• Au moins 17 policiers tués par les talibans

    dans le sud

    AfghanistanL'attaque s'est produite dans le district de Musa Qala, dans la province du Helmand, un bastion des talibans, qui ont revendiqué l'opération dans la journée de samedi.

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    Les talibans, particulièrement actifs dans le sud et l'est de l'Afghanistan, ont récemment lancé leur offensive de printemps.

    Les talibans, particulièrement actifs dans le sud et l'est de l'Afghanistan, ont récemment lancé leur offensive de printemps. <nobr>Image: Keystone</nobr>

     

    Au moins 17 policiers ont été tués samedi matin dans l'attaque de leur barrage par des talibans dans le sud de l'Afghanistan, a-t-on appris auprès des autorités locales.

    L'attaque s'est produite dans le district de Musa Qala, dans la province du Helmand, un bastion des talibans, qui ont revendiqué l'opération dans la journée de samedi.

    Dans la nuit de vendredi à samedi, «plusieurs dizaines de talibans armés ont attaqué un barrage de la police dans le district de Musa Qala. Au cours de l'attaque, 17 policiers ont été tués et trois autres ont été blessés», a déclaré à l'AFP Nabi Jan Mullahkhil, le chef de la police de la province du Helmand.

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    Début de l'offensive de printemps

    Le bilan a été confirmé par Omar Zouak, porte-parole du gouverneur de cette province méridionale.

    Les talibans, particulièrement actifs dans le sud et l'est de l'Afghanistan, ont récemment lancé leur offensive de printemps qui s'est traduite par de violents combats dans plusieurs provinces du pays, ainsi qu'une série d'attaques à Kaboul.

    Ils ciblent généralement la police et l'armée afghanes.

    (smk/afp/Newsnet)

    (Créé: 13.06.2015, 11h25)

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    Après l'attentat manqué de Louxor,

    l'Egypte

    craint pour son tourisme

    <time>Publié le 11-06-2015 à 14h12Mis à jour à 17h22  lien </time>
     
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    Des touristes visitent le temple de Karnak à Louxor, le 11 juin 2015 au lendemain d'une attaque suicide déjouée (c) AfpDes touristes visitent le temple de Karnak à Louxor, le 11 juin 2015 au lendemain d'une attaque suicide déjouée (c) Afp
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    Louxor (Egypte) (AFP) - L'attaque-suicide déjouée de justesse au célèbre temple de Karnak à Louxor laissait craindre jeudi une nouvelle désaffection des touristes et des investisseurs étrangers en Egypte, qui tente de se relever après quatre années de chaos politique et économique.

    Les attentats et attaques-commando, très fréquents en Egypte depuis que l'armée a renversé en 2013 le président islamiste Mohamed Morsi, visaient jusqu'alors exclusivement les forces de sécurité, en représailles, selon leurs auteurs, à la sanglante répression des partisans de M. Morsi par le nouveau pouvoir.

    Mais d'après des experts les jihadistes ont manifestement décidé de changer de cible et de frapper le pays à son talon d'Achille: le tourisme, l'un des piliers d'une économie égyptienne en piteux état, et les investissements étrangers, afin d’affaiblir le gouvernement du président Abdel Fattah al-Sissi, le tombeur de M. Morsi.

    Jeudi matin, davantage de policiers que de touristes se trouvaient ainsi dans les rues de Louxor, notamment aux abords des nombreux sites de l'Egypte antique que recèle cette ville de 1,5 million d'habitants.

    La veille, la police a déjoué une attaque-suicide de justesse, empêchant un massacre dans l'enceinte de Karnak, célèbre complexe religieux construit sur 2.000 ans et qui porte la marque de dizaines de dynasties de pharaons.

    Sur le parking du temple, seuls sept autocars et trois minibus stationnaient à 10H00, l'heure de l'attaque la veille, alors qu'ils peuvent être des dizaines dès l'aube.

    Dans le temple, à une cinquantaine de mètres de là où un kamikaze a déclenché sa veste bourrée d'explosifs et les policiers ont tué un de ses complices et blessé un troisième, environ 200 touristes déambulaient entre la fameuse allée des sphinx à tête de bélier et les pylônes de la salle hypostyle du temple du dieu Amon.

    La veille au moment de l'attaque, ils étaient 604 visiteurs, selon la police qui les avait consignés et protégés à l'intérieur du temple dès l'explosion.

    "C'est certain, il y a moins de touristes qu'hier, des voyages organisés ont été annulés en provenance de Hourghada", sur la mer Rouge, a déclaré à l'AFP Salah al-Masekh, le directeur des fouilles à Karnak.

    - Massacre évité -

    Juin est l'un des mois de la saison basse pour le tourisme en Haute-Egypte, touchée par une chaleur suffocante.

    Si le tourisme ne s'est jamais relevé des quatre années de chaos politique depuis la révolte populaire qui a chassé le président Hosni Moubarak du pouvoir en 2011, les visiteurs étrangers ont fait leur réapparition à l'automne et l'hiver dernier.

    A une bien moins grande échelle bien entendu que par le passé. En 2010, plus de 14 millions de touristes avaient visité l'Egypte. Un chiffre record, qui tranche avec les 9,9 millions en 2014, essentiellement concentrés dans les stations balnéaires de la mer Rouge, la plupart ayant déserté les joyaux de l'Egypte pharaonique.

    Le ministre du Commerce et de l'Industrie, Mounir Fakhry Abdel Nour, avait en février fait part à l'AFP de l'optimisme de son gouvernement, qui souhaite attirer pas moins de 25 millions de touristes et générer des revenus de 20 milliards de dollars annuels, "une fois la sécurité rétablie dans le pays et surtout dans la région".

    Mercredi, la police a estimé avoir "évité un massacre" à Karnak, car les trois assaillants étaient munis, outre d'une veste d'explosifs, de fusils-mitrailleurs et de 19 chargeurs remplis.

    Mais le parquet de Louxor comme de nombreux témoins, ont accusé jeudi les policiers de ne pas avoir fait correctement leur travail, assurant que le massacre a été évité grâce à la présence d'esprit du chauffeur du taxi des assaillants. Ce dernier a averti la police de l'attitude suspecte de ses clients, alors attablés à un café face à l'endroit où les bus débarquent leurs touristes.

    Jeudi, un imposant dispositif policier quadrillait la ville, notamment aux abords de chacun des nombreux sites archéologiques. Des picks-up et camions remplis de policiers d'élite la tête couverte par une cagoule patrouillaient autour de chaque vestige, une activité inhabituelle selon les habitants.

    Dès mercredi soir, le président Abdel Fattah al-Sissi a rencontré d'urgence son Premier ministre Ibrahim Mahlab et son ministre de l'Intérieur, le général Magdi Abdel Ghaffar, pour leur signifier "la nécessité d'intensifier la présence de la sécurité dans les régions vitales, y compris les sites archéologiques".


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    Belgique: coup de filet chez les jihadistes tchétchènes,

    pas de projet d'attentat

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    - Publié le <time datetime="2015-06-08T19:04" itemprop="datePublished" pubdate=""> 08/06/2015 à 19:04</time> - Modifié le <time datetime="2015-06-08T21:44" itemprop="dateModified"> 08/06/2015 à 21:44</time>

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    <figure class="media_article media_article_afp" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin-top:10px"> L'opération policière était le fruit de deux enquêtes visant deux groupes d'islamistes tchétchènes distincts mais en contact. Elles avaient donc été regroupées sous la supervision du Parquet fédéral, chargé des questions de terrorisme. </figure>

    La Belgique a procédé lundi à une vaste coup de filet dans les milieux jihadistes tchétchènes, mais les éléments recueillis lors des perquisitions n'ont pas confirmé qu'un attentat sur le sol belge était en préparation, a indiqué le Parquet fédéral.

    Les autorités judiciaires avaient fait état en milieu de journée d'une vague de 21 perquisitions, menées principalement en Flandre (nord), et de 16 interpellations.

    L'opération policière était le fruit de deux enquêtes visant deux groupes d'islamistes tchétchènes distincts mais en contact. Elles avaient donc été regroupées sous la supervision du Parquet fédéral, chargé des questions de terrorisme.

    Dans le premier volet, un groupe basé près de Louvain (centre) était suspecté de préparer un attentat dans le royaume, même si la justice ne pensait pas que l'attaque était imminente, selon le parquet. Quatre personnes avaient été interpellées.

    Mais les "différentes perquisitions n'ont pas donné jusqu'à présent d'éléments susceptibles de confirmer les indices initiaux de la préparation d'un attentat en Belgique", a annoncé dans la soirée le parquet, précisant que les quatre ont été "remis en liberté après audition, dans l'attente des suites ultérieures de l'instruction".

    La seconde enquête visaient des suspects "surtout domiciliés" à Ostende et Bredene, deux communes du littoral, et tournait autour d'une "personne d'Ostende" ayant "participé au jihad en Syrie", où il a "été blessé" avant de "rentrer en Belgique" pour se soigner.

     

    - Al-Qaïda et Emirat du Caucase -

     

    Contrairement à la cellule de Louvain, il n'a jamais été question de préparation d'un attentat, mais d'une filière de recrutement.

    Douze personnes avaient été interpellées dans ce cadre lundi matin, mais seules deux "ont été placées sous mandat d'arrêt (inculpées et mises en détention provisoire, en droit belge) par le juge d'instruction", a expliqué lundi soir le parquet.

    "Trois personnes" qui n'ont "pas pu être trouvées" vont faire l'objet d'un mandat d'arrêt par défaut, selon la même source, tandis que les autres suspects "ont été libérés après audition".

    Depuis le début de l'année, les enquêteurs avaient recueilli des éléments indiquant que des membres de la cellule d'Ostende "auraient été actifs en Syrie", "notamment dans les alentours d'Alep", et qu'ils "auraient probablement participé aux combats".

    "Des personnes en Belgique ont été encouragées" par les suspects à "participer à ces combats". Cette filière compterait "des Tchétchènes qui ont eu une formation et acquis de l'expérience entre autres en Syrie, Tchétchénie et en Afghanistan", selon le parquet.

    La justice belge estime que leurs activités étaient "orientées vers les groupes terroristes Jabhat al-Nosra (Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda; ndlr) et l'Emirat du Caucase", rébellion armée islamiste active dans le Caucase russe.

    Les enquêteurs, a-t-on fait valoir au parquet, ont "collaboré étroitement avec les autorités américaines" pour "contrôler la communication par Whatsapp", application de messagerie pour smartphone utilisée par les suspects.

     

    - 'Travail acharné' contre le terrorisme -

     

    Le Premier ministre belge, Charles Michel, a en milieu d'après-midi "salué" le "travail acharné des services de police et de justice, qui ont, une fois encore, démontré la pleine mobilisation et l'entière détermination des autorités à combattre sans relâche le terrorisme".

    "Nous ne laisserons jamais la moindre place dans notre démocratie pour toutes ces personnes qui représentent une véritable menace pour nos concitoyens", a-t-il ajouté, alors que la Belgique est l'un des pays européens les plus concernés par le départ de combattants en Syrie, avec 300 à 400 ces dernières années.

    Ce coup de filet survient près de cinq mois après le démantèlement à Verviers (sud-est), au lendemain des attentats de Paris, d'une cellule qui s'apprêtait à des attentats imminents contre les forces de l'ordre, selon les autorités belges.

    Deux suspects avaient été tués lors de l'assaut, tandis que "cerveau" présumé de la cellule, Abdelhamid Abaaoud, qui aurait réussi à gagner la Syrie, reste introuvable.

    Depuis lors, l'armée s'est déployée en Belgique pour protéger des endroits sensibles.

    L'opération intervient aussi douze mois après l'attentat au Musée juif de Bruxelles, qui avait fait quatre morts. Le principal suspect, Mehdi Nemmouche, incarcéré en Belgique, était allé combattre en Syrie.

    08/06/2015 21:40:52 - Bruxelles (AFP) - Par Philippe SIUBERSKI - © 2015 AFP

    </article>

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    <figure><figcaption>

    Deux hommes arrêtés par la cellule antiterroriste

    dans l'affaire Sid Ahmed Ghlam

    La sous-direction antiterroriste a interpellé deux hommes ce dimanche 7 juin dans les Yvelines. Ils auraient un lien avec l'attentat déjoué en avril dernier à Paris.

    (FRANCE 2)

    </figcaption></figure><section class="byline clearfix">

    Mis à jour le <time datetime="2015-06-07T16:13:06+02:00" itemprop="dateModified">07/06/2015 | 16:13</time> , publié le <time datetime="2015-06-07T16:13:06+02:00" itemprop="datePublished">07/06/2015 | 16:13</time>

    </section>

     

     

    Sid Ahmed Ghlam avait été arrêté en avril dernier, soupçonné de préparer des attentats contre des églises catholiques à Villejuif, en région parisienne. Ce dimanche 7 juin, deux hommes suspectés d'être ses complices ont été interpellés dans les Yvelines par la sous-direction antiterroriste. "Ils ont 35 et 39 ans et auraient pu fournir un soutien logistique à Sid Ahmed Ghlam, également soupçonné d'avoir tué une jeune femme, Aurélie Châtelain, pour lui dérober sa voiture", précise Clément Le Goff, en direct devant le Quai d'Orsay.

    Interrogés par les services antiterroristes

    Les deux hommes sont actuellement interrogés par les enquêteurs des services antiterroristes, sur leur éventuelle responsabilité dans la préparation des attentats. "Leur garde à vue pourrait durer jusqu'à 96 heures", conclut le journaliste.


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    Séjour irrégulier : le père de Mohamed Merah

    expulsé vers Oran

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-06-05T12:13" itemprop="datePublished" pubdate=""> 05/06/2015 à 12:13</time> - Modifié le <time datetime="2015-06-05T14:50" itemprop="dateModified"> 05/06/2015 à 14:50</time>

    Mohamed Benalel Merah, Algérien de nationalité, a fait l'objet d'une "procédure d'éloignement", à laquelle il n'a pas opposé de recours.

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    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> L'enterrement du tueur au scooter a eu lieu sous surveillance policière le 29 mars 2012 au cimetière de Cornebarrieu, dans la banlieue de Toulouse. <figcaption>L'enterrement du tueur au scooter a eu lieu sous surveillance policière le 29 mars 2012 au cimetière de Cornebarrieu, dans la banlieue de Toulouse. © ERIC CABANIS / AFP </figcaption> </figure>
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    Le père algérien de l'auteur des attentats de Toulouse et de Montauban Mohamed Merah, illégalement présent en France depuis des semaines, a finalement été interpellé vendredi et expulsé vers son pays. Selon une source proche du dossier, confirmant une information de i&gt;Télé, Mohamed Benalel Merah a été arrêté non loin du cimetière de Cornebarrieu, en banlieue toulousaine. C'est là qu'a été inhumé son fils, tué par les forces de l'ordre après l'assassinat en mars 2012 de sept personnes, des militaires et des juifs, dont trois enfants.

    Il a été entendu en fin de matinée par la police aux frontières de Toulouse dans le cadre d'une procédure de droit au séjour, a-t-on ajouté de source policière. Il a ensuite fait l'objet en début d'après-midi d'une "procédure d'éloignement", à laquelle il n'a pas opposé de recours, avant d'être embarqué à Toulouse dans un avion à destination d'Oran, a-t-on précisé de source policière. Un vol Air Algérie a décollé de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à 13 h 29. Les autorités aéroportuaires locales n'ont pas été en mesure de confirmer que Mohamed Merah père était à bord.

    Le père du tueur au scooter, "plutôt installé en Algérie" selon la préfecture, avait sollicité en mars le renouvellement de sa carte de résident à Toulouse, qui lui a été refusé le 9 avril, un mois avant la fin de sa validité. Mohamed Merah fils, un jeune délinquant toulousain de 23 ans, s'était lancé dans une série d'expéditions djihadistes, à scooter : il avait successivement tué un militaire, le 11 mars 2012 à Toulouse, puis deux autres, à Montauban le 15, et enfin trois enfants juifs et un enseignant, père de deux d'entre eux, le 19 mars à l'école juive Ozar Hatorah (rebaptisée Ohr Torah) à Toulouse.

    Mesure annoncée, mesure exécutée

    Albert Chennouf, dont le fils militaire est l'une des victimes à Montauban du tueur islamiste franco-algérien, avait dit vendredi matin "espérer" qu'on l'autoriserait à rencontrer Mohamed Merah père. "J'espère qu'on me laissera lui poser des questions sur les vidéos qu'il dit avoir", avait-il déclaré à l'AFP dans la matinée, après être revenu cette semaine chez lui à Nîmes bredouille d'un voyage à Toulouse pour rencontrer le père du tueur. Mohamed Benalel Merah avait affirmé avoir reçu des vidéos réalisées par son fils avec son téléphone lors de ses derniers moments, prouvant selon lui que son fils, retranché dans son appartement toulousain, avait été "éliminé" par les policiers du Raid, contre lesquels il avait déposé une plainte pour "meurtre".

    Éric Ciotti (Les Républicains, ex-UMP) avait réclamé mardi "l'expulsion immédiate" de France du père du tueur Mohamed Merah, Bernard Cazeneuve répondant devant l'Assemblée que l'obligation de quitter le territoire "sera exécutée". "Si le père de Mohamed Merah a pu séjourner en France et est revenu en France, c'est que, depuis trente ans, il bénéficiait d'un titre de séjour, qui la dernière fois a été renouvelé en 2005", avait répondu le ministre de l'Intérieur lors des questions au gouvernement devant l'Assemblée nationale. "Lorsqu'il y a le refus du renouvellement d'une carte de résident, ça vaut obligation de quitter le territoire", avait-il poursuivi. "Cette obligation est désormais exécutoire et elle sera exécutée", a-t-il martelé.

    La carte de dix ans ne peut être annulée en cours de validité. "Toutes les mesures sont prises pour que la situation de M. Merah (...) soit traitée par une mesure d'éloignement prise en conformité avec le droit applicable", avait-on précisé dans l'entourage du ministre.

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