• <article itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle"> <header>

    CARTES. Régionales 2015: en cinq ans, l'incroyable progression du FN

    <nav role="breadcrumb">Ludwig Gallet, publié le <time datetime="07/12/2015 06:44:00" itemprop="datePublished" pubdate=""> 07/12/2015 à 06:44 </time> , mis à jour à <time datetime="07/12/2015 08:02:52" itemprop="dateModified"> 08:02 lien </time></nav>
    •  
    <figure> En cinq ans, la carte des résultats du FN a radicalement changé de couleur. <figcaption>

    En cinq ans, la carte des résultats du FN a radicalement changé de couleur.

    L'Express

    </figcaption> </figure> </header>

    Le Front national arrive en tête dans six régions au premier tour des élections régionales 2015. Si le PS s'en tire un peu mieux qu'attendu, ce résultat constitue surtout une victoire pour le parti de Marine Le Pen, qui a réussi à gagner un terrain considérable en cinq ans.

    Il y a cinq ans, la France était gagnée par une vague rose, verte et rouge lors des élections régionales. Une France toute rose à l'issue du second tour, à une exception près en métropole: l'Alsace-Lorraine. A droite, l'UMP, alors au pouvoir, subissait une véritable déroute. Dans la droite lignée de la présidentielle 2007, le terrain politique était alors occupé par ces deux camps. Le Front national, très bas en 2007, réussissait tout de même une progression remarquée, obtenant certains scores à deux chiffres. A l'issue du premier tour, le parti frontiste culminait toutefois à l'échelle nationale à 11,42%. 

    >> A suivre ce lundi Les déclarations, les résultats et les analyses

    >> Trouvez les résultats dans votre ville, votre département ou votre région

    Cinq ans plus tard, l'euphorie a changé de camp. Il suffit de voir la mine réjouie de Marine Le Pen en conférence de presse pour s'en convaincre. Les scores du Front national, ou du "mouvement national" comme se plaît désormais à le définir sa présidente, ont explosé. Les derniers résultats partiels le placent à près de 28%. Ni l'alliance du centre et du parti Les Républicains, ni la résistance toute relative du PS n'ont permis de freiner cette tendance. Elle devrait permettre à Marine Le Pen d'aborder la prochaine campagne présidentielle, qui devrait démarrer très tôt après les régionales, avec une certaine sérénité. 

    Lire aussi >> Ce qu'il faut retenir du premier tour des régionales 2015

    Le FN perce partout

    L'envolée Bleu Marine est globale, constatée sur l'ensemble du territoire. Il y a bien sûr les régions Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Provence-Alpes-Cote-d'Azur, où l'on savait le FN en mesure de l'emporter. Les deux figures du parti, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen, y ont obtenu un score insolent. 40,6% pour chacune d'entre elles. En 2010, le FN y réalisait déjà ses meilleures performances. Le pourcentage était toutefois incomparable, à 18,2% dans le nord et 23% en Paca. 

    Et puis il y a toutes ces autres régions, ou l'extrême droite avait dû se contenter de scores bien plus modestes en 2010. En Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, le FN se classe en troisième position. Mais en cinq ans, il est passé de 8% à 23,2% des voix au premier tour. Autre exemple en Bourgogne-Franche-Comté, où le FN a grimpé de 13,6% à 31,5%, s'offrant le luxe de virer en tête à l'issue du premier tour. 

    La fusion ou le retrait en question

    Ce mouvement peut-il être stoppé? C'est la question qui est aujourd'hui posée à droite comme à gauche. Et l'équation risque de causer quelques migraines. La progression du Front national est structurelle. Elle n'a jamais cessé de s'accélérer depuis 2010. Inexorablement, les idées de Marine Le Pen, dans un contexte de chômage record et de menace terroriste, séduisent. Pour limiter la casse au second tour, le PS a déjà tranché. Il a décidé de retirer ses listes dans les régions Paca et Nord-Pas-de-Calais-Picardie, pour défendre les valeurs républicaines. Le parti ne sera donc pas représenté dans ces deux régions avant au moins six ans. 

