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    70e D Day. 50 000 personnes à Arromanches pour la Patrouille de France !

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    Selon la gendarmerie, environ 50 000 personnes ont convergé vers Arromanches (Calvados) et ses alentours, ce samedi 7 juin 2014.

    La Patrouille de France y présentait un show aérien à 15h. Conséquence: un réseau routier très engorgé en cette fin d'après-midi. Arromanches, c'est 560 habitants à l'année…


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    « Vive la reine ! Longue vie à la reine ! » : la reine Elizabeth à la rencontre des Parisiens

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      • Par Florentin Collomp
      • Mis à jour <time data-ago="il y a 6 heures" data-original="le 07/06/2014 à 18:49" datetime="2014-06-07T18:49:38+02:00" itemprop="dateModified">le 07/06/2014 à 18:49</time>
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      • Publié <time data-ago="il y a 13 heures" data-original=" le 07/06/2014 à 12:25" datetime="2014-06-07T12:25:08+02:00" itemprop="datePublished">le 07/06/2014 à 12:25</time>
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    La reine d'Angleterre a visité samedi le marché aux fleurs de la capitale qui porte désormais son nom. Dans la foule, certains étaient venus dès 07h pour tenter de l'apercevoir et lui rendre hommage.

     

    C'est un Paris de carte postale, cher à l'imaginaire des Anglo-Saxons. Le marché aux fleurs, une jolie place publique sur l'Ile de la Cité, une entrée de métro Guimard. Un orchestre de jazz joue tranquillement. La reine Elizabeth, escortée du président Hollande et suvie du prince Philip, fait le tour des stands des commerçants, habillée en rose parme et chapeau blanc. Hortensias, géraniums, rosiers éclatent de couleurs. Stéphane Stavratis, dans son échoppe depuis 38 ans, lui offre une orchidée et un rosier Elizabeth. La dame de compagnie a les bras chargés de fleurs et de plantes.

    Anne Hidalgo, au nom des «amoureux de Paris», dit son «immense bonheur» d'accueillir Sa Majesté, qu'elle a reçue quelques instants auparavant à l'Hôtel de Ville. La reine avait tenu à revenir sur ce marché aux fleurs et aux oiseaux qu'elle avait découvert lors de sa première visite à Paris, en 1948. En son honneur, une plaque est dévoilée, rebaptisant l'endroit «Marché aux fleurs Reine Elizabeth II».

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    «Je suis républicaine»

    «Vive la reine! Longue vie à la reine!» crient des badauds, dont certains sont arrivés dès 7 h du matin. Ils agitent des drapeaux Union Jack distribués par l'ambassade de Grande-Bretagne. «Formidable! Inoubliable! s'exclame Jacqueline Thommerot, une Bretonne de passage. C'est important que la France reconnaisse le rôle qu'elle a joué pendant la seconde guerre mondiale. Et je suis républicaine!» Juliette, 8 ans, n'en perd pas une miette: «Elle est belle, j'aime bien son chapeau. J'ai une carte postale d'elle chez moi parce que ma mère est anglaise et mon grand-père a déjà déjeuné avec elle. Je vais lui raconter.» D'autres pestent: «On ne voit rien!»

    La reine salue les membres de l'association de cyclistes handicapés Help for Heroes emmenés par Bradley Wiggins, inaugure une installation d'art vidéo et rencontre des écoliers parisiens. Elle entend à peine les petits films qu'ils ont préparés pour lui souhaiter «Welcome your Majesty».

    Une petite averse chasse le cortège royal, qui regagne ses voitures. L'avion attend à Villacoublay, où la reine est repartie en fin de matinée, raccompagnée par François Hollande, rattrapé par sa malédiction avec les intempéries. Elizabeth II en a vu d'autres, ouvre son parapluie. Elle quitte notre «beau pays» après trois jours d'une visite, peut-être sa dernière, riche en symboles et émotions.

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    D-Day. Juno. La Chaudière fait exploser la défense allemande

    France - <time datetime="2014-06-06T05:42:01+02:00" itemprop="datepublished">06 Juin</time>
    • <figure>Juno, 6 juin 1944, devant Bernières-sur-Mer, une des rares photos couleur du D Day.<figcaption>Juno, 6 juin 1944, devant Bernières-sur-Mer, une des rares photos couleur du D Day. | Bibliothèque et Archives Nationales du Canada</figcaption></figure>
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    Jack AUGER.

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    Entre Saint-Aubin-sur-Mer à l’est et Courseulles-sur-Mer, à l’ouest, sur la côte du Calvados, le secteur de Juno a été confié à la 3e division d’infanterie canadienne.

    Comme à Omaha Beach, l’appui aérien et naval n’est pas efficace et la capacité de défense des Allemands à peine entamée lorsque se présentent les premiers chalands.

    La première vague avec le Royal Winnipeg Rifles et le Regina Rifle Regiment, subit 50% de perte.

    <figure>Les Canadiens, à Bernières sur Mer, 6 juin 1944.<figcaption>Les Canadiens, à Bernières sur Mer, 6 juin 1944. | Bibliothèque et Archives Nationales du Canada</figcaption></figure>

    Ce sont les soldats du régiment de La Chaudière qui vont débloquer la situation en enfonçant la première défense allemande. A midi, les Canadiens sont dans les terres et, en fin d’après-midi, totalement maître de Saint-Aubin-sur-Mer. Au crépuscule de cette journée historique, l’échelon avancé de la 9e brigade est aux portes de Caen. On dit même, sans qu’on n'en ait jamais eu la preuve, qu’un motocycliste canadien est rentré dans Caen, avant de faire demi-tour arrivé au rond-point du Jardin des plantes. Le 1er Hussard canadien est aussi à 15 km des plages. C’est le seul régiment à avoir atteint ses objectifs.

    Au soir du 6 juin 1944 15 000 soldats canadiens sont sur le sol de France. 340 ont été tués, 739 sont blessés ou portés disparus.

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    Débarquement : n'oublions pas les Canadiens

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-06-06T12:33" itemprop="datePublished" pubdate="">06/06/2014 à 12:33</time>

    Le Jour J, 359 Canadiens sont morts sur les plages de Normandie

    aux côtés des Américains et des Britanniques. Leur sacrifice sera commémoré ce 6 juin.

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    Les troupes canadiennes débarquent à Juno Beach le 6 juin, à 7 h 55.

    <figcaption>Les troupes canadiennes débarquent à Juno Beach le 6 juin, à 7 h 55. © Mary Evans / SIPA</figcaption></figure>
     
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    "Puisque, par vous, un rameau de la vieille souche française est devenu un arbre magnifique, la France, après ces grandes douleurs, la France, après la grande victoire, saura vouloir et saura croire." Ce cri de détresse, adressé par

    le général de Gaulle aux Canadiens français le 1er août 1940, n'a pas autant marqué l'histoire que l'appel du 18 juin.

    Et pour cause : au moment de cette allocution radiophonique, la "société canadienne-française, profondément conservatrice, se laisse d'abord séduire par la révolution nationale proposée par le maréchal Pétain en espérant

    qu'elle puisse essaimer dans la province de Québec". 

    C'est ce qu'explique au Point Frédéric Smith, historien et auteur deLa France appelle votre secours. Québec et la France libre, 1940-1945. Ce n'est qu'en 1942, lorsque le Canada et les États-Uniscessent leurs relations diploma-

    tiques avec Vichy, que la Belle Province se tourne vers De Gaulle. Elle suit de ce fait le gouvernement fédéral et

    les soutiens québécois de la résistance. Mais, une fois le ralliement du Québec acté, le Canada, qui ne compte

    alors  que 12 millions d'habitants, va jouer un rôle crucial pour libérer l'Europe du joug allemand. 

    Le 6 juin 1944, à 7 h 55, la troisième division d'infanterie canadienne débarque sur la côte normande et prend

    d'assaut Juno Beach, qui s'étend de Courseulles-sur-Mer à Saint-Aubin-sur-Mer. Les 7e et 8e brigades d'infanterie, incluant le régiment francophone de la Chaudière, ont trois objectifs à remplir. Ils doivent d'abord contrôler les neuf kilomètres de Juno Beach pour assurer la jonction entre les plages britanniques Gold Beach et Sword Beach.

     

     

     
     

     ©  Catherine Huguet

    "Une réussite dont la nation peut être fière"

    Mais les 21 000 soldats canadiens (plus de 6 % de la force débarquée totale) ont également pour mission d'effectuer une percée entre Bayeux et Caen, espacées d'une trentaine de kilomètres, et sont censés prendre l'aéroport de Carpiquet, où les Britanniques vont les rejoindre.

    Au prix de 359 morts, les Canadiens parviennent à faire une brèche dans le mur de l'Atlantique et à progresser plus que les autres troupes alliées. Et ce, malgré une opposition extrêmement féroce, surpassée seulement par la bataille d'Omaha Beach. Les Allemands les empêchent d'ailleurs d'accomplir leur objectif dans sa totalité, puisque l'aéroport ne sera capturé que le 4 juillet. Pour autant, l'historien John Keegan parle d'"une réussite dont la nation peut être fière".

    En souvenir de ce jour, de nombreux Canadiens visitent chaque année la Normandie. Ils vont en particulier se recueillir à Bretteville-sur-Laize et Bény-sur-Mer, les lieux des deux cimetières dédiés à leur nation. Les Normands les plus âgés n'ont pas oublié ces soldats et "la population française se montre très généreuse à l'endroit des Canadiens", précise Frédéric Smith. Il ajoute qu'au long cours "les liens particuliers entre Canadiens, Québécois et Français depuis le 6 juin 1944 s'incarnent de façon plus personnelle qu'officielle", au travers des rencontres ou d'échanges sur des forums spécialisés. Mais, vendredi, c'est officiellement que la nation française remerciera ses libérateurs canadiens, lors d'une cérémonie à 17 h 30 à Courseulles-sur-Mer. 


     

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    D Day : l'hommage de Hollande aux soldats polonais

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-06-06T20:09" itemprop="datePublished" pubdate="">06/06/2014 à 20:09</time>

    Le chef de l'État français a rendu hommage, au côté du président polonais Bronislav Komorowski, aux 696 soldats polonais inhumés au cimetière d'Urville.

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    François Hollande a rendu hommage vendredi aux soldats polonais morts aux côtes des Alliés dans la bataille de Normandie en se rendant au cimetière d'Urville qui abrite les tombes de 696 d'entre eux.

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    François Hollande a rendu hommage vendredi aux soldats polonais morts aux côtes des Alliés dans la bataille de Normandie en se rendant au cimetière d'Urville qui abrite les tombes de 696 d'entre eux. © CHARLY TRIBALLEAU / Sipa

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    François Hollande a rendu hommage ce vendredi aux soldats polonais morts aux côtes des Alliés dans la bataille de Normandie en se rendant au cimetière d'Urville qui abrite les tombes de 696 d'entre eux."De valeureux polonais ont eu une tâche majeure dans la bataille de Normandie", a rappelé le président français, soulignant leur rôle dans la bataille décisive en août 1944 pour fermer la poche de Falaise, occupée par les Allemands.

    "Dans la bataille de Normandie, la Pologne a laisse ici plus de 2.000 de ses enfants (...). Nous voulons saluer la contribution des Polonais à la lutte pour notre liberté", a-t-il déclare aux côtés du président polonais Bronislaw Komorowski, lors des célébrations du 70e anniversaire du débarquement allié en Normandie. "Aujourd'hui comme hier, la Pologne est la France sont unies pour la paix et la liberté (...). La Pologne n'est pas une alliée, n'est pas un partenaire, c'est une amie", a assuré Hollande. 

    Exil à Londres

    Le gouvernement polonais en exil à Londres a mobilisé pendant la Seconde guerre mondiale une armée de plusieurs milliers d'hommes, dont une partie était engagée dans l'opération Overlord. Constituée de volontaires qui ont pour la plupart fui la Pologne après la double invasion allemande et soviétique de septembre 1939 afin de rejoindre le gouvernement provisoire constitué à Londres, la Première Division blindée compte 16 000 hommes, dont un peu plus de 5 000 combattants.

    A l'issue des combats du 7 au 22 août, cette unité compte 2 097 hommes hors de combat (446 tués, 1 501 blessés et 150 disparus), selon les rapports de son commandant, le général Stanislaw Maczek. Pourtant, le gouvernement travailliste interdit aux Polonais de participer au défilé de la victoire à Londres en 1946. La guerre froide n'avait pas encore commencé et les Soviétiques, qui ne reconnaissaient que le gouvernement communiste de Varsovie, étaient encore ménagés par leurs "alliés". Ceux qui rentraient en Pologne étaient torturés et emprisonnés.


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