• Le débris retrouvé à la Réunion

    serait bien

    celui du MH370

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      • Mis à jour <time datetime="2015-08-05T20:28:44+02:00" itemprop="dateModified">le 05/08/2015 à 20:28   lien </time>
      • Publié <time datetime="2015-08-05T19:50:05+02:00" itemprop="datePublished"> le 05/08/2015 à 19:50</time>
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    VIDÉO - Ce mercredi, experts malaisiens et français étaient réunis à Toulouse pour analyser le flaperon charrié sur une plage de la Réunion.

     

    Le procureur adjoint de la République a fait preuve de prudence après les déclaration du premier ministre malaisien. 

    Alors que la Malaisie confirme que le débris de Boeing 777 retrouvé la semaine dernière à la Réunion est bien celui du vol MH370 de la Malaysian Airlines qui avait disparu en mars 2014 avec 239 personnes à bord, la France affirme «qu'il existe de très fortes présomptions que le débris retrouvé à La Réunion appartient bien à l'appareil de la Malaysia Airlines».   

    «C'est avec un coeur très lourd que je dois vous dire qu'une equipe internationale d'experts a conclu que le débris trouvé sur l'île de la Réunion provient effectivement du vol MH370», a déclaré Najib Razak, dont les propos étaient retransmis en direct à la télévision.

    «Nous avons maintenant des preuves physiques (...) que le vol MH370 a terminé son vol tragiquement dans le sud de l'océan Indien», a-t-il dit.

    Le procureur de la République de Paris est attendu pour une conférence de presse.

    Ce mercredi, experts malaisiens et français étaient réunis à Toulouse pour analyser le flaperon charrié sur une plage de la Réunion.


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    "Clean power" : le plan climat de

    Barack Obama

    est "très positif"

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    Publié le 04-08-2015 à 14h49Mis à jour à 17h52

    INTERVIEW Le président américain a dévoilé lundi son plan de lutte contre le changement climatique avec une baisse de 32% des émissions de CO2 d'ici à 2030. L'analyse du climatologue Hervé Le Treut.

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    Barack Obama, le 3 août 2015 Andrew Harnik/AP/SIPABarack Obama, le 3 août 2015 Andrew Harnik/AP/SIPA
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    Il fait la part belle aux renouvelables. Barack Obama a lancé lundi 3 août son très attendu plan contre la "grande menace" que fait peser le changement climatique à la planète. Ce plan  pour une énergie propre ("America's clean power plan") rassemble une série de règles et de réglementations qui imposeront pour la première fois aux centrales électriques de réduire de 32% d'ici 2030 leurs émissions de dioxyde de carbone (CO2), par rapport au niveau de 2005.  L'avis du climatologue Hervé Le Treut, directeur de l'institut Pierre-Simon Laplace

    Comment jugez-vous les annonces faites par Barack Obama ?

    C'est très positif que les États-Unis s'engagent à diminuer l'usage du charbon. C'est une position forte et c'est surtout la première fois que l'administration américaine va aussi loin. C'est une démarche importante , significative politiquement à quatre mois de la COP21. Le charbon est le premier ennemi du climat, c'est la cible prioritaire. Il produit des dommages écologiques considérables. De manière générale, il faut réduire tous les hydrocarbures, et le charbon est le plus polluant d'entre eux et il a les réserves les plus importantes. Les États-Unis ont donc visé juste. Ces nouvelles règles vont réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant des centrales au charbon, dont l’économie américaine dépend encore à près de 40 % pour sa production d’électricité. Elles doivent aussi développer les énergies renouvelables (leur part dans la production d'électricité devrait passer si le plan s'applique de 13% actuellement à 28 % d’ici à 2030, Ndlr).

    Plusieurs opposants à ce plan affirment qu'il va entraîner une hausse du prix de l'électricité ?

    La hausse du prix dépend de beaucoup de dispositions. Mais je tiens à dire qu'il existe toujours des moyens pour corriger cela à court terme. Ce n'est pas vraiment ce qu'il faut retenir de ces annonces. On est avec ce plan dans une optique de longue durée et c'est très important. Après, bien sûr qu'il y a des craintes, des critiques, qui s'expliquent notamment par la puissance de l'industrie du charbon dans ce pays (s i le plan s'applique, la part de ce combus­tible dans la production d’électricité aux Etats-Unis passera de 39% en 2014 à 27% d’ici quinze ans, Ndlr). En tout cas, à l'heure actuelle, il est impossible de faire des projections là-dessus.

    Les transports, l'industrie, l'habitat, sont laissés de côté par ce plan. Est-ce là sa principale lacune ?

