• Gironde : deux femmes armées d'une kalachnikov factice sèment l'émoi à Andernos-les-Bains

    Gironde : deux femmes armées d'une kalachnikov factice sèment l'émoi à Andernos-les-Bains

    <time datetime="2015-12-07T19:15:29+01:00" itemprop="datePublished">07 Déc. 2015, 19h15</time> | MAJ : <time datetime="2015-12-07T19:14:30+01:00" itemprop="dateModified">07 Déc. 2015, 19h14   lien </time>
     
    <figure> ILLUSTRATION. Deux jeunes femmes de 21 et 24 ans, armées d'une kalachnikov AK47 factice, ont semé l'émoi lundi, et mobilisé durant quatre heures un important dispositif de sécurité, à Andernos-les-Bains, une petite station balnéaire du Bassin d'Arcachon (Gironde). <figcaption class="articleChapeau ">ILLUSTRATION. Deux jeunes femmes de 21 et 24 ans, armées d'une kalachnikov AK47 factice, ont semé l'émoi lundi, et mobilisé durant quatre heures un important dispositif de sécurité, à Andernos-les-Bains, une petite station balnéaire du Bassin d'Arcachon (Gironde).
    LP/Mehdi Pfeiffer</figcaption> </figure>

    Moins de quatre semaines après les attentats de Paris, deux jeunes femmes se promenaient tranquillement, masquées et avec des AK 47 ! Armes qui se sont révélées factices, mais qui ont suffi à semer l'émoi lundi, et mobilisé durant quatre heures un important dispositif de sécurité, à Andernos-les-Bains, une petite station balnéaire du Bassin d'Arcachon (Gironde).

     



    Peu avant 12h30, la gendarmerie d'Andernos a été alertée par le directeur du Lycée Nord Bassin de la présence de deux jeunes femmes, armées d'un fusil d'assaut à billes de type kalachnikov, aux abords de l' établissement, a confié un responsable de la gendarmerie, confirmant une information du journal Sud Ouest.

    Les deux jeunes femmes, âgées de 21 et 24 ans «dont l'une est domiciliée à Andernos et originaire de la région», auraient voulu faire un canular pour s'amuser... Elles ont abordé des jeunes à la sortie du lycée pour leur demander une cigarette sans même chercher à dissimuler le fusil à billes que l'une d'elle portait, selon ce gendarme. Perturbés, les lycéens ont donné l'alerte qui a aussitôt déclenché le déploiement d'un important dispositif de sécurité et mobilisé «plusieurs dizaines de gendarmes et un hélicoptère», qui ont quadrillé durant quatre heures la zone pour retrouver les deux jeunes femmes.

    Les chefs de tous les établissements scolaires de la ville ont de leur côté «restreint les sorties» de leurs écoles, collèges, et lycées, a-t-on précisé de même source. Les deux jeunes femmes ont finalement été localisées et interpellées au domicile de l'une d'elles, quatre heures plus tard vers 16h30. Elles étaient encore entendues à la gendarmerie en début de soirée.

    L'enquête ne fait que commencer, mais «il semble a priori s'agir d'un acte d'inconscience» de la part des deux mises en cause. Elles voulaient a priori simplement faire peur aux lycéens pour rompre l'ennui !


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