• Sarkozy bientôt conférencier à New York

     

    Par Alexandre Kara et Fabienne Cosnay

    Publié le 20 septembre 2012 à 07h59 Mis à jour le 20 septembre 2012 à 11h23  lien
    lien

     
     

    © REUTERS

    INFO E1 - L'ancien président s'exprimera devant des acteurs économiques en octobre.

    Nicolas Sarkozy dans le rôle du conférencier. L'ex-président de la République tiendra sa première conférence d'ici un mois, à New York, selon les informations recueillies par Europe 1. Il prendra la parole devant des acteurs économiques du monde entier. Cette conférence est programmée pour la deuxième quinzaine d’octobre.

    Une ou deux autres interventions sont aussi d'ores et déjà prévues, dont peut-être une à Londres. Depuis son retrait de la vie politique, Nicolas Sarkozy aurait reçu pas moins d’une centaine d’invitations pour diverses manifestations. Entre deux rendez-vous avec d’anciens proches, l’ancien chef de l’Etat travaille beaucoup sur les dossiers internationaux. Il a vu récemment Reza Pahlavi, le fils du chah d’Iran ou encore l’ancien chef du gouvernement, José Maria Aznar.

    "Gagner de l'argent"

    Son nouveau job devrait s'avérer très lucratif. "Mon avenir immédiat, c'est de faire quelque chose d'utile et qui permette de gagner de l'argent. J'ai trouvé", a confié dimanche l’ancien président au JDD. Des propos qui rappellent une confidence au Point en 2008 : "Je fais ça pendant cinq ans, et ensuite, je pars faire du fric comme Clinton, 150.000 euros la conférence".

    Fin août, une banque publique d'investissement, Morgan Stanley, s’était dite prête à débourser jusqu'à 250.000 euros pour 45 minutes de conférence de Nicolas Sarkozy, photos comprises, selon des informations du Canard Enchaîné.

    Pour autant, Nicolas Sarkozy se laisse le temps de revenir (ou pas) dans l’arène politique. "De toute façon, politiquement, rien n’est possible avant au moins deux ans", a-t-il confié à l’un de ses visiteurs.


    votre commentaire
  •  

    RSS

    Le Point.fr - Publié le 19/09/2012 à 11:06 - Modifié le 19/09/2012 à 18:19

    Franz-Olivier Giesbert s'en prend à la société de l'hypocrisie dans laquelle nous vivons aujourd'hui.

    Photo d'illustration

    Photo d'illustration © Carlos Barba / Maxppp


     

    L'appel lancé par Brigitte Bardot, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon contre la corrida est un bel exemple de la société de l'hypocrisie dans laquelle nous vivons aujourd'hui. En demandant au Conseil constitutionnel, qui doit se prononcer ce vendredi, d'interdire la tauromachie, ils incarnent tout à fait l'état d'esprit d'une époque qui accepte la souffrance animale dès lors qu'elle n'est pas visible.

    N'étant pas aficionado, mais ayant assisté à plusieurs corridas, je ne ferai pas l'éloge de la tauromachie et n'en suis que plus à l'aise pour dire qu'il se passe aujourd'hui dans certains de nos abattoirs des choses bien plus scandaleuses et répugnantes que dans les arènes du Sud. Seulement voilà, elles se passent derrière des murs qui étouffent les cris des bêtes. Elles ne gênent donc pas les tartuffes du XXe siècle qui ne supportent pas la vue du sang dans une corrida ou d'une partie de chasse.

    Cachez ce sang qu'on ne saurait voir

    Je ne parle pas de tous les abattoirs de l'Hexagone. Il en est quelques-uns, comme à Sisteron, le premier de France pour les ovins, qui font tout pour limiter la souffrance des bêtes. Mais la France n'a jamais été championne en matière de bien-être animal et les dérives de l'abattage rituel n'ont, de surcroît, rien arrangé.

    Qui sait qu'un taureau mettra plus de temps à mourir s'il est saigné en abattoir sans être étourdi auparavant que s'il est soumis aux rites de la tauromachie ? Quelle sera la plus belle mort ? Mais comme dirait Molière, dans cette affaire, il s'agit surtout de cacher ce sang qu'on ne saurait voir. Tuez, bonnes gens, massacrez et torturez, pourvu qu'on n'entende rien et que ce soit à l'abri des regards ! Aux "Sages" du Conseil constitutionnel de nous montrer, vendredi, s'ils sont ou non des enfants de Tartuffe. En espérant qu'ils ouvriront enfin, un jour, le dossier de la souffrance animale dans tous les domaines.


    votre commentaire
  • François Chérèque quittera la tête de la CFDT en novembre

    Mots clés : , , ,

    Par Marc Landré Publié <time datetime="19-09-2012T00:02:00+02:00;" pubdate="">le 19/09/2012 à 00:02</time> Réactions (2)
    François Chérèque (à gauche) et Laurent Berger.
    François Chérèque (à gauche) et Laurent Berger. Crédits photo : JACQUES DEMARTHON/AFP
    Recommander

    Le patron du deuxième syndicat de France passera la main à son dauphin désigné, Laurent Berger, lors de l'assemblée générale de mi-mandat. Le changement de majorité a accéléré sa décision.

