• À l'ONU, Obama disserte sur la Syrie, l'Égypte, l'Iran

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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-09-24T16:55" itemprop="datePublished" pubdate=""> 24/09/2013 à 16:55</time> - Modifié le <time datetime="2013-09-24T17:40" itemprop="dateModified"> 24/09/2013 à 17:40</time>

    Le président américain est revenu, mardi, sur les dossiers brûlants

    de la politique internationale. Il appelle à voter une résolution

    "solide" contre Assad.

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    Barack Obama, à la tribune de l'ONU, à New York, mardi 24 septembre.

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    Barack Obama, à la tribune de l'ONU, à New York, mardi 24 septembre. © TIMOTHY CLARY

    / AFP

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    Devant les chefs d'État du monde entier, Barack Obama a tenu ce mardi

    un discours de près de 45 minutes sur les sujets qui animent le plus les relations internationales. Dans un discours prononcé à l'occasion du

    débat général de la 68e Assemblée annuelle des Nations unies à New

    York, le président américain a tracé les grandes lignes de la politique

    des États-Unis au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

    Syrie

    Sur ce dossier extrêmement sensible, il a notamment réclamé une résolution "ferme" du Conseil

    de sécurité de l'ONU sur l'élimination des armes chimiques, avec des "conséquences" pour le

    régime Assad s'il ne tient pas parole. "Il faut une résolution ferme du Conseil de sécurité pour

    vérifier que le régime Assad tient ses engagements", a déclaré le président américain à la

    tribune de l'ONU, jugeant que la communauté internationale n'avait pas été à la hauteur

    face à la tragédie syrienne. Il a ajouté que les États-Unis étaient prêts à recourir à la force

    si nécessaire.

    Iran

    Le président américain Barack Obama a estimé qu'il fallait "essayer la voie diplomatique"

    avec l'Iran, tout en soulignant que les différends États-Unis-Iran ne seraient pas résolus

    "du jour au lendemain". Il a également appelé l'Iran à des "actes" sur son programme

    nucléaire.

    Égypte

    Le président Barack Obama a prévenu que la poursuite du soutien des États-Unis à l'Égypte

    dépendrait des progrès vers la démocratie dans ce pays, après le renversement du président

    Mohamed Morsi par l'armée : "À l'avenir, les États-Unis maintiendront une relation constructive

    avec le gouvernement intérimaire (...), mais nous n'avons pas livré certains équipements

    militaires, et notre soutien dépendra des progrès de l'Égypte sur le chemin de la démocratie."


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