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Par marialis2.2 le 5 Mars 2013 à 00:52
Pré-conclave au Vatican : un faux évêque s'immisce parmi les cardinaux
Publié le 04.03.2013, 17h54 | Mise à jour : 19h20 lien
Un Italien déguisé en évêque a réussi à s'immiscer brièvement lundi parmi les cardinaux réunis en «congrégations générales» pour préparer le prochain conclave, avant d'être conduit hors du Vatican.SUR LE MÊME SUJET
L'homme, portant une soutane noire un peu courte aux jambes ceinte à la taille d'une écharpe violette d'évêque, mais aussi un étrange chapeau mou, a posé pour des photos avec des cardinaux ignorant sa farce. Il a serré des mains et discuté avec un certain nombre de prélats arrivés pour ces réunions, avant d'être reconduit à la sortie par des gardes suisses.
Promouvoir «le Yoga de Jésus»L'homme, identifié comme Ralph Napierski sur son propre blog, a dit être membre de «l'Eglise orthodoxe italienne» qui n'existe pas et s'appeler «Basilius» (Basile en latin).
Ralph Napierski, à gauche, pose au côté du cardinal Sergio Sebiastiana (AFP/VINCENZO PINTO)
Avant que le pot aux roses ne soit découvert, le faux prélat a critiqué les évêques catholiques pour avoir «commis une erreur en déplaçant les prêtres» accusés de pédophilie d'une paroisse à une autre. Ralph Napierski dit avoir fondé l'ordre catholique du «Corpus Dei» et promouvoir «le Yoga de Jésus». Il affirme aussi avoir inventé un «système qui permet aux personnes de contrôler des ordinateurs avec le pouvoir de la pensée».
Une séance de Yoga de Jésus, une photo tirée du blog de Ralph Napierski
(Capture d'écran)
Ce n'est pas la première mystification dans le cadre de la «campagne» pour l'élection d'un nouveau pape. Des affiches parodiques appelant le Sacré Collège à voter en faveur du cardinal ghanéen Peter Turkson avaient été placardées vendredi dans les rues de Rome.
LeParisien.fr
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Par marialis2.2 le 4 Mars 2013 à 23:35
<nav class="breadcrumb" role="breadcrumb">
</nav> <header class="article_header">Des bijoux "esclaves" sur l'e-shop Mango
La marque de prêt-à-porter espagnole regrette "une erreur de traduction" sur un bracelet, à l'origine d'une pétition intitulée "L'esclavage n'est pas fashion!".
<aside class="toolbar">Mango
Impression écran du site Mango
</figcaption> </figure> </header>Le groupe de prêt-à-porter espagnol Mango a expliqué ce lundi 4 mars 2013 que l'utilisation du terme "esclave" pour décrire des bijoux vendus sur son site Internet français était due à une erreur de traduction. "Les services compétents sont prévenus et effectueront la correction immédiatement", a-t-il déclaré sur Twitter, dans une réponse à un utilisateur du réseau social, publiée vers 10H30. En début d'après-midi, la description "Collier style esclave à chaînons" avait toutefois été corrigée.
En espagnol, le terme "esclava" peut se traduire par "esclave", mais désigne également une gourmette ou une chaînette. La présence sur l'e-shop français d'un ensemble de bijoux décrits comme "bracelet esclave tressé", "touch-bracelet esclave pierres" et "collier style esclave" a déclenché depuis ce week-end une vive polémique sur le Web, avec des invitations au boycott de la marque, notamment sur Twitter.
Une pétition en ligne
Une pétition en ligne "L'esclavage n'est pas fashion!" a même été lancée sur le site Change.org, à l'initiative de l'ancienne Miss France Sonia Rolland, l'actrice Aissa Maiga et la chroniqueuse Rokhaya Diallo. "Ces bijoux formés de chaînes sont censés faire de l'esclavage un objet de fantaisie et de mode", s'indignent les auteurs de la pétition, adressée au service de communication et relations clientèle de Mango. "En réduisant ce crime contre l'humanité à un ornement décoratif, Mango manque gravement à l'éthique qu'une telle marque devrait défendre."
La version anglaise du site parle elle de "woven bracelet", ou bracelet tissé.
Avec
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Par marialis2.2 le 26 Février 2013 à 01:18Dernière modification : 25/02/2013lien
Le Titanic II, réplique du célèbre paquebot, sera fabriqué en Chine
© DRLe milliardaire australien Clive Palmer a choisi une entreprise navale chinoise pour construire le bateau de ses rêves : une réplique à l'identique du fameux paquebot Titanic. Au risque de susciter quelques railleries.
Par FRANCE 24 (texte)L’industrie chinoise a une occasion en or de prouver qu’elle peut relever des défis ambitieux. En l’occurrence, il s’agit de construire un paquebot Titanic II, à l’identique de celui qui a coulé lors de sa première croisière le 15 avril 1912.
Ce projet mégalomaniaque est porté par le milliardaire australien Clive Palmer, qui a donc chargé il y a quelques mois la Chine du chantier naval et fixé la livraison en 2016, date d’un premier voyage entre l’Angleterre et New York. Dans un pays fasciné par le film de James Cameron - la version en 3D l’année dernière a enregistré une audience record - et habitué des répliques de sites touristiques occidentaux, comme aime le rappeler le Washington Post, le projet semble naturel.
Le constructeur naval Jinling Shipyard, fondé en 1952, assure pouvoir relever le défi : "le paquebot sera équipé des technologies les plus avancées, notamment en termes de sauvetage et de système de communication, affirme Ge Biao, le directeur de l’entreprise. Il est difficile de construire une réplique d’un paquebot de luxe, mais Jinking Shipyard a 60 années de savoir-faire."
Pourtant, les médias chinois sont conscients du scepticisme qu’un tel projet peut susciter. "Des scandales fréquents ont décrédibilisé le 'Made in China', devenu le synonyme de malfaçon et de qualité médiocre", reconnaît le Global Times dans un éditorial. Le quotidien chinois en langue anglaise veut croire que le pays tient une opportunité de prouver le contraire. "C’est un défi pour la Chine, d’autant que les yeux du monde entier sont rivés sur nous."
Le navire fera 270 mètres de long et 53 mètres de haut avec neuf ponts et 840 pièces. Il possèdera neuf étages pour 840 chambres, et sera équipé de plusieurs gymnases, piscines, bibliothèques, restaurants et cabines de luxe. Il pourra recevoir 2 400 passagers et 900 hommes d'équipage.
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Par marialis2.2 le 22 Février 2013 à 12:45
"Belle et Bête" : avec son livre sur DSK, Marcela Iacub la libertaire se décrédibilise
Modifié le 22-02-2013 à 11h50
LE PLUS. "Belle et Bête", c'est le titre du nouveau livre de la philosophe Marcela Iacub. Elle y raconte la relation qu'elle aurait eue avec Dominique Strauss-Kahn au cours de l'année 2012. Peggy Sastre est auteure et traductrice, elle avait demandé à Marcela Iacub de préfacer l'un de ses livres et suit son travail depuis des années. Elle ne comprend pas cette publication.
Édité et parrainé parMélissa Bounoua
DSK vu par Marcela Iacub : les bonnes feuilles sont publiées par "Le Nouvel Observateur" le 21 février 2013 (LE PLUS)
Il y a des gens qui construisent leur vie autour d'un tas de principes, je n'en suis pas. À part, peut-être, celui-ci : les idées sont plus importantes que les personnes. Elles les dépassent, elles les éclipsent, elles valent davantage.
C'est en tout cas à ce "précepte" que je m'accroche depuis jeudi matin, depuis que j'ai appris que Marcela Iacub, soit l'une des intellectuelles françaises et contemporaines que j'apprécie le plus, avait, selon toute vraisemblance, pété un plomb.
En l'espèce : annoncer publiquement qu'elle avait eu une liaison avec Dominique Strauss-Kahn, qu'elle en avait fait un livre et qu'il sortait la semaine prochaine.
Un coup médiatique ?
Sur le volet liaison, évidemment, je n'ai rien à dire, rien de plus que les jaseries qui peuvent vous sortir de la cervelle quand vous apprenez qu'une personne que vous appréciez coïte ou a coïté avec une autre que vous n'appréciez pas. C'est un réflexe, c'est parfaitement idiot, comme si les qualités d'un individu (ou ses défauts) étaient sexuellement transmissibles, ou sexuellement épuisables. Comme si, aussi, les choix sexuels et sentimentaux d'une personne disaient quoi que ce soit de sa valeur, de son intérêt, et des raisons de votre attachement à elle. On peste un bon coup, et on passe à autre chose. On se raisonne, comme on dit.