    Les États-Unis ont déjà pris des mesures en faveur de la reforestation ou de la préservation des sols. Ils procèdent par secteur. Là, ils s'attaquent aux centrales électriques. Peut-être qu'ils aborderont ces autres sujets dans les mois qui viennent. Mais il ne faut pas oublier que la question du réchauffement climatique est globale. Ce n'est pas un pays qui va tout changer. La COP21 va à ce sujet être importante en dégageant des dynamiques. Il faut rechercher des co-bénéfices pour les entreprises, les particuliers. Et il faut entreprendre des initiatives le plus vite possible. Avant le sommet de Paris de décembre, d'autres États devraient faire des déclarations en ce sens. La COP21 c'est le début d'une démarche qui ne résoudra pas tout, tout de suite, mais qui aura espérons-le un impact considérable pour le long terme.


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  • Radioactivité : les sols du Mercantour toujours contaminés par Tchernobyl

    31 Juil. 2015, 13h59 | MAJ : 31 Juil. 2015, 15h37    lien
     
     
    <figure> ILLUSTRATION. Le parc national du Mercantour présente une radioactivité supérieure à la normale, due à Tchernobyl, 29 ans après la catastrophe nucléaire. <figcaption class="articleChapeau ">ILLUSTRATION. Le parc national du Mercantour présente une radioactivité supérieure à la normale, due à Tchernobyl, 29 ans après la catastrophe nucléaire.
    LP / Matthias Galante
    </figcaption> </figure>

    Les sols du parc national du Mercantour, dans les Alpes du Sud, présentent encore une radioactivité supérieure à la normale, due à la catastrophe de Tchernobyl, en Ukraine, il y a 29 ans, selon une nouvelle étude de la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).

     
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    <figure> Tchernobyl, une destination à la mode </figure>
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     Les mesures réalisées début juillet, dans le secteur du col de la Bonette-Restefond à la limite entre les Alpes-Maritimes et les Alpes-de-Haute-Provence, montre que «le niveau de radiation est toujours plus de deux fois supérieur à la normale» à «un mètre du sol».

    «Ces forts niveaux de rayonnement sont dus à la contamination résiduelle des sols par le césium 137 imputable principalement aux retombées de la catastrophe de Tchernobyl (en 1986)», assure la Criirad. «Les retombées avaient été particulièrement intenses dans le sud-est de la
    France», rappelle l'organisme indépendant, qui souligne avoir «mis en évidence entre 1996 et 1998, de très fortes contaminations des sols dans le Mercantour».

    Sur certaines zones, des valeurs 100 fois supérieures au niveau naturel

    «Le fait de bivouaquer deux heures sur certaines de ces zones induit toujours en 2015 une exposition non négligeable», avec un «débit de dose» de 5 microsievert par heure au contact du sol. «Les niveaux de radiation au contact du sol dépassent toujours, sur les zones d'accumulation, des valeurs plusieurs dizaines de fois voire plus de 100 fois supérieures au niveau naturel», a-t-elle constaté.

    L'organisme indépendant rappelle avoir interpellé à plusieurs reprises les autorités sanitaires françaises «pour que les secteurs les plus radioactifs soient dépollués, ou tout au moins balisés, pour éviter des expositions inutiles». «Force est de constater que la situation n'a guère évolué sur le terrain», déplore-t-elle.

    Les Alpes encore contaminées par le nuage de Tchernobyl


    Les Alpes encore contaminées par le nuage de... par BFMTV


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  • VIDEO.

    Régionales 2015 : le PS et le PRG

    signent leur alliance

    27 Juil. 2015, 20h53 | MAJ : 27 Juil. 2015, 22h36
     
     
    <figure> Archives. Le Parti socialiste du Premier ministre Manuel Valls et les Radicaux de Gauche de Jean-Michel Baylet feront listes communes aux régionales de décembre 2015. <figcaption class="articleChapeau ">Archives. Le Parti socialiste du Premier ministre Manuel Valls et les Radicaux de Gauche de Jean-Michel Baylet feront listes communes aux régionales de décembre 2015. AFP / Jean-Pierre Muller</figcaption> </figure>

    Après moults négociations, l'accord a enfin été scellé. Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, et le président du Parti des radicaux de gauche (PRG), Jean-Michel Baylet, ont annoncé ce lundi soir un accord entre leurs deux formations en vue des élections régionales de décembre.

     
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    «Enfin, nous y sommes arrivés. Cela n'a pas été sans mal (...) L'accord entre socialistes et radicaux (...) n'est jamais vraiment naturel, en tout cas, il n'est jamais spontanément naturel. Mais ce dont je suis convaincu, c'est qu'il est nécessaire», a résumé Jean-Michel Baylet devant des journalistes.

    En ce qui concerne la région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, dont la tête de liste a longtemps constitué une pierre d'achoppement entre les deux formations, socialistes et radicaux de gauche ont convenu de la mise en place d'un quatuor composé de Carole Delga (PS), Damien Allary (PS), Sylvia Pinel (PRG) et Didier Codorniou (PRG).

    Carole Delga sera bien candidate à la présidence de région tandis que Sylvia Pinel serait tête de liste en Tarn-et-Garonne.

    VIDEO. Accord PS-PRG après des négociations laborieuses     LIEN



    Sur le plan national, «nous sommes assurés, quel que soit le résultat des élections, de voir le nombre de conseillers régionaux radicaux en augmentation significative», soit «à peu près 70» contre 54 actuellement, a poursuivi Jean-Michel Baylet.

    «Point d'équilibre», selon Jean-Michel Baylet, «bon alliage dans l'intérêt général des régions», selon Jean-Christophe Cambadélis, cet accord doit être encore approuvé par les Bureaux nationaux ou instances dirigeantes des deux partis, lundi soir pour le PS, mardi pour le PRG.

    «Nous voulons que cet accord soit le prélude à un accord national beaucoup plus large», a lancé Jean-Christophe Cambadélis, en appelant au «rassemblement de l'ensemble des forces de gauche et des écologistes» pour les régionales et peut-être plus tard.


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  • Les agriculteurs mobilisés dans le Sud-Ouest

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2015-07-25T13:36:22+02:00" itemprop="datePublished">25.07.2015 à 13h36</time>

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">

     

    Des tracts ont également été distribués pour dénoncer des prix du lait et de la viande de bœuf et de porc jugés trop bas par les éleveurs. </figure>

    Les actions des éleveurs protestant contre les prix de la viande et du lait continuaient samedi 25 juillet dans le sud-ouest de la France.

    Dans l’Ariège, plusieurs dizaines d’agriculteurs ont enflammé des balles de paille et des pneus sur un rond-point à l’entrée de Pamiers, à proximité de deux supermarchés Leclerc et Intermarché. Une vingtaine de tracteurs ont établi des barrages filtrants dans la matinée tandis que du fumier était déversé devant les magasins. « Cela ralentit mais ça ne bloque pas. C’est une action symbolique » , a déclaré Rémi Toulis, secrétaire général de la FDSEA du département. Aucun incident n’avait été signalé. Des tracts ont également été distribués pour dénoncer des prix du lait et de la viande de bœuf et de porc jugés trop bas par les éleveurs.

    Dans le Lot, d’autres agriculteurs ont imposé des péages gratuits à Gignac et Cahors-Sud, sur l’autoroute A20 avant une action prévue devant des grandes surfaces à l’extérieur de Cahors. Une trentaine de tracteurs ont ralenti la circulation sur une quinzaine de kilomètres d’autoroute entre Souillac et Gignac tandis qu’une centaine d’agriculteurs ont ouvert gratuitement le péage de Gignac, a déclaré Alain Arcoutel, membre du bureau de la FDSEA du Lot.

    « On veut voir qui joue le jeu »

    Des tracts appelant notamment à « manger français » et au respect des nouveaux engagements pris cette semaine en faveur des éleveurs ont été distribués. Enfin, à la sortie Cahors-Sud de l’A20, la gratuité du péage a été imposée par une quinzaine de tracteurs et véhicules et une cinquantaine de manifestants, a déclaré Gilles Resseguier, secrétaire général adjoint de la FDSEA du Lot. Des tracts et des melons du Quercy ont été distribués aux automobilistes.

    Parallèlement, une opération escargot d’une quinzaine de tracteurs était en cours sur une trentaine de kilomètres d’autoroute en direction de Cahors-Sud, où le convoi devait rejoindre les manifestants du péage, a-t-il ajouté. Les agriculteurs en colère devaient se diriger en fin de matinée vers cinq magasins de grande et moyenne surfaces, Leader Price , Liddle, Intermarché et Leclerc, à l’extérieur de Cahors, a déclaré le responsable syndical. « On va demander les factures d’approvisionnement des cinq dernières semaines pour vérifier si les accords de juin ont été respectés ou pas », a-t-il averti, les producteurs accusant des industriels et des distributeurs de ne pas les appliquer. « On veut voir qui joue le jeu ou pas », a-t-il ajouté.

    Les Français soutiennent les éleveurs

    Près de neuf Français sur dix (88 %) « approuvent » le mouvement de contestation des éleveurs français, mobilisés pendant plusieurs jours pour protester contre la faiblesse des prix de la viande et du lait, selon un sondage BVA-Orange-i-Télé publié vendredi. Cinquante-deux pour cent des sondés « approuvent tout à fait » le mouvement, et 36 % l’« approuvent plutôt ». A l’inverse, 8 % disent ne « plutôt pas » approuver la contestation, et 3 % « pas du tout ».

    La proportion de personnes interrogées ayant une bonne opinion des éleveurs français s’élève pour sa part à 89 % : elle est plus forte pour celles habitant dans une commune rurale (95 %) et s’affiche à 84 % chez les cadres. Elle est également plus forte chez les femmes (92 %) que chez les hommes (86 %).

    Quatre-vingt-un pour cent des personnes interrogées se déclarent également « prêtes à faire un effort financier » pour privilégier le lait et la viande français, contre 18 % qui répondent par la négative.
    Les sondés ne font cependant « pas confiance » (à 78 %) au gouvernement français pour améliorer la situation des éleveurs. L’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1 007 Français « recrutés par téléphone puis interrogés par Internet » les 23 et 24 juillet.


     

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