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    Paris : les feux de cheminée autorisés

    Le Point - Publié le <time datetime="2014-12-30T15:28" itemprop="datePublished" pubdate=""> 30/12/2014 à 15:28</time> - Modifié le <time datetime="2014-12-30T15:30" itemprop="dateModified"> 30/12/2014 à 15:30</time>

    Le conseil de l'environnement de Paris a donné son feu vert pour la levée de l'interdiction des feux de cheminée dans la capitale.

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> L'interdiction des feux de cheminée à Paris levée. Photo d'illustration. <figcaption>

    L'interdiction des feux de cheminée à Paris levée. Photo d'illustration

    . © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP PHOTO

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    L'arrêté interdisant les feux de cheminée dans la capitale, dénoncé par Ségolène Royal, avait été pris en mars par le préfet de la région Ile-de-France à la suite d'un très fort épisode de pollution. Il prévoyait de bannir, à compter du 1er janvier, tous les feux de bois en foyers ouverts, à Paris et dans 435 communes environnantes.

    Ségolène avait écrit au préfet

    Début décembre, la ministre de l'Écologie Ségolène Royal avait annoncé son intention de revoir cette disposition, assimilée à de "l'écologie punitive", puis écrit au préfet pour lui demander de "supprimer cette interdiction". Selon la préfecture, le conseil de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques (CoDERST) de Paris vient d'émettre "un avis favorable" à une modification de l'arrêté dans la capitale. Pour autant, il n'y aura pas de nouvel arrêté tant que les CoDERST des autres départements de la couronne francilienne n'auront pas rendu leur avis, ajoute la préfecture. Aucun arrêté nouveau ne pourra donc être émis avant le 1er janvier, date à laquelle l'interdiction entre en vigueur, ajoute-t-on.

    "Pas adaptée aux actions de lutte"

    "Une telle interdiction n'est pas adaptée aux actions de lutte contre la pollution atmosphérique en Ile-de-France", avait estimé la ministre dans sa lettre au préfet. Elle "donne un signal négatif alors que les pouvoirs publics veulent développer l'usage de la biomasse comme énergie renouvelable". Les particules fines, en suspension dans l'air, sont considérées comme très nocives pour la santé, avec notamment les PM10 (diamètre inférieur à 10 microns) qui proviennent surtout des processus mécaniques comme les activités de construction, et les PM 2,5 (inférieur à 2,5 microns) issues de la combustion du bois ou des carburants (essentiellement le diesel) ainsi que des vapeurs industrielles.


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  • Les SDF ne meurent pas seulement

    en hiver

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-12-30T15:08:37+01:00" itemprop="datePublished">30.12.2014 à 15h08</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-12-30T15:16:41+01:00" itemprop="dateModified">30.12.2014 à 15h16</time> | Par

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Les médias se préoccupent du sort des sans-abri lorsque le thermomètre descend. Pourtant les associations n'observent pas de pic de mortalité spécifiquement en hiver. <figcaption class="legende " data-caption="Les médias se préoccupent du sort des sans-abri lorsque le thermomètre descend. Pourtant les associations n'observent pas de pic de mortalité spécifiquement en hiver. | AFP/PHILIPPE DESMAZES">Les médias se préoccupent du sort des sans-abri lorsque le thermomètre descend. Pourtant les associations n'observent pas de pic de mortalité spécifiquement en hiver. | AFP/PHILIPPE DESMAZES</figcaption> </figure>

    C'est un triste « marronnier » –  ces informations qui reviennent chaque année – de la période de Noël : au moins trois personnes sont mortes en raison de la chute des températures, en région parisienne, à Douai et dans les Alpes-Maritimes, lors du week-end des 27 et 28 décembre.

    Lire nos explications : L'hiver a fait ses premiers morts de froid en France

    Chaque hiver, les médias relaient la mort d'hommes et femmes sans abri. On évoque alors l'appel de l'abbé Pierre lors de l'hiver 1954, les questions récurrentes sur les places d'hébergement disponibles, sur l'ouverture ou non des stations de métro... Pourtant, comme n'ont de cesse de le marteler les associations, les personnes sans domicile ne meurent pas seulement au mois de décembre.

    La sélection d'archives (en édition abonnés) : 1er février 1954 : l'appel de l'abbé Pierre

    141 500 Selon le rapport de la Fondation Abbé Pierre, qui reprend les chiffres de l'Insee, on compte 141 500 personnes sans domicile en France, dont 112 000 sans-abri (les autres se trouvant dans des foyers de demandeurs d'asile ou des résidences sociales), et 3,52 millions de mal logés. C'est 44 % de plus qu'en 2001, déplore la fondation. 

