I've been arrested by police
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Par marialis2.2 le 11 Juillet 2015 à 10:06
Explosion au consulat italien du Caire :
«L'Italie ne se laisse pas intimider»
11 Juil. 2015, 08h07 | MAJ : 11 Juil. 2015, 09h32Une violente explosion a touché samedi matin le consulat italien au Caire, détruisant en partie la façade du bâtiment. Le consulat était fermé au moment de l'explosion, survenue aux environs de 6h30, au moyen d'une bombe placée sous une voiture. Selon des sources médicales interrogées par l'AFP, cinq personnes ont été blessées, deux policiers qui étaient en faction devant le consulat, et trois passants.
L'un de ces blessés aurait ensuite succombé à ses blessures.
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</article>FIRST IMAGE: #Cairo car bomb blast outside Italian consulate. http://ara.tv/5pegz #Egypt
L'école voisine a été touchée. Des canalisations ont explosé, provoquant l'immersion d'une partie des gravats et des trottoirs. Une foule importante s'est pressée sur les lieux, où, dans la pagaille, la police a reproché aux journalistes de s'être rendus «trop vite» sur place. Quatre d'entre eux ont été arrêtés, selon plusieurs tweets de correspondants, dont l'auteur des premières photos de la scène de l'explosion, qui commencent à circuler sur Twitter.Voilà ce qu'il reste de l'ambassade d'Italie pic.twitter.com/dxSV6BExMw
— F. Hume-Ferkatadji (@EfaSheef) 11 Juillet 2015«Retenus», non arrêtés, quatre journalistes étrangers ont été laissés libre vers 9h30 après un long contrôle.
«Bombe contre notre consulat au Caire, il n'y a pas de victime italienne. Nous sommes proches des personnes touchées et de notre personnel. L'Italie ne se laisse pas intimider», a réagi sur Twitter le ministre italien des Affaires étrangères, Paolo Gentiloni.
Bomba al nostro Consolato al #Cairo. Non risultano vittime italiane. Vicini alle persone colpite e al personale. Italia non si fa intimidire
On ignore pour le moment s'il s'agit d'un attentat. Selon Al Arabiya News, aucune revendication n'a pour le moment été formulée. Mais depuis que l'armée a destitué le président islamiste Mohamed Morsi en 2013, les attaques jihadistes se sont multipliées en Egypte, visant principalement les forces de l'ordre. Elles sont revendiquées par des groupes qui disent agir en représailles à la sanglante répression qui s'est abattue sur les pro-Morsi.
Les attentats les plus meurtriers ont été perpétrés dans le nord de la péninsule du Sinaï, où la branche égyptienne du groupe Etat islamique (EI) a notamment revendiqué une série d'attaques meurtrières contre l'armée le 1er juillet. Le Caire et les villes du Delta du Nil ne sont pas épargnées par ces attaques, qui ont tué des centaines de policiers et de soldats.
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Par marialis2.2 le 11 Juillet 2015 à 00:40
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Vaste coup de filet anti-djihadiste en Turquie
Les autorités turques ont interpellé ce vendredi lors d'une opération policière d'envergure dans quatre villes du pays, dont Istanbul, 21 personnes soupçonnées d'appartenir au groupe djihadiste Etat islamique (EI), a rapporté l'agence progouvernementale Anatolie. Parmi ces suspects interpellés à l'aube figurent trois ressortissants étrangers dont la nationalité n'a pas été précisée. Ces étrangers s'apprêtaient à passer en Syrie pour y combattre aux côtés de l'organisation djihadiste classée parmi les organisations terroristes en Turquie, selon Anatolie.
La police antiterroriste a réalisé ce coup de filet principalement à Istanbul mais aussi dans la ville voisine d'Izmit, à Sanliurfa (sud-est) et Mersin (sud). Dans les images diffusés sur ces raids, on peut voir les suspects conduits à des cars de police par des agents en civil, l'index de la main droite pointant vers le ciel en référence à l'unité" de Dieu, geste utilisé par les islamistes. Il s'agit de l'une des plus grosses opérations policières contre le groupe dans le pays.
La Turquie est considérée comme le principal point de passage des recrues, notamment européennes, de l'organisation djihadiste vers la Syrie, où elle contrôle de larges parties du territoire notamment le long de la frontière entre les deux pays. Le 1er juillet dernier, la police avait arrêté sept membres présumés de l'EI, dont certains ayant combattu en Syrie, dans l'ouest de la Turquie. Les pays occidentaux reprochent régulièrement au gouvernement islamo-conservateur d'Ankara sa neutralité voire sa complaisance vis-à-vis des organisations radicales en guerre contre le régime du président syrien Bachar al-Assad. La Turquie a toujours démenti ces allégations.
Depuis deux semaines, les médias turcs affirment que le gouvernement envisage une opération militaire en Syrie pour repousser loin de ses frontières les djihadistes et y empêcher en même temps la progression des forces kurdes, qui tiennent désormais une grande partie de la zone frontalière turco-syrienne.
Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a toutefois assuré la semaine dernière que son pays qui a sensiblement renforcé les mesures de sécurité sur sa frontière de 900 km avec la Syrie n'envisageait pas d'opération imminente en Syrie.
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Par marialis2.2 le 6 Juillet 2015 à 00:00
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Un raid aérien saoudien fait 30 morts
dans le nord du Yémen
<time>Publié le 05-07-2015 à 14h20 lien </time></header>SANAA (Reuters) - Des frappes aériennes de la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite ont tué une trentaine de civils sur un marché du nord du Yémen, rapporte dimanche l'agence de presse des Houthis alors que le médiateur des Nations unies est attendu à Sanaa pour des négociations avec les miliciens chiites en vue d'une trêve.
L'agence Saba précise que le raid aérien a visé le marché d'Aahem, dans la province d'Hadjjah. Des habitants joints par Reuters au téléphone ont confirmé qu'un bombardement avait eu lieu mais n'ont pas été en mesure de fournir un bilan.
Les Houthis ont de leur côté tiré des roquettes en direction de positions de l'armée saoudienne, ajoute Saba, évoquant la destruction de plusieurs véhicules blindés, dont un char, et la mort d'au moins un soldat saoudien.
L'émissaire de l'Onu, Ismaïl Ould Cheikh Ahmed, est de son côté attendu à Sanaa, où il devrait transmettre aux Houthis les demandes formulées lors des récentes discussions de Mascate, à Oman, notamment la garantie que la milice chiite et ses alliés ne poursuivra pas son offensive contre les derniers bastions du gouvernement en exil en cas de cessez-le-feu.
Les Nations unies ont demandé vendredi aux organisations humanitaires de se tenir prêtes à fournir de l'aide aux quelque 21 millions de Yéménites qui en ont besoin dans l'hypothèse de l'entrée en vigueur d'une nouvelle trêve humanitaire, sur le modèle de celle conclue pendant cinq jours en mai.
(Mohamed Ghobari; Tangi Salaün pour le service français)
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Par marialis2.2 le 5 Juillet 2015 à 23:52
Syrie: frappes américaines intenses
contre le fief de l'EI
Le 05 juillet à 14h16 | Mis à jour il y a 5 heures lien
<figure class="articleImage"> <figcaption class="caption">Des membres du groupe EI paradent dans les rues de Raqa le 30 juin 2014 (WELAYAT RAQA/AFP/Archives)</figcaption> </figure>
La coalition dirigée par les Etats-Unis a mené des raids aériens sans précédent sur Raqa, la capitale de facto du groupe Etat islamique en Syrie, faisant au moins 30 morts et endommageant des infrastructures utilisées par les jihadistes.
Par ailleurs, les forces du régime de Bachar al-Assad aidées par les miliciens du Hezbollah libanais ont pénétré dans la ville de Zabadani, l'une des dernières localités encore contrôlées par les rebelles dans la région du Qalamoun, près de la frontière libanaise.
Sur un autre front, celui d'Alep (nord), les combats se poursuivent entre les troupes gouvernementales et deux coalitions de rebelles qui cherchent à avancer dans la deuxième ville du pays.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a indiqué qu'à Raqa, au moins 30 personnes avaient péri samedi soir et dimanche matin dans les bombardements menés par les avions de la coalition antijihadiste.
Six civils dont un enfant, figurent parmi les morts et les autres victimes sont des combattants de l'EI, a souligné l'OSDH, basé en Grande-Bretagne.
"Les importantes frappes aériennes (...) ont été effectuées pour priver Daech (acronyme arabe de l'EI, ndlr) de la capacité de déplacer des matériels militaires à travers la Syrie et en direction de l'Irak", a expliqué le porte-parole de la coalition, le lieutenant-colonel Thomas Gilleran.
Il s'agit de "l'un des plus importants engagements que nous ayons menés jusqu'à présent en Syrie", a précisé le porte-parole, en indiquant que des bâtiments de l'EI et des routes avaient été détruits dans Raqa.
Les frappes "ont sévèrement réduit la liberté de mouvement des terroristes", a insisté le lieutenant-colonel Gilleran.
- Le Hezbollah combat -
Les raids sont survenus après la diffusion samedi par l'EI d'une vidéo montrant 25 soldats du régime syrien exécutés dans l'amphithéâtre de la cité antique de Palmyre (centre) par des adolescents.
