• 30 juillet 2013 - 22H24  lien

    Syrie: la présidence ouvre un compte sur Instagram

    La présidence syrienne a ouvert un compte sur Instagram sur lequel elle a publié des clichés de Bachar al-Assad saluant ses partisans et de son épouse visitant un hôpital

    La présidence syrienne a ouvert un compte sur Instagram sur lequel elle a publié des clichés de Bachar al-Assad saluant ses partisans et de son épouse visitant un hôpital

    AFP - La présidence syrienne a ouvert un compte sur Instagram sur lequel elle a publié des clichés de Bachar al-Assad saluant ses partisans et de son épouse visitant un hôpital.

    La présidence utilise déjà les réseaux sociaux YouTube, Facebook et Twitter.

    Quelque 70 clichés ont été publiés depuis le 24 juillet sur Instagram, une application de partage de photos. De Parmi les photos, figure une du président travaillant à son bureau, et une autre du dirigeant syrien agitant la main face à une foule de partisans.

    D'autres clichés montrent son épouse Asma en grande discussion avec un groupe d'adolescents. Sur d'autres, elle essuie les larmes d'un enfant ou félicite des étudiants fraîchement diplômés.

    De nombreuses personnes ont cliqué un "j'aime" sur les photos, et l'un des commentaires indique "Nous t'aimons".

    Des commentaires négatifs ont visiblement été enlevés, un militant anti-régime ayant indiqué sur Twitter: "Bachar al-Assad m'a bloqué sur Instagram".

    Une révolte contre le régime déclenchée en mars 2011 a été réprimée dans le sang, provoquant au fil des mois une guerre civile pour laquelle aucune issue ne semble en vue.

    Les violences ont fait plus de 100.000 morts en deux ans et demi, selon l'ONU.


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  • Mali - 
    Article publié le : mardi 30 juillet 2013 à 20:37 - Dernière modification le : mardi 30 juillet 2013 à 23:23
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    Présidentielle malienne: «large avance» pour IBK au premier tour, selon des résultats partiels

    IIbrahim Boubacar Keïta.

    IIbrahim Boubacar Keïta.

    AFP PHOTO GEORGES GOBET

     

    Par RFI

    Le colonel Moussa Sinko Coulibaly, ministre malien de l'Administration territoriale, s'est adressé à la presse, ce mardi 30 juillet. Selon lui, « au tiers du dépouillement de l'ensemble » des bulletins du vote, « les écarts sont importants » entre les candidats, et s'ils sont confirmés, « il n'y aura pas de deuxième tour ». Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) pourrait emporter l'élection présidentielle dès le premier tour. Le camp de Soumaïla Cissé conteste la véracité de ces déclarations.

    Il ne s'agit pas de résultats définitifs mais d'une tendance et selon précisément les tendances qui se dégagent, Ibrahim Boubacar Keïta « a une large avance sur les autres candidats », a déclaré le ministre, le colonel Moussa Sinko Coulibaly qui s’exprimait devant la presse, à Bamako, peu avant 17H00 locales.

    Pour l'instant, l’ex-ministre des Finances, Soumaïla Cissé, est deuxième, devant Dramane Dembélé, troisième. Concernant le taux de participation, « au moment où je vous parle, le taux que nous avons est de 53,5%, un taux à l'échelle nationale », a expliqué Moussa Sinko Coulibaly. A Bamako, la capitale, ce chiffre « tourne autour de 60% ».

    Aucun chiffre sur les résultats eux-mêmes

    A l'exception du taux de participation, le ministre de l'Administration territoriale n'a voulu fournir aucun chiffre. Il a indiqué qu’Ibrahim Boubacar Keïta disposait d’une « large avance » ; que « les écarts » avec les autres candidats étaient « importants » précisant que si ces écarts se confirmaient « il n’y aura pas de deuxième tour » fixé le 11 août.

    Pressé, par les journalistes présents, de donner le pourcentage obtenu par IBK, le ministre a refusé de répondre et il a fallu également lui arracher les noms des candidats arrivés en deuxième et troisième position, à savoir Soumaïla Cissé, suivi par le candidat de l'Adema, Dramane Dembélé.

    « Nous espérons pouvoir terminer le dépouillement aujourd’hui (ce mardi), au plus tard demain (mercredi) », a-t-il affirmé.

    Alors pourquoi le ministère de l’Administration territoriale cache-t-il ces chiffres ? Mystère. Et pourquoi, sur la base d'un tiers seulement des résultats, anticipe-t-on qu'il pourrait ne pas y avoir de deuxième tour ? A ces questions, posées par RFI, le colonel Moussa Sinko Coulibaly a répondu par le silence.

    En tout cas, cette absence de transparence - à ce stade des résultats - est incompréhensible. Est-elle destinée à préparer les esprits et l'opinion à une victoire d'IBK, dès le premier tour ? Beaucoup le pensent et en particulier, bien-sûr, ceux qui ont voté pour Soumaïla Cissé. Leurs premières réactions n’ont d’ailleurs pas tardé.

    Tendances officielles contestées par le camp Cissé

    Ces premières données - portant sur un tiers des bulletins dépouillés - communiquées par le ministre malien de l’Administration territoriale et qui placent, largement en tête, le candidat Ibrahim Boubacar Keïta, ont été immédiatement contestées par le coordinateur de la campagne de Soumaïla Cissé, lors d’un point de presse, à Bamako.

    « Ce que le ministre a dit n’es pas proche de la vérité. (…) Ce qu’il a dit n’est pas juste. On ne sera pas d’accord », a prévenu Gagnon Coulibaly, avant de poursuivre : « Notre mandataire nous a informés qu'ils sont à 12%, au lieu du tiers » des bulletins dépouillés et la déclaration du ministre « nous a étonnés », a affirmé Gagnon Coulibaly.

    « En extrapolant jusqu'à proclamer une victoire au premier tour » d'un des candidats, le ministre de l'Administration territoriale « sort de son rôle en proclamant des résultats. Nous avons des inquiétudes et nous sentons que c'est une intention de mettre le feu aux poudres. Ça peut nous amener très loin », a-t-il déclaré.

    De son côté, Adama Koïta, porte-parole d'une coalition de partis, alliée à la candidature de Soumaïla Cissé, va encore plus loin et exige qu’une commission indépendante internationale prenne en main le dépouillement.

    « Nous demandons ; nous exigeons la démission du ministre de l’Administration territoriale et nous demandons la mise en place d’une commission internationale indépendante du dépouillement, impartiale, puisque le ministère a montré qu’il n’est plus impartial et qu’il est là pour un candidat.», a-t-il lancé.

    tags: Mali - Présidentielle Mali 2013

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  • Match terminé
    Heure du match : 21h00
    Lyon
    1-0
    Grasshopper
    Stade : Stade de Gerland | Météo : Chaud 26°
    Commentaires : Mercereau Benjamin | Arbitre : H. Gocek
    CARTONS :
    • Gonalons
    BUTS :
    • (64')  Biševac
    Lyon
    VS
    Grasshopper
    BUTS :
    _
    CARTONS :

    C1 / LYON - GRASSHOPPER ZURICH : 1-0

    Publié le : 30/07/2013 à 22h55 - Mis à jour le : 30/07/2013 à 23h18

    C1 / LYON - GRASSHOPPER ZURICH : 1-0  :

    Lyon fait le strict minimum face aux Grasshoppers

    En l'emportant d'un petit but face au Grasshopper Zurich, Lyon a pris une petite option sur la qualification en barrages de la Ligue des Champions. Mais la prestation d'ensemble n'est pas flatteuse.

    Le debrief Le film du match
    Les joueurs à la loupe Monsieur l’arbitre au rapport
    Ça s’est passé en coulisses… La feuille de match

    Le debrief

    La victoire et rien d’autre. Les joueurs de Rémi Garde ont rempli une partie de leur contrat en l’emportant d’un but ce mardi face au Grasshopper Zurich lors du troisième tour préliminaire aller de la Ligue des Champions. Mais que ce succès a été dur à obtenir. Pris par un pressing haut et une densité physique impressionnante lors de la première demi-heure, les Gones ont souffert face à cette équipe suisse surprenante, concédant notamment deux frappes sur les poteaux qui auraient pu très bien changer la physionomie de la rencontre. Finalement, sans s’affoler, les hommes de Jean-Michel Aulas ont su se montrer patients et profiter de la qualité de Clément Grenier sur les coups de pied arrêtés. Mais rien n’est encore définitif pour la qualification en barrages. Le match retour s’annonce très compliquée pour Maxime Gonalons et ses coéquipiers. Car les Zurichois ont montré beaucoup de qualité. L’OL devra être à son meilleur niveau pour aller chercher un nul ou une victoire en terre helvète dans huit jours.

    Rédigé par Yoann PALEJ


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-07-30T22:25" itemprop="datePublished" pubdate=""> 30/07/2013 à 22:25</time> - Modifié le <time datetime="2013-07-30T22:33" itemprop="dateModified"> 30/07/2013 à 22:33</time>

    Le réalisateur juge "dégueulasse" que les obsèques de la comédienne n'aient pas attiré plus de monde du spectacle lundi dans les Cévennes.

     

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Le réalisateur Jean-Pierre Mocky. <figcaption>Le réalisateur Jean-Pierre Mocky. © Sipa / dr </figcaption> </figure>

     

     

     

    Au lendemain des obsèques de Bernadette Lafont, avec qui il a tourné quatre films, Jean-Pierre Mocky pousse un coup de gueule dans les colonnes du quotidien Midi Libre. Le réalisateur s'indigne de voir si peu de personnalités du spectacle lundi à Saint-André-de-Valborgne, dans le Gard, pour rendre un dernier hommage à la comédienne, décédée jeudi à l'âge de 74 ans. "Si peu de monde pour son enterrement, c'est dégueulasse" s'exclame Jean-Pierre Mocky.

    "Même si Bernadette était quelqu'un de solitaire et indépendant, le cinéma devait être là" s'insurge-t-il avant de regretter que l'équipe du film Paulette, le dernier succès de Bernadette Lafont, ne soit même pas venue.

    "Quand on pense aux foules qu'il y a eu pour l'enterrement de Brialy, sans parler de celui de Raimu. Décidément, il ne faut pas mourir en juillet", conclut-il. Jean-Pierre Mocky, avec Lionel Astier ou Marianne Denicourt, faisait partie des rares personnalités qu'on a pu apercevoir lundi lors du dernier adieu à Bernadette Lafont.

    La grande majorité des 250 personnes qui ont assisté aux obsèques de l'actrice, décédée jeudi dernier à l'âge de 74 ans, était des habitants du village des Cévennes où elle possédait une demeure.


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  • La consommation mondiale d'énergie

    en 7 chiffres clés

    <figure class="fig-photo"> La centrale à charbon de Hamm-Uentrop, près de Dortmund, en Allemagne.<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

     

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    Elle a progressé moins que la croissance économique en 2012 mais les rejets de CO2 sont en hausse, selon Enerdata. Gaz de schiste, charbon, Chine, Europe, sept chiffres clés pour comprendre.

     
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    +1%. C'est la croissance de la consommation mondiale d'énergie en 2012 selon le bilan annuel du cabinet d'études Enerdata, qui compte la plupart des grands énergéticiens et organismes publics parmi ses clients. Sans surprise, cette demande est tirée par les émergents (+4% pour les Brics, Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) quand celle de l'Union européenne (UE) ou des États-Unis est en berne (-0,5% et -2% respectivement). À noter, le climat a pesé sur la variation annuelle. Un hiver doux aux États-Unis, début 2012, explique cette forte baisse de consommation. Inversement, explique Pascal Charriau, président d'Enerdata, l'hiver a été froid en Europe. Corrigé de cette variation, l'UE en récession aurait consommé non pas 0,5% d'énergie en moins mais 1,5%, calcule Enerdata. Information, cette progression est plus faible que la croissance économique mondiale, de 2,1% en 2012. Autrement dit, pour un euro de richesse supplémentaire produit, les Terriens ont consommé moins d'énergie, l'intensité énergétique a baissé.

