-
Par marialis2.2 le 13 Septembre 2013 à 01:00
<header>
Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-09-11T16:51" itemprop="datePublished" pubdate=""> 11/09/2013 à 16:51</time>
Des personnes originaires de 140 pays se sont portées volontaires pour participer à l'hypothétique émission de télé-réalité interplanétaire.
<figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> <figcaption>Extrait de la déclaration de candidature d'un volontaire prêt à participer à Mars One. © Mars One </figcaption> </figure>`
</header>Plus de 200 000 personnes originaires de 140 pays ont demandé à pouvoir faire partie du groupe d'éventuels premiers colons de la planète Mars, pour un voyage sans retour, d'après la société Mars-One à l'origine de ce projet. Au total, 202 586 personnes se sont inscrites pour faire éventuellement partie de cette première vague, indique un communiqué de la société hollandaise à but non lucratif qui avait lancé en avril 2013 un appel à candidatures pour un voyage de sept mois en aller simple vers Mars, prévu pour être organisé en 2023. Les plus nombreux viennent des États-Unis (24 %), d'Inde (10 %), de Chine (6 %) et du Brésil (5 %), mais des candidatures ont également été reçues du Royaume-Uni, du Canada, de Russie, du Mexique, des Philippines, d'Espagne, de Colombie, d'Argentine, d'Australie, de France, de Turquie, du Chili, d'Ukraine, du Pérou, d'Allemagne, d'Italie et de Pologne.
Trois étapes de sélection seront organisées dans les deux ans, précise Mars-One, qui ajoute : "D'ici 2015, entre six et dix équipes de quatre personnes subiront un entraînement complet" avant, assure l'association, "qu'une de ces équipes ne devienne en 2023 celle des premiers humains à avoir jamais atterri sur Mars et à y vivre pour le reste de leurs vies". Ce projet, d'un coût de six milliards de dollars selon Mars-One, fait de nombreux sceptiques mais a néanmoins reçu le soutien du lauréat néerlandais du Nobel de physique en 1999, Gerard't Hooft. Jusqu'à présent, il n'y a eu que des missions robotiques sur Mars, toutes menées avec succès par la Nasa. Les États-Unis sont néanmoins déterminés à envoyer des astronautes sur Mars d'ici une vingtaine d'années, avait indiqué la Nasa en mai dernier.
Comment trouver de l'eau et produire de l'oxygène ?
Mais le projet de Mars-One fait face à de nombreux obstacles. Outre l'incapacité de revenir sur la Terre pour les astronautes, ces derniers devront vivre dans de petits habitats, trouver de l'eau, produire leur oxygène et cultiver leur propre nourriture. Or, Mars est un grand désert dont l'atmosphère est surtout constituée de dioxyde de carbone et où la température moyenne est de - 63 degrés Celsius. Les astronautes devront aussi subir des radiations cosmiques dangereuses pendant leur voyage. Enfin, il n'existe pas encore de fusée et de capsule pour transporter ces volontaires, ce que reconnaît Mars-One.
3 commentaires -
Par marialis2.2 le 3 Septembre 2013 à 00:46
Les sept règles de l’interview d’un dictateur
au bord du gouffre
Le Figaro publie un entretien exclusif de Bachar al-Assad. Un exercice bien rôdé auquel se sont prêtés avant lui Saddam Hussein et Kadhafi. Démonstration.
Prenons un dictateur de plus en plus isolé dont le pays est menacé de guerre par la communauté internationale. Mettons qu’un grand journaliste d’un grand pays occidental parvienne à décrocher une interview « d’exclusivité mondiale » – dans le cas de Bachar al-Assad, rappelons qu’un journal russe l’a interrogé il y a une semaine, un entretien relayé par Le Figaro – avec ledit dictateur. Que se disent-ils ?
Le dictateur assure la main sur le cœur que non, il n’a jamais gazé personne, pas plus qu’il n’a réprimé dans le sang le moindre mouvement de contestation de sa population. Mieux, il croit que toutes les velléités de changement dans son pays sont à imputer à un ennemi extérieur qui a intérêt à déstabiliser le pays. Enfin, il jure qu’il ne quittera jamais le pouvoir, qu’on vienne le déloger pour voir.
