• Claude Guéant placé en garde à vue

    L’ancien ministre UMP Claude Guéant a été placé en garde-à-vue ce vendredi 6 mars. Les enquêteurs s’interrogent sur des mouvements d’argent suspects sur des comptes de l’ancien ministre de l’Intérieur.

    <figure><figcaption>(FRANCE 3)</figcaption></figure><section class="byline clearfix">

    Mis à jour le <time datetime="2015-03-06T23:15:10+01:00" itemprop="dateModified">06/03/2015 | 23:15</time> , publié le <time datetime="2015-03-06T23:15:10+01:00" itemprop="datePublished">06/03/2015 | 23:15</time>

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    Claude Guéant, ancien ministre de l’Intérieur, a été placé en garde à vue ce vendredi 6 mars dans les locaux de la police judiciaire. Les enquêteurs s’interrogent sur des mouvements d’argent suspects sur des comptes de l’ancien ministre UMP, en lien avec la campagne de Nicolas Sarkozy pour 2007.

    Les juges s’interrogent tout particulièrement à un virement de 500 000 euros sur le compte de Claude Guéant, qui a été effectué en Mars 2008. C’est lors de perquisitions dans son bureau que les enquêteurs avaient découvert  ce versement suspect, "c’était en 2013", explique Peggy Mauger, en direct sur France 3.

    La garde à vue peut durer jusqu'à 48 heures

    L'ancien ministre explique que cet argent proviendrait de la vente de tableaux qui appartenaient à sa famille. "Il évoque un mystérieux acheteur malaisien, mais visiblement ces explications n’ont pas convaincus les enquêteurs qui ont décidé de l’entendre aujourd’hui. Pour eux, il pourrait s’agir de rétrocommissions liée à un financement illégal de la campagne de 2007 par le régime libyen" ajoute la journaliste. La garde à vue peut durer jusqu’à 48 heures.


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  • Le journal de 17h : l'antisémitisme retenu contre les jeunes adolescents de Sarre-Union

    <article>REPLAY INTÉGRAL – Le procureur de Saverne a retenu le caractère antisémite des profanations commises par les cinq adolescents dans le cimetière de Sarre-Union.</article>

    La page de l'émission : Le journal RTL  VIDEO

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    <figure data-cover="http://media.rtl.fr/cache/0H7i373MvuYJ1WjAoGcGuQ/795x530-2/online/image/2014/0610/7772519798_l-info-sur-rtl.jpg" data-dfp="1" data-player="jwplayer" data-src="http://media.rtl.fr/online/sound/2015/0218/7776659081_journal-de-17h-du-18022015.mp3">

     

    <figcaption>Le journal de 17h : l'antisémitisme retenu contre les jeunes adolescents de Sarre-Union Télécharger </figcaption></figure>

    parMarie Guerrier , La rédaction de RTL <time datetime="2015-02-18T17:40:00+01:00">publié le 18/02/2015 à 17:40</time> <time datetime="2015-02-18T18:56:00+01:00">mis à jour le 18/02/2015 à 18:56</time>

    <aside data-hitcount-url="/article/share/7776659082" id="article-tool" style="top:auto;">La justice a retenu mercredi 18 février le caractère antisémite des profanations commises par cinq adolescents dans le cimetière juif de Sarre-Union, dans le Bas-Rhin. Lors d'un point de presse, le procureur Philippe Vannier a déclaré que "la connotation et le mobile antisémites du comportement des intéressés apparaissent clairement malgré leurs dénégations".

    Par ailleurs, le procureur de Saverne a ajouté que "les cinq mineurs ont tous reconnu leur participation aux dégradations". Il a aussi précisé que les adolescents avaient décrit au cours de leurs auditions "des gestes et des paroles révélatrices", comme des "saluts nazis", des crachats sur des symboles juifs, ou le fait d'avoir prononcé les mots "sales juifs", "sale race", "Heil Hitler" ou "Sieg Heil".

    Philippe Vannier a d'ores et déjà demandé la mise en examen des cinq adolescents et leur placement sous contrôle judiciaire pour profanation de sépultures en raison de la religion des défunts et dégradation de biens publics en réunion. Il a également requis qu'ils soient placés dans un centre éducatif.

    Refus d'inhumer un bébé rom : l'enquête classée sans suite par le parquet

    La justice a décidé de classer sans suite l'enquête préliminaire pour discrimination concernant le maire de Champlan, accusé d'avoir refusé d'enterrer un bébé rom dans le cimetière de sa commune.

    Dans un communiqué, le parquet d'Évry a déclaré que "les investigations, si elles confirment un comportement parfois inadapté de différentes personnes qui sont intervenues dans la gestion de cette situation, n'ont pas permis d'établir que cette attitude ait trouvé sa source dans une volonté malveillante ou discriminatoire".

    Rappelons qu'en décembre dernier, la famille d'un bébé rom, décédé à deux mois, avait sollicité le maire Christian Leclerc pour inhumer le nourrisson dans la commune de Champlan, où elle est installée dans un bidonville depuis plus d'un an. Mais, selon l'Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms (ASEFRR), elle avait essuyé un refus. Une accusation que le premier magistrat a fortement nié.

    Le bébé a été finalement enterré au cimetière de Wissous, à sept kilomètres de Champlan. La cérémonie religieuse des obsèques a eu lieu le 5 janvier dernier à l'église Saint-Paul de Massy.

    À écouter également dans ce journal

    - Le secrétaire d’État aux transports, Alain Vidalies, vient d'annoncer que le gouvernement a décidé de différer les nouveaux projets ferroviaires pour donner la priorité à la maintenance et à la sécurité du réseau.
    - Loi Macron : interpellé par les députés de l'opposition à propos du recours au 49-3, le Premier ministre Manuel Valls a indiqué qu'"il faut aller de l'avant, cette loi est un coup de jeune pour notre économie".
    - La police anglaise a annoncé qu'elle collaborerait avec les enquêteurs parisiens afin d'identifier les auteurs de l’agression raciste, avant le match de Ligue des Champions entre le PSG et Chelsea. Un groupe de supporters du club londonien avaient repoussé mardi soir un homme noir qui essayait de monter dans le même wagon qu'eux, avant de chanter fièrement leur racisme.

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  • Athènes rejette une première proposition de l'Eurogroupe

    Le Point - Publié le 16/02/2015 à 18:59 - Modifié le 16/02/2015 à 19:52 lien

    La réunion s'est conclue prématurément après le refus de la Grèce d'accepter l'exigence de ses partenaires de prolonger son actuel programme de redressement.

    Le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis.Le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis. © Emmanuel Dunand / AFP

     

    Une première proposition a été rejetée par Athènes, qui l'a jugée "absurde" et "inacceptable" lundi dès le début de l'Eurogroupe à Bruxelles. "En ces circonstances, il ne pourrait y avoir d'accord" dans la soirée, avec ses partenaires de la zone euro, a indiqué une source gouvernementale grecque. Cette source a précisé que la proposition consistait à demander à Athènes d'appliquer les conditions actuelles de son plan de sauvetage. La réunion de l'Eurogroupe s'est donc conclue de manière prématurée ce refus de la Grèce d'accepter l'exigence de ses partenaires.

    "L'insistance de certaines personnes à demander au nouveau gouvernement grec de mettre en oeuvre le plan de sauvetage est absurde et inacceptable, et en ces circonstances il ne peut y avoir d'accord ce soir", a indiqué cette source. Les dix-neuf ministres des Finances de la zone euro étaient réunis à Bruxelles pour essayer de trouver un compromis alors que la Grèce arrive le 28 février au terme du plan de sauvetage de l'UE et ne veut pas accepter de prolongation de celui-ci.

    De son côté, la zone euro estime que la balle est dans le camp d'Athènes. Il est "très clair que le prochain pas doit venir des autorités grecques (...) et au vu du calendrier, on peut utiliser cette semaine, mais c'est à peu près tout", a déclaré lors d'une conférence de presse le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après la fin brutale des négociations ) la suite du refus grec.

    Perte de temps

    Le nouveau gouvernement de gauche radicale issu des élections du 25 janvier demande en effet à ses partenaires de lui accorder du temps pour mettre en place son propre plan de réformes, et de conclure avec la Grèce en attendant un accord-relais lui permettant de rester financée.

    "Mener à bien le plan de sauvetage ne faisait pas partie des propositions du sommet" des chefs d'État et de gouvernement jeudi dernier à Bruxelles. "Ceux qui l'ont remis sur la table perdent leur temps", a fait savoir cette source. À ces propos, l'euro qui évoluait autour de l'équilibre pendant pratiquement toute la séance européenne est reparti brutalement à la baisse. Vers 17 h 25 GMT, il est tombé à 1,1356 dollar alors qu'il évoluait auparavant autour de 1,1400 dollar.

     

     


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  • Nigeria: le président demande l'aide

    américaine pour combattre Boko Haram

    AFP/Archives
    Le président du Nigeria Goodluck Jonathan à Abuja le 11 février 2015 AFP/Archives
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    Washington (AFP)

    Le président du Nigeria Goodluck Jonathan demande l'aide des Américains pour combattre les islamistes de Boko Haram, dans un entretien au Wall Street Journal.

    "Est-ce qu'ils ne combattent pas l'EI (le groupe Etat islamique, ndlr)? Pourquoi ne viennent-ils pas au Nigeria?", a-t-il déclaré vendredi dans un entretien. "(Les Américains) sont nos amis. Si le Nigeria a un problème, et bien j'attends des Etats-Unis qu'ils viennent nous aider".


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  • Ukraine: accord de Merkel, Hollande et Poutine

    sur un projet de plan de paix en cours d'écriture

    lien
    Moscou - Des négociations constructives et substantielles entre Angela Merkel, François Hollande et Vladimir Poutine, qui ont duré près de cinq heures à Moscou, ont permis de trouver samedi un accord pour la préparation d'un futur plan de paix intégrant les propositions franco-allemandes et celles des présidents russe et ukrainien, a annoncé Kremlin.

    Les négociations ont été constructives et substantielles, a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    A Paris on indiquait également dans l'entourage du président français que les discussions ont été constructives et substantielles avec le président Poutine au Kremlin.

    Compte tenu des propositions formulées par le président français et la chancelière allemande, le travail visant à préparer le texte d'un possible plan commun sur la mise en oeuvre des accords de Minsk (sur le cessez-le-feu en Ukraine signé en septembre, ndlr) est en cours, a précisé le porte-parole du Kremlin.

    Ce document devrait également comprendre les propositions faites par le président ukrainien et celles ajoutées aujourd'hui par le président Poutine, a-t-il précisé. Pour l'heure, les négociations sont terminées et M. Hollande et Mme Merkel sont en train d'aller à l'aéroport, selon M. Peskov.

    Un bilan préliminaire du travail visant à élaborer un document sur le règlement du conflit dans l'est de l'Ukraine sera fait dimanche au cours d'un entretien téléphonique dans le format dit de Normandie (Russie, France, Allemagne, Ukraine, ndlr) au plus haut niveau, a déclaré M. Peskov.


    (©AFP / 06 février 2015 22h57)
     

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