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    Ukraine : le futur Premier ministre adoubé par la foule

    AFP<time datetime="2014-02-26T19:57:49" itemprop="datePublished"> 26 février 2014 à 19:57 </time>(Mis à jour : <time datetime="2014-02-26T20:20:18" itemprop="dateModified">26 février 2014 à 20:20</time>)
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    Les dirigeants de l'opposition Vitali Klitschko, Oleg Tyagnybok  et Arséni Iatseniouk devant les manifestants place de l'Indépendance à Kiev mardi.

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    Les dirigeants de l'opposition Vitali Klitschko, Oleg Tyagnybok et Arséni Iatseniouk devant les manifestants place de l'Indépendance à Kiev mardi. (Photo Genya Savilov. AFP)

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    Les leaders de la contestation ont proposé, de manière collégiale, que le pro-européen Arseni Iatseniouk devienne Premier ministre.

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    Le pro-européen Arseni Iatseniouk a été désigné mercredi soir à la tête du gouvernement ukrainien tandis que Moscou ordonnait une inspection surprise des troupes près de la frontière et que des heurts opposaient militants pro et anti-russes en Crimée

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    Solennellement dévoilé mercredi soir par le conseil du Maïdan - qui regroupe les leaders politiques de la contestation ukrainienne, de la société civile et des groupes radicaux - devant une place de l’Indépendance noire de monde, le nouveau gouvernement rassemble plusieurs personnalités issues du mouvement de contestation. Ces nominations doivent encore être confirmées au parlement jeudi.

    A 39 ans, Arseni Iatseniouk va prendre la tête du gouvernement d’union nationale appelé à diriger le pays, avant l’élection présidentielle anticipée prévue le 25 mai. Membre du parti de l’égérie de la Révolution orange Ioulia Timochenko, il a déjà été ministre de l’Economie et des Affaires étrangères.

    Il aura à faire face à une tâche herculéenne pour empêcher l’Ukraine de sombrer dans la banqueroute et pour contrer des tendances séparatistes de plus en plus vives dans le sud du pays, en particulier en Crimée, péninsule où une grande partie de la population se sent plus proche de Moscou que de Kiev.

    Plus de 5 000 personnes se sont réunies mercredi devant le parlement de Crimée à Simféropol : d’un côté, des manifestants pro-russes, réclamant la tenue d’un référendum sur le statut de la Crimée, et de l’autre, des Tatars, une communauté musulmane déportée par Staline, décidés au contraire à défendre l’unité de l’Ukraine.

    Vous pouvez suivre en direct et en images les événements sur la place Maïdan, grâce au livestream du site d’informations RT.


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  • Justice: Le prètre accusé de viol acquitté

    Créé le 27/02/2014 à 16h48 -- Mis à jour le 27/02/2014 à 20h19
    Le prètre Daniel Lagnien (à gauche) arrive avec son avocat à la cour de Lons-le-Saunier où il doit répondre d'accusation de viol.
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    Le prètre Daniel Lagnien (à gauche) arrive avec son avocat à la cour de Lons-le-Saunier où il doit répondre d'accusation de viol. PHILIPPE DESMAZES / AFP

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    JURA - Le curé est accusé de viol su une paroissienne...

    La cour d'assises du Jura a prononcé jeudi soir l'acquittement d'un prêtre de 69 ans accusé d'avoir violé en 2010 une paroissienne particulièrement vulnérable et très pieuse. Le ministère public avait requis 5 ans de prison, dont 3 avec sursis, à l'encontre de Daniel Lagnien, l'ancien curé de Moirans-en-Montagne (Jura), estimant que sa culpabilité "ne faisait pas de doute" et que la victime "n'était pas consentante".

    L'ex-curé de Moirans-en-Montagne (Jura), le père Daniel Lagnien, 69 ans, comparaît à huis clos depuis mercredi devant la cour d'assises à Lons-le-Saunier pour viol et agressions sexuelles à l'encontre d'une paroissienne très pieuse, qui souffre de troubles psychologiques et de problèmes physiques.

     

    Avec AFP

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  • Info le Parisien

    Des centaines de voyageurs bloqués sur le RER D

    Publié le 25.02.2014, 21h02 | Mise à jour : 21h08

    Des centaines d’usagers se sont retrouvés bloqués pendant plus d’une heure dans le RER D en gare de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne, en direction de Melun (Seine-et-Marne).

    Des centaines d’usagers se sont retrouvés bloqués pendant plus d’une heure dans le RER D en gare de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne, en direction de Melun (Seine-et-Marne). | Facebook/François Durovray

    Zoom

    Des centaines d’usagers se sont retrouvés bloqués pendant plus d’une heure, à partir de 18h30, dans le RER D en gare de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne, en direction de Melun (Seine-et-Marne). C’est une simple panne d’un train de fret à l’arrêt au niveau de Boussy-Saint-Antoine qui serait à l’origine de la paralysie de la ligne.

     

     

    Les voyageurs bloqués en gare de Villeneuve-Saint-Georges ont fini par descendre du train et, pour certains, poursuivre leur chemin à pied le long de la Nationale 6, en quête d’un autre moyen de transports. Les bus de substitution annoncés par la n’auraient pas eu le temps d’être mis en place. Vers 19h30, deux voies avaient pu être libérées permettant une reprise partielle du trafic SNCF. De nombreux usagers excédés s’indignaient il y a encore quelques minutes de ce nouvel incident et du manque d’informations.

    LeParisien.fr


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  • Football - Liga

    Real Sociedad - Barça (3-1) : Et en plus, le Barça

    a mérité sa défaite !

    Samedi, le FC Barcelone a subi un revers surprenant sur le terrain de la Real Sociedad (3-1). D'autant plus surprenant qu'il n'a rien d'illogique.

    lien Et en plus, le Barça a mérité sa défaite ! - Football - LigaAFP

    C'est un coup de tonnerre, et même bien plus que ça. Les défaites du Barça en Liga sont suffisamment rares pour constituer un événement. Celle concédée à Anoeta (3-1), samedi, en est un à plus d'un titre. Déjà parce qu'elle condamne le club catalan à se faire distancer de trois points par son grand rival, le Real Madrid, nouveau leader de Liga. Aussi, peut-être même surtout, parce que le FC Barcelone s'est incliné logiquement face à la Real Sociedad. Et voir cette équipe qui était encore la référence européenne il n'y a pas si longtemps battue à la régulière est un phénomène encore plus rare qui a plusieurs explications.

    Un turn-over lourd de conséquences

    Tata Martino n'a pas aligné la meilleure équipe possible à Anoeta. Quatre jours après la victoire acquise à Manchester City (0-2) en Ligue des champions, l'entraîneur barcelonais a décidé de procéder à une rotation d'effectif qui a surtout concerné le secteur défensif, avec les titularisations de Martin Montoya, Marc Bartra et Adriano en défense, et celle d'Alexandre Song au milieu. Si le turn-over a rarement été préjudiciable au Barça cette saison, il peut en revanche expliquer les lacunes défensives connues par le club catalan en terre basque. L'arrière-garde blaugrana a été dépassée sur l'ensemble de la rencontre, et elle a eu une part de responsabilité sur les trois buts inscrits par la Real Sociedad. Un adversaire face auquel Martino aurait probablement dû aligner ses titulaires.

    Un schéma trop imprudent pour ce match

    Lors du match de Copa del Rey entre les deux équipes à Anoeta (1-1), ou encore mardi dernier à Manchester City (0-2), le FC Barcelone avait aligné ses quatre stars du milieu, Sergio Busquets, Xavi, Cesc Fabregas et Andres Iniesta. Il avait affiché davantage de maîtrise dans le jeu qu'à Anoeta, où Tata Martino avait choisi une organisation avec trois véritables attaquants. Une décision que l'entraîneur du Barça a lui-même déploré en conférence de presse. "Nous estimions que c'était un match où nous devions rechercher davantage la profondeur et, avant la rencontre, j'ai estimé que cette profondeur, il fallait la rechercher en alignant un attaquant de plus, a-t-il expliqué. Cela a été probablement une très mauvaise lecture de ma part de ce dont nous avions besoin."

    Un adversaire qui a joué le jeu, et qui en voulait plus

    A Anoeta, on n'a pas vu la Real Sociedad attendre dans ses 30 mètres que le Barça perde l'un de ses rares ballons pour tenter de gagner sur un contre. Alors que ce scénario se produit la plupart du temps sur les rares défaites catalanes en championnat ces dernières saisons. Au contraire, on a vu une équipe basque jouer son jeu du début à la fin de la rencontre, et gagner ainsi sans jamais renier sa philosophie de jeu. Tout en mettant l'intensité nécessaire pour imposer sa loi dans les duels à un Barça qui n'a pas montré assez de répondant dans ce domaine. Une impression dont témoignaient d'ailleurs les Barcelonais à l'issue de la rencontre. "L'adversaire a très bien joué, il nous a été supérieur", reconnaissait ainsi Tata Martino dans un constat identique à celui de ses joueurs. Et il est rare que Barcelone trouve un adversaire qui lui soit supérieur.


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  • Ukraine : Washington met en garde Moscou

    contre une intervention militaire

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-02-26T23:34" itemprop="datePublished" pubdate=""> 26/02/2014 à 23:34</time>

    John Kerry a par ailleurs offert à l'Ukraine la garantie financière à hauteur d'un milliard de dollars pour un éventuel prêt international.

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Le secrétaire d'État américain John Kerry. <figcaption>

    Le secrétaire d'État américain John Kerry. © FETHI BELAID / AFP

    </figcaption></figure>
     

    Les États-Unis ont mis en garde mercredi la Russie contre toute intervention militaire en Ukraine et ont offert à ce pays en crise leur garantie financière à hauteur d'un milliard de dollars pour un éventuel prêt international. Après avoir adopté ces derniers jours un ton apaisant à l'égard de Moscou dans le dossier ukrainien, le secrétaire d'État John Kerry a haussé le ton mercredi. "Je crois qu'il ne devrait pas y avoir le moindre doute de quelque nature que ce soit sur le fait que toute intervention militaire qui violerait la souveraineté, l'intégrité territoriale de l'Ukraine serait une grave erreur", a-t-il mis en garde.

    Avant lui, la Maison Blanche avait appelé les "acteurs extérieurs" à s'abstenir de toute "provocation" dans la crise ukrainienne, allusion claire à la Russie qui avait annoncé avoir pris des mesures militaires dans la région.

    Visant encore Moscou, John Kerry a prévenu: "Pour un pays qui s'est exprimé si fréquemment et si fortement contre toute intervention étrangère en Libye, en Syrie et ailleurs, il serait important qu'il tienne compte de ces avertissements au moment où il sous-pèse ses alternatives dans une Ukraine souveraine".

    Inspection surprise des Russes

    Plus tôt, le président russe Vladimir Poutine avait ordonné une inspection surprise des troupes des districts militaires de l'Ouest, non loin de l'Ukraine, et du Centre, pour vérifier leur aptitude au combat, tandis que la protection de la flotte russe de la mer Noire, basée dans le port de Sébastopol en Crimée, a été renforcée.

    La Crimée, peuplée majoritairement de russophones, a en outre été le théâtre mercredi de heurts entre militants pro et anti-russes, quelques jours après la destitution par le Parlement ukrainien du président pro-russe Viktor Ianoukovitch.

    A Kiev, le pro-européen Arseni Iatseniouk a été désigné à la tête du gouvernement ukrainien. Il aura à faire face à une tâche herculéenne pour empêcher son pays de sombrer dans la banqueroute et pour contrer des tendances séparatistes de plus en plus vives dans le sud du pays, en particulier en Crimée.

    Garantie sur un milliard de dollars

    Pour épauler les nouvelles autorités ukrainiennes, les États-Unis offrent leur garantie à hauteur d'un milliard de dollars dans le cadre d'un possible prêt des institutions financières internationales pour ce pays qui dit avoir besoin de 35 milliards de dollars. "Nous sommes en train de formuler une garantie sur un prêt d'un milliard de dollars", a dit John Kerry, ajoutant que "les Européens réfléchissaient à 1,5 milliard de dollars" de garantie. "Nous réfléchissons aussi à la possibilité d'une assistance supplémentaire", a dit le secrétaire d'État sans être plus précis.

    Mais les donateurs potentiels, Union européenne et FMI en tête, s'étaient abstenus en début de semaine de se prononcer sur les modalités d'un programme d'aide à l'Ukraine, dans une situation politique encore incertaine.

    "La priorité numéro 1 est de former un nouveau gouvernement (...) La priorité numéro 2, ce sont les réformes (...) et la priorité numéro 3, c'est le FMI", a résumé John Kerry.

    "Ce n'est pas Rocky 4"

    Dans un entretien plus tôt à la télévision américaine MSNBC, le secrétaire d'État avait été plus apaisant à l'égard de la Russie, démentant que Washington se soit immiscé dans les affaires intérieures de l'Ukraine ou qu'il cherche "une confrontation à l'ancienne de type Guerre froide" avec Moscou.

    "Ce n'est pas Rocky 4", a-t-il martelé, répétant que la crise ukrainienne ne devait "pas opposer l'Ouest et l'Est, les États-Unis et la Russie". "La clé dans cette affaire est de donner au peuple ukrainien le plein espace dans lequel les Ukrainiens pourront prendre leurs décisions à propos du chemin qu'ils veulent prendre", a encore argumenté le ministre américain, dont le gouvernement avait soutenu dès décembre les manifestations pro-européennes d'une partie des Ukrainiens.


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