•  Egypte: une bombe vise le convoi

    du procureur

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      • Mis à jour <time datetime="2015-06-29T15:38:04+02:00" itemprop="dateModified">le 29/06/2015 à 15:38</time>
      • Publié <time datetime="2015-06-29T10:51:35+02:00" itemprop="datePublished"> le 29/06/2015 à 10:51</time>
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    Une bombe a visé ce matin au Caire le convoi du procureur général Hicham Barakat.

    Un haut responsable de la police a indiqué que M. Barakat et ses gardes du corps avaient été transférés à l'hôpital. Selon l'agence de presse Mena, il souffre de "légères blessures". La bombe a explosé alors que sa voiture traversait Heliopolis, un quartier résidentiel de la capitale.



    L'attentat a été revendiqué par un groupe obscur disant s'appeler "La résistance populaire de Gizeh", selon un communiqué publié sur sa page Facebook. Le groupe dit avoir visé Hicham Barakat devant son domicile à Heliopolis et a diffusé des images qu'il décrit comme étant celles de l'attentat.

    Les attaques contre les magistrats menées par les islamistes opposés au gouvernement du président Abdel Fattah al Sissi se sont intensifiées. Ils entendent apparemment protester contre les peines très lourdes infligées aux accusés membres de la confrérie des Frères musulmans.


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    Au Koweït, 27 morts et 222 blessés dans un attentat anti-chiite dans une mosquée

    LIBERATION <time datetime="2015-06-26T15:48:44" itemprop="datePublished"> 26 juin 2015 à 15:48 </time> (Mis à jour : <time datetime="2015-06-26T21:28:37" itemprop="dateModified">26 juin 2015 à 21:28</time>)
    <aside class="tool-bar"> </aside> <figure itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> La mosquée Al-Imam al-Sadeq de Koweït City touchée par un attentat à la bombe, le 26 juin, revendiqué par un groupe affilié à l'Etat islamique. <figcaption itemprop="description">La mosquée Al-Imam al-Sadeq de Koweït City touchée par un attentat à la bombe, le 26 juin, revendiqué par un groupe affilié à l'Etat islamique. (Photo Yasser al-Zayyat. AFP)</figcaption> </figure>
    À CHAUD

    Un groupe affilié à l'Etat islamique a revendiqué l'attaque contre «une mosquée qui répandait l’enseignement chiite parmi la population sunnite».

     
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    Le groupe extrémiste sunnite Etat islamique a de nouveau pris pour cible des fidèles chiites dans le Golfe, en revendiquant un attentat suicide qui a fait 27 morts et 222 blessés vendredi dans une mosquée du Koweït, en plein ramadan. Il s’agit de la première attaque visant un lieu de prière fréquenté par des chiites dans ce riche émirat pétrolier à majorité sunnite. Mais l’Arabie Saoudite voisine a été secouée à deux reprises le mois dernier par des attaques semblables de l’organisation jihadiste, qui ont fait au total plus de 20 morts.

    L’attaque de Koweït a été perpétrée le jour où la Tunisie était également frappée par un attentat particulièrement meurtrier, tandis qu’en France un homme était décapité lors d’une attaque jihadiste contre un site industriel sensible et qu’en Somalie des dizaines de soldats étaient tués dans une base de la force de l’Union africaine (UA) par les islamistes shebab.

    A lire aussi Isère, Tunisie, Koweït : quels liens entre les attaques ?

    Le groupe ultra-radical sunnite EI, qui considère les chiites comme des hérétiques, a rapidement endossé la responsabilité de l’attentat mené pendant la grande prière dans la mosquée Al-Imam al-Sadeq à Koweït City, au deuxième vendredi du mois de jeûne musulman. Le bilan s’établissait vendredi soir à au moins 27 morts et 222 blessés, selon des propos du ministre de la Santé Ali al-Obaidi à la télévision d’Etat. Le principal dignitaire religieux de la mosquée, Abdullah al-Mazeedi, a indiqué à l’agence officielle KUNA qu’environ 2 000 personnes se trouvaient dans le lieu de culte au moment de l’attaque, à la mi-journée.

    Après une réunion d’urgence, le gouvernement a indiqué avoir placé toutes les forces de sécurité en état d’alerte et décrété pour samedi une journée de deuil national. «Nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour déraciner ce fléau», a indiqué le gouvernement dans un communiqué, se disant prêt «à une confrontation totale et inexorable avec ces terroristes». Le Koweït n’avait plus été touché par une «attaque terroriste» depuis janvier 2006.

    «Tentative désespérée de s’en prendre à l’unité nationale du Koweït»

    La semaine dernière, le porte-parole officiel de l’EI avait appelé les musulmans dans le monde à engager la guerre sainte durant le ramadan, qui a débuté le 17 juin, pour en faire «un mois de malheur pour les mécréants».

    Dans un communiqué, la «Province de Najd», qui s’est récemment manifestée comme la branche saoudienne de l’EI, a affirmé qu’un kamikaze, Abou Souleiman al-Mouwahhid, avait perpétré l’attentat de vendredi contre une mosquée qui «répandait l’enseignement chiite parmi la population sunnite». C’est la première fois que le Koweït est touché par une action violente du groupe jihadiste. Cette même «Province de Najd» avait revendiqué en mai les deux attaques meurtrières contre les chiites dans le royaume saoudien. L’EI avait également récemment endossé la responsabilité de cinq attentats quasi simultanés contre des mosquées dans la capitale du Yémen, Sanaa.

    L’émir du Koweït, Cheikh Sabah al-Ahmad al-Sabah, s’est rapidement rendu sur les lieux de l’attentat et des images de la télévision d’Etat l’ont montré dans les décombres, visiblement ému. Il a plus tard indiqué que cet attentat était «une tentative désespérée et diabolique de s’en prendre à l’unité nationale du Koweït», pays où les chiites représentent environ un tiers du 1,3 million de citoyens.

    Outre la communauté internationale, qui a dénoncé la «barbarie» et la «haine aveugle» des attentats ayant frappé la Tunisie, la France, et le Koweït, les condamnations ont été unanimes dans l’émirat. Le Mouvement islamique constitutionnel, branche locale de la confrérie islamiste des Frères musulmans, s’est insurgé contre une «basse attaque criminelle visant une mosquée». Le principal leader religieux sunnite du pays, cheikh Ajeel al-Nashmi, a jugé que l’attaque était «un acte criminel visant à semer les graines de la discorde» mais que «chiites et sunnites feront assurément échouer la conspiration des terroristes».


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    Un chauffeur de VTC condamné à de la prison

    après une altercation avec des chauffeurs de taxi

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2015-06-26T19:31:01+02:00" itemprop="datePublished">26.06.2015 à 19h31lien </time>

     
    Les manifestations des taxis, jeudi 25 juin, ont été émaillées d'incidents.

    Un chauffeur de VTC de 29 ans a été condamné, vendredi 26 juin, à Créteil, à dix mois de prison, dont six mois ferme, pour avoir utilisé une bombe lacrymogène lors d'une altercation jeudi 25 juin à l'aéroport d'Orly (Val-de-Marne) avec des chauffeurs de taxi en grève. Jugé en comparution immédiate, il a été condamné sans mandat de dépôt et devrait bénéficier d'un aménagement de peine. Un an de prison ferme avait été requis contre lui.

    Lire aussi : Pourquoi les taxis manifestent-ils ?

    Selon la déposition de la seule victime identifiée, qui n'était pas présente à l'audience, l'homme a été reconnu jeudi matin par des grévistes qui lui ont demandé « pourquoi il était là ». Il a alors sorti une bombe lacrymogène et a « arrosé tous les chauffeurs de taxi » présents, avant d'être interpellé par trois policiers.

    L'intéressé affirme pour sa part s'être rendu à l'aéroport pour « accompagner un ami » avant de se retrouver nez à nez avec « une soixantaine de chauffeurs » qui l'auraient insulté, menacé de mort et lui auraient craché dessus. Il dit avoir été pris de « panique » et a alors utilisé sa bombe lacrymogène, qu'il transporte « toujours » avec lui dans sa sacoche.

    Quelque 3 000 taxis ont fait grève jeudi pour protester contre la concurrence jugée déloyale du service UberPop, qui met en relation des clients avec des chauffeurs non licenciés. La journée a été émaillée de violences et de blocages. Dans la nuit de jeudi à vendredi, François Hollande a « condamné » les « violences inacceptables » commises lors des manifestations. Dans le même temps, le chef de l’Etat a estimé que UberPop devait être « dissous et déclaré illégal ».

    Lire aussi : Taxis-UberPop : l’étroite marge de manœuvre du gouvernement

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    Attentat à Sousse: Jetair annule ses vols vers la Tunisie, Thomas Cook jusque fin août

    AFP Publié le <time datetime="2015-06-26 16:04:06" title="vendredi 26 juin 2015 à 16h04"> vendredi 26 juin 2015 à 16h04 </time> - Mis à jour le <time datetime="2015-06-26 20:46:35" title="vendredi 26 juin 2015 à 20h46"> vendredi 26 juin 2015 à 20h46 lien </time>

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    </aside> International La compagnie aérienne a pris cette décision suite à l'attaque qui a frappé la cité de Sousse.

     

    Vingt-huit personnes, dont des touristes étrangers, ont été tuées vendredi lorsqu'un homme armé a ouvert le feu dans un hôtel de la station balnéaire de Sousse, le pire attentat de l'histoire récente de la Tunisie. Une tragédie qui a poussé la compagnie aérienne Jetair à annuler ses vols en direction de la Tunisie. Et ce, jusqu'au nouvel ordre.

    Jetairfly confirme à nos confrères de La Libre qu'un de ses avions en direction de la Tunisie fait demi-tour à hauteur de la Corse et rentre à Bruxelles "à cause de l'attaque terroriste à Sousse." La compagnie a également décidé de rapatrier tous les Belges présents sur place.

     

     

    "La Tunisie subit des attentats les uns après les autres, qui déstabilisent le pays en visant les touristes. Nous suivons la situation heure par heure", nous a indiqué Didier Reynders.

     

    Les Affaires étrangères déconseillent les voyages vers la Tunisie

    Le site du ministère des Affaires étrangères vient d'adapter son avis de voyage concernant la Tunisie.

    "Suite à un attentat terroriste le 26 juin dans plusieurs hôtels à Sousse, qui a fait plusieurs victimes, nous déconseillons momentanément tous les voyages vers la Tunisie.

     

    Une vigilance accrue est recommandée dans le contexte de l’intervention de la coalition internationale contre Daech. Les voyageurs sont priés de prendre connaissance du message publié sur la page d’accueil", indique le site des Affaires étrangères .

     

    Jetair va rapatrier ses vacanciers présents en Tunisie

     

    A la suite de l'attentat qui a fait 27 morts à Sousse vendredi, en Tunisie, le tour-opérateur Jetair a pris la décision de rapatrier une large partie de ses clients présents dans le pays, a indiqué la porte-parole Florence Bruyère à l'agence Belga. Jetair ne desservira plus la Tunisie jusqu'à nouvel ordre. Le vol JAF5017 au départ de Bruxelles et à destination de Enfidha a fait demi-tour vendredi après-midi à hauteur de la Corse (France) pour revenir à Bruxelles. Le vol JAF 5921 Liège-Enfidha prévu vendredi soir à 20h15 est également annulé. "Les quatre vols programmés samedi à destination de la Tunisie sont également annulés", ajoute la porte-parole.

    Les six appareils qui devaient assurer ces liaisons décolleront à vide samedi à destination de la Tunisie dans le but de rapatrier les touristes présents sur place, principalement dans le région de Monastir.

     

    Un total de 2.391 clients de Jetair se trouvent en ce moment en Tunisie, dont 207 à Port el Kantaoui, près de Sousse, selon la porte-parole.

     

     

     

    Thomas Cook suspend ses voyages en Tunisie jusqu'à fin août

     

     

    Thomas Cook a décidé de suspendre ses voyages vers Djerba et Enfidha, en Tunisie, a indiqué le tour opérateur vendredi soir. Une décision qui fait suite à l'avis du ministère belge des Affaires étrangères déconseillant les voyages vers la Tunisie pour le moment. La station balnéaire de Sousse a été frappée par un attentat vendredi faisant 37 morts et 36 blessés, dont quatre Belges. Thomas Cook compte en ce moment 1.454 clients en Tunisie, précise le porte-parole Koen van den Bosch.


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  • Challenges > Economie > La Grèce rejette la dernière proposition de ses créanciers
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    La Grèce rejette la dernière proposition de ses créanciers

    Challenges.fr <time>Publié le 26-06-2015 à 15h49Mis à jour à 18h58</time>

    D'après une source gouvernementale grecque, les propositions de l'UE et du FMI contiennent des mesures "récessives". Le programme de financement sur cinq mois est aussi jugé "tout à fait insuffisant".

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    Angela Merkel et Alexis Tsipras le 23 mars 2015 à Berlin. (TOBIAS SCHWARZ / AFP)Angela Merkel et Alexis Tsipras le 23 mars 2015 à Berlin. (TOBIAS SCHWARZ / AFP)
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    À lire aussi

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    Le dernier plan de renflouement proposé à la Grèce par ses créanciers (UE et FMI), en échange de réformes et d'efforts budgétaires, "ne peut être accepté" car il contient des mesures "récessives" et un programme de financement sur cinq mois "tout à fait insuffisant", a déclaré vendredi 26 juin une source gouvernementale grecque. "La proposition des institutions (UE, FMI) au gouvernement grec était de légiférer immédiatement sur des mesures profondément récessives (...) en tant que condition d'un financement sur cinq mois, cependant tout à fait insuffisant", déplore dans une note le gouvernement grec.

    Une offre, prévoyant une prolongation de cinq mois du programme d'aide dont bénéficie la Grèce et un paquet d'au moins 12 milliards d'euros à verser en quatre temps jusqu'en novembre, a été faite par les Européens et le FMI, selon un document qui a fuité vendredi. La note du gouvernement grec confirme le détail de cette proposition qui prévoit notamment de verser à Athènes 1,8 milliard d'euros en urgence, moyennant un vote du Parlement grec, pour éviter le défaut de paiement au 30 juin, date à laquelle la Grèce doit rembourser un prêt de quelque 1,5 milliard d'euros au Fonds monétaire international.

    Vers un nouveau mémorandum?

    Une partie des 12 milliards serait ensuite versée en fonction de la mise en oeuvre concrète des mesures votées. "Il est évident que la proposition des institutions, même sans prendre en compte les mesures récessives et socialement destructrices qu'elle prévoit, laisse un important trou de financement pour la période d'extension de cinq mois (du programme d'aide, ndlr) et, encore plus inquiétant, mènerait à une nouvelle négociation difficile, et un nouveau mémorandum (d'austérité, ndlr) à la fin de l'année", affirme cette source gouvernementale.

    (avec AFP)


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