    Des législatives en Serbie en mai

    Ancienne province serbe, le Kosovo a déclaré son indépendance en 2008 mais Belgrade n'a pas reconnu sa sécession et conserve un contrôle partiel sur une bande étroite du nord de l'Etat albanophone où vivent quelque 50.000 Serbes.

    Les tensions entre les deux voisins se sont renforcées à l'approche des élections législatives en Serbie le 6 mai, Belgrade ayant fait part de son intention d'organiser des scrutins locaux dans la région du Kosovo sous son contrôle.

    L'Union européenne, qui vient d'octroyer à la Serbie le statut de candidat officiel à l'adhésion, a appelé Belgrade à renoncer à ce projet.

    Reuters

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  • Dernière modification : 31/03/2012 

    La torchère de la plateforme Total

    en mer du Nord s'est éteinte

    La torchère de la plateforme Total en mer du Nord s'est éteinte

    La torchère sur la plateforme de Total située au large de l'Écosse, en mer du Nord, où une fuite de gaz naturel se poursuit depuis une semaine, s'est "éteinte d'elle même", a annoncé le groupe pétrolier français.

    Par Dépêche (texte)
     

    AFP - La torchère sur une plateforme de Total en mer du Nord évacuée à cause d'une fuite de gaz, et qui faisait craindre aux experts une possible explosion, est éteinte, a annoncé samedi un porte-parole du groupe pétrolier français.
                  
    "Nous pouvons confirmer que la torchère a été éteinte", a déclaré à l'AFP ce porte-parole depuis Aberdeen, ville écossaise située à 240 km de la plateforme et où Total a mis en place une cellule de crise.

                  
    "La torchère s'est éteinte d'elle-même, ce à quoi nous nous attendions", a ajouté un autre porte-parole, Brian O'Neill, précisant que Total avait fait cette première observation vendredi à la mi-journée et qu'un vol de reconnaissance mené samedi matin avait permis de vérifier que la torchère était effectivement bien éteinte.
                  
    La plateforme, où travaillaient plus de 200 personnes, est totalement évacuée depuis lundi, et une zone d'exclusion est en place à proximité, en raison du danger représenté par cette fuite qui constitue, selon Total, son "plus gros incident en mer du Nord depuis au moins dix ans".
                  
    Des experts craignaient que le gaz, qui se répand sous forme de condensat et de nuage volatile, entre au contact avec la torchère brûlant le gaz résiduel resté au niveau de la plateforme après son arrêt, et provoque une explosion.

     


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  • Manifestations pour la défense des langues régionales

    le 31 mars 2012 à 18h44 , mis à jour le 31 mars 2012 à 22h19

    Plusieurs milliers de personnes ont défilé samedi dans une dizaine de villes de France, dont Strasbourg, Lille, Quimper, Toulouse, Perpignan et Ajaccio, à l'appel d'une coordination nationale qui demande un statut pour les langues régionales.

     
     
     
    langues régionales perpignan
     
     
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    Manifestation en Alsace en faveur des langues régionales en France. © LCI
     

     

    Ils veulent que les langues des régions françaises restent vivantes. Des manifestations en faveur des différents parlers régionaux se sont déroulées samedi dans une dizaine de villes de France, dont Strasbourg, Lille, Quimper, Toulouse, Perpignan et Ajaccio, à l'appel d'une coordination nationale.
     
    Les associations culturelles et les mouvements régionalistes revendiquaient, au travers de cette initiative, un "statut", garanti par la loi, pour les
    langues régionales. Les organisateurs voulaient notamment interpeller les candidats à l'élection présidentielle 2012 sur la Charte européenne des langues nationales et minoritaires que la France a jusqu'ici refusé de ratifier en arguant du fait que sa constitution ne reconnaît pas les minorités. Le chef de l'Etat Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen (FN) restent sur cette position tandis que François Hollande (PS), François Bayrou (MoDem) et Eva Joly (EELV) sont favorables à une ratification.
     
    La candidate écologiste, qui a manifesté à Toulouse, estime que "la crainte" des dirigeants français devant les langues et cultures régionales est "révélatrice du centralisme excessif de notre pays". "Ce tabou, je veux le faire sauter: les langues et les cultures régionales ont un avenir en France !", a-t-elle indiqué dans un communiqué. "Les régions doivent pouvoir choisir une langue régionale comme co-officielle avec le français, et disposer d'une plus grand autonomie si elles le souhaitent."   
    le 31 mars 2012 à 18:44
     

    Des manifestations pour les langues régionales partout en France

    Mis à jour le 31.03.12 à 17h50

    Des manifestations en faveur des langues régionales se sont déroulées samedi dans une dizaine de villes de France, dont Strasbourg, Lille, Quimper, Toulouse, Perpignan et Ajaccio, à l'appel d'une coordination nationale.

    Les associations culturelles et les mouvements régionalistes revendiquaient, au travers de cette initiative, un «statut», garanti par la loi, pour les langues régionales.

    Les organisateurs voulaient notamment interpeller les candidats à l'élection présidentielle sur la Charte européenne des langues nationales et minoritaires que la France a jusqu'ici refusé de ratifier en arguant du fait que sa constitution ne reconnaît pas les minorités.

    Un centralisme «excessif»

    Le chef de l'Etat
    Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen (FN) restent sur cette position tandis que François Hollande (PS), François Bayrou (MoDem) et Eva Joly (EELV) sont favorables à une ratification.

    La candidate écologiste, qui a manifesté à
    Toulouse, estime que «la crainte» des dirigeants français devant les langues et cultures régionales est «révélatrice du centralisme excessif de notre pays».

    «Ce tabou, je veux le faire sauter: les langues et les cultures régionales ont un avenir en France!», a-t-elle indiqué dans un communiqué. «Les régions doivent pouvoir choisir une langue régionale comme co-officielle avec le français, et disposer d'une plus grand autonomie si elles le souhaitent.»

    A Strasbourg, un peu plus de 500 personnes, drapeaux rouges et blancs au vent - les couleurs de l'Alsace - se sont rassemblées place Kléber, au centre-ville, où un podium était dressé pour les prises de parole et les chansons en alsacien.

     

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    Manifestations pour les langues régionales

    AFP Publié <time datetime="31-03-2012T17:57:00+02:00;" pubdate="">le 31/03/2012 à 17:57</time>

    Des dizaines de milliers de défenseurs des langues régionales ont manifesté aujourd'hui dans de nombreuses villes de France pour réclamer de meilleures conditions d'enseignement ainsi que la ratification de la Charte européenne pour la sauvegarde des langues régionales.

    A Quimper, 8.000 personnes selon la police ont joyeusement battu le pavé en début d'après-midi sous un soleil radieux, derrière une quinzaine de bagads (ensembles musicaux) dont ceux de Quimper et Concarneau, avec binious et bombardes. Dans la foule, Rémy, bretonnant installée à Plouédern dans le nord Finistère, a défilé à côté de sa mère avec laquelle il n'a jamais pu parler breton dans son enfance. "Je n'ai jamais parlé breton à mon fils, ça ne se faisait pas à l'époque", a expliqué Hélène, regrettant d'avoir appartenu à une "génération sacrifiée".

    En Bretagne, 200.000 personnes, soit 5% de la population, parlent breton.
    Un millier de personnes, selon les organisateurs, ont manifesté à Strasbourg pour la défense de l'alsacien et notamment pour le développement des filières bilingues à l'école. "Unsri Sproch ist unser Schàtz" (notre langue est notre trésor), "Il faut une loi pour notre langue", ou encore "Nos langues, nos cultures, un droit, une loi", proclamaient les banderoles.

    A Toulouse, parmi les nombreux politiques dans le long cortège rouge et or -organisateurs et police attendaient entre 25.000 et 30.000 manifestants- la candidate EELV à l'élection présidentielle, Eva Joly, a expliqué être "bien placée pour savoir que ce n'est pas parce que vous parlez deux, trois, quatre langues, que vous n'aimez pas votre patrie".

    Le président du Sénat Jean-Pierre Bel (PS), représentant François Hollande, a assuré que "si demain, les Français font confiance à François Hollande, (il) ratifiera la charte européenne des langues régionales ou minoritaires", une revendication essentielle pour tous les manifestants. François Bayrou, candidat du MoDem, s'était également engagé la veille à ratifier la Charte.

    Environ un habitant de Midi-Pyrénées sur cinq est capable de discuter en occitan (sondage réalisé fin 2010), une langue qui décline malgré l'attachement des élus locaux. A Perpignan, un gigantesque "lip dub" revendicatif pour la défense du catalan a rassemblé 5.800 participants, selon les organisateurs.

    A Bayonne, plusieurs milliers de défenseurs du basque étaient attendus en fin d'après-midi pour une manifestation en centre-ville à l'appel du Mouvement Deiadar, plate-forme d'associations qui oeuvrent pour la reconnaissance du basque comme langue officielle. Au Pays basque, plus de 22% des habitants sont bilingues et quelque 8% comprennent le basque sans le parler (Insee 2006).

    "Nous demandons la reconnaissance officielle de la langue basque au Pays basque nord (Pays basque français, ndlr), à savoir une valeur juridique qui lui accorde dans tous les domaines le même degré d'utilisation et de développement que la langue française", a expliqué Michel Oronos, membre de Deiadar.

     


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  • Villeneuve-Minervois

    Sur les traces des révoltes de 1907

    Correspondant
    31/03/2012, 06 h 00

    VILLENEUVE-MINERVOIS

    Aujourd'hui, à 18 h, la médiathèque reçoit l'auteur Jean-Pierre Pinies. Né à Carcassonne en 1946, il fut enseignant puis chargé de recherches. Il est également Docteur ès-lettres et ethnologue. Actuellement, Jean-Pierre Pinies est chercheur au Lahic (CNRS-EHESS) : laboratoire sur l'histoire et l'identité de la culture.

    Il a publié nombre d'articles et d'ouvrages, parmi lesquels : "Récits et contes populaires des Pyrénées", "Figures de la sorcellerie languedocienne", "Croyances populaires des Pays d'Oc", "La Cité de Carcassonne dans le regard des voyageurs", et bien d'autres encore.

    Jean-Pierre Piniès parlera de son livre intitulé "1907, l'Album de la mémoire".

    Pendant près d'une heure, il partagera son savoir historique de la révolte viticole de 1907 qui a ébranlé la région.

    En suivant, une dégustation des vins du Cellier Lauran Cabaret achèvera cette rencontre.

    Les livres de M. Piniès et les vins du Cellier Lauran Cabaret seront disponibles à la vente. Le public est attendu nombreux pour cette plongée dans l'Histoire.


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