    +1,4%. C'est l'augmentation des émissions de CO2 (dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre). Le monde a certes consommé moins d'énergie par point de PIB, mais cette énergie a été produite avec des moyens plus polluants. Dans l'ensemble des pays du G20 (qui représentent 80% de la consommation mondiale) la demande de charbon a ralenti par rapport à 2011. Mais elle progresse toujours, de 1%. Pareillement, le ralentissement de la croissance chinoise a limité l'appétit de Pékin pour le charbon. Mais il a tout de même progressé de plus de 2%, or, au sein du G20, la Chine à elle seule pèse la moitié de la consommation de charbon - l'énergie la plus émettrice de CO2. Autre contribution au mauvais bilan carbone, le parc automobile des pays émergents s'étoffe vite. La consommation de pétrole de la Chine (qui représente 16% de celle du G20) a augmenté de 6% sur un an. Depuis 2011, les Chinois ont d'ailleurs dépassé les Français pour leurs émissions de carbone par habitant.

    +30%. L'essor de l'exploitation des gaz de schiste aux États-Unis est spectaculaire: leur consommation de gaz naturel a bondi de 30% en six ans, d'environ 4% encore en 2012. En douze ans, la part du gaz dans la production d'électricité y est passé d'environ 15% à 30% au détriment du charbon, qui s'exporte à bas prix en Europe. Fait moins connu sur le front gazier, l'appétit de l'Arabie saoudite est féroce (+11% en 2012), à tel point que selon un scénario pessimiste d'Enerdata, l'Arabie pourrait ne plus être capable d'exporter du gaz en 2030, si ses besoins continuent de croître au même rythme.

    +100%. C'est la progression - un doublement donc - des exportations de charbon américain vers l'Europe en 2012. Les énergéticiens européens, depuis 2010, ont massivement remplacé le gaz par de la houille américaine bon marché. La part du charbon dans le bouquet électrique des Vingt-Sept est passée en un an de 27% à près de 30% (avec une progression bien plus spectaculaire au Royaume-Uni qu'en Allemagne), au détriment de celle du gaz, qui a chuté de 21% à 17%.

    6800 térawattheures. Ce chiffre qui peut sembler abstrait représente la consommation électrique des Brics en 2012. Laquelle a dépassé pour la première fois les pays industrialisés du G7. Si la consommation totale d'énergie a progressé moins vite que le PIB, la demande d'électricité augmente plus vite dans les pays émergents. Parce que les Chinois et les Indiens accèdent à l'électroménager et l'informatique? Surtout parce que des Chinois et des Indiens accèdent encore tout simplement au réseau électrique dont ils étaient privés jusqu'ici.

    +50%. C'est la croissance spectaculaire de la production électrique solaire. Il s'agit bien de production, et pas seulement de l'installation de panneaux. Lorsque l'on parle d'électricité renouvelable (20% du bouquet électrique du G20), il faut se souvenir qu'elle consiste encore aux trois-quarts en hydroélectricité.

    17e sur 17. C'est le classement peu enviable de la France parmi les dix-sept pays principaux de l'UE. L'Hexagone, selon les mesures d'Enerdata, est le moins bien placé pour atteindre les objectifs en matière d'énergie renouvelable fixés par l'Union européenne pour 2020. Les énergies vertes représentent 12% de la consommation totale d'énergie pour une cible de 23% en 2020. La progression depuis 2005, année de référence, a été beaucoup plus lente en France qu'en Allemagne ou en Grande-Bretagne.


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