Non, l'aspect le plus pénible de l'affaire (le plus triste, car je crois bien ressentir de la tristesse), c'est de voir qu'en un seul livre, en un seul coup médiatique motivé – eh bien, motivé par je ne sais pas trop quoi, en fait : une maladie égotiste ? un désir de célébrité ? des impôts à payer ? – Marcela Iacub occulte toutes les idées qui m'avaient attachée à sa pensée. Des idées qui m'avaient incitée à écrire des articles sur elle, à l'interviewer à plusieurs reprises et à lui demander une préface pour un de mes livres.
Sans doute que son refus avait eu des raisons "profondes" assez pragmatiques et matérielles (mon éditeur ne rémunérait pas les préfaces, du moins pas à hauteur de ses "prétentions" ), mais sa justification "officielle" m'avait beaucoup plu : en substance, elle m'avait répondu que mon livre n'avait pas besoin d'être adoubé, qu'il se suffisait à lui-même, qu'il ne nécessitait pas de garde-fou, pas de tuteur.
Aujourd'hui, Marcela Iacub voudrait que son "Belle et Bête" se suffise à lui-même. D'où son choix de ne donner qu'une seule interview (mais en grandes pompes), de ne pas se lancer dans une "tournée de promo" et de laisser ses lecteurs, ses critiques, se faire leurs idées comme des grands. Sans le support "personnel" qui, selon mon bon principe, n'arrive pas à la cheville des arguments développés, des directions prises, entrevues, ou des positions défendues.
Le livre ne se suffit pas à lui-même
Le problème, c'est que je ne vois pas très bien sur quoi il est ici possible de s'appuyer, à part sur toute une flopée d'explications plus personnelles, plus affectives, voire (soyons fous) plus psychanalytiques les unes que les autres. Parce que son texte et les ambitions qu'il traduit sont tout simplement complètement nuls. Pour parler poliment.
Faire le portrait d'un "cochon" ? D'un jouisseur bas du front obnubilé par son propre et immédiat et bon plaisir, au détriment de tout le reste et de tous les autres ?
Su-per.
S'interroger sur son histoire d'amour ? Comprendre comment une femme si belle, si admirable, si dense, si slurp-slurp-slurp-que-moi-même-je-m'aime-trop, a pu s'éperdre pour un tel "soudard", consommateur compulsif de ces "femmes (...) laides et vulgaires", capable de générosité "envers toute femme pour autant qu'elle ait les organes adéquats" ?
Trop su-per.
Faire peur, une énième fois, à la Frrrance qui, avant même d'être passée aux urnes, allait sans conteste-c'est-sûr-c'est-plié-tu-vas-voir, faire de ce "cochon" son président ?
Trop, trop su-per. Vraiment. On tient là le sujet du siècle, coco, servi en plus par un style absent (de ce que l'on a pu lire dans les "bonnes feuilles"). On n'en demandait pas tant.
Heureusement que l'édition est menacée et que c'est Gutenberg qu'on assassine avec la dématérialisation/fast-foodisation/internetisation des contenus. Avec des projets éditoriaux si radicaux, le secteur celluloso-centré peut dormir sur ses deux oreilles, il a trouvé son sauveur. Enfin, sa sainte, scoute toujours prête à faire du bouche à bouche aux causes les plus perdues.
Une énième publication
Jeudi matin, en apprenant la nouvelle, mon cerveau s'est confortablement engagé sur les rails de la dissonance cognitive, ou plutôt de ses modes de réduction : j'ai tout de suite pensé qu'il s'agissait d'un canular. Que Iacub avait tout inventé et embarqué la maison-mère dans un procédé littéraire et fictionnel qui la fascine : le mentir-vrai, déjà mis en œuvre dans deux de ses ouvrages antérieurs, et pour lesquels j'ai une tendresse particulière. Mais les communiqués d'Anne Sinclair et de Dominique Strauss-Kahn ont bien vite prouvé que la farce était malheureusement réelle. Trop réelle.
Pour l'instant, le seul (minime) intérêt que j'entrevois à l'initiative de Marcela Iacub, c'est qu'elle aura réussi, encore une fois, à se faire détester des féministes les plus prévisibles : entre femmes, on adore se détester. Entre féministes, on adore se débusquer une traîtresse et la détester en commun. Rien de mieux pour resserrer les liens, motiver les troupes, battre le rappel, souder le collectif...
Par contre, la pensée libertaire et pluraliste de Iacub, sa volonté de banaliser (dans le meilleur sens du terme) la sexualité, ses rêves de libérer les femmes du fardeau de la reproduction (et donc de leurs automatismes sexualo-conjugaux remplis d'hommes plus vieux, plus diplômés, plus glorieux, bref, de leur destin d'ombre), son abstraction, son artificialisme, etc. Des modes de penser loin d'être répandus, consensuels et même "faciles" à appréhender et à transmettre, mais ô combien salutaires et dans lesquels j'avais tant de bonheur à me reconnaître... Tout cela me semble aujourd'hui pathétiquement décrédibilisé. Balayé par une énième midinette, qui a voulu jouer les énièmes infirmières d'un énième sale type, et qui a décidé d'en pondre un énième bouquin.
Ce qui fait que, oui, plus que jamais, j'aime à croire que les idées dépassent les personnes.
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Par marialis2.2 le 22 Février 2013 à 00:56
40% des Marseillais pourraient se prononcer en faveur de Bernard Tapie s'il était candidat aux municipales en 2014, selon un sondage BVA à paraître.
Les chiffres ont de quoi inquiéter les autres prétendants à la mairie de Marseille. 40% des habitants de la cité phocéenne envisageraient "certainement" (18%) ou "probablement" (22%) de voter pour Bernard Tapie s'il était candidat à la mairie en 2014, la moitié d'entre eux souhaitant son retour en politique, selon un sondage BVA à paraître vendredi dans Le Parisien - Aujourd'hui en France Magazine.
Les sympathisants de droite (44% se disent prêts à voter pour lui) se montrent plus favorables à l'ancien ministre de François Mitterrand, qui a appelé à voter pour Nicolas Sarkozy aux présidentielles de 2007 et 2012, que ceux de gauche (35%). Le chiffre s'élève à 52% parmi les sympathisants du Front National, 44% chez ceux de l'UDI, 42% parmi ceux de l'extrême gauche et ceux de l'UMP - contre 31% parmi les sympathisants du PS et 28% chez les Verts. Et c'est parmi les catégories socio-professionnelles les moins aisées (48%) que Bernard Tapie est le plus populaire.
"Un vote protestataire"
Pour Eric Bonnet, directeur d'études opinion à BVA, ce potentiel de vote, "loin d'être négligeable mais surtout protestataire", montre qu'une candidature Tapie "sonnerait comme un véritable coup de tonnerre dans la vie politique marseillaise" et qu'il pourrait espérer "un score à deux chiffres et être en mesure de se maintenir au second tour".
Selon ce sondage, près de quatre Marseillais sur cinq (78%) estiment plus généralement que l'ancien président de l'OM va revenir sur la scène politique, et 69% pensent qu'il le fera dans la deuxième ville de France. Pour 57% des personnes interrogées, il sera candidat à la mairie. Un cas de figure que dément l'intéressé depuis qu'il a repris les quotidiens du groupe Hersant dans le sud de la France, dont La Provence à Marseille.
Tapie, un bon président de l'OM
Dans une lettre adressée en décembre au conciliateur de la reprise de GHM, l'homme d'affaires indiquait s'être engagé auprès de Philippe Hersant à ne pas briguer de mandat électoral, précisant toutefois qu'en cas de candidature, il céderait ses parts au profit d'une association caritative. Selon BVA, la popularité de Bernard Tapie s'explique par "le formidable souvenir qu'il a laissé aux Marseillais", 88% des personnes interrogées estimant qu'il a été un bon président de l'OM et 64% un bon député des Bouches-du-Rhône.
Ce sondage a été réalisé par BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France Magazine entre le 4 et le 7 février, auprès d'un échantillon de 601 personnes représentatif (selon la méthode des quotas) de la population marseillaise âgée de 18 ans et plus.
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