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    Pyrénées-Orientales: Un homme retrouvé brûlé

    et un politique local porté disparu

    Le 01 juillet à 6h00 par Laure Moysset | Mis à jour le 01 juillet       lien 

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    Jean Bigorre a été candidat à plusieurs élections sur le canton d'Elne.

    <figcaption>Jean Bigorre a été candidat à plusieurs élections sur le canton d'Elne. PHOTO/DR</figcaption></figure>

    Un corps a été découvert dans un champ suite à un feu. Depuis lors, Jean Bigorre, 57 ans, n'a plus donné signe de vie.

    Les pompiers, appelés dans la nuit de jeudi à vendredi derniers pour lutter contre un incendie dans un champ à Elne, ont fait une découverte macabre. Après extinction des flammes, ils ont en effet découvert le corps d'un homme. L'alerte a été aussitôt donnée auprès des services de gendarmerie.

     

    Les militaires de la brigade d'Elne, de la brigade de recherches de Perpignan et de la cellule d'identification criminelle se sont rendus en urgence sur les lieux afin de procéder aux premières constatations. Les investigations se poursuivent actuellement afin de déterminer les causes et les circonstances exactes du décès et, avant tout, identifier la victime.

    Une autopsie devait être pratiquée lundi et les premiers résultats écarteraient la piste criminelle. D'autre part, les enquêteurs procèdent à des vérifications avec les éventuelles affaires de disparitions signalées dans le secteur.

    Sachant que le lendemain de l'incendie, soit vendredi matin, son frère a signalé la disparition de Jean Bigorre, 57 ans, ex-candidat à diverses élections sur le canton d'Elne. Honnête, enthousiaste et engagé dans de multiples associations, militant syndical et politique passionné, cet ancien socialiste, cheville ouvrière du parti 'Nouvelle donne', était candidat lors des municipales de mars sur la liste conduite par le maire sortant Nicolas Garcia.

    Selon les messages de ses amis sur les réseaux sociaux, il aurait laissé une lettre avec quelques mots : "Je pars et je ne reviendrai pas..." Des expertises et comparaisons scientifiques sont en cours pour établir formellement l'identité du défunt qui gisait dans un champ voisin de celui appartenant au disparu.

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    Le journaliste de France 2 Benoît Duquesne est mort

    LIBERATION AVEC AFP<time datetime="2014-07-04T15:24:14" itemprop="datePublished"> 4 JUILLET 2014 À 15:24 </time>(MIS À JOUR : <time datetime="2014-07-04T16:21:04" itemprop="dateModified">4 JUILLET 2014 À 16:21</time>)
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    Benoît Duquesne, journaliste à France Télévisions, en 2009.

    <figcaption itemprop="description">Benoît Duquesne, journaliste à France Télévisions, en 2009. (Photo Martin Bureau. AFP)</figcaption></figure>
    DISPARITION

    Le présentateur de «Complément d’enquête» a été victime d'une crise cardiaque à 56 ans.

     
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    Le journaliste Benoît Duquesne est mort d’une crise cardiaque, à 56 ans. Diplomé de l’Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille, il avait longtemps travaillé à TF1 avant de gagner France 2 où il présentait l’émission «Complément d’enquête» depuis 2001. Il présentait encore le hors-série de l'émission diffusé hier soir sur la chaîne publique, consacré à Bernard-Henri Levy.

    Le journaliste a été retrouvé sans vie par un collègue dans sa péniche de l’île Saint-Denis, en banlieue parisienne, vers 12h30 et une autopsie doit être pratiquée, selon une source policière.

    Benoît Duquesne est né le 19 juillet 1957 à Roubaix dans le Nord. Titulaire d’une licence de droit, il obtient en 1983 le diplôme de l’Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille. Il entre ensuite à Europe 1 au service des informations générales. 

    De 1988 à 1994, il est reporter à TF1 et couvre notamment la guerre du Golfe, le conflit en Bosnie et l’écroulement du régime communiste roumain pour le compte d’émissions comme Le droit de savoir et Reportages.

    Pendant dix ans (1997-2007), il est rédacteur en chef à France 2. En 2005, à la suite de la démission surprise de Christophe Hondelatte, il avait pris brièvement en charge la présentation du JT de 13 heures de la chaîne publique. En août 2007, il retrouve Europe 1, cette fois-ci au poste de directeur de la rédaction, tout en continuant d’assurer la présentation de «Complément d’enquête». En juillet 2008, la nouvelle direction de la radio le remercie.

    Mais on se souvient aussi de cette fameuse course-poursuite dans les rues de Paris, le soir du deuxième tour de l'élection présidentielle de 1995. Lancé en moto après la voiture de Jacques Chirac, on l'entend commenter le trajet et tenter sans succès d'interviewer le nouveau président, un procédé que populariseront les chaînes d'info en continu. «Ça me gênerait quand même un petit peu si on ne retenait que cela, parce que j’ai été grand reporter un peu partout dans le monde. Mais c’est marrant de voir que cette image occulte tout le reste», confiait-il au Figaro en avril dernier. 

