• 09 janvier 2013 - 10H09  
     
    Quand commencerez- vous à bouger, à entreprendre, à agir Mr Hollande? Pas en économie, pas dans l'Humain , le social : où est le changement? Nous attendions autre chose de vous ...Notre désillusion est d'autant plus grande et sur ce dossier concernant des animaux : rien, aucune action, aucune compassion, aucune initiative! Vous serez jugé sur vos actes, ne l'oubliez jamais....
    Aliès Borowy Marylise
    ma.borowy@laposte.net
     
    Eléphantes menacées d'euthanasie: l'exécutif laisse la justice suivre son cours

    Le cabinet de François Hollande a indiqué que l'exécutif laissait la justice suivre son cours concernant le sort de deux éléphantes tuberculeuses menacées d'euthanasie à Lyon, tandis que le propriétaire des animaux, qui réclame de nouveaux tests, persiste.

    Le cabinet de François Hollande a indiqué que l'exécutif laissait la justice suivre son cours concernant le sort de deux éléphantes tuberculeuses menacées d'euthanasie à Lyon, tandis que le propriétaire des animaux, qui réclame de nouveaux tests, persiste.

    AFP - Le cabinet de François Hollande a indiqué que l'exécutif laissait la justice suivre son cours concernant le sort de deux éléphantes tuberculeuses menacées d'euthanasie à Lyon, tandis que le propriétaire des animaux, qui réclame de nouveaux tests, persiste.

    "Autant il était légitime de vous fournir la possibilité de déposer un recours contre l'arrêté préfectoral demandant l'euthanasie des deux éléphants, autant il n'appartient plus au gouvernement d'intervenir dans le déroulement de la procédure judiciaire en cours", estime la directrice de cabinet du président de la République dans un courrier du 2 janvier.

    "Il revient donc maintenant au Conseil d'Etat de se prononcer sur votre pourvoi en cassation", poursuit-elle dans cette lettre dont copie a été transmise à la presse par Gilbert Edelstein, patron du cirque Pinder et propriétaire des deux pachydermes.

    Ce dernier se dit dans un communiqué "excessivement déçu" par ce qu'il interprète comme un refus de toute "grâce présidentielle", mesure qu'il demande depuis mi-décembre. Alors que le Conseil d'Etat doit se prononcer dans les prochains jours, M. Edelstein invite à "rester toujours mobilisés pour sauver la vie de Baby et Népal".

    Dans une lettre adressée mardi en réponse au cabinet de François Hollande, il sollicite l'intervention du président afin que la vétérinaire de son cirque "soit autorisée à pratiquer de nouveaux tests sur les éléphantes, lesquels permettraient de disposer de données scientifiques et actualisées en vue d'une prise de décision motivée et pertinente". L'accès aux pachydermes a déjà été refusé à la vétérinaire à Noël.


    3 commentaires
  • Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-01-06T16:43" itemprop="datePublished" pubdate=""> 06/01/2013 à 16:43  </time>
    lien

    Elles ont formé une chaîne humaine en soutien à l'offre de Brigitte Bardot, qui veut héberger les bêtes et leur offrir une "fin de vie digne".

    Retraite paisible ou injection mortelle pour les deux quadragénaires du zoo lyonnais ?

    Retraite paisible ou injection mortelle pour les deux quadragénaires du zoo lyonnais ? © JEFF PACHOUD / AFP

    Près de 200 personnes ont formé une chaîne humaine dimanche au parc de la Tête d'Or, à Lyon, pour "sauver Baby et Népal", deux éléphantes tuberculeuses menacées d'être abattues, et soutenir l'offre de Brigitte Bardot de les confier à sa fondation. Les manifestants, dont certains portaient des éléphants en peluche, ont d'abord signé devant les grilles du parc des courriers adressés au Conseil d'État, au président François Hollande, au préfet du Rhône et au maire de Lyon, avant de se rendre jusqu'à l'enclos des pachydermes, soutenus par plusieurs promeneurs du dimanche.

    C'est là qu'ils ont formé une chaîne, en scandant "justice pour les éléphantes". "La Fondation Brigitte Bardot propose une solution que nous soutenons inconditionnellement", de "prendre en charge ces deux éléphants et de les soigner à ses frais pour les placer ensuite dans un sanctuaire", est-il rappelé dans leurs lettres-pétitions. Brigitte Bardot a menacé de prendre la nationalité russe si l'État ne revenait pas sur sa décision d'euthanasie. L'association Dignité animale appelait à ce rassemblement, avec pour mot d'ordre "ni euthanasie ni retour dans le monde du cirque" pour les deux pachydermes âgés de 42 et 43 ans.

    Éviter le supplice

    "Nous avons cette double revendication", a expliqué Brian Mordasini, vice-président de l'association, pour qui un retour des éléphantes chez leur propriétaire, le cirque Pinder, serait "un supplice", son activité "reposant sur l'exploitation des animaux" et "l'intérêt financier", selon ce défenseur de la cause des animaux. Baby et Népal ont été confiées il y a plus de dix ans par le cirque au zoo de Lyon, dans le parc de la Tête d'Or. Le préfet du Rhône a ordonné le 11 décembre dernier leur euthanasie, après le décès par tuberculose, une maladie contagieuse de l'animal à l'homme, d'une troisième éléphante.

    Le tribunal administratif de Lyon a donné raison au préfet. Un pourvoi, non suspensif de la décision du tribunal, a été déposé au Conseil d'État. Le sort des deux éléphantes suscite les passions. Stéphanie de Monaco et de nombreuses associations, dont la Confédération nationale des SPA, ont demandé qu'elles ne soient pas abattues. La menace de Brigitte Bardot de prendre la nationalité russe n'est cependant pas soutenue unanimement. "Nous défendons les droits de tous", et, en ce sens, "citer la Russie est une erreur", estime Brigitte Gothière, porte-parole de l'association de protection animale L214, qui participait à la manifestation dimanche.

    Agissez aupès de :

    - Au Tribunal Administratif : greffe.ta-lyon@juradm.fr
    - à l'Adjoint au maire Jean Louis TOURAINE : http://<wbr>www.jeanlouistouraine.fr/<wbr>index.php/me-contacter</wbr></wbr>
    - Au maire Gérard COLLOMB : contact@gerardcollomb.fr
    - Au préfet Jean-François CARENCO : secretariat-prefet@rhone.g<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>ouv.fr
    - SPA de Lyon : http://<wbr>www.spa-lyon.asso.fr/<wbr>spa-actualite-spalyon.htm</wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr>
    Afin d'être cohérent, nous devons tenir un discours clair, ferme mais courtois. Pour les personnes motivées, merci de poster ici des modèles de mails / courrier que chacun pourra utiliser. MERCI ! https://www.facebook.com/<wbr>events/422416814497075/<wbr>422771951128228</wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr>
    sur le site de la ville de Lyon : http://www.lyon.fr/
    (appels, lettres, coups de téléphone, fax)

    sur le site de la mairie du 6ième arrondissement, dans lequel est situé le parc de la tête d'or:
    http://www.lyon6.org/<wbr>articles-Les-elus-du-6e-15.<wbr>html#.UNTF1G8mY6s</wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr>
    sur le site du Parc de la Tête d'or :
    http://<wbr>www.loisirs-parcdelatetedor<wbr>.com/</wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr>
    Parc de la Tête d'Or
    Allée de Belle Vue
    69006 Lyon Cedex 01
    Tel : 04 72 69 47 60
    Fax : 04 72 69 48 09

    site de la mairie de Lyon: http://<wbr>www.mairie6.lyon.fr/vdl/<wbr>sections/fr/<wbr>arrondissements/6arrdt/<wbr>parcs_et_jardins/tete_or_1</wbr></wbr></wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>
    Pour écrire au Président du Grand Lyon :
    http://www.grandlyon.com/<wbr>Contact.144.0.html</wbr>
    <wbr><wbr>

    Vos réflexions sur la vie locale
    Ecrivez à Lyon Citoyen , le magazine de la Ville de Lyon !
    Contactez Lyon Citoyen: http://<wbr>www.mairie6.lyon.fr/vdl/<wbr>sections/fr/entete/zoom/<wbr>contactez-nous_lyon_citoyen<wbr>/Form_view?view_zoom=1</wbr></wbr></wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>
    Divers articles :
    http://www.atlantico.fr/<wbr>atlantico-light/<wbr>baby-et-nepal-elephantes-tu<wbr>berculeuses-devraient-etre<wbr>-euthanasiees-585115.html</wbr></wbr></wbr></wbr>
    <wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>
    http://www.20minutes.fr/<wbr>lyon/<wbr>1068307-baby-nepal-elles-tu<wbr>berculose</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>


    1 commentaire
  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    Les otages du Sahel sont "vivants et en bonne santé" selon Fabius

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-01-03T20:40:53+01:00" itemprop="datePublished">03.01.2013 à 20h40</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-01-03T20:43:25+01:00" itemprop="dateModified">03.01.2013 à 20h43</time>

    Partager google + linkedin

     
    <figure class="illustration_haut">

    Image d'un otage français au Sahel extraite d'une vidéo diffusée par Sahara Médias, une agence de presse en ligne mauritanienne, le 10 août.

    </figure>

    Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a reçu jeudi 3 janvier les familles de quatre otages français enlevés il y a plus de deux ans dans le nord du Niger et a réaffirmé dans un communiqué qu'ils étaient "vivants et en bonne santé" malgré des conditions de détention "très dures".

    Pierre Legrand, Daniel Larribe, Thierry Dol et Marc Ferret, tous collaborateurs du groupe nucléaire public français Areva et de son sous-traitant Satom (Vinci) enlevés le 16 septembre 2010 par Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit, sont "correctement nourris et [peuvent] avoir accès à un médecin" selon le ministre, ajoutant : "Nous avons à nouveau pu faire passer aux otages des produits d'hygiène et des médicaments. Les courriers préparés par les familles leur ont bien été transmis comme les fois précédentes."

    Laurent Fabius, qui recevra le 10 janvier les familles des cinq autres otages détenus en Afrique, a également fait part de la "détermination" des autorités et des entreprises françaises. "Beaucoup de ces informations sont confidentielles et n'ont donc pas à être rendues publiques. Aussi frustrant que cela puisse être, le traitement des affaires d'enlèvement exige en effet la plus grande discrétion, dans un souci d'efficacité", a-t-il rappelé, assurant que le centre de crise du ministère des affaires étrangères était entièrement mobilisé et disponible pour recevoir les familles.

    Le mois dernier, AQMI a accusé le gouvernement français de bloquer les négociations, affirmant que les otages étaient "jusqu'à présent vivants". Le lendemain, le 26 décembre, Paris a exigé "la libération sains et saufs" des Français. Neuf sont actuellement retenus en otages à l'étranger, tous sur le sol africain. Parmi eux, au moins six sont aux mains d'AQMI.

    </article>

    votre commentaire
  • Société

    La France va accueillir des Afghans menacés pour avoir aidé les soldats français

    <time datetime="2012-12-26T13:48:22.783622+01:00" itemprop="datePublished">26 décembre 2012 à 13:48   </time>lien

    Un militaire français dans la vallée de la Kapisa, le 18 novembre.

    Un militaire français dans la vallée de la Kapisa, le 18 novembre. (Photo Eric Gaillard. Reuters)

    La mesure devrait concerner quelques dizaines de personnes, dont des interprètes, et leurs familles.

    La France accueillera dans les prochains semaines «quelques dizaines» d’Afghans ayant travaillé auprès des soldats français en Afghanistan depuis onze ans et dont la sécurité est désormais considérée comme menacée dans leur pays, a-t-on appris mercredi auprès du ministère de la Défense. Ces Afghans qui ont notamment travaillé comme interprètes seront accueillis avec leurs familles sur le sol français.

    Un arbitrage interministériel (Intérieur, Affaires étrangères, Défense, etc.) doit encore déterminer le nombre exact de ces futurs expatriés, a-t-on souligné de même source, sans confirmer les chiffres avancés par Le Monde. Dans son édition datée de jeudi, le quotidien affirme que «160 à 170 Afghans, dont 60 à 70 interprètes ayant travaillé avec les troupes françaises depuis 2008  en Afghanistan, seront autorisés à venir sur le territoire français à partir de janvier pour démarrer une nouvelle vie». Initialement quelque 80 personnes au total devaient bénéficier de visas, a confirmé à l’AFP le ministère de l’Intérieur.

    Selon la Défense, avant le retrait des dernières troupes combattantes françaises, effectif ce mois-ci, le commandement militaire français en Afghanistan a mené des entretiens individuels avec chacun de ses anciens employés locaux, candidats à l’expatriation en France. Cette expatriation, a-t-on expliqué, était conditionnée par deux éléments : le fait de savoir si leur sécurité était désormais réellement mise en péril en Afghanistan, et leur capacité de s’intégrer dans le pays d’accueil.

    L’accueil en France concerne «une infime minorité» de l’ensemble des personnels civils recrutés localement depuis le début du déploiement français dans le cadre d’une force internationale, fin 2001, a-t-on ajouté au ministère de la Défense. D’autres dispositifs de fin de contrat ont en effet été prévus, allant du simple versement d’indemnités de fin de contrat, à des aides à la reconversion et à la réinsertion en Afghanistan, a-t-encore indiqué de même source.

    Après le retrait des dernières troupes combattantes en décembre, il reste 1 500 soldats français en Afghanistan qui sont des formateurs, logisticiens, médecins militaires. Plus de 100 000 soldats, dont deux tiers d’Américains, sont encore stationnés en Afghanistan dans le cadre de la coalition internationale de l’Otan. La très grande majorité de ces effectifs aura quitté le pays d’ici à la fin 2014.

    (AFP)


    2 commentaires
  • Dernière modification : 21/12/2012 lien

    Le Qatar ne supporte pas les poètes

    Le Qatar ne supporte pas les poètes

    Mohamed al-Ajami, condamné à la prison à perpétuité par un tribunal qatari pour ses poèmes, attend derrière les barreaux son procès en appel. Seule la France et plusieurs ONG ont mentionné son cas devant le Qatar.

    Par Priscille LAFITTE (texte)
     

    Le poète qatari Mohamed al-Ajami attend toujours en prison que la justice de son pays décide de son sort. Derrière les barreaux depuis novembre 2011, l’homme, âgé de 36 ans, a été condamné à une peine de prison à perpétuité lors d’un procès à huis clos qui s’est tenu le 29 novembre dernier, sans possibilité ni pour lui ni pour son avocat de défendre sa cause.

    Son tort : avoir rédigé et publié sur YouTube - en juillet 2010 alors qu’il était étudiant au Caire - un poème qui s’en prend à l’entourage de l’émir Cheikh Hamad bin Khalifa al-Thani et se moque des "cheikhs qui jouent sur leur Playstation". Ses écrits en arabe dialectal du Golfe, notamment le poème qui proclame "nous sommes tous la Tunisie face à une élite répressive", seraient également en ligne de mire. Dans l’acte d’accusation figure l’atteinte à la Constitution, l’insulte de l’émir et la diffamation envers le prince héritier.

     
     

    "Ceci n’a pas de sens", a déclaré Mohamed al-Ajami dans un entretien à Reuters fin novembre. "Vous ne pouvez pas, dans un même pays, héberger et financer la chaîne Al-Jazeera et me jeter en prison en raison de ma poésie." Le poète déclare n’avoir jamais critiquer nommément l’émir du Qatar qu’il estime être un "homme bon".

    Spéculations sur une éventuelle amnistie

    Depuis, des rumeurs circulent sur son amnistie. Un responsable de l’administration qatarie, joint au téléphone par FRANCE 24, estime que l’émir finira par gracier l’écrivain, ou du moins par ne pas appliquer sa peine. Mais pour l’instant, la seule information certaine est que Mohamed al-Ajami attend la date de son procès en appel et que d’ici là, il est tenu reclus dans des conditions extrêmes. "Les rumeurs d’amnistie sont de pures spéculations, il n’y a rien de tangible", explique Dina el-Mamoun, spécialiste des pays du Golfe pour Amnesty International.

    En dehors des communiqués publiés par Human Rights Watch et Amnesty International, ainsi que les pétitions lancées par des collectifs de poètes, aucune véritable pression ne s’exerce sur le Qatar pour l’inciter à revenir sur cette décision de justice. "Amnesty International a soulevé la question en novembre dernier, quand le Qatar faisait son compte-rendu devant le Comité internationale contre la torture, sous l’égide des Nations unies", mentionne Dina el-Mamoun.

    A sa connaissance, la France est le seul pays à avoir émis des réserves officielles. "S'en prendre à des poètes, ce n'est évidemment pas ni ce que souhaite ni ce qu'admet la démocratie française", a ainsi déclaré le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius le 9 décembre, interrogé lors de l'émission Le grand jury RTL-Le Figaro-LCI. Le ministre a affirmé en avoir parlé avec les autorités qataries : "J'en parle et quand j'en parle j'espère être entendu".


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique