• Gaia lutte contre l'extension du marché des visons

    SOCIETE | samedi 2 novembre 2013 à 8h36

     

     

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    Gaia défent les visons

    Gaia défent les visons - Photo d'illustration - Flickr (Phil Johson 2008)

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    Mobilisation pour le Vison: le point en direct avec Sylvia Falcinelli

     
    </aside> <header>La Belgique, ou plutôt la Flandre, compte aujourd'hui pas moins de 18 élevages de visons sur son territoire: des visons destinés à la fourrure. Un nouvel élevage d'une capacité de plus de 100 000 bêtes vient d'obtenir un permis en Flandre occidentale. Voilà qui fait réagir Gaïa: l'association de défense des animaux mènera une action ce samedi après-midi pour appeler les politiques à agir au plus vite contre l'extension du marché des visons.</header>

    Jusqu'à présent, c'est en Flandre que l'on trouve les élevages de visons.160 000 bêtes sont ainsi réparties dans 18 élevages pour approvisionner le marché de la fourrure.

    Le nouvel élevage de Wervik, en Flandre occidentale viendrait donc sérieusement gonfler ce nombre, avec 107 000 visons supplémentaires.Et c'est un éleveur néerlandais qui a obtenu ce permis.

    Gaia dénonce le risque que d'autres éleveurs arrivent des Pays-Bas.Anne De Greef, présidente de Gaia, rappelle que l'année passée, il y a eu une interdiction qui a été votée au parlement néerlandais. "Et donc, ils cherchent à s'implanter ailleurs. Et le plus près, c'est la Belgique", déplore-t-elle. "Il y a déjà eu des tentatives à Somme-Leuze mais là, la Wallonie a heureusement été très claire: ils ont dit non".

    Gaia espère maintenant que la Belgique suive l'exemple des Pays-Bas mais aussi de la Grande-Bretagne, de la Suisse, de l'Autriche, de la Bulgarie... et interdise l'élevage du vison sur son territoire. "Il y a eu plusieurs propositions de loi qui sont désormais sur la table de la Chambre et qui ont été débattues avant les vacances parlementaires mais qui n'ont pas encore été votées. C'est pourquoi la lutte continue", poursuit Anne De Greef.

    C'est pourquoi Gaia sera à Wervik ce samedi... pour une action pacifique.

    Odile Leherte

     

    </article>

     

     

    http://www.rtbf.be/video/detail_mobilisation-pour-le-vison-le-point-en-direct-avec-sylvia-falcinelli?id=1866450


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    Menton ›

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    Publié le <time datetime="2013-11-01T00:09:00+01:00" itemprop="datePublished" pubdate="">vendredi 01 novembre 2013 à 00h09</time>  lien

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     Le séisme du 31 octobre enregistré par le Bureau central sismologique français, consultable sur le site www.franceseisme.fr 

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    Le séisme du 31 octobre enregistré par le Bureau central sismologique français, consultable sur le site www.franceseisme.frDR

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    Vous n'avez pas rêvé... Un séisme de faible magnitude (3,5) s'est produit ce jeudi soir à 23h09 dans l'est des Alpes-Maritimes, juste à la frontière franco-italienne.

    Il a été ressenti en de nombreux endroits des Alpes-Maritimes, à Menton, Sospel ou encore Nice. "Nous étions couchés, TV allumée, et les fenêtres de notre chambre ont tremblé", raconte cette internaute sur la page Facebook de Nice-Matin.

    Le Bureau central sismologique français (BCSF) situe l'épicentre de ce petit tremblement de terre dans le secteur de Breil-sur-Roya, au nord-ouest de la ville italienne de San-Remo. Un appel à témoignages a été lancé pour mesurer la zone réelle affectée par le phénomène.

    Vers Cunéo il y a quinze jours

    Le dernier séisme enregistré dans la région remonte à deux semaines, dans la nuit du 14 au 15 octobre dernier. D'une magnitude de 4 sur l'échelle de Richter, il avait pour épicentre la commune italienne de Castelmagno, à quelques kilomètres de Cuneo.

    Depuis 2013, cinq tremblements de terre ont été recensés dans cette zone.

     

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  • La Russie et la Chine refusent de mieux protéger l'Antarctique

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-11-01T15:58:36+01:00" itemprop="datePublished">01.11.2013 à 15h58</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-11-01T16:01:44+01:00" itemprop="dateModified">01.11.2013 à 16h01</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Antarctique : un manchot empereur transformé en caméraman pour les besoins d'un documentaire de National Geographic, grâce à un système imaginé par le biologiste marin Greg Marshall. </figure>

    Le nouveau round de négociations sur la création de sanctuaires marins en Antarctique, qui s'est achevé, vendredi 1er novembre, en Australie, s'est encore conclu par un échec. La Chine et la Russie ont fait obstacle à la protection des eaux de l'océan austral.

    Il s'agit du troisième échec, depuis 2012, pour la Convention sur la conservation de la faune et de la flore marines de l'Antarctique (CCAMLR), instance créée en 1982 pour gérer les ressources marines du continent de glace et qui regroupe 24 Etats plus l'Union européenne.
    Les eaux de l'océan Austral autour de l'Antarctique abritent des écosystèmes exceptionnels en bonne partie préservés des activités humaines mais désormais menacés par le développement de la pêche et la navigation.

    PAS MOINS DE 16 000 ESPÈCES

    Les membres de la CCAMLR étaient réunis à Hobart, sur l'île australienne de Tasmanie, pour étudier deux projets de sanctuaires visant à créer une vaste réserve marine – l'équivalent de la superficie de l'Inde –, potentiellement la plus étendue au monde, peuplée de cétacés, de mammifères marins et de manchots, soit pas moins de 16 000 espèces.

    Les Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande proposaient de sanctuariser une aire de 1,25 million de km2 en mer de Ross, une immense baie, côté Pacifique, sous juridiction néo-zélandaise.
    La France, l'Australie et l'Allemagne recommandaient de leur côté la création de sept aires marines protégées (AMP) côté océan Indien, sur une étendue de 1,6 million de km2.
    Mais la Russie et la Chine s’y sont opposées, repoussant à l'automne 2014 de nouvelles consultations.  La CCAMLR se réunit une fois par an et toute décision en son sein est adoptée par consensus.

    INTÉRÊTS RUSSES

    Une rencontre exceptionnelle, au mois de juillet, en Allemagne, avait déjà achoppé en raison de l’opposition de la Russie. Moscou, qui convointe les ressources en minerais et en hydrocarbures du Continent blanc, craignait de voir ses zones de pêche trop fortement réduites.

    Lire aussi : La Russie convoite les ressources de l'Antarctique

    « C'est un jour noir pas seulement pour l'Antarctique mais pour les océans du monde entier », s'est exclamée Andrea Kavanagh, responsable de projets marins de l’organisation américaine de défense de l’environnement Pew Charitable Trusts. « Les fondements scientifiques justifiant la création de ces réserves sont incontestables. L'égoïsme têtu de quelques-uns ne devrait pas se substituer à la volonté de la majorité des pays à travers le monde » a-t-elle ajouté.

    Pour Farah Obaidullah, de Greenpeace, l'échec de la réunion de Hobart « entache la réputation de la CCAMLR » et témoigne de l'interférence « des intérêts économiques et politiques dans la protection des océans pour le bien des générations futures ».


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  • VIDEO.

    Première tempête de l'automne :

    les 10 choses à savoir

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    La tempête d’automne "n'est pas très intense"

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    Première tempête automnale en France

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    </aside> </section> Notre sociétéLa première tempête d'automne a frappé dans la nuit de dimanche à lundi. Météo-France a placé douze départements du nord-ouest de la France en alerte orange jusqu'à lundi après-midi. MYTF1News fait le point sur la situation.

     

     

     

     

    Une violente tempête va balayer le nord-ouest de la  France. Baptisée Christian, elle va toucher en premier lieu la Bretagne avant de remonter vers le nord du pays dans la nuit de dimanche à lundi, selon Météo-France. MYTF1News fait le point sur la situation.
     
    1. Quels sont les départements touchés ?
    Douze départements sont tout particulièrement concernés : Finistère, Morbihan, Loire-Atlantique, Côtes d'Armor, Ille-et-Vilaine, Manche, Calvados, Eure, Seine-Maritime, Somme, Pas-de-Calais, Nord.

    2. Jusqu'à quand va durer l'alerte ?
    Les douze départements sont en vigilance orange jusqu'à lundi 16h, selon le bulletin de Météo-France publié dimanche à 16h. La tempête " prendra fin lundi en début de matinée sur la Bretagne et en milieu de journée sur le Nord-Pas-de-calais", précise l'institut météorologique.

    3. Comment va évoluer la dépression ?
    La dépression est attendue dimanche en cours de journée au-dessus de l'Atlantique. La tempête touchera les côtes bretonnes en milieu de nuit, et s'étendra en Normandie en deuxième partie de nuit. Le vent a déjà soufflé très fort sur le nord-ouest dans la nuit de samedi à dimanche, précise La Chaîne Météo, mais c'est surtout dans la nuit de dimanche à lundi, puis dans la matinée, qu'une deuxième dépression risque de provoquer des vents très forts en traversant le bassin de la Manche.
     
    4. A quelle vitesse souffleront les vents ?
    Les rafales atteindront 120 à 140 km/h sur les côtes, 100 km/h dans l'intérieur et localement 110 km/h sur le Nord-Pas-de-Calais. Dès ce dimanche matin des pointes à 120 km/h ont été enregistrées à Saint-Ségal dans le Finistère.