    26 % L'Insee précise que 38 % des SDF sont des femmes et que plus d'un quart (26 %) des personnes qui dorment parfois ou toujours dans la rue sont accompagnés de leurs enfants. Ce qui correspond, selon des chiffres qui restent partiels, à 30 000 enfants privés de logement.

    425 Combien de ces personnes meurent du fait de ces conditions de vie ? Le collectif Les Morts de la rue tente d'en établir un comptage, lui aussi par essence partiel, basé sur le recensement des cas signalés dans la presse, par le voisinage, par les familles... Pour 2014, selon des chiffres arrêtés au 17 décembre, il parvenait à 425 morts. On atteindrait 428 en y ajoutant les cas signalés les 27 et 28 décembre. C'est légèrement moins qu'en 2013, où le collectif en recensait 453.

    En regardant en détail, on constate que  l'hiver n'est pas nécessairement une période de surmortalité marquée : en réalité, on compte 124 morts durant les quatre mois les plus froids (janvier, février, novembre et décembre), soit moins que durant les quatre les plus chauds (mai, juin, juillet, août), où l'on en recense 143.

    Décès de SDF recensés en 2014
    Selon des estimations du collectif les Morts de la rue, 427 personnes sans domicile sont mortes en 2013, y compris lorsqu'il ne faisait pas froid.

    La même tendance s'observe en 2013, même si pour cette année les mois les plus froids sont plus meurtriers que les mois les plus chauds (155 morts contre 135). Cette année-là, c'est en mars qu'on compte le plus de décès et en décembre qu'on en recense le moins.

    Nombre de décès de SDF recensés en 2013
    Selon les estimations partielles du collectif les Morts de la rue, 453 personnes sans domicile fixe sont décédées en 2013.

    Selon le rapport 2013 des Morts de la rue, même si les données sont à prendre avec précaution en raison de leur caractère parcellaire, la majorité des morts recensés étaient des personnes d'une cinquantaine d'années qui avaient passé une longue période dans la rue (dix ans en moyenne).

    5 % Le froid n'est pas la première cause de décès. Si dans près de la moitié des cas les circonstances sont « inconnues », les causes « externes » (suicides, morts violentes, accidents) représentent environ 20 % des cas connus, la maladie, notamment les cancers, étant également souvent à l'origine de la mort. L'hypothermie n'a représenté, pour 2012, que 1,5 % des décès en Ile-de-France (3 personnes) et 5,1 % en province (11 personnes). 

    15 On comptait parmi ces morts 15 enfants de moins de quinze ans, en majorité très jeunes (4 ans en moyenne, 5 nouveau-nés).

    9 000 Si le froid n'est pas la cause majeure de la mort des SDF, les associations déplorent toujours le manque de places en centre d'accueil, ainsi qu'une politique d'ouverture de places « au thermomètre ». En novembre, 9 000 personnes n'ont pu obtenir d'hébergement sur les 17 200 qui avaient sollicité le SAMU social.

    Lire aussi le reportage :

    Une journée dans la vie d'Eric, SDF à Paris


     


    Ouverture de centres d'hébergement d'urgence... par lemondefr


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  • En Russie, du sursis pour museler Alexeï Navalny

    LE MONDE | <time datetime="2014-12-30T11:10:40+01:00" itemprop="datePublished">30.12.2014 à 11h10</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-12-30T14:45:36+01:00" itemprop="dateModified">30.12.2014 à 14h45</time> | Par

     
    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> Alexeï Navalny et son frère Oleg, le 30 décembre dans la salle du tribunal moscovite de Zamoskvoretskiï. </figure>

    Passée la stupéfaction, un cri a déchiré la salle du tribunal moscovite de Zamoskvoretskiï : « Pourquoi emprisonnez-vous mon frère ? » Quelques minutes plus tard, Alexeï Navalny, les larmes aux yeux, serrait dans ses bras son frère Oleg pour un dernier adieu.

    Mardi 30 décembre, la justice russe a délivré un verdict inattendu contre les frères Navalny, poursuivis pour escroquerie et détournement de fonds dans une affaire en fait totalement politique, où même la victime supposée assure ne pas avoir subi de préjudice. L’aîné, Alexeï, militant anticorruption devenu opposant numéro un à Vladimir Poutine, a été condamné à trois ans et demi de prison avec sursis. Il a quitté le tribunal pour rejoindre son domicile, où il est assigné à résidence depuis février dans le cadre de cette affaire. Le cadet, Oleg, a reçu la même peine, mais ferme. Il rejoindra une colonie pénitentiaire.

    « Quel genre de gens êtes-vous pour l’enfermer, lui, en voulant m’atteindre moi ? », a encore eu le temps de lancer Alexeï Navalny à la cour avant d’être emmené. Comme en écho, au même moment, les réseaux sociaux russes ont résonné du même cri : « otage », « méthodes de KGBistes »… « S’il ne se tient pas à carreau, c’est toute sa famille qui est menacée », a aussi réagi Piotr ­Ofitserov, coaccusé avec Alexeï Navalny dans une autre affaire.

    « L’affaire Yves Rocher » s’apparente à un coup monté

    Le verdict a d’autant plus choqué que « l’affaire Yves Rocher », plus qu’aucune autre parmi celles visant M. Navalny, s’apparente à un coup monté. Entre 2008 et 2012, la société des frères Navalny, Glavpodpiska, aurait escroqué 26 millions de roubles (370 000 euros) à la compagnie de cosmétiques française en lui surfacturant ses services, et en utilisant pour cela la position d’Oleg à la Poste russe. Après le dépôt initial d’une plainte, Yves Rocher avait conduit un audit interne concluant qu’il n’avait subi aucun préjudice. Au cours d’une des audiences, son directeur financier avait assuré qu’il signerait aujourd’hui le même contrat. De l’avis de tous les observateurs, la société française a agi sous la pression des autorités russes, sans jamais le reconnaître.

    Lire aussi : Procès Navalny : Yves Rocher, une plainte au service du pouvoir

    Dans la Russie de Vladimir Poutine, l’indépendance de la justice est une fiction. C’est le Kremlin qui a décidé de laisser Alexeï Navalny en semi-liberté, sous la menace permanente de son sursis, et toujours poursuivi dans une autre affaire d’escroquerie. Une manière de le maintenir sous pression sans en faire pour autant un martyr.

     

    Le pouvoir a-t-il eu peur d’un possible mouvement de contestation populaire ? C’est probable. Depuis les manifestations massives de décembre 2011, organisées contre les fraudes aux élections législatives, M. Navalny s’est imposé comme le dirigeant le plus emblématique de l’opposition démocrate. Ses talents d’orateur impressionnent. Son slogan contre le parti au pouvoir, Russie unie, rebaptisé « parti des voleurs et des escrocs », a fait mouche. Même les vieux libéraux qui regardaient d’un œil méfiant ses prises de position nationalistes l’ont adoubé. Aux élections pour la mairie de Moscou, en septembre 2013, il avait réussi le tour de force de ­réunir 27 % des voix.

    Court-circuiter les manifestations

    Le Kremlin a tout fait pour éviter une répétition de ce mouvement. A commencer par avancer le verdict de deux semaines. « Parce que le texte du verdict était prêt plus tôt », a-t-on expliqué. En réalité, le but de cette précipitation était limpide : empêcher les rassemblements de masse prévus le 15 janvier, date théorique du verdict, par les partisans de M. Navalny. La ­semaine passée, les autorités russes avaient même obtenu de Facebook qu’il bloque l’une des pages appelant à manifester le 15 janvier.

    Cela suffira-t-il ? A la sortie du tribunal, Alexeï Navalny appelait à « descendre dans la rue contre ce pouvoir répugnant qui n’hésite pas à s’en prendre aux familles ». Sur la nouvelle page Facebook appelant à manifester, mardi soir, le nombre d’« inscrits » continuait d’augmenter, pour atteindre 17 000 en milieu de matinée. Rien ne dit qu’ils seront au rendez-vous. Le 30 décembre, veille du Nouvel An, la plupart des Moscovites prêts à se mobiliser partent en vacances à l’étranger ou en province… La mairie de Moscou a affirmé mardi que « les forces de l'ordre empêcheront toute manifestation non autorisée ».

    Le verdict de mardi a un autre objectif : il agit comme une arme dissuasive contre quiconque envisagerait de collaborer avec M. Navalny. L’avocat de 38 ans est devenu « radioactif ». Au fil des mois, la totalité des membres de la direction de son parti politique, qu’il n’a jamais pu faire enregistrer, ont subi des démêlés avec la justice ou ont été contraints à l’exil.

    Plus encore que l’homme politique, c’est le blogueur Navalny que le Kremlin a voulu neutraliser. Ou, plus précisément, l’enquêteur qui dénonce inlassablement, depuis des années, petits et grands scandales de corruption. Dans la Russie de Vladimir Poutine, appeler à des élections libres ou au respect de la liberté d’expression est risqué, mais généralement toléré. Parler de l’argent des puissants, non. Alexeï Navalny s’est attaqué au cœur du régime Poutine, en démontant les mécanismes mis en place par l’élite pour transformer l’Etat et les grands groupes publics en machines à « cash ».

    « Les bandits qui ont confiqué le pouvoir »

    Il a heurté de front des proches du président, comme Igor Setchine, patron du groupe pétrolier Rosneft, ou Vladimir Iakounine, magnat des chemins de fer, c’est-à-dire la nouvelle oligarchie, choisie pour sa fidélité sans faille à M. Poutine ou son appartenance aux services secrets, et qui a remplacé les oligarques des années 1990. M. Navalny s’en est aussi pris au chef du Comité d’enquête, Alexandre Bastrykine, l’instance judiciaire qui a instruit le « dossier » Yves Rocher, et dont il a révélé qu’il détenait illégalement des affaires en République tchèque.

    Lors de l’audience du 19 décembre, à l’issue des réquisitions, Alexeï Navalny avait transformé son propre procès en tribune, endossant le rôle du procureur et prononçant un discours faussement « naïf » sur le mensonge :« On ne voit ici, dans cette salle, que des gens qui baissent les yeux et regardent la table. Les gens qui regardent la table, voilà l’enjeu de la bataille avec les bandits qui ont confisqué le pouvoir. Dans notre pays, tout le pouvoir repose sur un mensonge sans fin. Poutine a déclaré pendant sa conférence de presse : Nous n’avons pas de palais.” De tels palais, nous en photographions trois par mois. Nous n’aurions pas d’oligarques occupés à s’engraisser aux frais de l’Etat ? Mais nous avons tous les documents qui prouvent que la moitié des entreprises d’Etat ont des comptes offshore à Chypre et au Panama. Pourquoi supporter tous ces mensonges ? Pourquoi regarder la table ? La vie est trop courte pour regarder la table. »


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  • Grèce : un cargo avec des centaines de migrants envoie un signal de détresse

    30 Déc. 2014, 13h28 | MAJ : 30 Déc. 2014, 14h47lien
     
     

    <figure> Un cargo avec des centaines de migrants sans papiers à bord était en difficulté mardi au large de Corfou en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce. <figcaption class="articleChapeau">Un cargo avec des centaines de migrants sans papiers à bord était en difficulté mardi au large de Corfou en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce.
    Capture d'écran Twitter
    </figcaption> </figure>

    Un cargo avec des centaines de migrants sans papier à bord a envoyé ce mardi vers 13 heures un signal de détresse alors qu'il se trouvait au large de l'île grecque de Corfou, en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce.

    Une frégate et un hélicoptère de marine de guerre grec ainsi que deux patrouilleurs de la police portuaire ont été dépêchés sur les lieux pour secourir le cargo Blue Sky M, battant pavillon moldave, selon la police portuaire.

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    L'hélicoptère devrait également permettre de cartographier la zone afin de déterminer exactement ce qui se passe.

    Selon les médias grecs, environ 400 migrants ainsi qu'un nombre des personnes armées se trouvaient à bord de ce cargo mais la police portuaire grecque n'a pas confirmé pour l'instant cette information. De forts vents de 49km/heure soufflaient dans la région, selon la police portuaire.

    Le cargo Blue Sky M dévie de sa trajectoire initiale


    Dans la même zone, au large de Corfou, entre la Grèce et l'Italie,
    le ferry Norman Atlantic a pris feu dimanche avec près de 400 personnes à bord, parmi lesquelles au moins dix ont péri. Une énorme opération de sauvetage a été lancée depuis dimanche, menée par les autorités maritimes italiennes, grecques et albanaises.

    La position du cargo Blue Sky M à 14 heures (Marine traffic.com)



     


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    GRECE. Un cargo en difficulté au large de Corfou

    <time>Publié le 30-12-2014 à 14h17  lien </time>

    Selon les médias grecs, environ 400 migrants ainsi que des hommes armés sont à bord.

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    Le cargo Blue Sky M Capture d'écran Marine Traffic / H.Lievense
    Le cargo Blue Sky M Capture d'écran Marine Traffic / H.Lievense
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    Un cargo avec des centaines de migrants sans papiers à bord était en difficulté mardi 30 décembre au large de Corfou en mer Ionienne dans l'ouest de la Grèce, a-t-on appris auprès de la police portuaire.

    Une frégate et un hélicoptère de marine de guerre grec ainsi que deux patrouilleurs de la police portuaire ont été dépêchés sur les lieux pour secourir le cargo Blue Sky M, battant pavillon moldave, selon la même source.

    Selon les médias grecs, environ 400 migrants ainsi qu'un nombre inconnu des personnes armées se trouvaient à bord de ce cargo mais la police portuaire grecque n'a pas confirmé pour l'instant cette information.

    De forts vents de 49km/heure soufflaient dans la région, selon la police portuaire.

    Dans la même zone, au large de Corfou, entre la Grèce et l'Italie, le ferry Norman Atlantic a pris feu dimanche avec près de 400 personnes à bord, parmi lesquelles au moins dix ont péri.

    Une énorme opération de sauvetage a été lancée depuis dimanche, menée par les autorités maritimes italiennes, grecques et albanaises.

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    Sur le web : Grèce : opération de sauvetage après un incendie à bord d’un ferry italien

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