Cette exécution se serait déroulée peu après la prise le 21 mai par les jihadistes de Palmyre, qui abrite des ruines antiques mondialement connues et classées par l'Unesco au patrimoine mondial de l'Humanité.
Dans la région du Qalamoun, les forces du régime appuyées par le Hezbollah sont entrées dans Zabadani, située à 20 km au nord de Damas, selon la télévision d'Etat.
"En coopération avec la résistance libanaise (Hezbollah), les soldats ont pris le contrôle du quartier de al- Jamaiyat, à l'ouest de Zabadani et de celui de al-Sultana, à l'est de la ville", a-t-elle rapporté. Les opérations, qui se poursuivaient, ont fait des dizaines de tués et blessés chez les rebelles.
Selon l'OSDH, au moins 14 membres des forces du régime et du Hezbollah ont été tués dans les combats depuis 24 heures, ainsi qu'au moins 11 rebelles.
A Alep, les combats se poursuivaient entre les forces gouvernementales et deux coalitions rebelles cherchant à capturer les quartiers ouest de la deuxième ville de Syrie, tenus par le régime.
Selon l'Observatoire, une offensive menée par des rebelles islamistes et le Front al-Nosra, branche syrienne d'al-Qaïda, contre le quartier de Zahra, a échoué, mais les combats se poursuivaient à la périphérie du quartier.
Une deuxième coalition, Fatah Halab, composée de rebelles plus modérés, a pris un barrage militaire dans un quartier, que les forces du régime s'efforçaient dimanche de récupérer.
Alep, ancienne capitale économique de Syrie, n'avait pas connu de fortes évolutions depuis sa division en juillet 2012 entre secteurs aux mains des rebelles à l'est et quartiers contrôlés par le régime à l'ouest.
Les combats de ces derniers jours ont été parmi les plus féroces à Alep depuis 2012, avec des centaines d'obus et roquettes tombés sur les quartiers des deux côtés.
Plus de 230.000 personnes ont été tuées dans le conflit en Syrie qui a commencé en mars 2011.
Source : AFP
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Par marialis2.2 le 4 Juillet 2015 à 20:48
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La vidéo d'une exécution de masse à Palmyre,
publiée par le groupe EI
C'est devenu une habitude. Le groupe Etat islamique vient d epublier une nouvelle vidéo de propagande dans laquelle il exécute des soldats syriens.
Source AFPPublié le <time datetime="2015-07-04T19:40" itemprop="datePublished">04/07/2015 à 19:40</time> | Source Le Point.frlienUn site de propagande djihadiste, photo d'illustration. ©SEBASTIEN SALOM-GOMIS/SIPA
</figcaption></figure></header> <aside class="like-aside-left mw100 sticky" data-sticky="top:90px" id="aside-left" style="top: 49px;"> </aside>Le groupe extrémiste sunnite Etat islamique (EI) a diffusé samedi une vidéo montrant 25 soldats du régime syrien exécutés par des adolescents dans l'amphithéâtre de la cité antique de Palmyre.
Des adolescents aux commandes
La vidéo d'une dizaine de minutes, diffusée par l'antenne de l'EI de la province de Homs, montre une exécution qui se serait déroulée peu après la prise le 21 mai par les djihadistes de la ville de Palmyre (centre), qui abrite des ruines antiques mondialement connues et classées par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité.
On y voit 25 soldats en uniforme vert et brun être tués à bout portant dans le théâtre devant un immense drapeau noir et blanc du groupe suspendus aux ruines. Les auteurs de l'exécution, habillés en tenue de camouflage, semblent être des adolescents, dont certains très jeunes.
Des soldats alaouites
Plusieurs dizaines d'hommes, accompagnés de quelques enfants, assistent à la scène, assis dans les gradins de l'amphithéâtre, selon la vidéo.
Avant l'exécution, un jeune jihadiste accuse les soldats d'être des "Nossaris", un terme péjoratif donné aux alaouites, la communauté dont est issu le président Bachar al-Assad. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) avait fait état le 27 mai de l'exécution d'une vingtaine de combattants du régime dans le théâtre romain.
Une arme de propagande
L'EI a diffusé de multiples vidéos d'exécution par des méthodes barbares depuis que ce groupe ultra-radical a pris le contrôle de larges pans de territoire en Syrie et en Irak, où il a proclamé un "califat". Ces vidéos insoutenables sont devenues sa principale arme de propagande.
Le 23 juin, une vidéo montrait ainsi l'exécution particulièrement cruelle de 16 hommes présentés comme des "espions", dont certains meurent noyés dans une cage plongée dans une piscine.
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