    C'est enfin officiel! François Chérèque, 56 ans, le secrétaire général de la CFDT, a annoncé ce matin aux membres du bureau national de la confédération qu'il quitterait bel et bien ses fonctions à la fin novembre, comme Le Figaro l'avait révélé il y a plusieurs mois. Il passera alors le relais à son successeur désigné de longue date, son bras droit depuis le printemps dernier, Laurent Berger, 43 ans.

    «La CFDT va bien, sa cohésion s'est renforcée ces dernières années», explique le futur ex-numéro un dans un courrier adressé aux 800.000 adhérents du syndicat. Pour lui, la période est en effet «propice» pour effectuer ce changement. «Une alternance politique a eu lieu en France, rappelle-t-il à qui l'aurait oublié. La CFDT a su imprimer sa marque dans les débats» et «le travail avec le gouvernement est maintenant bien lancé». Sur son successeur «pressenti», les choses sont claires: «Je pense que le temps est venu de lui passer la main». François Chérèque assure que «partir est inévitablement une rupture affective». Mais, après dix ans à la tête de la CFDT, ponctués de bons et de mauvais moments et ne souhaitant «pas faire l'année de trop», il aspire maintenant à «retrouver un peu de tranquillité personnelle et familiale» et promet de rester «un adhérent attentif et solidaire».

    Aucune contestation

    Les choses sont, en fait, «vissées» depuis un bon moment et tranchent avec la cacophonie, voire même la guerre des chefs, qui règne depuis des mois à la CGT pour remplacer Bernard Thibault. François Chérèque a lui-même informé Laurent Berger - que tout le monde surnomme en interne «M. Dauphin» - qu'il pensait à lui pour lui succéder, le jour venu, dès… l'été 2008. Soit six ans après son propre début de règne. «Il a pris le temps de le légitimer en interne afin que sa désignation soit la plus consensuelle le moment venu», explique un expert des relations sociales.

    Le passage de relais entre les deux hommes, qui ne souffre aucune contestation, va se faire plus rapidement que prévu. Officiellement programmé lors du congrès de 2014, il interviendra les 28 et 29 novembre lors de l'assemblée générale de mi-mandat que François Chérèque a demandé à Laurent Berger de préparer. Tout un symbole. «François a toujours considéré que dix ans à la tête d'une organisation syndicale étaient suffisants», justifie un proche des deux dirigeants.

    Laurent Berger, qui se définit comme un «impatient hyperactif de nature», est prêt depuis longtemps à endosser le costume de patron de la deuxième confédération syndicale de France. «Il a eu le temps de se préparer depuis son entrée au bureau, en 2009, juge un dirigeant de la centrale. Être le dauphin de François depuis tout ce temps, c'est long, et il a eu mille occasions de se planter. Mais non. Il est aujourd'hui en position idéale.» D'autant que des responsabilités, Laurent Berger en a déjà exercé. Et depuis longtemps.

    La CFDT sera «plus combative et moins accompagnatrice»

    Originaire de Saint-Nazaire (où il a vécu trente-cinq ans), ce passionné d'histoire, père de trois enfants, a longtemps dirigé l'union CFDT locale avant le niveau régional. Ce spécialiste des questions d'emploi avait auparavant exercé les mêmes fonctions à la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), un passage obligé pour tout cédétiste qui entend un jour jouer un rôle majeur.

    De l'avis de ses proches, Laurent Berger a gardé de toutes ses responsabilités passées «le sens de l'écoute des gens, le goût du terrain et une approche collective des organisations». Fin négociateur qui «ne lâche rien et aime trouver des compromis», cet ancien joueur de foot est réputé pour sa capacité à trancher après avoir pris le temps du dialogue. Un proche de Xavier Bertrand, l'ex-ministre du Travail, ne tarit pas d'éloges sur lui: «Il est loyal, fiable, engagé, courageux et fait bien le job.» «Il ne fait jamais de coup dans le dos et tient ses promesses», abonde le responsable d'une centrale concurrente, qui pense que, sous son magistère, la CFDT sera «plus combative et moins accompagnatrice».

    Laurent Berger va toutefois devoir apprendre à se contrôler un peu. «Il a un sacré tempérament, rapporte un autre proche. Il a parfois du mal à serrer les dents et doit se concentrer pour bouillonner seul.» Lui-même le reconnaît: sa franchise décapante, alliée à un humour qui frôle parfois le stand-up, surprend parfois. Comme la couleur de ses chemises aussi. Un défaut de jeunesse qu'il pourrait transformer en qualité, tant la situation sociale, dramatique selon lui, exclut tout compromis à l'eau tiède. Tant avec le gouvernement qu'avec le patronat. C'est d'ailleurs lui qui va conduire la grande négociation sur l'emploi qui s'ouvre le 4 octobre prochain. Encore un symbole.

     

    votre commentaire
  • La CLCV passe au crible les honoraires des syndics

    <time datetime="2012-09-18T18:58:00" pubdate="pubdate"> Hier à 18h58 </time>lien

     

    (Boursier.com) -- Dans sa nouvelle enquête sur les syndics, l'association de consommateurs CLCV pointe encore une fois du doigt, les "facturations abusives, dispositions contractuelles à la rédaction trompeuse et honoraires excessivement élevés", même si des améliorations ont été constatées. Pour réaliser son étude, l'association a passé au crible 133 contrats émanant de 119 cabinets (dont 27% de grands groupes et 73% d'indépendants).

    Des forfaits qui s'ajoutent aux frais de gestion courante
    Premier constat tiré par la CLCV: l'abus par certains syndics de forfaits en tout genre ("papeterie", "administratif"), dans le cadre de la gestion courante et qui viennent s'ajouter aux honoraires de base. L'association déplore le manque de visibilité autour de ces facturations. "Au-delà même du caractère licite ou non de ces forfaits, la façon dont ceux-ci sont présentés aux copropriétaires est purement inadmissible", explique-t-elle. Sur l'échantillon étudié, plus de la moitié (51,88%) facturent ainsi un forfait dit administratif, en particulier dans les grands groupes (plus de 73% d'entre eux). En outre, le montant moyen de ces forfaits est de 17 euros par lot et par an mais peut grimper jusqu'à 40 euros...

    Prestations exceptionnelles parfois surévaluées
    Les prix facturés pour des prestations exceptionnelles - et donc en supplément des frais de gestion courante - peuvent dans certains cas, mettre la puce à l'oreille des copropriétaires, souligne l'enquête de la CLCV. L'association constate ainsi d'importants écarts sur les honoraires facturés en cas de travaux (moyenne de 3,16% qui peut grimper jusqu'à 7% dans certains cas), ou sur les frais pour impayés de charges. En outre, le coût moyen, pour une première relance est de 10,39 euros et peut s'élever jusqu'à plus de 47 euros. "Le syndic devrait commencer par une première relance gratuite, simple missive rappelant au copropriétaire son retard puis, le cas échéant, procéder à une mise en demeure", souligne la CLCV, qui relève que seulement un syndic sur trois (34,85%) agit de la sorte...

    Des facturations toujours illicites
    Si la CLCV constate une diminution des clauses abusives, elle relève toujours des facturations illicites. Parmi les plus aberrantes, elle cite pêle-mêle : les frais "de relance téléphonique", de "mise à jour de la liste des copropriétaires" ou encore d'"établissement de carnet d'entretien". Pour lutter contre ces abus, l'association réclame la création "d'instances disciplinaires, déontologiques et de conciliation, composées notamment de représentants des consommateurs, afin de fixer les règles de déontologie applicables à l'ensemble de la profession".


    votre commentaire
  • Accueil > Société > "Charlie Hebdo" publie des caricatures de Mahomet, Ayrault "désapprouve"

    "Charlie Hebdo" publie des caricatures de Mahomet, Ayrault "désapprouve"

    Créé le 18-09-2012 à 21h24 - Mis à jour à 22h55

    "La liberté de la presse est-elle une provocation ?", s'interroge le directeur de l'hebdomadaire, quand le Premier ministre appelle à "l'esprit de responsabilité" dans le "contexte actuel". 

     
    Abonnez-vous au
    Nouvel Observateur

    La Une de Charlie hebdo (@Charlie_Hebdo_)

    La Une de Charlie hebdo (@Charlie_Hebdo_)
    Sur le même sujet

    L'hebdomadaire satirique "Charlie Hebdo" publie dans son numéro à paraître mercredi 18 septembre, en pages intérieures, des dessins représentant le prophète Mahomet, qui, selon son directeur Charb, "choqueraient ceux qui vont vouloir être choqués en lisant un journal qu'il ne lisent jamais". Une prise de position accueillie très froidement par Jean-Marc Ayrault et Laurent Fabius. Charb estime que les dessins publiés ne sont pas plus provocants que d'habitude. "La liberté de la presse est-elle une provocation ?", a-t-il lancé. "Je n'appelle pas les musulmans rigoristes à lire 'Charlie Hebdo', comme je n'irais pas dans une mosquée pour écouter des discours qui contreviennent à ce que je crois", a argumenté le dessinateur.

    "Tout est parti d'une inquiétude des services français qui craignaient, dans le contexte, que 'Charlie' fasse sa couverture avec une caricature de Mahomet. Il n'est en rien : la couverture représente un musulman lambda avec un juif lambda", a-t-il expliqué. La couverture, signée par lui, représente un musulman dans un fauteuil roulant poussé par un juif orthodoxe, avec chapeau et papillote, sous le titre "Intouchables 2", allusion au film éponyme.

    "Je ne vois pas l'utilité quelconque d'une provocation"

    Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, interrogé alors qu'il se trouvait au Caire, sur l'éventualité de dessins représentant Mahomet, s'est dit "contre toute provocation", tout en rappelant l'existence en France de la liberté d'expression. "Après, le soufflé est retombé et je pense que M. Fabius n'avait pas vu la Une quand il a parlé en Egypte", a estimé Charb.

    "Je suis contre toutes les provocations, c'est clair, c'est net, surtout dans une période aussi sensible que celle-là", a déclaré Laurent Fabius dans l'après-midi. "Maintenant, il y a des lois en France, qui ne sont pas les mêmes que les lois ailleurs, qui permettent un certain nombre de choses et qui excluent un certain nombre de choses", a-t-il ajouté. Avant de poursuivre : "La liberté d'expression existe, mais je suis absolument hostile à toute provocation". "Je ne vois pas du tout l'utilité quelconque d'une provocation et même je la condamne d'une façon très nette et en même temps je respecte la liberté d'expression", a encore dit le ministre.

    "Rien ne peut justifier l'insulte et l'incitation à la haine"

    Rejoint par Jean-Marc Ayrault. Le Premier ministre a en effet fait savoir, "dans le contexte actuel", sa "désapprobation face à tout excès" et appelé à "l'esprit de responsabilité de chacun". Il souligne, dans un communiqué, que "la liberté d'expression constitue l'un des principes fondamentaux de notre République". "Cette liberté s'exerce dans le cadre de la loi et sous le contrôle des tribunaux, dès lors qu'ils sont saisis", ajoute-t-il. Jean-Marc Ayrault rappelle en outre "le principe de laïcité qui est, avec les valeurs de tolérance et de respect des convictions religieuses, au coeur de notre pacte républicain". "Et c'est pourquoi, dans le contexte actuel, le Premier ministre tient à affirmer sa désapprobation face à tout excès. Il en appelle à l'esprit de responsabilité de chacun", conclut Matignon dans son communiqué.

    Le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui, a dit avoir appris avec "une profonde consternation" la publication par l'hebdomadaire "de dessins insultants à l'égard du prophète de l'islam". Dans un communiqué, le CFCM, organe représentatif des différents courants musulmans en France, condamne "avec la plus grande vigueur ce nouvel acte islamophobe qui vise à offenser délibérément les sentiments des Musulmans". "Profondément attaché à la liberté d'expression", le CFCM exprime néanmoins "sa profonde inquiétude face à cet acte irresponsable qui, dans un contexte très tendu, risque d'exacerber les tensions et de provoquer des réactions préjudiciables". "Rien ne peut justifier l'insulte et l'incitation à la haine, souligne le président du CFCM, qui "lance un appel pressant aux musulmans de France à ne pas céder à la provocation" et les "exhorte à exprimer leur indignation dans la sérénité avec des moyens légaux".

    "Ne pas verser de l'huile sur le feu"

    Même son de cloche du côté du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, qui a lancé un "appel au calme". Il a déclaré "apprendre avec beaucoup d'étonnement, de tristesse et d'inquiétude une publication qui risque d'exacerber l'indignation générale du monde musulman". "J'appelle à ne pas verser de l'huile sur le feu", a-t-il ajouté. "Mais, je regrette que l'incitation à la haine religieuse ne soit pas réprimée par la loi comme l'est l'incitation à la haine raciale. Nous avions fait appel au Tribunal d'Instance de Paris, après les caricatures qu'avait publiées Charlie Hebdo en 2006, mais notre plainte n'avait pas été retenue".

    Le recteur de la Grande mosquée estime qu'un tel interdit "pouvait donner un coup de frein à l'exacerbation que risque de provoquer la publication de nouvelles caricatures, après la diffusion de la vidéo sur le Prophète qui est à l'origine de l'indignation générale du monde musulman".

    "D'ores et déjà, j'incite au calme, à la paix, mais je suis très inquiet devant les débordements qui risquent de se produire samedi, lors des manifestations dans plusieurs villes de France, pour protester contre la diffusion du film "Innocence of Muslims".


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique