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    Texas : fusillade lors d'un concours

    de caricatures de Mahomet

    <time datetime="2015-05-04T06:29:37Z" itemprop="datePublished">Publié à 06h29, le 04 mai 2015</time><time datetime="2015-05-04T10:59:04Z" itemprop="dateModified">, Modifié à 10h59, le 04 mai 2015</time>

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    Texas : fusillade lors d'un concours de caricatures de Mahomet
    <figcaption> © AFP/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/MIKE STONE </figcaption></figure>

    Les deux hommes armés qui ont fait irruption lors d'un concours de caricatures de Mahomet ont été abattus.

    Deux hommes armés se sont attaqués à un bâtiment où se tenait un concours de caricatures de Mahomet, dimanche dans une banlieue de Dallas, au Texas dans le sud des Etats-Unis. Ils ont été abattus après avoir ouvert le feu, ont annoncé les autorités.

    Un officier blessé. Les deux hommes "se sont approchés en voiture" du Curtis Culwell Center de Garland, alors que s'achevait un concours de caricatures de Mahomet. Ils ont "ouvert le feu" contre un officier de sécurité de la ville, indique la ville de Garland. Deux policiers ont alors répliqué et ont abattu les deux hommes, ajoute le communiqué qui précise que les blessures de l'officier de sécurité ne mettent pas sa vie en danger.

    La police de Garland estime que le véhicule en cause pourrait contenir des explosifs et une équipe de démineurs est sur place. Les commerces environnants ont été évacués, de même que le centre où se déroulait l'événement.

    Pour l'heure, on ignore toujours l'identité des deux tireurs mais la police s'intéresse de près à un compte Twitter qui évoquait une attaque au Texas avant la fusillade, selon la presse locale.

    Texas : fusillade lors d'un concours de caricatures de Mahomet

    © AFP/GEERT WILDERS

    Un événement controversé. Le concours de caricatures organisé par l'association "American Freedom Defense Initiative", connue pour ses positions anti-islamistes, était présenté comme un événement pour la "liberté d'expression". 300 personnes y participaient, selon le journal américain Dallas News. Parmi les invités, Geert Wilders, le dirigeant du Parti pour la liberté, l'extrême-droite néerlandaise . Dans un email, l'homme politique s'est déclaré "choqué" et a dénoncé une "atteinte aux libertés de tous". Précisant être "en sûreté", il a indiqué qu'il "venait de parler pendant une demi-heure des caricatures, de l'islam et de la liberté d'expression et venait de quitter les locaux". "J'espère que l'officier de sécurité va bien", a-t-il ajouté.

    Un enregistrement audio dévoilé par Associated press fait entendre un policier qui vient sécuriser les lieux, à l'intérieur du bâtiment. Une des personnes présentes lui demande alors : "Les suspects sont-ils musulmans ?". "Aucune idée, pour l'instant", répond l'officier, ce qui suscite un rire nerveux dans la salle.

    Un des témoins interrogés par le quotidien indique que les organisateurs "s'attendaient à des manifestations devant le bâtiment". Une association prônant les relations entre Américains et musulmans avait de son côté encouragé la communauté musulmane à "ignorer activement" la provocation. L'organisatrice a, de son côté, ajouté que la fusillade prouvait "à quel point l'événement était nécessaire".

    Geert Wilders, célèbre pour ses diatribes anti-islam, avait auparavant commenté l'incident sur Twitter : "Tirs à Garland, au concours de caricatures de Mahomet pour la liberté d'expression. Je viens juste de quitter le bâtiment #garlandshooting".

     


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  • Plus de cent Français djihadistes

    sont morts en Irak et en Syrie

    par Rédaction de France Info samedi 2 mai 2015 23:33
    Le gouvernement a mis en ligne un site spécialisé, http://www.stop-djihadisme.gouv.fr/, destiné à lutter contre la propagande djihadiste sur internet © Maxppp

    Les djihadistes partis de France pour rejoindre la Syrie et l'Irak sont de plus en plus nombreux à y laisser la vie. La barre des cent morts est franchie, annoncent ce samedi soir les services antiterroristes français. Ils ont identifié cent quatre personnes exactement. Parmi elles, deux adolescents de 12 et 14 ans qui avaient quitté Toulouse il y a deux ans.

    Selon un décompte des services antiterroristes, qui ne précise pas la période concernée, la barre des cent morts parmi les islamistes partis de France pour mener le djihad en Syrie et en Irak a été franchie. "Cela montre bien qu'il est impératif de tout faire pour empêcher les candidats au djihad de partir", a déclaré à Reuters le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre-Henry Brandet. 

    Selon lui, il y a actuellement "un peu moins de 450" islamistes français en Syrie et en Irak aux côtés des combattants de l'organisation Etat islamique. Mais 1.864 familles ont appelé en un an le numéro vert mis en place par les autorités françaises le 29 avril 2014 dans le cadre de la lutte contre la radicalisation islamiste, précise Pierre-Henry Brandet. "Cela a permis d'enclencher un suivi dans plusieurs centaines de cas", ajoute-t-il.

    A LIRE AUSSI | Les propositions du Sénat pour lutter contre le djihadisme 


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    Nigeria: 300 filles et femmes sauvées

    des mains de Boko Haram

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-04-28T22:27" itemprop="datePublished" pubdate=""> 28/04/2015 à 22:27</time>

    L'armée nigériane n'a cependant pas dit s'il s'agissait des lycéennes enlevées à Chibok par le groupe islamiste, le 14 avril 2014.

    lien

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> L'armée nigériane a annoncé que plus de 200 filles ont été sauvées d'un fief de Boko Haram. <figcaption>L'armée nigériane a annoncé que plus de 200 filles ont été sauvées d'un fief de Boko Haram. </figcaption></figure></header></article>         © Sunday Aghaeze / AFP  
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    </header>

    L'armée nigériane annonce avoir sauvé 200 filles et 93 femmes dans un fief du groupe islamiste Boko Haram. Pour l'heure, elle n'a pas dit si certaines d'entre elles faisaient partie des jeunes filles enlevées à Chibok il y a un an. "Les troupes ont pris et détruit cet après-midi trois camps de terroristes dans la forêt de Sambisa", un des principaux repaires de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, a déclaré le porte-parole de l'armée Chris Olukolade dans un communiqué, faisant référence à un district de l'Etat de Borno (nord-est).

    "Il n'est pour l'instant pas confirmé que les filles soient celles de Chibok. On vérifie l'identité des personnes libérées", a-t-il ajouté.

    Aucun signe des 219 otages

    Le 14 avril 2014, 276 lycéennes ont été enlevées par les islamistes de Boko Haram dans le dortoir de leur lycée pour filles de Chibok.

    Cinquante-sept adolescentes ont réussi à s'enfuir dans les heures qui ont suivi le kidnapping. Mais on n'a aucun signe de vie des 219 otages, depuis la vidéo diffusée en mai 2014 par Boko Haram, qui montrait une centaine de lycéennes voilées, récitant des sourates du Coran.

    </article>

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    Des islamistes enlèvent 300 Kurdes

    dans le nord de la Syrie

    lien
    <figure class="img"> <figcaption>© Zein al-Rifai, AFP | Le rapt a été confirmé par un autre responsable du PYD et un journaliste d'Afrine, qui a précisé que les femmes qui se trouvaient dans le bus avaient été libérées. </figcaption> </figure>

    Texte par FRANCE 24

    Dernière modification : 06/04/2015

    </header>

    Quelque 300 civils kurdes ont été enlevés par des combattants islamistes, lundi, dans le nord-ouest de la Syrie, selon des sources kurdes, qui ont accusé les jihadistes du Front al-Nosra, très actifs dans la province d'Idleb.

    Des combattants islamistes ont enlevé, lundi 6 avril, quelque 300 civils kurdes à un point de contrôle dans la province d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, ont indiqué des sources kurdes. L'auteur de ce rapt n'a pas été identifié, même si des responsables kurdes ont accusé les jihadistes du Front al-Nosra. Très actifs dans cette province, alliés à d'autres groupes islamistes, ils combattent notamment le régime syrien.

    >> À lire sur France 24 : "Idleb, une perte symbolique pour Bachar al-Assad"

    Le rapt a été confirmé par un autre responsable du PYD et un journaliste d'Afrine, qui a précisé que les femmes se trouvant dans les bus avaient été libérées tandis que les hommes et les enfants avaient été emmenés par les ravisseurs.

    "Un groupe de 300 personnes à bord de cinq bus et d'un minibus venant la localité kurde d'Afrine ont été enlevées à un barrage de rebelles islamistes, alors qu'elles se rendaient à Alep pour percevoir leur salaire", a affirmé à l'AFP Nawaf Khalil, porte-parole du Parti de l'Union démocratique (PYD) en Europe. Les Kurdes ont été enlevés "à Ad-Dana, qui est sous le contrôle de factions islamistes et de Nosra" depuis le 28 mars, selon le journaliste Ali Abdel Rahmane.

    Le Front al-Nosra pointé du doigt

    Si le PYD a pointé du doigt le Front al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda, le journaliste et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) n'étaient pas certains du nom du groupe auquel appartiennent les ravisseurs. L'OSDH n'était pas non plus en mesure de dire combien de personnes avaient été enlevées.

    Selon cette ONG basée en Angleterre, qui dispose d'un vaste réseau de militants et de sources médicales en Syrie, les ravisseurs ont demandé, via les femmes relâchées, la libération de trois de leurs hommes arrêtés par les autorités à Afrine.

    Il n'y avait pas dans l'immédiat de confirmation de cette demande de la part du PYD ou d'habitants d'Afrine, une ville sous le contrôle kurde.

    Avec AFP


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    LEAD 1-Nigeria-Boko Haram massacre

    24 personnes dans un village du Nord-Est

    <time>Publié le 06-04-2015 à 18h25  lien </time>

     

    <article>

    MAIDUGURI, 6 avril (Reuters) - Des islamistes du groupe Boko Haram se faisant passer pour des prédicateurs ont tué au moins 24 personnes dans un village de l'Etat de Borno, dans le nord-est du Nigeria, ont rapporté lundi un témoin et une source militaire.

    Les assaillants sont arrivés en voiture dimanche soir dans le village de Kwajafa et ont rassemblé des habitants aux abords d'une mosquée en se présentant comme des prédicateurs. C'est alors qu'ils ont ouvert le feu sur la foule, a rapporté un témoin, Simeon Buba.

    "Les gens ignoraient qu'il s'agissait d'hommes de Boko Haramvenus pour attaquer, car ils ont menti en assurant être des prédicateurs", a déclaré ce témoin. "Ils se sont mis à tirer sur eux et ont tué beaucoup de gens", a-t-il dit, ajoutant que des maisons avaient été incendiées.

    Certaines personnes, blessées ou brûlées, ont été évacuées vers l'hôpital de la ville de Biu, dans l'Etat de Borno. (Lanre Ola; Eric Faye pour le service français)

    </article>

     

     

    Sur le web : Nigéria : Malam Fatori, village désert après le départ de Boko Haram
     

     

     

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