• Plan d'économies : 41 députés PS

    se sont abstenus

    Par Fabienne Cosnay avec agences

    Publié le 29 avril 2014 à 12h10Mis à jour le 29 avril 2014 à 20h45     lien 

     
       
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    Plan d'économies : 41 députés PS s'abstiennent
    • Rigueur: réactions après la rencontre Valls-députés PS

    • Assemblée: l'opposition s'exprime sur le plan Valls

    • PS: le bureau national adopte la résolution "de soutien"de Valls

    • La Manif pour tous rassurée sur la PMA mais reste "en alerte"

    © REUTERS

    EN DIRECT - 265 députés ont voté pour le programme de stabilité budgétaire, 232 contre, 67 députés se sont abstenus.

    # Les dernières infos

    • 265 députés ont voté pour le programme de stabilité budgétaire, 232 contre, 67 députés se sont abstenus.

    • 41 députés PS se sont finalement abstenus.

    # Les résultats du vote

    Le chiffre. Le plan d'économies a été adopté par 265 voix pour, 232 contre et 67 abstentions. Sur les 577 membres de l'Assemblée, cinq députés n'ont pas pris part au vote, six ministres (non encore remplacés par leurs suppléants) n'avaient pas le droit de voter et deux sièges sont vacants à la suite de démissions.

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    Qui sont les frondeurs au PS ? 41 députés PS se sont finalement abstenus, comme le prouve cette photo postée par Jérôme Guedj sur son compte Twitter.

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    # Les temps forts du discours de Valls

    Le style : une anaphore en conclusion. Manuel Valls a donné beaucoup de solennité à ce vote pourtant consultatif, quitte à en dramatiser l'enjeu. "Le résultat du vote de cet après-midi conditionne à la fois la légitimité du gouvernement de la France, sa capacité à gouverner, et, surtout, la crédibilité de la France", a martelé le chef du gouvernement. Le Premier ministre a conclu son discours par une anaphore, répétant à huit reprises "j'assume, oui, j'assume" à l'adresse des députés, sous les applaudissements d'une majorité d'élus socialistes.

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    L'engagement : ce plan "assurera notre redressement" . "Le plan d'économies qui vous a été présenté assurera notre redressement", a martelé Manuel Valls. Avant de faire part de ses "convictions". "J'ai deux convictions : la première, c'est qu'il est calibré pour assurer le redressement de notre économie. Ma seconde conviction, c'est qu'il est juste parce qu'il tient compte du dialogue nourri, fructueux, que j'ai eu avec les groupes de la majorité", a affirmé le Premier ministre. Manuel Valls avait annoncé lundi plusieurs mesures d'assouplissement de son plan de rigueur, qui concernent les minima sociaux, les petites retraites, la revalorisation du RSA et la hausse des salaires des fonctionnaires les moins bien rémunérés.

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    L'enjeu : un "vote décisif". Peu après 16h, Manuel Valls est monté à la tribune de l'Assemblée pour présenter son plan de 50 milliards d'économies. Comme il l'avait déjà dit aux députés socialistes mardi matin, le Premier ministre a de nouveau affirmé qu'il faisait du vote d'aujourd'hui "un vote décisif" et pas un "vote indicatif". "Ce vote est un moment de vérité. Il marquera profondément l'évolution de notre pays", a fait valoir le Premier ministre. "Ce moment nous invite tous au dépassement de nous-mêmes", a-t-il ajouté.

    # C’est quoi ce vote ?

    Les députés étaient appelés à un vote uniquement consultatif sur le "programme de stabilité", qui soumet à l'avis de la Commission européenne la politique de la France jusque 2017. Ce plan comprend notamment la mise en œuvre du "pacte de responsabilité et de solidarité" (40 milliards d’euros d'allégements sociaux et fiscaux pour les entreprises, 5 milliards d’euros pour les ménages) assorti d'économies sans précédent, d'un total de 50 milliards, pour réduire le déficit public à 3% du PIB en 2015 (contre 4,3% en 2013), comme promis à l'Union européenne.


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  • L'Assemblée nationale approuve

    le plan d'économies de 50 milliards

    d'euros de Valls

    NOUVEAU
    • lien
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      • Par lefigaro.fr
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 4 minutes" data-original="le 29/04/2014 à 20:22" datetime="2014-04-29T20:22:51+02:00" itemprop="dateModified">le 29/04/2014 à 20:22</time>
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      • Publié <time data-ago="il y a 8 minutes" data-original=" le 29/04/2014 à 20:19" datetime="2014-04-29T20:19:01+02:00" itemprop="datePublished">le 29/04/2014 à 20:19</time>
     
     
    L'Assemblée Nationale a approuvé ce soir le plan d'économies de 50 milliards
    d'euros proposé par Manuel Valls, par 265 voix pour, 232 contre et 67 abstentions.

