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    Turquie : 37 migrants périssent en mer Egée

    90 personnes étaient à bord d'une embarcation. Ils tentaient de gagner l'ile grecque de Lesbos depuis la Turquie.


    Turquie : 37 migrants périssent en mer Egée

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    Mis à jour le <time datetime="2016-01-30T22:17:14+01:00" itemprop="dateModified">30/01/2016 | 22:17</time> , publié le <time datetime="2016-01-30T22:17:14+01:00" itemprop="datePublished">30/01/2016 | 22:17</time>

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    Ce samedi 30 janvier, 37 migrants qui tentaient de rejoindre la Grèce ont péri en Mer Egée. Le groupe n'a même pas quitté la Turquie, à 50 mètres du rivage, leur bateau s'est retourné. "On était 90, on a payé 2 000 euros", explique un jeune homme.

    Drame humain

    Un homme soupçonné d'être le passeur a été arrêté. "Je vous jure, je n'ai rien fait, moi aussi je voulais aller en Allemagne avec mes proches", explique l'homme soupçonné. Les rescapés du naufrage sont syriens ou encore afghans. Certains ne savent pas encore lequel de leur proche a péri ou survécu et pour ceux qui comprennent, ils craquent.
    Une douzaine de kilomètres seulement séparent la Turquie de l'île grecque de Lesbos, en Grèce. Depuis début janvier 200 personnes se sont noyées ici. Depuis le début de l'année 46 000 migrants ont déjà fait la traversé malgré le froid et la peur de mourir. Tous n'ont pas la chance d'être secourus.


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  • <article class="article-box top-line " data-url="/planete/2016/01/30/primaires-le-new-york-times-choisit-hillary-clinton-comme-en-2008_1430055" itemprop="mainContentOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">
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    Primaires : le «New York Times» choisit , Hillary Clinton comme en 2008

    Par <time datetime="2016-01-30T17:54:41" itemprop="datePublished"> 30 janvier 2016 à 17:54 </time> (mis à jour à <time datetime="2016-01-30T18:49:39" itemprop="dateModified">18:49</time>) lien
     
    Hillary Clinton en campagne pour les primaires démocrate à Adel dans l'Iowa, le 27 janvier 2016
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    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Hillary Clinton en campagne pour les primaires démocrate à Adel dans l'Iowa, le 27 janvier 2016 Photo JIM WATSON. AFP

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    Le bureau éditorial du quotidien américain estime qu'elle fera la meilleure candidate et estime que Bernie Sanders, son principal rival, n'est pas assez «réaliste».

    Une alerte sur les téléphones mobiles, ce samedi après-midi : «Le bureau éditorial du New York Times annonce qui il soutient dans le cadre des primaires démocrates». On clique, fébrile : sera-ce Hillary Clinton, la favorite, ou Bernie Sanders, l'outsider venu de la gauche, qui monte ?

    Et ce sera donc... Hillary Clinton. Parce qu'elle «serait la première femme désignée par le parti démocrate», parce qu'elle a de l'expérience, et parce que son principal adversaire, le sénateur Bernie Sanders, a beau être «plus formidable que ce que de nombreuses personnes avaient anticipé», ses plans pour mettre en place ses propositions (« casser les banques et remettre à plat un système d'assurance-santé pour tous ») «ne sont pas réalistes». Impossible tout de même d'ignorer que Sanders a gagné en popularité au point de menacer Clinton dans la première des primaires, celle de l'Iowa, qui aura lieu lundi. La candidate doit également faire face, depuis vendredi, au grand retour de l'affaire de ses emails, qui sert d'argument aux Républicains depuis plusieurs mois.

    A lire aussi : Hillary Clinton embarrassée par ses emails personnels

    Quoi qu'il en soit, le New York Times fait donc le même choix qu'en 2008 : en janvier de cette année-là, le quotidien apportait déjà son soutien à Hillary Clinton, estimant qu'elle «était plus qualifiée, en cet instant», pour redresser les Etats-Unis après huit années d'administration Bush, que son principal adversaire... Barack Obama, «l'incandescent bien qu'encore pas clairement défini sénateur de l'Illinois».

    Du côté des Républicains, le New York Times déclare sa préférence à John Kasich, gouverneur de l'Ohio, aux positions plus progressistes que les favoris Donald Trump ou Ted Cruz : à leur sujet, le journal écrit que «Les Républicains aspirant à la présidentielle ont bombardé les Américains avec des slogans de propagande vide et se bagarrent, étrangement, afin d'apparaître comme les personnes les moins expérimentées pour le plus important des mandats du monde».

