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    Européennes: grand meeting, Parisot invitée,

    les centristes jouent gros

    <time>Publié le 18-05-2014 à 08h25Mis à jour à 17h40      </time>lien
     
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    Le président par intérim de l'UDI Yves Jégo (droite) discute avec Marielle de Sarnez (gauche), vice-président du Modem, le 5 mai 2014 à Paris(c) Afp
    Le président par intérim de l'UDI Yves Jégo (droite) discute avec Marielle de Sarnez (gauche),
    vice-président du Modem, le 5 mai 2014 à Paris (c) Afp
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    Paris (AFP) - Les centristes, qui misent beaucoup sur les élections européennes, font un grand meeting dimanche avec Borloo en message vidéo et l'ex-patronne du Medef, Laurence Parisot, en invitée surprise pour essayer de peser dans ce scrutin où ils jouent gros.

    Ils se réuniront aux docks de Saint-Denis. En invité vedette, Jean-Louis Borloo dans un message vidéo d'une durée de sept minutes. Son hospitalisation fin janvier puis sa convalescence sont venues tout chambouler alors qu'il devait être le principal animateur de cette campagne. Il a depuis mis un terme à tous ses mandats et fonctions.

    Autres hôtes surprise attendus dimanche: l'ancienne patronne du Medef Laurence Parisot et Brice Lalonde, avec qui Jean-Louis Borloo avait fondé Génération Ecologie. Le nom de Laurence Parisot avait circulé en coulisses cet hiver au moment de la constitution des listes.

    Le libéral Guy Verhofstadt, outsider dans la course à la présidence de la commission européenne et qui soutient les centristes français, sera également présent. Avec "sa fougue de gamin" comme l'a dit récemment Jean-Marie Cavada... D'ailleurs certains centristes ne manquent pas d'assurer: "Vous verrez, ce sera lui le prochain président de la commission!".

    Le président du MoDem, et maire de Pau, François Bayrou sera également là. C'est lui qui débattra au nom des centristes jeudi soir prochain surFrance 2.

    "On maintient notre objectif d'au moins 10%", affirme Yves Jégo, animateur de la campagne et qui préside l'UDI par intérim depuis fin janvier. Et d'attaquer son ancienne formation, l'UMP: "le temps que Lamassoure, Juppé et Guaino se mettent d'accord, on va perdre cinq ans...". Le soutien de Laurence Parisot est pour lui un "signe que le combat dépasse les partis".

    -Âpre bataille pour la tête de l'UDI-

    Oscillant entre 8 et 12% dans les sondages, à la troisième place derrière l'UMP et le FN ou au coude-à-coude avec EELV à la quatrième, les centristes ont du mal à se faire entendre. L'UDI et le MoDem se sont rassemblés à l'automne dernier, sous la bannière "l'Alternative", avec l'idée de sauver leurs 11 députés européens.

    Mais si au soir du 25 mai le score est médiocre, la bagarre pour succéder à Jean-Louis Borloo pourrait se révéler encore plus âpre. "Ca reprend de plus belle...", observe déjà un dirigeant centriste.

    "C'est le grand retour des chapelles", se plaint publiquement le député UDI François Sauvadet, candidat malheureux à la présidence du groupe à l'Assemblée et persuadé que Jean-Louis Borloo est "resté à la manoeuvre". Selon plusieurs sources, ce dernier continue de passer en effet un certain nombre de coups de fil...

    Un première bagarre a déjà commencé pour la tête du Parti Radical, une des composantes essentielles de l'UDI. Rama Yade, qui n'a pas eu la place qu'elle voulait aux européennes, dispute la présidence à Laurent Hénart, l'actuel secrétaire général et maire de Nancy qui assure la présidence par intérim. Et les deux prétendants ont déjà commencé à s'échanger des amabilités.

    Mais un mauvais score pourrait également mettre à mal l'alliance avec leMoDem de François Bayrou. Lui-même cultive savamment un certain équilibre entre sa mairie de Pau --n'a-t-il pas promis à ses administrés qu'il s'occuperait d'eux à plein temps?-- sa participation aux meetings et une prudence de Sioux sur la succession à l'UDI, en répètant qu'il veut rester "une voix nationale"..
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    Européennes : l'UMP en tête

    dans le sondage OpinionWay

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-16T19:06" itemprop="datePublished" pubdate="">16/05/2014 à 19:06</time> - Modifié le <time datetime="2014-05-16T19:14" itemprop="dateModified">16/05/2014 à 19:14</time>

    L'enquête publiée vendredi par "Le Figaro" place l'UMP en tête (23 %), devant le Front national (22 %) et le Parti socialiste (16 %).     lien

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Les électeurs européens sont appelés à renouveler leurs députés le 25 mai.<figcaption>Les électeurs européens sont appelés à renouveler leurs députés le 25 mai. © FREDERICK FLORIN / AFP</figcaption></figure>
     
     
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    LE POINT.FR
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    Sur le même sujet

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    Les sondages se suivent et ne se ressemblent pas. Hier, une enquête CSA-BFM TV-Nice Matin créditait le Front national de 25 % des intentions de vote, il devançait ainsi l'UMP (21 %) et le PS (18 %). Aujourd'hui, OpinionWay pour Le Figaro donne 23 % à l'UMP, 22 % au FN, 16 % au PS. Les trois formations sont stables par rapport au 12 mai, date du précédent panel. Plus loin, l'alliance MoDem-UDI obtiendrait 10,5 % des voix (+ 0,5), devant Les Verts avec 9 % (stable) et le Front de gauche crédité de 8 % en progression d'un point.

    OpinionWay se risque à établir une projection en sièges. L'UMP enverrait 22 représentants à Strasbourg contre 20 pour le Front national et 15 pour le Parti socialiste.   

     
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  • <article itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle">

    L'austérité au cœur du débat des européennes

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-05-15T23:19:39+02:00" itemprop="datePublished">15.05.2014 à 23h19</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-05-15T23:25:55+02:00" itemprop="dateModified">15.05.2014 à 23h25</time>

     

    <figure>Dix jours avant les élections, les cinq candidats des principaux partis européens à la présidence de la Commission européennes se sont affrontés jeudi à Bruxelles.<figcaption data-caption="Dix jours avant les élections, les cinq candidats des principaux partis européens à la présidence de la Commission européennes se sont affrontés jeudi à Bruxelles. | AP/Yves Logghe">Dix jours avant les élections, les cinq candidats des principaux partis européens à la présidence de la Commission européennes se sont affrontés jeudi à Bruxelles. | AP/Yves Logghe</figcaption></figure>

     

    L'austérité a été au cœur du grand débat des élections européennes, retransmis en direct jeudi 15 mai dans tous les pays de l'UE. Le conservateur luxembourgeois Jean-Claude Juncker, le social-démocrate allemand Martin Schulz, le libéral belge Guy Verhofstadt, l'écologiste allemande Ska Keller et le représentant de la gauche radicale, le Grec Alexis Tsipras, se sont affrontés dans l'hémicycle du Parlement européen à Bruxelles.

    Lire : Européennes : qui sont les candidats à la Commission ?

    Des débats avaient déjà eu lieu, mais il s'agissait du premier avec les cinq candidats des principaux partis européens à la présidence de la Commission européenne, dont M. Tsipras. « La Grèce est le pays que les dirigeants européens ont choisi comme cobaye de l'austérité la plus dure », a attaqué ce dernier. Se montrant le plus offensif, s'en prenant parfois directement aux autres candidats, il a dénoncé les « politiques catastrophiques d'austérité », en demandant de « sortir de cette paranoïa vis-à-vis de la dette », un « changement de cap » et plus de« solidarité ».

    « J'accepte beaucoup de reproches mais je n'accepterai jamais [qu'on dise] que nous avons été insuffisamment solidaires de la Grèce », a répliqué M. Juncker, qui fut président de l'Eurogroupe pendant huit ans. « J'ai travaillé pendant des années, jour et nuit, pour éviter que la Grèce quitte la zone euro. J'ai tout fait pour que la Grèce puisse rester membre de la zone euro », a-t-il ajouté, tout en assurant qu'il fallait « continuer la politique d'assainissement » des finances publiques.

    « LE FUTUR PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EST DANS CETTE SALLE »

    M. Verhofstadt a défendu la « discipline budgétaire », et a affirmé que les problèmes de la Grèce étaient dus à une « mauvaise politique », en accusant notamment les banques publiques du pays de financer les partis politiques.

    Pour Mme Keller, l'austérité ne peut « qu'aggraver la situation ». Elle a plaidé, comme M. Schulz, pour une lutte plus déterminée contre la fraude fiscale.

    M. Juncker a souligné que les démocrates chrétiens, les socialistes et les libéraux avaient géré la crise. Une occasion pour M. Tsipras d'accuser les « grandes familles politiques » d'avoir dit qu'il n'y avait « pas d'autre voie que l'austérité ».

    Alors qu'il n'est pas encore acquis que les chefs d'Etat et de gouvernement se plient à la volonté des partis européens de faire élire leurs candidats à la présidence de la Commission, M. Schulz, plutôt discret pendant tout le débat, a assuré que « le futur président de la Commission est dans cette salle ». « S'ils osaient désigner quelqu'un d'autre, lui ou elle n'obtiendrait pas une majorité au sein du Parlement européen », a-t-il prévenu avec fermeté.

     

     

    Lire l'analyse : La succession demeure très ouverte à la Commission

    Les candidats ont aussi abordé la crise en Ukraine, l'immigration, la lutte contre la corruption et les lobbies. Martin Schulz, Guy Verhofstadt et Ska Keller s'exprimaient en anglais, Jean-Claude Juncker en français et Alexis Tsipras en grec.

    Lire aussi : Européennes : les propositions des partis à la loupe

    <figure>Les propositions des partis politiques européens à la loupe.</figure>

     

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  • Valls en campagne pour les européennes

    Le Premier ministre a appelé samedi, lors d’un premier meeting à Nogent-sur-Marne, à "ne pas laisser le terrain à l’extrême droite".

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    Manuel Valls  UNIQUE

    Paru dans leJDD

     

    Manuel Valls samedi à Nogent-sur-Marne. (Eric Baudet )

    La nouvelle star, c'est lui? Au pavillon Baltard, là où d'habitude de jeunes premiers viennent essayer de se faire un nom en poussant la chansonnette, l'accueil est chaleureux. En ce samedi ensoleillé, Valls vient lancer la campagne des européennes devant le Mouvement des jeunes socialistes. Le MJS, oui. Les mêmes qui le sifflaient il y a quelques mois à La Rochelle, l'applaudissent désormais lorsqu'il entre sur la musique de Bella Ciao. "On craignait quelques sifflets", souffle un des organisateurs de la journée.

    Après un début de discours prononcé dans une salle sans doute silencieusement respectueuse, Valls se taille un franc succès lorsqu'il déclare que "les peuples demandent une Europe plus sociale". Des peuples pour qui il faut "favoriser la croissance, réguler la mondialisation" et qui veulent "une Europe qui protège". Proeuropéen, il assume. "Parce qu'on aime la France, on aime l'Europe" et le voici qui cogne les partis "d'extrême droite qui n'aiment ni leur patrie, ni l'Europe". Plus tard dans son discours, il pointe le spectre noir, celui "d'un populisme qui rôde". "Nous devons battre les extrêmes dans les urnes." Vantant les "bons" candidats socialistes et un "très bon" Martin Schulz, candidat à la tête de la Commission, Valls décoche une flèche contre son opposant de droite et luxembourgeois : "Juncker, Schulz : qui est le plus crédible pour lutter contre l'évasion fiscale?"

    "Je suis socialiste tendance Jaurès"

    Discours habile pour celui qui ne venait pas en terrain conquis. Un peu avant son arrivée, un organisateur vient trouver Édouard Martin, tête de liste dans le Grand Est. Veut-il accompagner Valls pour son entrée? "Je suis déjà entré", explique Martin, présent depuis un bon moment. "Je suis socialiste tendance Jaurès", racontait-il quelques minutes plus tôt. Dans la campagne, Martin est à l'aise : défendre un smic européen, une taxe Tobin aux frontières, le juste échange, l'harmonisation fiscale, cela lui va bien. "Ce sont des valeurs auxquelles je m'identifie. Après, si on me demande d'aller à la tribune pour défendre le pacte de responsabilité de Valls, j'ai prévenu : ce sera sans moi", poursuit-il alors que des jeunes socialistes le font poser pour des photos.

    Les européennes? "On a trois semaines pour convaincre et gagner", tonne Valls à la tribune. "On peut faire 16, 13 ou 9%. On peut faire mieux que la dernière fois. On peut aussi tomber très bas. Nous n'avons pas de locomotive pour la campagne", expliquait récemment un des candidats aux européennes. Reconnue pour son travail à Bruxelles, Pervenche Berès est là, au côté de Valls. Très tardivement, elle a hérité d'une tête de liste délaissée par Harlem Désir. "Une Pervenche Berès connue, là ce serait impeccable", glisse un cadre de la campagne. Valls repart. Le vote de mardi passé, le discours d'aujourd'hui terminé, une dure semaine s'achève. Ce n'est qu'un début.


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    Européennes 2014 : seulement 35 % des Français "certains d'aller voter"

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-04-24T21:01" itemprop="datePublished" pubdate="">24/04/2014 à 21:01</time>

    Le sondage CSA révèle par ailleurs que le Front national arrive

    en tête des intentions de vote devant l'UMP et la liste PS-radicaux

    de gauche.

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    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Photo d'illustration.<figcaption>

    Photo d'illustration. © Sébastien Salon-Gomis / Sip

    </figcaption></figure>

     

     

     

    A un mois des élections européennes, seuls 35 % des Français se disent "tout à fait certains d'aller voter" et le FN arrive en tête des intentions de vote (24 %) devant l'UMP (22 %) et la liste PS-radicaux de gauche (20 %),

    selon un sondage CSA pour BFMTV et le groupe Nice Matin. 35 % des interrogés se sont dits, sur une échelle

    de 0 à 10, "tout à fait certains d'aller voter (note 10)". Ils sont 52 % dans la tranche d'âge 65 ans et plus contre

    19 % des 18-24 ans.

    A la question, "si les élections européennes avaient lieu dimanche prochain et que vous aviez le choix entre

    les listes suivantes, pour laquelle y aurait-il le plus de chances que vous votiez", 24 % choisissent le FN, 22 %

    l'UMP, 20 % une liste PS-radicaux de gauche, 9 % une liste UDI-Modem-l'Alternative, 7,5 % Front de gauche,

    7 % Europe Écologie-Les Verts. Les autres listes ne franchissent pas la barre des 5 %. 

    Exprimer l'"insatisfaction vis-à-vis" de Hollande

    Si 51 % des interrogés estiment que leur "vote n'aura aucun rapport avec un jugement sur l'action du président

    de la République et du gouvernement", 39 % exprimeront leur "insatisfaction vis-à-vis de l'action du président

    de la République et du gouvernement". 6 % utiliseront ce scrutin pour soutenir François Hollande et le

    gouvernement. 4 % sont sans opinion.

    L'enquête a été réalisée en ligne du 22 au 24 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1 048 personnes

    âgées de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.


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