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    Economie

    EDF, AMF : le dossier Alstom

    se complique

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    Texte par FRANCE 24 

    Dernière modification : 29/04/2014

     

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    Alors que le gouvernement a annoncé, mardi, avoir saisi

    l'Autorité des marchés financiers pour contrôler les négociations

    autour d'Alstom, une nouvelle solution impliquant EDF est évoquée, d'après le "Nouvel Observateur"

    Comme si le dossier n'était pas déjà suffisamment compliqué. L'éventuel rachat par General Electric ou Siemens de la branche énergie d'Alstom a connu deux nouveaux épisodes, mardi 29 avril, à 24 heures de la décision par la conseil d'administration du géant industriel français.

    Dans les deux cas, le gouvernement est à la manœuvre. L'un, la saisine de l'Autorité des marchés financiers (AMF), a été confirmé par le ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, l'autre, une nouvelle solution en plus des offres de Siemens ou GE, est une information du site du magazine "Le Nouvel Observateur". De quoi s'agit-il ?

    L'AMF à la rescousse. Arnaud Montebourg a saisi l'Autorité des marchés financiers pour qu'elle s'assure de "l'égalité de traitement stricte entre l'offre de Siemens et de General Electric". Le gouvernement veut ainsi que les négociations sur la cession de l'activités énergie d'Alstom soient menées de manière "transparentes et non discriminatoires", a indiqué une source proche du dossier au journal "Le Monde". Une manière de dire que l'État ne veut pas que son favori, Siemens, parte avec un handicap sur General Electric, dont l'offre est jugée plus alléchante par la direction d'Alstom.

    EDF à la rescousse. Et si le dossier Alstom ne se résumait plus à un mano à mano entre l'Allemand Siemens et l'Américain General Electric ? Le "Nouvel Observateur" assure, mardi 29 avril, que l'État a trouvé un sauveur français de la filière énergie d'Alstom. EDF aurait, d'après les informations du magazine, été appelé à la rescousse dans un schéma qui ressemble à une nationalisation partielle d'Alstom.

    L'État vendrait, dans ce nouveau scénario, une partie des 84 % qu'il détient dans l'électricien afin de récupérer les fonds nécessaires pour renflouer Alstom. D'après le "Nouvel Observateur", cette cession rapporterait six milliards d'euros à l'État qui les utiliserait pour racheter les parts de Bouygues dans Alstom (29 %) et pour injecter des liquidités dans le groupe en difficulté.

    Ce scénario franco-français a, cependant, été formellement démenti par l'État. Le gouvernement a indiqué, mardi, n'avoir aucune intention de céder des titres d'EDF dans le cadre du dossier Alstom.

    Première publication : 29/04/2014


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  • Valls : « Le résultat du vote

    conditionne la légitimité

    du gouvernement »

    lien Le Monde.fr | <time datetime="2014-04-29T17:13:41+02:00" itemprop="datePublished" style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial;">29.04.2014 à 17h13</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-04-29T18:18:15+02:00" itemprop="dateModified" style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial;">29.04.2014 à 18h18</time>

     

    lien

    L'adresse avait tout du discours de politique générale bis. Le premier ministre,

    Manuel Vallsa défendu, mardi 29 avril, devant l'Assemblée nationale, le programme

    de « stabilité budgétaire » qui prévoit 50 milliards d'euros d'économies, avant que les

    députés prennent part à un vote consultatif sur le sujet dans la soirée.

    Voir la vidéo : Des députés PS maintiennent leur décision de s'abstenir

    Alors que plusieurs députés socialistes ont annoncé avant ce vote qu'ils s'abstiendront, Manuel Valls a

    lancé un appel aux socialistes dans l'Hémicycle :« Le résultat du vote de cet après-midi conditionne à la

    fois la  légitimité du gouvernement de la France, sa capacité à gouverner et, surtout, la crédibilité

    de la France. »

    PAS DE VOTE « JUSTE POUR VOIR »

    Même si le vote des députés est consultatif, le premier ministre a voulu ensouligner l'importance : 

    « Ce gouvernement ne vous demande pas de vote “à blanc”, “juste pour voir”, une indication, encore

    moins un message. (...) Ce n'est pas un vote indicatif, mais un vote décisif. Il marquera profondément

    l'évolution de notre pays. Ce moment nous invite tous au dépassement de nous-mêmes. »

    Alors que la communication semble difficile entre le nouveau premier ministre et sa majorité, M. Valls

    a tenu à vanter les mérites de sa méthode : « J'ai vouluouvrir, depuis ma nomination, une nouvelle méthode

    de dialogue et de travail avec le Parlement, en responsabilité constructive. Je viens soumettre à la discussion

    et à votre vote les grandes orientations du programme de stabilité budgétaire de la France. »

    Lire : Plan d'économies de 50 milliards : si vous avez raté un épisode

    La plan qu'il a présenté est, selon M. Valls, « calibré pour assurer le redressement de notre économie ». 

    Il a énuméré les mesures prises pour endiguer la destruction de « dizaines de milliers d'emplois industriels »  

    :  « Le CICE [crédit d'impôt compétitivité emploi] est une première étape. Avec le pacte de responsabilité et

    de solidarité, la baisse du coût de travail va s'intensifier. Zéro charge pour un salarié payé au smic au

    1er janvier 2015, c'est une incitation forte pour les employeurs. »

    Le premier ministre a assuré les députés qu'ils seront « étroitement associés au suivi et aux évaluations des engagements pris par les représentants desentreprises » en contrepartie des baisses de charge, et réaffirmé

    que « les marges ne doivent pas augmenter les dividendes des actionnaires et les rémunérations des patrons. »

    Manuel Valls avait auparavant évoqué l'emploi des jeunes et des seniors et affirmé que le pacte de responsabilité

    et de solidarité, « c'est du pouvoir d'achat. (…)Notre pays doit savoir mieux rémunérer le travail, en particulier

    tous ces salariés qui ont les plus grandes difficultés à boucler leurs fins de mois ». Il a ainsi affirmé que pour les salariés au smic, le pacte de solidarité représentera un demi-treizième mois.

    M. Valls a ensuite justifié la nécessité de réduire le déficit public – qui fait que  « nous consacrons 45 milliards

    d'euros à la dette chaque année » – et de faireface à  « cette dérive [qui] s'est fortement accentuée depuis

    2007 », tout en insistant sur le fait que, selon lui, « cela n'a rien à voir avec Bruxelles ». « La France est un

    grand pays, elle doit garantir son indépendance financière, sa souveraineté, c'est-à-dire ne pas dépendre des

     marchés financiers et ne jamaisfaire peser le poids de la dette sur les futures générations. »

    Après le « sérieux budgétaire » en France, M. Valls parle des « initiatives fortes »en Europe pour soutenir l'investissement et la monnaie. « Il faut une politique monétaire plus adaptée

    : le niveau de l'euro est trop élevé », a-t-il déclaré.

    Manuel Valls a aussi évoqué deux coups de pouce du gouvernement en avril : + 5 % sur l'allocation de soutien

    familial (parents isolés) et + 10 % sur le complément familial. Mais aussi « la revalorisation exceptionnelle du

    RSA de 10 % en cinq ans [qui] interviendra bien au 1er septembre 2014. C'est cela aussi lajustice sociale ».

    RÉFORME DE L'ÉTAT

    Le premier ministre a ensuite évoqué la réforme territoriale. « L'empilement des échelons nuit à l'efficacité de l'action », a-t-il affirmé avant de tacler la droite en pointant que le conseiller territorial « n'a jamais vu le jour

    sous le précédent quinquennat ». « Avec ces réformes profondes, nous aurons des collectivités territoriales

    plus efficaces. Nous sommes prêts à aller plus vite si besoin. »

    Manuel Valls a par ailleurs expliqué son choix de donner la priorité à l'école, à la sécurité et à la justice en

    confirmant l'engagement de François Hollande de créer30 000 postes dans l'éducation nationale d'ici à 2017,

    la création de 500 postes par an dans la police et la gendarmerie et 500 postes par an dans la justice.

    Après les prises de parole des différents groupes, les députés vont voter. Le résultat sera donné avant

    20 heures.


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    Plan d'économies: Valls réclame

    à sa majorité

    un vote de "légitimité"

    <time>Publié le 29-04-2014</time><time> à 10h50Mis à jour à 19h10     </time>lien

     

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    <figure id="ultimedia_image">Le président du groupe PS Bruno Le Roux le 23 avril 2014 à l'Assemblée nationale à Paris(c) AfpLe président du groupe PS Bruno Le Roux le 23 avril 2014 à l'Assemblée nationale à Paris (c) AFP</figure>

    Paris (AFP) - Manuel Valls a sommé mardi sa majorité de lui donner un vote de "légitimité" sur le plan de

    50 milliards d'euros d'économies, dramatisant l'enjeu alors qu'il fait face à l'abstention attendue de 30 à 40

    députés PS et à l'opposition des écologistes.

    "J'assume !", a martelé à huit reprises le Premier ministre en clôturant son discours. Devant un hémicycle

    loin d'être plein avant le vote prévu peu avant 20H00, il a vanté un plan "calibré", "bien réparti" et "juste

    parce qu'il tient compte du dialogue nourri, exigeant et fructueux que j'ai eu avec les groupes de la majorité".

    Confronté à une fronde d'une partie de la majorité, le Premier ministre avait annoncé lundi plusieurs mesures d'assouplissement du plan de rigueur décidé par le gouvernement, qui concernent les petites retraites

    (inférieures à 1.200 euros), la revalorisation du RSA et les fonctionnaires les moins bien rémunérés.

    "Le vote d’aujourd’hui est un moment de vérité. Ce n’est pas un vote indicatif, c’est un vote décisif", a-t-il dit.

    "Le résultat du vote conditionne à la fois la légitimité du gouvernement de la France, sa capacité à gouverner,

    et, surtout, la crédibilité de la France", a-t-il réitéré.

    Le "programme de stabilité" détailles les principaux points de la politique économique du pays d'ici 2017,

    soumis par la France à la Commission européenne.

    A savoir la mise en oeuvre du "pacte de responsabilité et de solidarité" (40 milliards d'euros d'allégements

    sociaux et fiscaux pour les entreprises, 5 milliards pour les ménages) assortie d'économies sans précédent,

    d'un total de 50 milliards, pour réduire le déficit public à 3% du PIB en 2015 (contre 4,3% en 2013),

    comme promis aux Européens.

    - L'UDI s'abstient, les écolo contre -

    Trois semaines après l'investiture du gouvernement Valls, qui avait suscité l'abstention de onze députés

    PS sur 291, l'exercice s'apparente à un nouveau vote de confiance pour l'exécutif.

    Mais davantage que M. Valls, la contestation vise François Hollande, qui avait annoncé ces économies

    dès janvier, et son virage vers les entreprises sur lequel le président joue la suite de son quinquennat,

    plombé par l'absence de résultats sur la croissance et l'emploi.

    Traumatisés par la déroute des municipales, nombre de députés menaçaient jusqu'au week-end

    dernier de s'abstenir, inquiets de l'impact d'une réduction des dépenses publiques sur la reprise

    économique et hostiles au gel des prestations sociales jusqu'en octobre 2015 et à celui du point

    d'indice des fonctionnaires jusqu'en 2017.

    Selon un député, les annonces lundi de M. Valls ont permis de "ramener 30 députés", notamment

    des "quadras" du coeur de la majorité.

    Mais elles n'ont pas suffi pour faire rentrer dans le rang ceux qui voulaient réduire le volume d'économies

    à 35 milliards, proches de Martine Aubry ou membres de l'aile gauche du PS notamment.

    Combien seront-ils au groupe PS au final à ne pas voter le plan? Entre 30 et 40 selon les pronostics,

    dont les trois chevènementistes qui iront jusqu'à voter contre.

    Ces contestataires assurent cependant, comme Christian Paul, que "ce n'est pas un vote de défiance

    mais un vote d'alerte pour une réorientation de la politique" ou se félicitent, comme Jérôme Guedj, que

    soit devenu "possible de sortir de la malédiction de la Ve République qui fait que le groupe majoritaire

    doit être caporalisé".

    Une vision positive nullement partagée par le président du groupe PS, Bruno Le Roux, qui a laissé planer

    la menace d'un divorce avec ceux coupables de défections à répétition. "Quand on n'arrive plus à vivre

    ensemble, on en tire généralement des conclusions", a-t-il averti.

    Prélude peut-être à de futurs votes, M. Valls bénéficiera d'une "abstention d'encouragement" de l'UDI,

    reconnaissant selon leur président Philippe Vigier "une inflexion très forte de ce gouvernement".

    Aucune clémence en revanche de la part du président de l'UMP Jean-François Copé qui a étrillé

    Manuel Valls: "vous faites le pire des choix, le rationnement sans réformes", lui a-t-il lancé.

    S'il a le soutien des radicaux de gauche, satisfaits des avancées sur "les petites retraites", M. Valls

    ne pourra pas s'appuyer sur les écologistes, dont douze sur dix-sept voteront contre, dénonçant,

    selon les mots d'Eva Sas, un "rythme de réduction des déficits trop lourd sur l'emploi".

    Sans surprise, les dix députés Front de gauche ont critiqué par la voix de Nicolas Sansu le "sophisme

    selon lequel le redressement des comptes publics, c'est la réduction des dépenses publiques et sociales".

    "Oui à la France, non à Bruxelles", a tonné de son côté l'un des trois députés d'extrême droite

    Gilbert Collard
    .

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