Les déclarations de Hussein et KadhafiToutes les déclarations de Hussein et Kadhafi sont issues de ces deux interviews :
- Saddam Hussein répond à Dan Rather, le 24 février 2003, quelques semaines avant l’intervention américaine en Irak. Cet entretien, remarquable, mérite d’être lu dans son intégralité ;
- Mouammar Kadhafi répond à Delphine Minoui, le 17 mars 2011, en pleine guerre civile.
Caricatural ? Certes, mais personne ne s’attend à ce que la rhétorique d’un dictateur détonne par son originalité.
Prenez l’interview de Bachar al-Assad ce 2 septembre par Georges Malbrunot du Figaro et comparez la à celles de Saddam Hussein et de Mouammar Kadhafi peu avant leur chute ; si les contextes ne sont absolument pas les mêmes (l’Irak n’était pas en guerre civile), la communication de crise d’un dictateur en panique ressemble à ça :
- Nier les exactions ;
- crier au complot ;
- disqualifier son adversaire ;
- prétendre ne pas paniquer ;
- appeler au dialogue et à la paix ;
- faire don de soi à sa nation ;
- se rapprocher de son peuple ;
- enfin, menacer.
1Les armes : pas vu, pas pris
Saddam Hussein :
« De quels missiles parlez vous ? Les missiles dont vous parlez, les missiles qui sont en opposition avec les résolutions de l’Onu, ils n’existent pas, ils ont été détruits. »
Bachar al-Assad :
« Quiconque accuse doit donner des preuves. Nous avons défié les États-Unis et la France d’avancer une seule preuve. MM. Obama et Hollande en ont été incapables, y compris devant leurs peuples. »
2Les exactions : un complot
Mouammar Kadhafi :
« Ces rebelles risquent de se servir de ses habitants comme bouclier humain.Â… Il est fort possible que ces rebelles tuent les civils et qu’ils mettent la faute sur le dos de l’armée libyenne [...] Nous n’arrêtons personne, sauf les éléments qui font partie d’un complot. »
Bachar al-Assad :
« Toutes les accusations se fondent sur les allégations des terroristes et sur des images vidéo arbitraires diffusées sur Internet. »
3Une opposition ? « Des terroristes ! »
Mouammar Kadhafi :
« Il y a un complot contre le peuple libyen. Et, quel que soit ce complot – qu’il soit impérialiste, qu’il vienne d’Al-Qaida ou bien de l’intérieur –, le peuple libyen doit l’écraser. »
Bachar al-Assad :
« Nous combattons des terroristes. 80 à 90 % de ceux que nous combattons appartiennent à al-Qaida. Ceux-là ne s’intéressent ni aux réformes ni à la politique. Le seul moyen de leur faire face est de les liquider [...]
L’opposition dont vous parlez a été fabriquée à l’étranger, elle ne dispose d’aucune base populaire en Syrie. »
4Pas de panique, on contrôle tout
Mouammar Kadhafi :
« Si on utilisait la force, il nous suffirait d’une seule journée [pour reprendre le contrôle du pays]. Mais notre objectif est de démanteler progressivement ces groupes armés, en recourant à différents moyens, comme l’encerclement des villes ou l’envoi de médiateurs. »
Bachar al-Assad :
« Notre problème n’est pas d’avoir la terre sous notre contrôle. Il n’y a pas un endroit où l’armée a voulu entrer sans pouvoir y pénétrer. Le vrai problème réside dans la poursuite du passage des terroristes à travers les frontières. »
5Ces hommes de dialogue...
Saddam Hussein :
« Je suis prêt à un débat direct avec le président Bush, à la télévision. Je dirai tout ce que j’ai à dire, sur la politique américaine. Il dira tout ce qu’il a à dire sur la politique irakienne. »
Bachar al-Assad :
« Nous estimons que l’homme fort est celui qui empêche la guerre, et non celui qui l’enflamme.
Si Obama était fort, il aurait dit publiquement : “Nous ne disposons pas de preuves sur l’usage de l’arme chimique par l’État syrien.” Il aurait dit publiquement : “La seule voie est celle des enquêtes onusiennes. Par conséquent, revenons tous au Conseil de sécurité.”
Mais Obama est faible, parce qu’il a subi des pressions à l’intérieur des États-Unis. »
6... plein d’abnégation
Saddam Hussein :
« Je suis né en Irak et je suis fier d’y être né. J’ai enseigné à mes enfants la valeur de l’histoire et la valeur des principes humains. Quiconque décide d’abandonner sa nation à la demande de quelqu’un n’est pas fidèle à ces principes.