    Du côté du parti Les Républicains, on tient toujours au second rôle arraché en vertu d'une alliance avec les mouvements centristes. Nicolas Sarkozy ne rendra pas la pareille à la gauche. Il refuse désormais toute fusion ou retrait de liste. Peu importe que la gauche soit mieux armée pour s'emparer d'une région, comme c'est le cas en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Peu importe, encore, que le réservoir de voix ne puisse s'élargir à droite par le biais d'une nouvelle alliance politique. Le pacte conclu avec l'UDI et le Modem ne pourra pas aller plus loin. Du pain béni pour l'extrême droite? Sur France 2, Nathalie Kosciusko-Morizet a également balayé d'un revers demain toute possibilité de fusion. "C'est laisser croire qu'on mènerait la même politique", explique-t-elle. Au sujet du retrait, elle s'interroge encore. "Est-ce que vraiment le retrait de la liste LR dans cette région ne serait pas une chance pour le FN? C'est une question que je poserai demain matin [ce lundi, NDLR] au bureau politique." J-6, le temps presse déjà.

    </article>

    votre commentaire
  • Régionales : pour Marine Le Pen, «le FN est sans conteste le 1er parti de France»


    Elections régionales: le FN prend la tête par leparisien Marie Poussel | 06 Déc. 2015, 19h03 | MAJ : 06 Déc. 2015, 23h19
     
     
     
     

    C'est un record historique pour le FN. Le parti de Marine Le Pen est ce soir, au premier tour des régionales, le premier parti de France.

     
    <aside class="bloc m10t" id="complements">

    Sur le même sujet

    <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> EN DIRECT. Elections régionales 2015 : le FN crédité de près de 30% des voix </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Régionales : Marine Le Pen donne son dernier meeting à Nîmes </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Régionales. Marion Maréchal-Le Pen : «Les attentats ont amplifié la dynamique du FN» </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Résultats des élections régionales 2015. Le PS condamné à jouer les utilités des Républicains </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9">
    <figure> Résultats élections régionales en Bourgogne-Franche-Comté : le FN en tête, le PS fait mieux que prévu </figure>
    </article> <article class="article_list article76x45 img16-9 sansImage"> </article>
    </aside>

    Au niveau national, il arrive en tête avec 29,5 % des voix devant les Républicains à 27 % puis le PS et leurs alliés à 23 %. Le tour de force du parti de Marine Le Pen est réussi, puisqu'il est en tête dans sept régions. La percée du FN a bien eu lieu. Un choc pour la droite, la gauche mais aussi l'opinion publique. Dans les deux régions-phares, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Nord-pas-de-Calais-Picardie, les premières estimations mettent Marion Maréchal Le Pen et Marine Le Pen à plus de 40 % des votes, loin devant leurs concurrents. Marine Le Pen fait plus du double du score du candidat socialiste

    QUESTION DU JOUR. Elections régionales : face au FN, croyez-vous à la constitution d'un front républicain ?

    Courte allocution de Marine Le Pen à 20 heures 30, rayonnante au pupitre d'une salle surchauffée à Hénin-Beaumont. «Le peuple s'est exprimé. La France relève la tête. Le mouvement national est sans conteste le premier parti de France, lance-t-elle sous les hourras de l'assistance. Ce résultat magnifique que nous accueillons avec humilité et gravité. (…) Le FN est le seul parti à défendre la nation. Chacun doit avoir à l'esprit qu'il n'y aura pas de changement si on ne change pas les hommes. C'est le peuple français qui est une chance pour la France. Nous avons vocation à réaliser l'unité nationale dont le pays a besoin» «Le Front national est le seul front véritablement républicain», enchaîne-t-elle.
     



    Dans tous les QG du Front National de France, les bouteilles de champagne sont sorties. Malgré les derniers sondages, aucun commentateur n'avait misé sur une telle poussée. Sur la dernière ligne droite de la campagne, le FN a préféré jouer profil bas, aussi pour ne pas démobiliser son électorat. Pourtant la dynamique était bien là. Toutes les études prévoyaient une forte poussée du parti d'extrême droite. D'autant que si personne ne sait comment le contexte des attentats a joué sur l'issue des urnes, Marion Maréchal Le Pen était persuadée que «les attentats ont amplifié la dynamique du FN».




    Marion Maréchal Le Pen, à quant à elle, réservé sa première réaction au réseau Twitter. La jeune député de 23 ans a simplement remercié ses électeurs sur son compte suivi par près de 91 000 abonnés.






    « Six électeurs sur 10 ont dit non à Mme Le Pen, a aussitôt réagi Xavier Bertrand, candidat des Républicains dans le Nord crédité de 24 % des voix. Dans un discours qui peine à convaincre. Florian Philippot est aussi crédité à 39 % des voix dans la région Alsace.


    votre commentaire
  • Régionales : le FN obtient des résultats historiques au premier tour

    Le Monde.fr | <time datetime="2015-12-06T20:00:45+01:00" itemprop="datePublished">06.12.2015 à 20h00</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-12-06T20:47:48+01:00" itemprop="dateModified">06.12.2015 à 20h47   lien </time>

    A Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), le 6 décembre.

    Un Front national en tête, mais dans des proportions plus importantes qu’escompté par les instituts de sondage, des Républicains dont la victoire annoncée sera forcément ternie par cette poussée de l’extrême droite et des socialistes en chute libre : le premier tour des élections régionales, dimanche 6 décembre, semble avoir confirmé, mais également amplifié les estimations réalisées par les instituts de sondage dans les derniers jours de la campagne.

    Suivez la soirée électorale en direct sur Le Monde.fr

    Selon une estimation nationale réalisée par Ipsos, le FN et Les Républicains avoisineraient tous deux les 27,5 %. A gauche, le PS plafonnerait a 23,6 %, Europe Ecologie-Les Verts a 6,7 % et le Front de gauche à 3,8 %. D’après OpinionWay, le Front national se situerait plus haut encore, autour de 29,5 % des voix. Les Républicains seraient devancés, à 27 % des suffrages. Quant à la gauche, son total ne dépasserait pas les 35 % : le PS atteindrait les 23 %, EELV 6,5 %, le Front de gauche 4,1 %. Pis encore, selon l’IFOP, ce total ne dépasse pas les 33 % : 10,3 % pour le bloc Front de Gauche/EELV/Nouvelle donne, 22,7 % pour le PS et ses alliés (PRG + UDE). L’IFOP donne Les Républicains, le MoDem, l’UDI et CPNT à 27,2 %, et le Front National à 30,8 %.

    • Le FN largement en tête dans six régions

    Provence Alpes-Côte d’Azur. Selon TNS-Sofres, le parti d’extrême droite emmené par Marion Maréchal-Le Pen atteindrait 41 % en PACA, alors que Les Républicains, conduits par Christian Estrosi, plafonnent à 28 % et que les socialistes s’effondrent à 16 %. Christophe Castaner, le candidat PS a annoncé qu’il ne se désisterait pas au second tour.

    Lire aussi : Elections régionales : en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marion Maréchal-Le Pen devance Christian Estrosi de plus de 10 points

    Nord-Pas-de-Calais-Picardie. le FN atteint également 41,4 %, selon TNS-Sofres, contre 24,5 % à la liste Les Républicains conduite par Xavier Bertrand, et un maigre 18 % pour la liste socialiste dirigée par Pierre de Saintignon. Selon l’IFOP, le FN atteindrait même les 43 % dans cette région, contre 24 % aux Républicains et 18 % au PS. M. Bertrand a fait une déclaration peu après 20 heures pour dire qu’il comprenait « la colère et le sentiment d’abandon des électeurs » du FN et s’est dit sûr que « le sursaut viendra de la région dans ses profondeurs » dimanche prochain. « Le visage (la région) ne sera pas celui de Marine Le Pen. L’histoire retiendra que c’est ici, dans notre région, que son ascension a été stoppée », a lancé l’ancien ministre selon qui la liste de la droite est la « seule alternative possible contre l’extrême droite ».

    Alace-Lorraine-Champagne-Ardenne. Florian Philippot (FN) arrive largement en tête dans la région avec entre 35 et 39,6 % des voix, devant Philippe Richert (LR/UDI/MoDem) avec de 22,6 % à 26 % des voix et le socialiste Jean-Pierre Masseret (16,1 à 16,7 %), selon Ipsos/Sopra Steria et Opinionway/B2S. L’écologiste Sandrine Bélier obtient entre 5,9 et 6,8 % des voix, le régionaliste Jean-Georges Trouillet entre 4,2 et 5,3 %.

    Lire aussi : Elections régionales : l’Alsace-Champagne-Ardennes-Lorraine place le FN en première place

    Bourgogne-Franche-Comté. Le Front national réalise un bien meilleur score qu’attendu : avec 32 % des voix, la candidate FN Sophie Montel arrive nettement en tête. François Sauvadet, le candidat Les Républicains qui faisait la course en tête dans les sondages, perd huit points par rapport aux projections et recueillerait 23,5 % des voix. La sortante socialiste Marie-Guite Dufay obtient 22,8 % des votes.

    Centre-Val de Loire. Selon une estimation Ipsos, la liste du frontiste Philippe Loiseau serait en tête à 30,2 %, au coude à coude avec celle de Philippe Vigier (LR-UDI-MoDem). Le socialiste François Bonneau serait à 25,1 %.

    Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Selon l’institut Ipsos pour France Télévisions, Louis Aliot (FN) arrive en tête avec 30,7 %, devant Carole Delga (PS) qui réalise 25,3 % et Dominique Reynié (LR) qui enregistre un score de 18,8 %.

    • Nicolas Sarkozy refuse « toute fusion et tout retrait de liste » au second tour

    Le scénario tant redouté par Nicolas Sarkozy s’est donc bien produit : son parti, Les Républicains (LR), est devancé par le Front national lors du premier tour des élections régionales. Pour autant, le président des Républicains a appelé les électeurs à soutenir les listes de son parti au second tour et refusé toute idée de front républicain contre le Front national, arrivé en tête dans 6 régions.

    Promise à une large victoire ces derniers mois, LR fait les frais de la performance du FN, qui bénéficie d’un climat porteur depuis les attentats du 13 novembre. Les dirigeants de droite se montraient sonnés à l’annonce des premières estimations. « Le FN est si haut en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Alsace que je ne vois pas comment on pourra l’empêcher de remporter ces régions au second tour », confie, dépité, un dirigeant du parti de M. Sarkozy.

    Lire aussi : Elections régionales : contre-performance pour Les Républicains au premier tour

    • Le PS veut fixer une ligne à tenir dans les différentes régions

    Au PS, un bureau national devait se tenir à partir de 21 h 30 au siège du parti à Solférino. Le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, veut fixer une ligne à tenir dans les différentes régions. Les socialistes appellent à regarder le score sur l’ensemble de la gauche, en additionnant les voix du PS, des écologistes et du Front de gauche. Mais les mauvais scores du PS dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie (18 %) et en Provence-Alpes-Côte-d’Azur (16 %) pourraient bousculer le programme. Selon nos informations, Manuel Valls ne devrait pas s’exprimer dans la soirée.

    • Une abstention entre 49 % et 49,8 %

    Ces dernières élections intermédiaires du quinquennat de François Hollande, qui étaient les premières dans le cadre des treize régions – contre 22 précédemment – issues de la réforme territoriale, sont également les premières depuis les attentats du 13 novembre. Selon les estimations de quatre instituts de sondages (OpinionWay/B2S, Ipsos-Sopra Steria, Ifop-Fiducial et Harris interactive), l’abstention sur l’ensemble de la journée du premier tour devrait se situer

    entre 49 % et 49,8 %. Un taux d’abstention proche de celui enregistré en mars, à l’occasion des départementales. Lors de la dernière édition des élections régionales, en 2010, l’abstention nationale s’était élevée à 53,6 %.


     

    votre commentaire
  •  

    <article class="exp_item_live">

    <article>

    Actualiser le live  lien

    <article class="exp_item_live">

    Nicolas Sarkozy rejette tout "arrangement tactique"

    "Nous devons impérativement rester fidèles à nos convictions en refusant la tentation trop facile après ce premier tour de jouer avec les suffrages des Français en choisissant je ne sais quel arrangement tactique en contradiction totale avec ce que nous leur avons dit" a expliqué Nicolas Sarkozy. Il refuse tout fusion ou retrait de liste. 

    </article>

    Le résumé des résultats

    Les premières estimations sont tombées il y a près d'une heure. L'Express vous résume les principales informations à retenir : 

     

    <article class="exp_item_live">

    Alain Juppé réagit après le premier tour

     

     
    </article><article class="exp_item_live">

    Les Républicains en tête en Ile-de-France

    Dans la région Ile-de-France, Valérie Pécresse pour Les Républicains arrive en tête avec 30,5% des voix, suivi de Claude Bartolone pour le PS avec 25,4% des voix. Le candidat frontiste, Wallerand de Saint-Just arrive avec 18,7% des voix selon une estimation. 

    <figure class="exp_img">A Versailles, la candidate Les Républicains Valérie Pécresse, lors de son vote au premier tour des élections régionales 2015, dimanche 6 décembre.<figcaption class="live_content_padding">

    A Versailles, la candidate Les Républicains Valérie Pécresse, lors de son vote au premier tour des élections régionales 2015, dimanche 6 décembre.

    AFP / MATTHIEU ALEXANDRE

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne La direction du PS désavoue Masseret, qui veut se maintenir

    En Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, la direction du Parti socialiste désavoue Jean-Pierre Masseret, qui entend se maintenir au second tour."Il n'y a pas de décision locale qui tienne (...) pour le PS, toutes les décisions doivent être prises au niveau du bureau national, en concertation avec nos partenaires de la gauche. Les décisions qui seront prises pour le second tour, c'est Jean-Christophe Cambadélis (le premier secrétaire, NDLR) qui les annoncera", a déclaré Corinne Narassiguin à l'AFP.

    </article> <article class="exp_item_live">

    Le score du FN en PACA, "une des plus graves menaces de notre histoire politique" selon Estrosi

    "Le score de Marion Maréchal-Le Pen fait peser dans notre région une des plus graves menaces de notre histoire politique" a déclaré Christian Estrosi, le candidat Les Républicains arrivé en deuxième position dans la région PACA. "Les électeurs ont exprimé leur colère et leur exaspération face aux promesses non-tenues depuis si longtemps, je les comprends et je les partage. Les électeurs ont fait de notre liste la seule alternative à l'extrême droite" a déclaré le candidat de la droite. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Le FN en tête dans 6 régions

    Le Front national vient de réaliser un score historique, ce dimanche, au premier tour des régionales, avec environ 30% des suffrages au niveau national. Localement, le parti de Marine Le Pen est arrivé en tête dans six régions.  

    >> Les six régions où le FN est arrivé en tête

    <figure class="exp_img">Marine Le Pen est arrivée en tête dans la région Nord-Pas-de-Calais - Picardie.<figcaption class="live_content_padding">

    Marine Le Pen est arrivée en tête dans la région Nord-Pas-de-Calais - Picardie.

    REUTERS/Pascal Rossignol

    </figcaption></figure>
    </article><article class="exp_item_live">

    NKM refuse la fusion, qui "créé la confusion"

    "Ce que disent les Français, c'est une immense colère, une colère qui s'exprime d'abord (...) à l'attention du gouvernement et à l'attention du parti socialiste", a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet sur France2. Mais elle a jugé que "la fusion, ça crée de la confusion, et la confusion c'est le terreau sur lequel prospère le FN. Les électeurs ne se laissent pas additionner".

    </article><article class="exp_item_live">

    Trolling

    En début de semaine, le quotidien La Voix du Nord prenait position contre le Front national, déclenchant un tollé dans le parti. Avec un FN à 30% ce soir, il y en a un qui jubile: Steeve Briois, le maire FN d'Hénin-Beaumont. Sur Twitter, il a adressé des "gros bisous" très ironiques au journal. Avec un smiley. 

     
    </article><article class="exp_item_live">

    NKM refuse la fusion, qui "créé la confusion"

    "Ce que disent les Français, c'est une immense colère, une colère qui s'exprime d'abord (...) à l'attention du gouvernement et à l'attention du parti socialiste", a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet sur France2. Mais elle a jugé que "la fusion, ça crée de la confusion, et la confusion c'est le terreau sur lequel prospère le FN. Les électeurs ne se laissent pas additionner". 

    </article><article class="exp_item_live">

    Les "merci" et "l'amour" de Philippot

    Florian Philippot, candidat FN en tête en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, a multiplié les "merci" dans son discours. Il a salué "un vote d'amour, de patriotisme, d'adhésion et de conviction" dans une région où il a fait près de 30% des voix. Tous les départements "méritent le vrai changement" et "de vivre malgré cette fusion que nous avons combattu". 

    </article><article class="exp_item_live">

    Emmanuelle Cosse d'EELV appelle à la fusion des listes gauche et écologiste

    La secrétaire nationale d'Europe-Ecologie-Les-Verts et tête de liste Europe-Ecologie-Les-Verts (EELV) aux régionales en Ile-de-France, Emmanuelle Cosse, a appelé dimanche à la fusion des listes de gauche et des écologistes au second tour des élections régionales. 

    Après avoir regretté que son parti n'ait pas eu des "scores plus hauts", Emmanuelle Cosse a déclaré à France 2: "Ce que nous pouvons faire, c'est travailler à la fusion des listes de gauche et des écologistes au second tour", afin d'"avoir des régions demain qui soient dirigées par cette majorité-là". 

    </article><article class="exp_item_live">

    Lagarde favorable au retrait des listes pour contrer le FN

    Le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde s'est dit favorable au retrait des listes arrivées en troisième position dans les régions que le Front national peut conquérir. 

    <figure class="exp_img">Le président de l'UDI est pour le retrait de listes<figcaption class="live_content_padding">

    Le président de l'UDI est pour le retrait de listes

    afp.com/Dominique Faget

    </figcaption></figure>
    </article>

     

    <time datetime="2015-12-06 20:49:14">2min</time>

    Lagarde favorable au retrait des listes pour contrer le FN

    Le président de l'UDI Jean-Christophe Lagarde s'est dit favorable au retrait des listes arrivées en troisième position dans les régions que le Front national peut conquérir. 

    JC Lagarde (UDI) : "Partout où le FN peut gagner, nous souhaitons le retrait des listes en 3è position".

    — France Info (@franceinfo) December 6, 2015
    </article><article>

    <time datetime="2015-12-06 20:48:00">3min</time>

    Notre journaliste Thierry Dupont est aux côtés de l'équipe de Claude Bartolone, candidat du PS en Île-de-France. 

    "Ce soir, il n'y a plus que 3 acteurs en lice en #IDF2015 : la gauche réunie, la droite extrême de @vpecresse et l'extrême droite" selon PS

    — tdupont (@tdupont) December 6, 2015
    </article>

    Christian Estrosi "appelle à faire bloc dans l'intérêt" de la région

    Arrivé derrière le FN aux élections en PACA, le candidat Les Républicains Christian Estrosi a annoncé qu'il serait un "président qui n'aura jamais la main qui tremble" et a "appelé à faire bloc dans l'intérêt" de la région.

    </article>

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Actualiser le live     lien

    <article class="exp_item_live">

    Les mots ont leur importance

    Lors de son discours depuis Hénin-Beaumont, Marine Le Pen a notamment parlé de son parti en utilisant l'expression de "mouvement national". Selon Corinne Lhaik, journaliste à L'Express, cela pourrait augurer d'un changement de nom pour le Front national. 

    </article><article class="exp_item_live">

    A la Réunion, la droite en tête

    A La Réunion, le candidat Les Républicains Didier Robert est en tête avec 40,4% des voix, suivi de la candidate PS avec 23,8% et des régionalistes avec 20,3%. 

    </article><article class="exp_item_live">

    Pour Sarkozy, "les Français souhaitent que la République ne recule plus"

    Selon Nicolas Sarkozy, le "verdict" des urnes démontre que les Français "souhaitent que la priorité de tous les responsables politiques soit que la République ne recule plus". 'Elle a trop reculé", a-t-il déclaré au siège du parti les Républicains. 

    "Il nous faut entendre et comprendre l'exaspération des Français. De ceux qui n'en peuvent plus, qui travaillent dur et qui n'y arrivent plus (...) Ceux qui ont peur qu'on méprise leur identité et qu'on change leur mode de vie".  

    </article><article class="exp_item_live">

    Marine Le Pen se réjouit "d'un résultat magnifique"

    Candidate en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Marine Le Pen s'est réjouie de son résultat au premier tour, où elle a récolté 42% des voix selon les premières estimations. La président du Front national se félicite d'un "résultat magnifique que nous accueillons avec humilité, gravité et avec un sens des responsabilités". 

    "Le mouvement national est le premier parti de France alors qu'il est à peine représenté au Parlement", a-t-elle déclaré, félicitant "le peuple français [...] de n'avoir pas cédé aux injonctions anti-démocratiques". 

    </article><article class="exp_item_live">

    En PACA, Christophe Castaner estime que le score de la gauche est supérieur à celui de la droite

    En PACA, Christophe Castaner, le candidat PS, affirme que le score de la gauche est supérieur à celui de la droite des Républicains. Il appelle la gauche à se réunir pour battre le Front national.

    </article>

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique