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    Viol collectif en Inde: un mineur

    condamné à la peine maximum

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    <time datetime="2013-08-31T08:45:49" itemprop="datePublished">Publié le 31-08-2013 à 08h45</time> - <time datetime="2013-08-31T19:52:27" itemprop="dateModified">Mis à jour à 19h52</time>

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    Un tribunal de New Dehli rend ce samedi le premier verdict, concernant un suspect mineur, dans le procès du viol collectif d'une étudiante décédée de ses blessures qui avait ému le pays.
(c) Afp

    Un tribunal de New Dehli rend ce samedi le premier verdict, concernant un suspect mineur, dans le procès du viol collectif d'une étudiante décédée de ses blessures qui avait ému le pays. (c) Afp

    New Delhi (AFP) - Un tribunal indien a condamné samedi un adolescent à trois ans de prison, la peine maximale autorisée, pour sa participation au viol collectif d'une étudiante à New Delhi décédée de ses blessures, une peine jugé trop clémente par la famille de la victime.

    "Il a été jugé coupable de viol et d'assassinat et condamné à trois ans", a déclaré à la presse Anil Sharma, le responsable de l'enquête, en annonçant le premier verdict dans cette affaire qui avait ému tout le pays.

    En raison de l'excuse de minorité retenue par la justice, l'adolescent, âgé de 17 ans au moment des faits, a été condamné à la peine maximale de trois ans à effectuer dans un centre spécialisé, en tenant compte du temps déjà passé en prison dans l'attente de son procès.

    La mère de la victime a quitté le tribunal en larmes, clamant: "il a eu seulement trois ans (...), trois ans à partir de décembre dernier. Il aurait dû être jugé comme un adulte".

    La famille de la victime avait réclamé la peine de mort pour l'adolescent, soutenant que la législation pour mineurs, qui vise à rééduquer plutôt qu'à punir, était trop clémente.

    Une vingtaine de manifestants rassemblés devant le tribunal ont également exigé une sanction plus sévère, en criant "Pendez aussi des mineurs".

    La jeune étudiante de 23 ans avait été violée par six hommes dans un autobus à New Delhi le 16 décembre 2012 et était décédée 13 jours plus tard dans un hôpital de Singapour des suites de ses graves blessures. Son compagnon avait également été roué de coups.

    Le procès des quatre suspects majeurs devrait s'achever dans les prochaines semaines. Le cinquième suspect adulte est mort en prison, apparemment d'un suicide.

    Des milliers d'Indiens révoltés avaient manifesté après le viol, appelant à une prise de conscience sur la façon dont les femmes étaient traitées en Inde, et dénonçant l'apathie de la police et de la justice à l'égard des victimes d'agressions sexuelles.

    Des groupes de défense des droits de l'enfant ont cependant appelé à la retenue après le verdict, affirmant qu'il fallait donner une chance de réhabilitation à l'adolescent, présenté comme victime lui même de l'inefficacité des services de protection de l'enfance en l'Inde.

    Le mineur, issu d'une famille pauvre de six enfants, était employé pour nettoyer le bus dans lequel le viol a eu lieu. Il y dormait souvent pour ne pas passer les nuits dans la rue.

    Il aurait quitté son domicile pauvre dans un village du nord de l'État de l'Uttar Pradesh à l'âge de 11 ans pour vivre à New Delhi de petits boulots, jusqu'à ce qu'il trouve le travail de nettoyage de l'autobus.

    "En fait, chaque enfant entrant en conflit avec la loi est un reflet de la défaillance de l'Etat et de la société envers l'enfant", a déclaré à l'AFP Vijaylakshmi Arora, directrice de l'organisation Save the Children basée en Grande-Bretagne.


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-08-31T13:47" itemprop="datePublished" pubdate=""> 31/08/2013 à 13:47</time> - Modifié le <time datetime="2013-08-31T14:35" itemprop="dateModified"> 31/08/2013 à 14:35</time>

    Le député et maire de Cholet, qui avait provoqué une polémique après ses propos sur les Roms, ne siégera plus aux côtés de l'UDI.

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Gilles Bourdouleix. <figcaption>

    Gilles Bourdouleix. © AFP

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    Il avait démissionné de l'UDI le 24 juillet dernier à la suite de la polémique née de ses propos sur les Roms. Il ne siégera plus aux côtés de ses anciens amis à l'Assemblée nationale. Le député et maire de Cholet Pierre Bourdouleix a quitté le groupe parlementaire de l'UDI pour rejoindre celui des non-inscrits, d'après une publication du Journal officiel consulté par le Lab d'Europe 1.

    Selon le document, le groupe Union des démocrates et indépendants compte désormais 31 membres au lieu de 30. Celui des non-inscrits passe de 7 à 8 membres. Pierre Bourdouleix rejoint la socialiste Sylvie Andrieux, non grata au PS depuis sa condamnation à un an ferme pour détournement de fonds publics, le MoDem Jean Lassalle ou encore les frontistes Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen.

    Ce départ est "une suite logique" et s'effectue d'un "commun accord" avec l'intéressé à la veille de la rentrée parlementaire, a précisé au Lab l'entourage de Jean-Louis Borloo dans la foulée de cette officialisation.


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    - Publié le <time datetime="2013-08-31T19:25" itemprop="datePublished" pubdate=""> 31/08/2013 à 19:25</time>

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    Pendant que d'autres terminent leurs vacances, une vingtaine d'écoliers reçoivent avec fierté leur diplôme dans une école espagnole de Séville, l'une des dizaines qui sont restées ouvertes pendant l'été pour assurer le repas à des enfants touchés par la crise.

    Assis dans une salle décorée d'azulejos, filles et garçons de 6 à 14 ans attendent impatiemment que Blanca García-Tapial, l'âme de ce projet dans le quartier de Torreblanca à Séville, dans le sud de l'Espagne, les appelle pour leur donner leur récompense de deux mois de travail.

    "En septembre, je vais entrer dans le secondaire et cela m'a beaucoup aidé, surtout en langue. Je me suis un peu amélioré en conjugaison", reconnaît José Manuel, un garçon de 12 ans arborant le maillot de l'équipe de football local.

    "J'ai appris les divisions, alors qu'avant je n'y arrivais pas", s'enorgueillit Yessina, une enfant de 8 ans à la longue chevelure blonde.

    Dans les jeux et les courses, ils profitent de la "fête de fin de cours" dans la dernière semaine du mois d'août, alors que la majorité des élèves se préparent à retourner en classe.

    Après la remise des diplômes, ils ôtent leur maquillage et leurs déguisements et s'assoient pour l'activité principale: le déjeuner. Au menu: gaspacho en entrée, du poisson comme plat principal et en dessert, du flan.

    "Une famille nous a dit qu'elle avait réellement besoin que son enfant soit là pour manger. Mais "la grande majorité ne souffrent pas de faim mais d'une mauvaise alimentation", explique Blanca García-Tapial.

    Tous déjeunent de bon coeur et lorsque les éducatrices demandent qui veut en reprendre, une multitude de mains se lèvent. "La nourriture restante est partagée entre les parents d'élèves", ajoute Blanca.

    Margarita Barco, une mère de 45 ans venue chercher son fils, repart avec un peu de gaspacho. "A la maison, nous sommes tous au chômage, les choses vont mal et nous avons besoin de cette aide", témoigne cette mère de trois enfants de 8, 18 et 20 ans.

    Son mari, un gardien d'hôtel, est sans travail depuis 2009 et vit avec une aide d'Etat versée pour les chômeurs en fin de droits de 426 euros mensuels. Il fait partie des 35,8% de chômeurs en Andalousie, l'une des 17 régions du pays les plus touchées.

    Plongée dans une profonde crise depuis l'éclatement de la bulle immobilière en 2008, l'Espagne souffre d'un chômage record de 26,26% auquel vient s'ajouter un plan d'austérité mis en place pour juguler les déficits du pays, qui inquiète les associations humanitaires.

    "Le pourcentage de pauvreté chez les enfants en Espagne était déjà structurellement élevé en 2008, autour des 20%", explique Marta Arias, responsable des politiques de l'enfance de l'Unicef Espagne.

    Mais "avec la crise, les chiffres s'aggravent d'année en année et non seulement il y a plus d'enfants en dessous du seuil de pauvreté mais en plus, ils s'enfoncent dans la pauvreté", ajoute-t-elle. En 2011, quasiment 2,3 millions de mineurs espagnols (27,2%) vivaient dans des foyers avec peu de moyens.

    "Les écoles comme les pédiatres nous disent qu'il y a de graves problèmes de malnutrition", s'alarme Magdalena Sánchez, directrice des services sociaux du gouvernement de gauche de la région andalouse.

    L'Andalousie a mis en place en juin un plan qui prévoit de garantir trois repas par jour aux quelque 11.000 mineurs dans le besoin.

    Avec l'arrivée des vacances, il était fondamental qu'il n'y ait pas de coupure", poursuit-elle. Ainsi, 56 écoles d'été sont restées ouvertes pour 4.000 enfants.

    D'autres régions et communes ont pris des mesures similaires: les Canaries et l'Extrémadure, toutes deux étouffées par 33,7% de chômage, ont ouvert plus de 100 centres cet été pour accueillir quelque 10.000 écoliers en difficultés. D'autres communes ont fait de même en Catalogne et dans la province de Valence.

    Mais à l'approche de la rentrée, les familles doivent faire face à un autre problème: l'achat des livres et du matériel scolaire.

    A Séville, un groupe de "Robin des bois" modernes a décidé de venir à la rescousse. Plus de 200 militants du Syndicat andalou des travailleurs (SAT) ont rempli dix chariots de cahiers, stylos, crayons, gommes et dictionnaires pour les redistribuer aux familles pauvres.


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  • Japon

    Fukushima. Radioactivité très élevée

    près de 4 réservoirs d’eau

    Nucléaire samedi 31 août 2013
     

    Des niveaux de radioactivité extrêmement hauts ont été mesurés samedi à la centrale de Fukushima près de réservoirs d’eau radioactive, mais aucun nouvel écoulement n’a pour le moment été constaté

    « Les patrouilles de contrôle ont relevé en quatre endroits une radioactivité très élevée », a expliqué Tokyo Electric Power (Tepco) dans un e-mail près de 4 réservoirs d’eau contaminée du même type que celui qui a récemment fui.

    Les niveaux mesurés vont de 70 millisieverts/heure (plus que la limite annuelle admise de 50 mSV) à 1 800 millisieverts/heure.

    « Nous ne voyons pas de diminution du niveau d’eau dans aucun des réservoirs et les vannes sont bien fermées », a assuré Tepco qui dit être en train de chercher à expliquer ces niveaux inédits jusqu’à présent.


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