• EN DIRECT. Élections départementales 2015 : une participation à plus de 50 % à 20 heures, selon les sondages

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-03-22T09:43" itemprop="datePublished" pubdate=""> 22/03/2015 à 09:43</time> - Modifié le <time datetime="2015-03-22T19:26" itemprop="dateModified"> 22/03/2015 à 19:26</time>

    VIDÉOS. La participation est plus haute que prévu. Le vote, les premières déclarations... Vous saurez tout grâce à notre direct.   lien

    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> Les Français se rendent aux urnes ce dimanche pour les élections départementales. <figcaption>Les Français se rendent aux urnes ce dimanche pour les élections départementales. © JEFF PACHOUD / AFP </figcaption> </figure>

     
     
     
     
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    Le Point.fr

    Ce dimanche, les Français sont appelés aux urnes. La participation à <time datetime="2015-03-22T17:00">17 heures</time> est de 42,98 %, selon le ministère de l'Intérieur. Ce scrutin sera-t-il une bérézina pour la gauche ? Le Front national tirera-t-il son épingle du jeu comme le pronostiquent les sondages ? Suivez tous les événements sur notre direct.

     

     
     

    <time datetime="2015-03-22T18:52">18 h 52</time>. Marine Le Pen est dans son bureau du siège du FN pour étudier les premiers résultats. Elle est entourée de Florian Philippot, Nicolas Bay et de son père, Jean-Marie Le Pen. La réunion est plus longue que prévu. Dans les couloirs du siège du FN à Nanterre, il se murmure que les résultats électoraux sont moins bons qu'annoncés...

    <time datetime="2015-03-22T18:33">18 h 33</time>. À Tulle, le fief de François Hollande, c'est l'heure du dépouillement. La participation en Corrèze est de 56,2 %. Elle était de 47 % aux européennes.

     


    <time datetime="2015-03-22T18:30">18 h 30</time>. Selon la dernière estimation Ipsos, la participation à 20 heures atteindra 51,3 %.

     

    <time datetime="2015-03-22T18:11">18 h 11</time>. Dans les grandes villes, les bureaux ferment à 20 heures. Ailleurs, ils ont fermé. Le dépouillement a donc commencé.

    Voir l'image sur Twitter

    18h. Hermeline Malherbe, présidente PS du CG66, assiste au dépouillement dans son canton.

     

     

     

    <time datetime="2015-03-22T17:05">17 h 5</time>. Selon une estimation Ipsos, le chiffre final de la participation sera de 50, 5 % à <time datetime="2015-03-22T20:00">20 heures</time>. L'institut de sondage CSA pronostique, lui, 51, 5 % de participation. En 2011, la participation avait été de près de 45 %.

    <time datetime="2015-03-22T17:00">17 heures</time>. La participation à <time datetime="2015-03-22T17:00">17 heures</time> est de 42, 98 %, en hausse par rapport à 2011, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur.

     

    <time datetime="2015-03-22T15:15">15 h 15</time>. Manuel Valls devrait s'exprimer "avant 21 heures" depuis Matignon, indique-t-on dans son entourage.

    <time datetime="2015-03-22T13:47">13 h 47</time>. Le président du MoDem et maire de Pau François Bayrou estime que "les découpages qui ont été faits et qui sont pour la plupart très politiciens ont dérouté les électeurs".

     

    <time datetime="2015-03-22T13:45"></time>


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  • Elections : 57,4% de votants en Corse du Sud, 28,4% en Seine Saint Denis

    Départementales   lien Dans l'Hexagone, les bureaux de vote ont ouvert ce dimanche à 8h00 du matin et fermeront à 18 heures dans les zones rurales, 19 heures dans les grandes villes.

    Dans l'Hexagone, les bureaux de vote ont ouvert ce dimanche à 8h00 du matin et fermeront à 18 heures dans les zones rurales, 19 heures dans les grandes villes. (Crédits : ERIC GAILLARD) latribune.fr  |  22/03/2015, 17:34  -  1037  mots A deux heures de la fin du scrutin départemental en métropole, le taux de participation est nettement supérieur à celui enregistré quatre ans plus tôt aux cantonales. Quelque 43 millions d'électeurs étaient attendus aux urnes ce dimanche.

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    • 17h04: 42,98% de participation à 17h00

    A une heure de la clôture de la plupart des bureaux de vote, le taux de participation au scrutin départemental atteint 42,98% selon le ministère de l'Intérieur. Il s'agit d'un niveau supérieur enregistré en 2011 à la même heure lors du premier tour des élections cantonales que les départementales ont remplacées. Quatre ans plus tôt, la participation dans les cantons concernées était en effet de 36,38% à 17h00. En 2008, elle était de 54,53 % à la même heure en France métropolitaine.

    Ce 22 mars, les citoyens les plus assidus se trouvaient en Corse du Sud et en Corrèze (respectivement 57,44% et 53,5%) de votants à 17h00). Le taux de participation le plus faible est enregistré dans deux départements limitrophes de Paris - où pour mémoire les électeurs ne votent pas - en Seine Saint Denis (28,4% de participation) et dans les Hauts de Seine (34,82%).

    >> Le détail, département par département

    Le FN menace SOS Racisme de déposer plainte à son encontre à la suite d'un message publié dans la matinée par l'association sur Twitter.

     Wallerand de Saint-Just, trésorier et ancien avocat du Front national invoquer l'article L97 du code électoral auprès de l'AFP. Cet article dispose que "celui qui, à l'aide de fausses nouvelles, bruits calomnieux ou autres manoeuvres frauduleuses, auront surpris ou détourné des suffrages, déterminé un ou plusieurs électeurs à s'abstenir de voter, seront punis d'un emprisonnement d'un an et d'une amende de 15.000 euros".

    En guise de réponse, SOS Racisme rappelle sur Twitter avoir porté plainte contre 10 candidats du FN aux élections départementales de mars 2015, "pour des propos racistes et antisémites tenus sur le Net."

    • 13:07 : "Aujourd'hui, il n'y a qu'un seul message: c'est voter"

     C'est le message de Manuel Valls, lors de sa visite au bureau de vote d'Evry, sa ville. Le Premier ministre est venu accompagné du maire socialiste de cette ville de l'Essonne, Francis Chouat. Il n'a pas souhaité commenter la possible poussée du Front national lors de ce scrutin, anticipée par des sondages d'opinion. "Je sortirais de mon rôle et il faut respecter l'opinion de chacun", a-t-il expliqué devant quelques caméras.

    Deux semaines plus tôt, le Premier ministre s'est illustré dans l'hémicycle en répliquant à une invective de Marion Maréchal Le Pen, députée du Front national.

    Ce dimanche, il a surtout insisté sur la nécessité d'accomplir son devoir citoyen. "Il ne s'agit pas de culpabiliser les concitoyens, mais en Tunisie des compatriotes sont morts ( ) et en janvier des hommes et des femmes ont été tués parce qu'ils défendaient la liberté d'expression, ne l'oublions pas", a rappelé Manuel Valls.

    • 12H30: "La question c'est l'abstention"

    "Aujourd'hui, la question, c'est l'abstention" et "le score du Front national", a résumé le président de la République, François Hollande, après avoir voté dans son fief corrézien de Tulle.

    De son côté, la présidente du FN, Marine Le Pen, se disait "confiante", après avoir elle aussi accompli son devoir électoral à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais).

    • 12h00 :Participation en hausse à la mi-journée.

    A midi ce 22 mars, quelque 18,02% des électeurs auraient déjà voté lors des départementales selon le ministère de l'Intérieur. Ils étaient 15% à midi lors du premier tour des cantonales en 2011. En midi-pyrénées par exemple, la participation à la mi-journée oscillait entre 17% en Haute-Garonne et 21,26% dans le Tarn. Un niveau supérieur à celui à la même heure quatre ans plus tôt.

    Cette année-là, au premier tour des cantonales en France, l'abstention avait atteint 55,7% au premier tour (résultats définitifs) Le dernier scrutin, les élections européennes en mai 2014 ont quant à elles réuni 57,5% d'électeurs.

    >> Ce qu'il faut connaître des élections départementales

    • 10h00 : En baisse à la Réunion

    En raison du décalage horaire, les bureaux de vote ont ouvert quelques heures plus tôt à la Réunion et à Mayotte. Mais peu d'électeurs y avaient déjà fait le déplacement. Ainsi, à la Réunion, moins de 15% des votants ont déjà glissé un bulletin dans l'urne ce dimanche à 12h00 selon la préfecture, un niveau très inférieur au scrutin cantonal de 2011.

    Ce dimanche, sur les réseaux sociaux, la publication d'images de responsables politiques devant les urnes a commencé tôt dans la matinée.

    • 08h00: Ouverture des bureaux de vote en France métropolitaine

    Dans la majorités des départements, seuls deux binômes devraient se qualifier en raison d'un seuil minimum exigé de 12,5% d'électeurs ayant voté pour lui. FN et UMP comptent remporter une majorité de victoires, en particulier dans le Vaucluse, le Var, l'Aisne et l'Oise pour le premier. En cas de défaite côté PS, le président de la République a déjà prévenu qu'il ne changerait "ni de ligne, ni de Premier ministre".

    Des maires en colère

    Vendredi, l'association des maires ruraux de France a menacé de ne pas se déplacer pour remettre les résultats aux préfectures afin de protester contre le redécoupage des cantons. Dans un communiqué, ils sont écrit:

    "Plusieurs maires de différents départements ont signalé à l'AMRF que les nouveaux découpages des limites cantonales et leur extension obligent les maires à parcourir de nombreux kilomètres supplémentaires pour apporter en préfecture ou sous-préfecture les résultats des élections. Ceci se traduit parfois par plusieurs heures de route. Or, aucun dispositif n'a été pensé par le ministère de l'Intérieur pour assumer les conséquences de ces redécoupages."

    (Article créé le 22/03/2015, dernière mise à jour : 17H31)


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  • Tunisie: Deux Français tués dans l'attaque... Sept Français blessés dont un dans un état grave...

    <figure class="oembed oembed-photo" data-src-format="photo" role="group">

    Des membres des Forces spéciales tunisiennes sécurisent le musée Bardo à Tunis après une attaque terroriste, le 18 mars 2015

    <figcaption>Des membres des Forces spéciales tunisiennes sécurisent le musée Bardo à Tunis après une attaque terroriste, le 18 mars 2015 - AFP</figcaption> </figure>

    Vincent Vantighem, Anne-Laetitia Béraud, avec agences

    Cette page est actualisée en temps réel : cliquez ici pour mettre à jour.

    Ce que l'on sait de l'attaque du musée Bardo à Tunis, en Tunisie, ce mercredi vers 12h30:

    - Deux Français ont été tués dans l'attaque, sept autres ont été blessés
    - L'attaque du musée a tué 17 touristes, selon le ministre tunisien des relations avec les institutions constitutionnelles Kamel Jendoubi.
    - L'attaque est terminée et le musée a été évacué
    - Deux assaillants ont été tués, deux ou trois autres personnes recherchées par la police.

    - Les deux victimes tunisiennes sont un policier et un civil.


    23h40: C'est la fin de ce direct
    Retrouvez toutes les informations à venir sur la homepage de 20 Minutes


    23h15: L'Elysée confirme la mort de deux Français
    Le Président de la République a appris avec tristesse le décès de deux de nos compatriotes dans le terrible attentat intervenu aujourd'hui au musée du Bardo à Tunis. Sept français sont blessés dont un reste dans un état grave. Il adresse ses sincères condoléances à leurs familles et à leurs proches. Il tient aussi à assurer nos compatriotes blessés dans cette tragédie de son soutien. Il exprime sa solidarité à la Tunisie.

     


    23h: Manuel Valls fait part de son émotion
    Le Premier ministre a eu «une pensée émue pour ces vies qui ont été arrachées, une nouvelle fois, dans le musée du Bardo à Tunis». «Nous y voyons encore une fois la manifestation terrible du terrorisme, du jihadisme, de l'extrémisme radical», a déploré M. Valls, notant que les «premières victimes du terrorisme» se trouvent «souvent dans le monde arabo-musulman».


    22h49: Un second Français tué

    L'Elysée a confirmé la mort des deux Français dans l'attaque terroriste du musée du Bardo à Tunis


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  • Enquête sur les attentats de Paris :

    quatre personnes en garde à vue

    Les personnes en garde à vue appartiennent à l'entourage d'Amédy Coulibaly, auteur de la prise d'otages meurtrière du supermarché casher de la porte de Vincennes à Paris.

    Devant les locaux de "Charlie Hebdo", un mois après les attentats, le 7 février 2015 (archives).

    Crédit : JOEL SAGET / AFP

    Devant les locaux de "Charlie Hebdo", un mois après les attentats, le 7 février 2015 (archives).

    par La rédaction numérique de RTL , Avec AFP publié le 09/03/2015 à 12:12 mis à jour le 09/03/2015 à 13:01

    lien

    Quatre personnes ont été placées en garde à vuedans l'enquête sur les attentats de janvier à Paris, qui ont fait 17 morts en plus de leurs trois auteurs, a indiqué une source judiciaire ce lundi 9 mars. Il s'agit de membres de l'entourage d'Amédy Coulibaly, auteur de la prise d'otages meurtrière du supermarché casher de la porte de Vincennes à Paris. 

    Selon Europe 1, deux de ces personnes sont une gendarme et son compagnon
    actuellement écroué dans un autre dossier de droit commun. L'homme est un délinquant et un proche du tueur du magasin cacher. Sa compagne militaire, convertie à l'islam, avait été suspendue de ses fonctions début février. Elle est soupçonnée d'avoir porté assistance à son compagnon.

    Selon les éléments d'analyse de téléphonie, cet homme s'est trouvé à proximité immédiate d'Amédy Coulibaly peu avant les attentats. Le Canard enchaîné avait révélé qu'il avait également pu rentrer dans la caserne de Rosny grâce à sa compagne.

    D'autres proches en détention provisoire

    Dans l'enquête,quatre autre proches d'Amédy Coulibalyont été mis en examen et placés en détention provisoire fin janvier, soupçonnés d'avoir apporté une aide logistique au tueur sans forcément connaître ses intentions criminelles. Tonino Gonthier, Willy Prévost, Christophe Raumel et Michaël Alwatik auraient fourni des armes ou des véhicules à Coulibaly ou l'auraient aidé à en acquérir.

    Des proches des tueurs se sont également rendus en Syrie, dont la compagne d'Amédy Coulibaly, Hayat Boumeddiene
    . Des connaissances des frères Kouachi, Fritz-Joly Joachin et Cheikhou Diakhabi, interceptées en Bulgarie et en Turquie sur la route vers la Syrie,ont également été remises aux autorités françaises. Les deux hommes ont été mis en examen.

    Le 7 janvier, les frères Kouachi avaient attaqué le siège de l'hebdomadaire Charlie Hebdo et tué à l'arme de guerre douze personnes. Le lendemain, une policière municipale avait été abattue dans la banlieue parisienne de Montrouge, crime dont le principal suspect est Amédy Coulibaly qui, le 9 janvier, avait pris en otage une vingtaine de personnes et tué quatre clients dans le magasin Cacher.

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  • Valls après l'attentat de Bamako :

    "Nous ne céderons jamais"

    REACTIONS par Rédaction de France Info samedi 7 mars 2015 11:00
    "Nous ne céderons jamais" a réagi Manuel Valls © REUTERS | Jean-Paul Pelissier

    Quelques heures après l'attaque d'un restaurant de Bamako qui a provoqué la mort de cinq personnes dont un Français, François Hollande a dénoncé un "lâche attentat". Manuel Valls s'est dit "horrifié" devant une "abjecte attaque terroriste'.

    Trois Européens, dont un Français et un Belge, et deux Maliens ont été abattus dans la nuit  dans un restaurant du centre de Bamako. La victime de nationalité belge était un officier de sécurité de la délégation européenne au Mali. Deux suspects ont été arrêtés et une enquête ouverte par le parquet de Paris. C'est l'attentat le plus meurtrier dans la capitale malienne depuis le lancement en janvier 2013 de l'opération Serval par la France.


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