    LIBERATION

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    Italie: manifestation de milliers d’opposants aux unions civiles, moins de monde que prévu

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    Publié le

    Avec AFP.  lien

    Des dizaines de milliers d’opposants aux unions civiles pour les couples de même sexe ont manifesté, mais moins massivement qu’attendu, samedi à Rome contre une proposition de loi actuellement discutée au Parlement.

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Des milliers de manifestants venus pour le «
Family Day
» italien. PHOTO AFP.
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    Les journalistes présents ont évalué à quelques dizaines de milliers le nombre de manifestants, quand les organisateurs espéraient au moins un million. Si aucun chiffre de source officielle n’était disponible dans l’immédiat, la mobilisation a été moins forte que prévue.

    «Le plus de monde possible doit participer, souvenez-vous que c’est la seule arme dont nous disposons !», avait pourtant lancé vendredi l’organisateur de ce «Family Day», Massimo Gandolfini.

    Plusieurs orateurs se sont succédé tout au long de l’après-midi sur le podium où une immense banderole affichait : «Il est interdit de mettre la famille à la casse». Le chef du gouvernement, Matteo Renzi, qui soutient la proposition de loi sur les unions civiles, a fait de la «mise à la casse» de la vieille Italie l’un des ses slogans préférés.

     

    Un pique-nique derrière une banderolle

    «Une société qui ne met plus de limites est une société qui devient folle», a lancé samedi M. Gandolfini à la foule des parents, grands-parents et enfants rassemblés dans le centre de la Ville éternelle sous un ciel maussade.

    Un père et ses cinq enfants n’en ont pas moins profité pour pique-niquer derrière une banderole avertissant le président du Conseil italien: «Renzi, ceux qui glissent tombent». Un avertissement réitéré sur le podium par M. Gandolfini. «Au moment des élections, nous devrons nous souvenir de qui s’est rangé du côté des familles et des enfants et qui l’aura oublié», a-t-il déclaré.

    Les partisans de cette proposition de loi, dont le Sénat italien a commencé l’examen jeudi, avaient eux manifesté samedi dernier à travers l’Italie pour «réveiller» le pays et réclamer une protection pour les couples de même sexe et leurs enfants.

     

    La proposition de loi Cirinna

    L’Italie est le dernier grand pays d’Europe occidentale à ne reconnaître aucun statut aux couples homosexuels. Les opposants au texte se défendent cependant de toute homophobie.

    Les opposants à la proposition de loi Cirinna, du nom de la sénatrice qui la porte depuis des années, affirment vouloir surtout défendre les droits et l’avenir des enfants, qui, affirment-ils, ont besoin d’un père et d’une mère.

    En l’état actuel, le texte, issu d’une médiation parlementaire, prévoit d’instaurer une union enregistrée par un officier d’état-civil entre personnes du même sexe, qui s’engagent à une vie commune dans la fidélité et à une assistance morale et matérielle réciproque.

    Mais, au sein même de la majorité de centre-gauche, ce sont les mesures supplémentaires qui posent problème: la possibilité de bénéficier d’une pension de réversion et surtout celle d’adopter les enfants naturels de son conjoint.

     

    Le « Family Day » italien

    «Faire volontairement des orphelins de père ou de mère: ça n’est humainement pas acceptable», avait ainsi expliqué vendredi à Rome Ludovine de La Rochère, présidente de la «Manif pour Tous» en France, venue avec une dizaine d’autres sympathisants apporter son soutien au «Family Day» italien.

    Les alliés de centre-droit de M. Renzi, son ministre de l’Intérieur Angelino Alfano en tête, rejettent catégoriquement l’adoption de l’enfant du conjoint, de même que la frange catholique du Parti démocrate (PD, majorité), qui menace de réclamer un référendum abrogatif si la loi passe en l’état.

    L’Eglise catholique, omniprésente en Italie, a pris plusieurs fois position pour rappeler le caractère central de la famille, comprise comme l’union entre un homme et une femme, mais sans appeler directement à manifester samedi.

    Le vote final sur la proposition de loi Cirinna est attendu mi-février. Mais il doit ensuite recevoir l’aval de la Chambre des députés dans les mêmes termes, toute modification du texte entraînant alors son retour devant les sénateurs.


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  • Présidentielle: l’aile gauche du PS veut une primaire des gauches

    Par <time datetime="2016-01-30T13:51:35" itemprop="datePublished">30 janvier 2016 à 13:51</time> (mis à jour à <time datetime="2016-01-30T15:37:55" itemprop="dateModified">15:37</time>) lien
     
    Le député PS Christian Paul, le 27 janvier 2016 à Paris
    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> </figure>

     

     

    <figure class="article-image article-header-image" itemprop="image" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption class="read-left-padding caption" itemprop="description"> Le député PS Christian Paul, le 27 janvier 2016 à Paris Photo JOEL SAGET. AFP

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    Les dirigeants de l’aile gauche du PS ont approuvé à l’unanimité samedi un texte appelant le parti à participer à l’organisation d’une primaire pour désigner le candidat de la gauche à la présidentielle de 2017, a affirmé à l’AFP leur chef de file Christian Paul.

    «Nous appelons notre parti, le Parti socialiste, à s’engager (...) et à prendre dès maintenant toute sa part dans l’organisation des primaires citoyennes des gauches et des écologistes pour l’élection de 2017», affirme le texte, approuvé au cours d’une réunion à l’Assemblée nationale des responsables de la motion B («A gauche pour gagner»).

    Un appel en faveur de l’organisation d’une telle primaire a été lancé dans Libération le 11 janvier, à l’initiative d’intellectuels et d’écologistes. Ils tiendront leur première réunion mercredi à Paris.

    Le texte de la motion B souligne qu’une primaire serait l’occasion de «faire l’inventaire» du quinquennat, de produire «un grand événement démocratique», d’éviter la «multiplication des candidatures» au premier tour de la présidentielle et in fine l’effacement de la gauche et des écologistes.

    «L’ultime raison se trouve dans nos statuts, que nous ne devons pas laisser enterrer. Notre loi fondamentale est très claire : les primaires ne sont pas une option, laissée à l’arbitraire, mais une obligation».

    Alors que le cofondateur du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon refuse a priori de participer à l’exercice, la motion B appelle à ne pas laisser «à quiconque un droit de veto sur (ces) primaires. Chacun est libre d’y concourir. Mais nul ne saurait les empêcher».

    Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a laissé la porte ouverte à une primaire, à condition qu’elle concerne tout le spectre politique de »(Emmanuel) Macron à Mélenchon».

    La motion B («A gauche pour gagner») avait réuni 28,5% des suffrages au premier tour du Congrès de Poitiers en juin 2015. Environ 150 de ses membres -représentants des fédérations, parlementaires- étaient réunis samedi à l’Assemblée, selon M. Paul.

    Les dirigeants d’EELV et du PCF se sont d’ores et déjà prononcés en faveur d’une primaire. Le Parti communiste organise à partir de lundi son premier «lundi de gauche - porte ouverte sur 2017» dans cette optique. Personnalités, acteurs et actrices du monde associatif, syndical et politique, du monde de la culture et de la recherche sont conviés à y participer.

    Pour M. Paul, la «décision collective du PS doit intervenir dans les deux mois qui viennent», compte tenu des délais d’organisation d’une primaire.

    «Si le PS fait mine de regarder ailleurs, il risque d’être rattrapé par le débat (...) Les candidatures se multiplieront (...) C’est aussi une question d’efficacité électorale», a souligné le député frondeur.

    Le président François Hollande n’a pour l’instant pas commenté les appels à l’organisation d’une primaire. Mais nombre de ses proches ont pointé l’incongruité que représenterait le fait pour un président en exercice de se soumettre à une telle compétition.

    Selon plusieurs sondages, environ huit sympathisants de gauche sur dix y sont favorables.

    AFP

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    Etat d'urgence: 5.500 manifestants dans les rues de Paris selon la préfecture de police

    SOCIETE Plusieurs milliers de personnes ont manifesté ce samedi dans les principales villes de France pour dénoncer le projet de déchéance de nationalité et l'état d'urgence…

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    Manifestation d'opposants à l'état d'urgence et au projet de déchéance de nationalité le 30 janvier à Paris.

    <figcaption class="media-figcaption">Manifestation d'opposants à l'état d'urgence et au projet de déchéance de nationalité le 30 janvier à Paris. - ALAIN JOCARD / AFP</figcaption> </figure>

    C.P. avec AFP

    « Etat d’urgence, état policier ». « Le temps est pourri, le gouvernement aussi ». Les opposants au projet de déchéance de nationalité et l’état d’urgence ont battu le pavé ce samedi  dans les principlaes villes de France alors qu’un projet de loi le prolongeant sera examiné dans les jours qui viennent au Parlement.

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    </article>

    Toulouse : près de 5000 manifestants défilent contre la prolongation de l'état d'urgence dont @LDHtoulouse

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    >> A lire aussi : Le Conseil d’Etat refuse de suspendre l’état d’urgence

    Appel des collectifs « Nous ne céderons pas » et « Stop état d’urgence »

    A Paris, 5.500 manifestants selon la préfecture de police   et 20.000 selon les organisateurs ont bravé la pluie pour défiler entre la place de la République au Palais-Royal. Outre le défilé parisien, des manifestations étaient prévues dans les principales villes de France, à l’appel des collectifs « Nous ne céderons pas » et « Stop état d’urgence », qui regroupent notamment des syndicats (CGT, FSU, Syndicat de la magistrature), des associations (Attac, Droit au logement, Droits devant, MRAP) et des organisations de défense des droits de l’homme (FIDH).View image on Twitter

    30 janvier 2016 : contre l'état d'urgence, mobilisons-nous ! https://www.laquadrature.net/fr/30-janvier-2016-mobilisons-nous …

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    Ces organisations demandent la levée immédiate de l’état d’urgence, instauré après les attentats de novembre 2015, et l’abandon du projet de déchéance de nationalité pour les personnes condamnées pour des activités terroristes, « des mesures qui heurtent et mettent à mal nos libertés au nom d’une hypothétique sécurité », selon un communiqué des collectifs. C’est sur ce « désaccord politique majeur » que la garde des Sceaux Christiane Taubira a démissionné mercredi.

    >> A lire aussi : Démission de Christiane Taubira : Les dessous d’un départ

    « Nous vivons un coup d’Etat permanent »

    Dans le cortège, une femme qui se fait appeler Chris a déclaré à l’AFP : « l’état d’urgence, jusqu’à quand ? La fin de Daesh ? Dans dix ans ? Jamais ? Il faut y mettre un terme, surtout que notre arsenal législatif est déjà largement suffisant ».

    « Sous prétexte de lutte contre le terrorisme, nous vivons un coup d’état permanent marqué par l’arbitraire et la censure », a affirmé à l’agence une manifestante à Paris, qui s’est présentée sous le prénom de Camille.

    Quant au projet sur la déchéance de nationalité, c’est selon elle « une mesure raciste qui revient à dire que certains sont plus français que d’autres ».

    A Toulouse, entre 400 personnes selon la police et 600 à 700 personnes selon les organisateurs ont défilé. Des manifestations ont eu lieu à Auch, Montauban, Pau, Bayonne.

    Prolongation de trois mois controversée

    Le gouvernement veut prolonger de trois mois supplémentaires l’état d’urgence, qui devait prendre fin le 26 février. Le projet est présenté mercredi en conseil des ministres.

    Annoncé dès le soir des attentats du 13 novembre qui ont fait 130 morts et plusieurs centaines de blessés, l’état d’urgence avait été prolongé à une écrasante majorité pour trois mois le 26 novembre par le Parlement.

    Sa nouvelle prolongation, jusqu’à fin mai, qui sera débattue et votée le 9 février au Sénat, puis le 16 février à l’Assemblée nationale, est plus controversée : des partis de gauche et des associations de défense des droits de l’homme et des libertés publiques s’inquiètent d’un risque de pérennisation de ce régime d’exception. Jusqu’ici, une majorité de Français est favorable à la prolongation de l’état d’urgence.

    Révision de la Constitution

    Par ailleurs, le gouvernement prépare un projet de révision constitutionnelle, examiné en séance à partir du 5 février au Palais Bourbon. Il prévoit d’inscrire dans la Constitution l’état d’urgence, pour le sécuriser sur le plan juridique et l’encadrer, selon l’exécutif, ainsi que l’extension de la déchéance de nationalité pour les personnes « condamnées » pour un crime ou un délit constituant une atteinte grave à la vie de la nation », autre mesure vivement contestée.

    L’extension de la déchéance de nationalité ne comprendra finalement « aucune référence » aux binationaux pour ne pas les « stigmatiser », a annoncé mercredi le Premier ministre Manuel Valls, même si, en pratique, ils pourraient rester seuls exposés à cette mesure qui fracture la gauche.

    >> A lire aussi : déchéance de nationalité : Le tour de passe-passe du gouvernement


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