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    Le Défi de Domi, Lettre C

    "Écrire, c’est cuisiner avec des lettres."

    L'énigme du retour de Dany Laferrière
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    http://www.dicocitations.com/citations-mot-lettre.php#90dHzMvQe1rbpSGL.99

    Le miracle de l’écriture est un savant mélange tout comme en cuisine : pour obtenir le juste mot, il faut la juste mesure, tout comme pour l’assaisonnement d’un bon plat…Il faut choisir les bons épices… La patience et le labeur sont de rigueur dans les deux disciplines ! L’assemblage des lettres qui donnent un mot est semblable à l’assemblage des ingrédients pour un bon plat. Les mots nous choisissent, nous séduisent comme le parfum des épices d’une sauce….Les mots chantent, éclatent, grondent comme la jouissance ressentie dans la dégustation d’un bon plat qui nous envoie des tonnes d’émotion !

    Cuisinons pour ces fêtes de fin d’année des plats qui nous renvoient vers les livres de notre enfance…


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  • Anelka fête un but avec une «quenelle», une provocation «écoeurante» pour la ministre

    des Sports

    Créé le 28/12/2013 à 16h56 -- Mis à jour le 28/12/2013 à 18h29
    Anelka fête un but avec une «quenelle», le 28 décembre 2013
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    Anelka fête un but avec une «quenelle», le 28 décembre 2013 IAN KINGTON / AFP

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    POLEMIQUE - L'enfant terrible du football français a inscrit un second but samedi, cinq minutes après le premier, sans cette fois rééditer le geste controversé...

    Dieudonné fait des émules. Nicolas Anelka, auteur d'un doublé samedi avec West Bromwich Albion en championnat d'Angleterre, a fêté son premier but du jour avec le signe controversé de la «quenelle», rendu populaire par l'humoriste-polémiste. Après sa première réalisation contre West Ham (3-3), l'ancien attaquant de l'équipe de France a fêté sa réussite par une «quenelle», salut antisémite d'après certains, simple bras d'honneur anti-système selon d'autres.

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    La ministre des Sports, Valérie Fourneyron a estimé sur Twitter, que «le geste d'Anelka est une provocation choquante, écoeurante».

    «Mécanique de la haine», dénonce Valls

    Et Anelka n'en est pas à sa «première quenelle».

    Ce geste intervient le jour même ou le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'est déclaré déterminé à interdire les spectacles de l'humoriste, ceux-ci relevant selon lui d'une «mécanique de la haine».

    «Je suis au courant, mais cela n'a rien à voir avec tout ce qui se dit», a cependant assuré après la rencontre Keith Downing, l'entraîneur intérimaire de WBA, au sujet du geste d'Anelka: «Il n'est absolument pas au courant du problème autour de ça et des interprétations qui ont été faites. Il est complètement surpris par l'ampleur que cela a pris.»

    «C'était juste une célébration dédiée à un humoriste français (NDLR: Dieudonné) dont il est très très proche. Celui-ci utilise ce geste dans ses spectacles, et je pense que maintenant il faut arrêter ces spéculations. C'est vraiment n'importe quoi», a insisté Downing.

    Anelka, «plus libre» à l'étranger, selon l'avocat de Dieudonné

    De son côté, Joint par BFMTV, l’avocat de Dieudonné, Sanjay Mirabeau, «ne peux pas interpréter la volonté du joueur, mais je pense que comme il est à l’étranger, il est plus libre et en dehors de l’ordre public médiatique français. Je sais qu’en Angleterre et aux Etats-Unis, ce geste n’a ni le même impact, ni la même signification» qu’en France.

    Anelka, 34 ans, au coeur de nombreuses polémiques depuis ses débuts professionnels, avec notamment une insulte fameuse lancée au sélectionneur Raymond Domenech lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud, était revenu en Angleterre cet été. Il n'avait pas encore inscrit le moindre but lors de ses huit premiers matches cette saison sous les couleurs de WBA.

    L'enfant terrible du football français a inscrit un second but samedi, cinq minutes après le premier, sans cette fois rééditer le geste controversé.

    Avec AFP

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  • DIPLOMATIE Hollande exprime ses «regrets pour l’interprétation» de ses propos sur l’Algérie

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    Les propos de François Hollande avaient suscité de vives réactions en Algérie.  AFP

    Les propos de François Hollande avaient suscité de vives réactions en Algérie. AFP

     
     

    François Hollande «exprime ses sincères regrets pour l’interprétation qui est faite de ses propos» sur l’Algérie et «en fera directement part» au président algérien Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué de l’Elysée publié ce dimanche.

    Le chef de l’Etat avait déclaré le 16 décembre sur le ton de la plaisanterie devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls était rentré d’Algérie «sain et sauf». «C’est déjà beaucoup», avait-il ajouté.

    Cette saillie a suscité de très vives réactions en Algérie et des propos sévères de la part de l’opposition.

    Selon le communiqué, «les quelques mots prononcés lundi par le président de la République dans le cadre du 70ème anniversaire du CRIF, concernant un déplacement de Manuel Valls en Algérie, font l’objet d’une polémique sans fondement».

    «Chacun connaît les sentiments d’amitié que François Hollande porte à l’Algérie et le grand respect qu’il a pour son peuple, comme l’ont prouvé la visite d’État qu’il a effectuée en décembre dernier et les discours qu’il a prononcés», poursuit la présidence de la République.

    François Hollande «exprime ses sincères regrets pour l’interprétation qui est faite de ses propos et en fera directement part au président Bouteflika», conclut le texte.


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  • François Hollande "a pu bénéficier de l’hospitalité chaleureuse du peuple algérien", il y a un an, souligne le ministre des Affaires étrangères algérien.

    Monde - le 22 Décembre 2013

    La boutade de Hollande crispe les relations France Algérie

    La mauvaise plaisanterie du président au sujet du déplacement de Manuel Valls à Alger - il est rentré "sain et sauf". "C'est déjà beaucoup"- brise les efforts de Paris pour redevenir le premier partenaire économique de l'Algérie.

    Que se passe-t-il donc au sein du gouvernement? Après le ministre du Travail, qui fait rimer le nom d'un inspecteur du travail avec racaille (lire: le drôle de trait d'humour de Michel Sapin), c'est au tour de François Hollande de glisser sur le racisme ordinaire. Lundi 16 décembre dernier, d'humeur badine (voir la vidéo), il a déclaré sur le ton de la plaisanterie, devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), qui fêtait ses 70 ans, que le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, était rentré d'Algérie "sain et sauf". "C'est déjà beaucoup".

    La Chine rigole

    La boutade était déjà de mauvais goût. Elle tombe de surcroit au plus mal, alors que Paris tente d'enrayer le déclin de son partenariat économique avec l'Algérie. Mardi dernier, Jean-Marc Ayrault, entouré de neuf de ses ministres, dont Arnaud Montebourg (redressement productif), Manuel Valls (intérieur) et une délégation de 80 chefs d’entreprise, avait tenu avec son homologue algérien un comité interministériel de haut niveau, mis en place un an après la visite de François Hollande en Algérie. La réunion de cette instance chargée de faire accélérer les dossiers bilatéraux s'est déroulée dans un contexte marqué par un relatif recul des entreprises françaises sur le marché algérien. Si la France reste le premier investisseur avec 1,94 milliard d’euros, avec 450 entreprises implantées en Algérie employant 40 000 salariés, elle est désormais fortement concurrencée par l’Espagne, l’Italie, la Grande-Bretagne et surtout par la Chine, devenue le premier fournisseur de l’Algérie.

    Ironie de la boulette de François Hollande, c'est au côté de son homologue chinois, Wang Yi, en visite à Alger, que le ministre des affaires étrangères algérien a dû réagir aux propos présidentiels. L'officiel chinois, venu pour le lancement d’un plan quinquennal pour un partenariat stratégique et global entre les deux pays, a dû apprécier la longue réponse de Ramtane Lamamra, d'un tout autre style que la blague venue de France. "Je vais improviser une réaction, car il semble bien que nous soyons en présence d’une improvisation d’une plaisanterie, et les improvisations sont souvent périlleuses", a lancé le ministre algérien selon des propos rapportés par El Watan. Le quotidien note que Ramtane Lamamra ne s'est pas privé de rappeler qu’il y a juste une année, le même président français avait effectué une visite d’Etat en Algérie, et qu’il n’avait pas «manqué» de profiter des bains de foule à Alger comme à Tlemcen avec le président Bouteflika. «Il a pu bénéficier de l’hospitalité chaleureuse du peuple algérien», dit-il.

    Sens de l'humour

    Le chef de la diplomatie a ajouté, à propos de la visite de Manuel Valls: "Je n’ai à aucun moment senti chez lui la moindre inquiétude concernant sa propre sécurité ou celle d’un autre membre de la délégation." Avant de tancer le président français, toujours selon El Wattan: "Le sens de l’humour peut apporter ou donner une valeur ajoutée au sens des responsabilités lorsqu’il s’exprime avec élégance et mesure. Il introduit une décontraction devant cette pratique des plus austères qu’est la diplomatie. L’humour peut être aussi une moins-value lorsqu’il exprime une réaction qui n’est pas celle rapportée par tous sur la population algérienne et l’Algérie". Il s'agit d'"une moins-value par rapport à l’esprit qui anime les relations entre les deux pays".

    "Le succès éclatant de la visite d’Etat de François Hollande à Alger, l’année 2013 n’est pas encore à son terme, nous ne souhaitons pas terminer sur une mauvaise note», a-t-il conclu.

    Excuses

    La presse algérienne a elle vivement critiqué la déclaration du président français. Samedi encore, elle faisait la une des journaux arabophones El-Khabar, Echorouk et Ennahar. "Hollande se moque de l'Algérie devant les juifs", pouvait-on lire en première page. Samedi, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH, gouvernementale), Farouk Ksentini, a appelé François Hollande à présenter des excuses pour ses propos "provocateurs à l'encontre de l'Algérie". Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP, islamiste), Abderezzak Mokri, a appelé les autorités algériennes à réagir à ces propos qui constituent, a-t-il dit, "une atteinte flagrante à l'Algérie".


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  • Le plafond d'un théâtre s'effondre à Londres:

    88 blessés, dont 7 graves

    Créé le 19/12/2013 à 21h50 -- Mis à jour le 19/12/2013 à 23h50
     La police et les secours auprès de personnes blessées, après l'effondrement du toit d'un théâtre à Londres, le 19 décembre 2013
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    La police et les secours auprès de personnes blessées, après l'effondrement du toit d'un théâtre à Londres,

    le 19 décembre 2013 Leon Neal AFP 

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    Londres - Le plafond de l'Apollo Theatre, un théâtre construit en 1901 dans le quartier de Soho, temple de la vie nocturne de Londres, s'est effondré jeudi soir en pleine représentation, faisant au moins 88 blessés, dont sept graves, selon un bilan provisoire.

    Le nombre des blessés a été régulièrement révisé à la hausse par les services de secours interrogés par L'AFP au cours des deux heures qui ont suivi le drame.

    La plupart d'entre eux ont cependant été traités sur place et ont pu quitter les lieux en marchant, a précisé le service des ambulances.

    Scotland Yard a précisé sur son compte Twitter qu'un autobus à impérial avait été utilisé pour transporter les premiers blessés à l'hôpital.

    Plusieurs d'entre eux ont été vus choqués, titubant, la tête bandée, tandis que la police installait un cordon de sécurité dans le quartier qui compte de nombreux théâtres, restaurants et boîtes de nuit.

    Une heure après l'accident, les pompiers annonçaient avoir dégagé toutes les personnes prises au piège sous les décombres.

    «Nous avons été appelés à environ 20H15 GMT à l'Apollo Theatre pour l'effondrement du toit pendant un spectacle», avait indiqué dans un premier temps à l'AFP un porte-parole de Scotland Yard.

    La police, les services de secours et huit camions de pompiers ont immédiatement été dépêchés sur place, alors que des spectateurs, qui avaient réussi à sortir du théâtre, faisaient état de scènes de panique quand la foule s'est ruée en hurlant vers les issues de secours, dans un nuage de poussière.

    «Ca s'est passé à peu près au milieu de la première partie du spectacle. Il y avait de nombreux craquements», a raconté Ben.

    «Peut-être dix minutes après le début de la pièce, nous avons entendu un bruit répétitif, nous pensions que c'était la pluie. Puis il y a eu un craquement et soudain c'est devenu plus fort et puis ça s'est effondré», a également raconté à l'AFP Desmond Thomas, âgé de 18 ans.

    «C'était terrifiant, horrible»

    «C'était le chaos total dans le théâtre, c'était terrifiant, horrible», a poursuivi sur la chaîne de télévision Sky News Martin Bostock qui a été blessé à la tête par des débris.

    Martin Bostock, présent dans la salle avec sa famille, a dit quant à lui à Sky News que «c'était juste terrifiant». «D'abord, j'ai cru que cela faisait partie du spectacle, et puis j'ai été touché à la tête».

    «Il y a eu un bang, puis un épais nuage de fumée. J'ai cru à un effet spécial», a aussi raconté sur Sky News, Libby Grundy, 65 ans.

    Khalil Anjarwalla n'en revenait pas que sa femme enceinte de plusieurs mois et ses parents aient réussi à en réchapper «alors que des morceaux de plâtre de plusieurs kilos tombaient du plafond».

    Les sapeurs pompiers ont d'abord indiqué qu'un balcon s'était effondré.

    Les acteurs, tous indemnes selon le directeur du théâtre, ont assisté avec effroi à la chute des débris.

    Il y avait dans la salle 720 personnes sur quatre niveaux, pour assister à l'approche de Noël à la pièce extrêmement populaire «The Curious Incident Of The Dog in the Night-time» (Le bizarre incident du chien pendant la nuit) qui raconte le monde à travers le regard d'un enfant autiste.

    © 2013 AFP

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