    Le Premier ministre Manuel Valls a exprimé vendredi sa «profonde émotion».«Passionné par la politique, Benoît Duquesne était profondément attaché au service public, dont il était devenu un des grands visages», a-t-il affirmé dans un communiqué.

    LIBERATION avec AFP

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  • Le chroniqueur de Canal + Léon Mercadet est décédé

    Le journaliste Léon Mercadet est décédé ce dimanche 22 juin. Figure de la Matinale de Canal +, le chroniqueur est mort des suites "d’une sale maladie" comme l’a annoncé son confrère Bruce Toussaint sur I>Télé.

    © Capture d'écran Twitter

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    Léon Mercadet s’est éteint ce dimanche à l’âge de 64 ans. La triste nouvelle a été annoncée ce lundi par son confrère Bruce Toussaint sur iTélé.
    Chroniqueur à la Matinale de Canal + de 2004 à 2013, le journaliste a été emporté par une "sale maladie", a déclaré Bruce Toussaint.

    Né en 1950, il est passé par les rédactions de Rouge(journal de la Ligue Communiste Révolutionnaire),Actuel, Nova MagazineI>Télé et Canal Plus. Sur Twitter, les réactions émues de ses confrères sont nombreuses et certains ont souligné la particularité de ce journaliste. En effet, Léon Mercadet n'est pas son vrai nom mais un pseudonyme. Yves Gloux de son patronyme, avait emprunté son prénom à Trotsky et son de famille à Ramon Mercadet qui n'est autre que l'assassin du révolutionnaire russe.

     

    Léon Mercadet (voir tweet précédent) était un pseudo, Léon de Trotsky et Mercadet de Ramon Mercader, l'assassin du même Trotsky... Complexe!


     


    Un esprit libre, engagé, un homme de conviction, brillant, érudit, un ami est parti…RIP Léon

     

     

    Il y a un an, Léon Mercadet avait fait rire les téléspectateurs avec cette séquence où il s'est endormi en direct pendant la matinale de Canal + .....

    <article class="generic-video"></article>
     

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  • <article class="article article_normal" itemscope="" itemtype="http://schema.org/NewsArticle" style="box-sizing: border-box; margin-bottom: 13px; color: rgb(22, 33, 44); font-family: arial, freeSans, sans-serif; line-height: 18.200000762939453px; background-color: rgb(255, 255, 255);">

    Dix jours de commémorations pour le centenaire de l'attentat de Sarajevo

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-06-20T14:30:25+02:00" itemprop="datePublished">20.06.2014 à 14h30</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-06-20T15:09:58+02:00" itemprop="dateModified">20.06.2014 à 15h09</time> |Par Antoine Flandrin

    lien 

     

    <figure>Le pont latin de Sarajevo, devant lequel l'archiduc d'Autriche fut assassiné, le 28 juin 1914. </figure>

     

    « Sarajevo cœur de l'Europe » est le premier grand rendez-vous du centenaire 14-18. Du samedi 21 juin au mardi 2 juillet, la capitale de Bosnie-Herzégovine sera le théâtre des commémorations de l'assassinat de l'archiduc d'Autriche François-Ferdinand, prélude à la première guerre mondiale. Dix jours de festivités ont été organisés par la Mission du centenaire, l'ambassade de France en Bosnie-Herzégovine et la productrice Fabienne Servan-Schreiber.

    Née en septembre 2011, l'idée d'ouvrir le cycle des commémorations du centenaire de la Grande Guerre à Sarajevo a longtemps été portée par la France. L'Union européenne rechigne dans un premier temps à soutenir cette initiative. En mai 2011, le Parlement européen avait déjà opposé une fin de non-recevoir à Sarajevo qui souhaitait devenir capitale européenne de la culture en 2014. Le choix d'attribuer ce titre à Riga (Lettonie) et Umea (Suède) traduisait la crainte de raviverdes tensions dans les Balkans, plus de vingt ans après le début de la guerre en ex-Yougoslavie.

     

     

    Numéro du quotidien l'Excelsior du 29 juin, lendemain de l'assassinat. © Historial de la Grande guerre

    Numéro spécial de l'Excelsior sur les semaines qui ont mené à la guerre.

    Numéro spécial de l'Excelsior sur les semaines qui ont mené à la guerre. ©

    Historial de la Grande guerre

    La proposition du directeur de la Mission du centenaire 14-18, Joseph Zimet, d'organiser à Sarajevo un rendez-vous avec tous les chefs d'Etat européens, validée par le président Nicolas Sarkozy en octobre 2011, est abandonnée par son successeur, François Hollande, en juin 2013. L'idée d'une grande manifestation culturelle et sportive sera finalement retenue. « Depuis la gouvernance a été européanisée, explique Joseph Zimet. La France n'est plus seule ». L'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Italie ainsi que la Norvège et laSuisse ont ainsi apporté leur soutien politique et financier. Créée par la Mission du centenaire, la fondation « Sarajevo cœur de l'Europe » a reçu 1 million d'euros. Elle a pour charge d'organiser l'événement en étroite collaboration avec les autorités bosniennes.

    « Cent ans plus tard, il s'agit de commémorer l'attentat du 28 juin 1914, en adressant un message de paix au monde entier, précise Joseph Zimet. Ce sera l'occasion aussi de se souvenir des Jeux olympiques d'hiver de Sarajevo (1984) et du siège de la ville (1992-1996), tout en s'interrogeant sur la Bosnie d'aujourd'hui dans une perspective européenne ».

    CONCERTS, COURSE CYCLISTE, FILM ET PIÈCE DE THÉÂTRE    

    Au programme : des expositions de photographies, des concerts et des créations artistiques qui seront ponctués par une série de temps forts. Le premier d'entre eux sera le Sarajevo Grand Prix, une course cycliste sous le patronage du Tour de France cycliste qui aura lieu dimanche 22 juin. 5 000 cyclistes venus de toute la Bosnie-Herzégovine se joindront à plus de 140 professionnels originaires de vingt pays, dont plusieurs anciens vainqueurs de la Grande Boucle : Bernard Hinault, Bernard Thévenet, Joop Zoetelmelk et Felice Gimondi. Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, sera présent et devrait même participer à cette course diffusée sur France 2, prélude au Tour de France 2014. De la Belgique au Vosges, sept étapes parcourront le front occidental de la première guerre mondiale.

    Second temps fort : le 27 juin. Pendant une journée France Inter et France Culture délocaliseront leurs antennes à Sarajevo. Des émissions spéciales seront consacrées à la Grande Guerre, au siège de Sarajevo et la ville aujourd'hui. Cette journée sera également marquée par la projection en avant-première des Ponts de Sarajevo, film composé de treize courts-métrages, réalisés par des auteurs européens de renom, dont Jean-Luc Godard (Suisse), Aida Begic (Bosnie-Herzégovine), Serguei Losnitza (Ukraine) et Pedro Costa (Portugal).

    Le même soir aura lieu au Théâtre national la première représentation d'Hotel Europe, pièce de théâtre écrite par Bernard-Henri Lévy, qui sera reprise à Paris le 9 septembre. Interprété par Jacques Weber, ce monologue de deux heures est mis en scène par Dino Mustafic, ancien cameraman de l'armée bosniaque que Bernard-Henri Lévy avait rencontré lors du tournage de Bosna en 1993. Financé par le philosophe français, citoyen d'honneur de la ville de Sarajevo, ce spectacle qui n'entrait pas au départ dans la programmation des festivités, a finalement été intégré.

    PRÉSENCE INCERTAINE DE FRANÇOIS HOLLANDE

    800 personnes sont ensuite attendues au centre culturel pour assister à la « Nuit Svedah », concert de musique traditionnelle bosnienne. Cette soirée sera clôturée par un grand spectacle conçu par le metteur en scène bosnien Haris Pasovic. Intitulé « Un siècle de paix après un siècle de guerre », il aura lieu sur le pont latin, devant lequel l'archiduc d'Autriche fut assassiné. Le secrétaire d'Etat aux affaires européennes Harlem Désir, et son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier, seront présents aux côtés de nombreux parlementaires français et européens. Moins certaine, la présence de la ministre de la culture, Aurélie Philippetti. La venue du président François Hollande est espérée, mais peu probable.

    Point d'orgue de ces festivités, le concert de l'orchestre philharmonique de Vienne, le samedi 28 juin, dans la Vijecnica, l'ancienne mairie et bibliothèque nationale détruite pendant la siège de Sarajevo et rouverte le 9 mai 2014. Le président autrichien, Heinz Fischer, sera présent. Tout un symbole.

    Les autorités françaises, qui ont réussi le tour de force de mettre au point une semaine riche en commémorations en Bosnie-Herzégovine, ont toutefois échoué à organiser un colloque international d'histoire. L'historien bosniaque Husnija Kamberovic organise une conférence à l'institut historique de Sarajevo du 19 au 21 juin. 120 historiens originaires de 28 pays y sont attendus. L'intention de ce colloque programmé dès 2010 est d'interroger la façon dont l'histoire de la première guerre mondiale a été écrite dans les Balkans, mais également dans le monde.

    Une initiative que les Serbes de Bosnie ont peu goûtée. Pour eux, l'auteur de l'assassinat du 28 juin, Gavrilo Princip, reste un héros, un défenseur de l'identité nationale serbe. Très irrités par le succès éditorial rencontré en Europe par lesSomnambules de l'historien australien Christopher Clark qui leur attribue la responsabilité du déclenchement de la première guerre mondiale, les Serbes organisent un colloque en septembre à Belgrade. Dépêché par la Mission du centenaire, l'historien français Robert Frank n'a pas réussi à convaincre seshomologues bosniaques et serbes de fusionner leurs colloques. Une solution de rechange a pu être trouvée : une conférence pluridisciplinaire intitulée « Long Shots of Sarajevo – a European Debate », organisé par l'ambassade d'Autriche, la faculté de philosophie de Sarajevo et le Trinity College de Dublin se tiendra tout au long de la semaine.

     

     

    </article><aside class="fenetre" style="box-sizing: border-box; padding: 10px 16px; border: 1px solid rgb(238, 241, 245); color: rgb(22, 33, 44); margin: 0px 0px 25px; font-family: arial, freeSans, sans-serif; line-height: 18.200000762939453px; background: rgb(248, 249, 251);">Un centenaire 14-18 en cinq actes

     

    Si certains détails restent à peaufiner, le programme commémoratif conçu par la Mission du centenaire est désormais établi. Après « Sarajevo cœur de l'Europe », un second temps fort commémoratif sera organisé autour du 14 juillet. Le 13, le ciel du Bourget sera en fête pour le centenaire de l'aéroport. Un grand meeting réunira une soixantaine d'avions de toutes les époques. Le 14, un grand défilé aura lieu sur les Champs-Élysées à Paris en présence du président François Hollande et des représentants des quatre-vingts nations ayant pris part à la première guerre mondiale. Trois soldats de chaque pays défileront côte à côte. Cette parade sera suivie par une chorégraphie mise en scène par José Montalvo à laquelle participeront quatre jeunes de chaque pays. Un concert sera ensuite organisé  au champ de Mars, ponctué par un grand feu d'artifice. Le troisième rendez-vous du centenaire aura lieu le 3 août. Le président français et son homologue, Joachim Gauck, se rendront au mémorial de l'Hartmannswillerkopf dans les Vosges pour marquer le centième anniversaire de la déclaration de la guerre. La commémoration de la bataille de la Marne, le 12 septembre, sera le quatrième temps fort de ce centenaire. Les contours de cette manifestation à laquelle participera le président de la république n'ont pas encore été arrêtés. Le déroulé du dernier rendez-vous est, en revanche, connu. Le 11 novembre, au terme de la traditionnelle cérémonie organisée sur les Champs-Élysées, François Hollande inaugurera le mémorial international de Notre-Dame-de-Lorette dans le Pas-de-Calais. Sur un anneau de métal, conçu par l'architecte Philippe Prost, seront inscrits dans l'ordre alphabétique, les noms des 600 000 soldats morts dans le département pendant la Grande Guerre.

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  • Mort de Jacques Herlin, le Frère Amédée de
    "Des hommes et des dieux" et prolifique
    second rôle français

    Par La Rédaction avec AFP â–ª samedi 7 juin 2014 - Il y a 2 minutes lien 

    Avec une centaine de films à son actif, le comédien français Jacques Herlin s'est éteint ce samedi 7 juin à Paris. Il avait 86 ans.

     

     
    <figcaption>Jacques Herlin sur le tapis rouge du Festival de Cannes le 18 mai 2010, pour la montée des marches de</figcaption>
    <figcaption> Des hommes et des dieux</figcaption>

    1958-2014 : près de soixante ans de carrière à la télévision, au théâtre et sur grand écran, et une centaine de participations à son actif qui ont fait de lui l'un des seconds rôles les plus prolifiques du cinéma hexagonal. Actuellement à l'affiche de La liste de mes envies, le comédien français Jacques Herlin s'est éteint aujourd'hui

    dans un hôpital parisien à l'âge de 86 ans.

    Il laisse derrière lui une impressionnante filmographie, marquée notamment par le rôle, très touchant, de Frère

    Amédée dans Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois. Au cours de ces six décennies, il aura notamment

    joué sous la direction de Julien Duvivier, Édouard Molinaro, René Clément, Dino Risi, Federico Fellini, Luchino Visconti, Marco Bellochio, Jean-Jacques Beineix, Philippe de Broca, Claude Miller, James Ivory, Ridley Scott,

    Philippe Lioret, Benoît Jacquot ou encore Luc Besson.

    Il avait récemment joué dans l'unitaire TV Rue des ravissantes d'après Boris Vian, dont la diffusion est attendue

    à la rentrée sur France 2

    Jacques Herlin dans "Des hommes et des dieux"

     

     

     

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