    5. Est-ce une tempête exceptionnelle pour la saison ?
    Ce phénomène météo est typique de ce qu'on voit en hiver mais comme il  intervient en automne, il présente quelques risques. Cette tempête nécessite "une vigilance particulière" en raison d'un feuillage encore dense dans les arbres (qui auront donc une prise au vent importante), précise Météo-France.


      Météo-France a placé 12 départements en vigilance orange pour vents violents. 
     

    6. Quels conseils suivre sur les routes  ?

    Limitez vos déplacements et limitez votre vitesse sur les routes car votre véhicule risque d'être déporté par le vent. En ville, soyez vigilants aux éventuelles chutes d'objets, notamment les toitures endommagées ou les branches d'arbre tombées à terre qui peuvent obstruer les chaussées et joncher les routes en milieu boisé.

    7. Que faire pour se préparer chez soi?

    Ne prenez pas de risques, il est déconseillé d'intervenir sur les toitures. Si des fils électriques venaient à tomber, ne les toucher en aucun cas. Rangez, enfin, les objets qui pourraient être emportés par le vent ou susceptibles d'être détériorés.

    8. L'électricité risque-t-elle être coupée ?
    Il est probable que des arbres tombent sur les câbles aériens électriques. Des coupures de courant peuvent s'ensuivre. Si possible, installez des groupes électrogènes pour pallier les éventuelles coupures de courant.


    9. Les liaisons maritimes ou ferroviaires seront-elles affectées ?

    Eurostar a suspendu ses trains jusqu'à 7h du matin lundi. "Les deux trains partant de Londres à 5h40 et de Bruxelles à 6h56 seront retardés d'au moins une heure au départ", précise Eurostar. Des restrictions de vitesse sur le réseau britannique dans la matinée, causeront un retard supplémentaire à l'arrivée.

    Les conditions de mer s'annoncent particulièrement tourmentées, avec des vagues pouvant atteindre 9 mètres, prévient La Chaîne Météo. La compagnie CondorFerries a annulé les traversées entre Poole ou Weymouth et les îles anglo-normandes dimanche et lundi, et ses traversées de lundi entre Saint-Malo et Jersey ou Guernesey. La compagnie Penne Ar Bed, qui dessert l'île de Sein et Ouessant, a avancé ses traversées de dimanche et prévoit un risque d'annulation des traversées vers l'ïle de Sein lundi.
     
    10. D'autres pays seront-ils aussi touchés ?
    Le Royaume-Uni a également lancé l'alerte orange dans le sud du pays. Il se préparait dimanche à  affronter sa pire tempête en plus de dix ans, avec des vents attendus de plus de 130 km/h et de possibles inondations, selon l'organisme de prévisions météorologiques, Met Office.


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  • Séisme au Japon : la centrale de Fukushima évacuée, l'alerte au tsunami levée

    Publié le 25.10.2013, 20h03 | Mise à jour : 22h23

    ILLUSTRATION. Un tsunami de faible ampleur a atteint la côte nord-est du Japon samedi matin après un séisme de magnitude 7,1 dans l'océan Pacifique, mais aucun dommage ni victime n'a été recensé.

    ILLUSTRATION. Un tsunami de faible ampleur a atteint la côte nord-est du Japon samedi matin après un séisme de magnitude 7,1 dans l'océan Pacifique, mais aucun dommage ni victime n'a été recensé. | Kazuhiro Nogi

    Zoom 1/2
    Un séisme de magnitude 7,1 s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi au large de la côte est du Japon, au niveau de la ville de Fukushima. Un ordre d'évacuation a été donné aux personnels de la centrale. L'alerte au tsunami a été levée quelques heures plus tard, le tremblement de terre n'ayant entraîné que de faibles vagues d'un mètre de hauteur.
     
    Aucune victime et aucun dégât ne sont pour l'heure à déplorer.

    La compagnie Tepco qui gère la centrale du Fukushima, sérieusement accidentée par le tsunami d'il y a deux ans et demi dans la même région, a précisé qu'aucune montée des niveaux de radioactivité n'avait été constatée dans la zone. Elle a ajouté qu'aucun problème n'avait été constaté dans les autres centrales nucléaires de la région, toutes à l'arrêt par précaution depuis la catastrophe de Fukushima.

    Le séisme a eu lieu à 03H10 heure locale samedi (18H10 heure française vendredi) à une profondeur de 10 kilomètres et à 320 kilomètres au large de la ville d'Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi. La magnitude du séisme a été évaluée à 7,5, entraînant l'émission d'une alerte verte, qui correspond à une faible probabilité de décès ou de pertes économiques.


     

    LeParisien.fr


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