Nous mourrons ici. Nous mourrons dans ce pays et nous préserverons notre honneur, l’honneur qui nous est nécessaire pour notre peuple. »
Mouammar Kadhafi :
« Je n’ai aucun rapport avec la politique et le pouvoir. Je n’ai donc pas de pouvoir à laisser. Je n’ai pas de poste à abandonner [...]
Il n’y a pas de raison que l’événement accidentel auquel nous faisons face pousse à un changement puisque, selon le fonctionnement de la Libye, le pouvoir est aux mains du peuple. »
Bachar al-Assad :
« Nous avons deux choix : se battre et défendre notre pays contre le terrorisme, ou capituler. Lorsqu’il s’agit d’une question patriotique, tout le monde se bat, et tout le monde se sacrifie pour sa patrie. Il n’y a aucune différence entre le président et un citoyen. »
7Proches du peuple
Mouammar Kadhafi :
« Je ne suis que le guide de la révolution libyenne de 1969. Je ne peux donc pas travailler contre la volonté du peuple. »
Bachar al-Assad :
« Je suis quelqu’un qui appartient au peuple syrien. Je défends ses intérêts. Je suis indépendant, non soumis aux pressions extérieures. »
8« Vous allez voir ce que vous allez voir »
Mouammar Kadhafi :
« Si nous le décidons, nous pouvons fondre sur l’Europe comme une nuée de criquets et d’abeilles. Nous vous conseillons de battre en retraite sous peine de catastrophe. » (2 juillet 2011)
Bachar al-Assad :
« Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l’extrémisme se répandront. Un risque de guerre régionale existe. »
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 1 Septembre 2013 à 23:18
<header> </header>
VIDEO.
Il se fait charger par... un troupeau d'éléphants
<time datetime="2013-09-01T22:08:47" itemprop="datePublished">Publié le 01-09-2013 à 22h08</time>Johann Lombard se souviendra probablement toute sa vie du jour où son véhicule a été chargé par un troupeau d'éléphants ! (Capture d'écran YouTube)Certains safaris laissent des souvenirs inoubliables. Johann Lombard, guide professionnel dans le Parc national Kruger en Afrique du Sud, se souviendra probablement toute sa vie du jour où son véhicule a été chargé par un troupeau d'éléphants !
"Non, non, non !" hurle le guide à l'approche du groupe de pachydermes. Les deux premiers s'arrêtent à quelques mètres seulement de la voiture. "Doucement", tente de les calmer Johann Lombard. Mais un troisième éléphant, lui, percute violemment le véhicule, malgré les cris du guide.
Heureusement, après avoir secoué la voiture, l'éléphant est rapidement reparti avec les siens et personne n'a été blessé, ni les passagers, ni l'éléphant, précise le Guardian.
La vidéo a déjà été vue plus de 2,7 millions de fois depuis sa mise en ligne sur YouTube, le 29 août.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 31 Août 2013 à 17:58
La découverte de papyrus relance le débat
sur la femme de Jésus
19 sept 2012 par pasteur Marc Pernot
Un papyrus du IIIe siècle récemment découvert comprend cette phrase « Jésus dit, quant à ma femme… » Cette découverte relance le débat sur le célibat de Jésus.
C’est Karen L. King, professeure d’histoire ancienne à la faculté de théologie d’Harvard, qui a révélé hier l’existence de ce manuscrit lors d’un congrès à Rome. Les spécialistes des papyrus et de la langue copte s’accordent sur l’authenticité et l’ancienneté de ce manuscrit. Il s’agit d’un joli fragment de papyrus de la taille d’une carte de crédit, écrit en langue copte :
Voici une traduction de ce qui est inscrit sur ce fragment :
…Pas pour moi. Ma mère me l’a donné vie…
…Les disciples dirent à Jésus,…
…nier, Marie est digne de cela…
…Jésus leur dit : ma femme…
…Laissez les gens méchants enfler…
…Quant à moi, j’ habite avec elle, afin de…
…une image…La question de savoir si Jésus a été marié on non n’est absolument pas abordée dans nos évangiles, ni dans un sens (il serait célibataire), ni dans l’autre (il serait marié ou aurait été marié). On peut donc dire que cela n’a pas d’importance du point de vue de la foi et du salut. Cela concerne principalement la vie de l’homme Jésus plus que sa fonction de Christ.
Néanmoins nous sommes attachés à la personne et à la vie de l’homme Jésus et nous serions assez curieux de mieux connaitre sa vie et sa façon d’être.
Alors, l’homme Jésus a-t-il été marié ? Contrairement à ce que prétendent les romans à sensation du genre « Le Da Vinci Code » cette question n’est absolument pas taboue, elle est seulement débattue, et ouvertement débattue depuis les premiers siècles du christianisme. C’est ce dont est témoin le manuscrit révélé hier. Il n’est pas le seul. Nous connaissons des évangiles qui n’ont pas été sélectionnés pour faire partie du « best off » qu’est notre Bible, qui parlent de Marie-Madeleine comme compagne de Jésus :
La compagne du Fils est Myriam de Magdala. L’Enseignant aimait Myriam plus que tous les disciples, il l’embrassait souvent sur la bouche…
Evangile de Philippe, 55Le fond du débat consiste plus dans la question de l’anthropologie chrétienne. Est-ce que le célibat et la chasteté seraient un état supérieur à la vie en couple ? Le point de vue biblique pencherait plutôt une théologie d’une Parole de Dieu qui s’incarne, et donc d’une vie qui se vit dans le monde et avec les autres, plutôt qu’une vie spirituelle désincarnée.
Par conséquent, dans le contexte de l’époque et la culture où vivait Jésus, il est très vraisemblable qu’il a été marié. Mis à part des personnes comme les Esséniens qui vivaient en quelque sorte comme des moines, un homme de 30 ans était marié. Par contre, il n’a vraisemblablement pas eu d’enfants qui lui ait survécu, sinon il ou elle aurait eu une importance dans l’église de Jérusalem. Comme Jacques, appelé dans les Actes des apôtres « le frère du Seigneur » est devenu le chef de l’église ayant autorité même sur Pierre, Paul, Jean…
Articles similaires :
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 31 Août 2013 à 00:25
Cette semaine, une belle histoire a abouti sur Change.org grâce à la mobilisation de milliers de personnes autour de la pétition d'une jeune fille, Ophélie, pour “Sauver Nénette et Hector”.
Le père d'Ophélie a recueilli il y quelques temps ces deux marcassins abandonnés, les a élevés au biberon, les chérissant et en faisant de véritables membres de la famille. Mois après mois, Nénette et Hector ont grandi auprès de Jean-François, de son fils, de sa belle-fille et de sa petite fille.
Mais un jour, à la suite d'une dénonciation, l'Office National des Forêts a fait savoir à la famille qu'elle ne pouvait pas les garder, l'accusant de détention illicite d'animaux sauvages. Ophélie et son père leur ont expliqué que remettre Nénette et Hector en liberté les mettait en danger car ils auraient été des cibles beaucoup trop faciles pour les chasseurs, puisqu'ils étaient habitués à l'homme, mais la décision semblait irrévocable.
Ophélie a donc lancé une pétition sur Change.org et créé un véritable mouvement de soutien autour de la famille, pour demander au Procureur de la République, en charge de la décision finale, de laisser Hector et Nénette chez eux.
Plus de 25 000 personnes ont signé et ont relayé la pétition sur les réseaux sociaux, poussant la presse à s'emparer de l'affaire et contribuant à faire pression sur les autorités qui voulaient retirer Nénette et Hector à sa famille. À tel point que le Procureur de la République a reçu le père d'Ophélie pour lui annoncer qu'il l'autorisait à conserver Hector.
La joie de la famille de pouvoir garder Hector a été un peu ternie par la tristesse d'avoir perdu Nénette, qui s'est enfuie il y a quelques temps. Mais toute la famille s'est réjouie d'avoir pu faire changer les choses, grâce à une simple pétition, soutenue par des milliers de personnes. "De la part de mon père, et de toute la famille, Merci!" a écrit Ophélie aux signataires de sa pétition.
Chaque jour, de merveilleuses histoires s'écrivent au rythme des milliers de signatures enregistrées sur les pétitions lancées sur Change.org.
Vous aussi, partagez votre récit et obtenez le changement qui vous tient à coeur sur Change.org.
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique