• Société  |  25/01/2015 - 13:17

    Jean-Bernard Lafonta mis en examen dans l’affaire Seillière

    Mise en examen dans l’affaire Seillière Sale temps judiciaire pour Jean-Bernard Lafonta, l’ex-bras droit du baron Seillière à la direction de Wendel, auteur d’un montage financier destiné à permettre à une dizaine de cadres un plan d’inté- ressement défiscalisé. Après Seillière, Lafonta vient d’être mis en examen pour fraude fiscale et pour "complicité par aide ou assistance", en facilitant "la soustraction frauduleuse de l’impôt reproché à tous les cadres salariés". Lafonta, qui a déjà écopé de 76 millions d’euros de redressement fiscal, risque de devoir rembourser les 110 millions reprochés à ses anciens cadres.


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    Viols sur des mineurs en Isère : le directeur d'école

    mis en examen

    Le Point - Publié le <time datetime="2015-03-25T16:14" itemprop="datePublished" pubdate=""> 25/03/2015 à 16:14</time> - Modifié le <time datetime="2015-03-25T16:37" itemprop="dateModified"> 25/03/2015 à 16:37</time>

    Interpellé lundi, le père de famille de 45 ans a reconnu des viols sur des enfants au cours de ses 48 heures de garde à vue, selon le procureur.

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    <figure class="media_article panoramique" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject"> L'école est sous le choc après les révélations sur son directeur. <figcaption>L'école est sous le choc après les révélations sur son directeur. © PHILIPPE DESMAZES / AFP </figcaption> </figure>
     
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    Le directeur d'une école primaire de Villefontaine (Isère) a été mis en examen pour viols sur plusieurs de ses élèves, mercredi, à l'issue de quarante-huit heures de garde à vue, a-t-on appris auprès du parquet de Grenoble. Interpellé lundi matin à son domicile, ce père de famille de 45 ans, qui a reconnu les faits, a été mis en examen pour "viols aggravés, agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans et acquisition et détention d'images pédopornographiques", a indiqué à l'AFP Jean-Yves Coquillat, procureur de la République de Grenoble, qui a requis le mandat de dépôt. "Il n'a pas souhaité s'exprimer dans le détail. Il a simplement dit qu'il regrettait ce qu'il avait fait et qu'il s'expliquerait en temps voulu", a précisé le magistrat.

    Selon le procureur, l'enseignant, déjà condamné en 2008 à six mois de prison avec sursis pour pédopornographie, encourt vingt ans de réclusion criminelle. La justice le soupçonne d'avoir imposé "par surprise", entre décembre 2014 et mars 2015, des fellations à plusieurs de ses élèves de cours préparatoire, dans le cadre de ce qu'il appelait "un atelier du goût", durant lequel les enfants, les yeux bandés, devaient identifier des "choses" que l'enseignant leur faisait goûter. Neuf plaintes correspondant à deux garçons et sept filles âgés de 6 à 7 ans, tous scolarisés dans la classe du directeur, ont à ce jour été enregistrées par la justice.

    Mercredi, la mairie de Villefontaine a annoncé qu'elle entendait se constituer partie civile "à l'encontre de l'auteur des faits et de l'Éducation nationale". Une enquête administrative conjointe a été ouverte mardi pour comprendre pourquoi l'enseignant a continué à exercer en dépit de cette condamnation à six mois de prison avec sursis. Mardi, l'académie de Grenoble a précisé n'avoir jamais été informée de cette décision de justice, son dossier ne comportant aucune mention de ce précédent judiciaire.

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  • Un directeur d'école isérois reconnaît

    des viols sur des élèves

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    Vue extérieure de l'école "Le Mas de la Raz" le 24 mars 2015 à Villefontaine, dont le directeur est soupçonné de viols
 (c) Afp

    Vue extérieure de l'école "Le Mas de la Raz" le 24 mars 2015 à Villefontaine, dont le directeur

    est soupçonné de viols (c) Afp

    Lyon (AFP) - La garde à vue d'un directeur d'école primaire à Villefontaine (Isère) pour des viols d'élèves, qu'il a reconnus, a consterné la communauté éducative et déclenché une enquête administrative après la découverte de sa condamnation pour pédopornographie en 2008.

    Interpellé lundi matin, ce père de famille âgé de 45 ans est passé aux aveux mardi. Il devrait être présenté à un juge d'instruction grenoblois mercredi matin en vue d'une probable mise en examen.

    A ce stade, neuf plaintes correspondant à neuf élèves de la classe de cet enseignant ont été enregistrées, selon le procureur de la République de Vienne, Matthieu Bourrette.

    Arrivé à la rentrée 2014 à l'école du Mas de la Ras, le quadragénaire avait déjà été condamné en 2008 à six mois de prison avec sursis et une obligation de soins pour recel d'images à caractère pédopornographique. Toutefois, aucune interdiction d'exercer un travail avec les enfants n'avait alors été prononcée par le juge des libertés et de la détention.

    "Il n'y avait rien dans son dossier concernant cette condamnation, on l'a découvert hier (lundi, ndlr)", a déclaré à l'AFP l'inspectrice d'académie de l'Isère, Dominique Fis, qui s'est rendue dans la matinée à l'école primaire.

    La ministre de l'Education, Najat Vallaud-Belkacem, et son homologue de la Justice,

    A ce stade, neuf plaintes correspondant à neuf élèves de la classe de cet enseignant ont été enregistrées, selon le procureur de la République de Vienne, Matthieu Bourrette.

    Christiane Taubira, ont annoncé l'ouverture d'une enquête administrative conjointe, "afin de faire toute la lumière sur cette affaire" et "sur les circonstances dans lesquelles l'autorité judiciaire et l’Éducation nationale ont pu partager des informations relatives" à cette condamnation.

    "On a rencontré quelques parents, ils sont sous le choc, tout comme l'équipe enseignante", a poursuivi Mme Fis. L'inspectrice d'académie a par ailleurs dit ignorer si le directeur était inscrit au fichier judiciaire des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS). "On n'a pas eu d'informations", a-t-elle dit. "Il y a quelques personnes habilitées à accéder à ce fichier" dans nos services, "c'est un contrôle pour les premières embauches et les stagiaires mais après il n'y a pas de procédure systématique" en cours de carrière, a-t-elle ajouté.

    - Des agressions photographiées -

    Alertée par les familles de deux fillettes vendredi dernier, la justice soupçonne le suspect d'avoir imposé "par surprise" des fellations à au moins deux de ses élèves dans le cadre de ce qu'il appelait "un atelier du goût", durant lequel les enfants, les yeux bandés, devaient identifier des "choses" que l'enseignant leur faisait goûter.

    Des faits qui se seraient produits entre décembre et mars 2015, au fond d'une salle de classe ou dans une autre pièce derrière un paravent.

    Face aux gendarmes, le directeur a d'abord nié les faits avant de reconnaître la détention d'images pornographiques, "expliquant qu'il s'agissait pour lui d'une addiction qui n'avait cessé depuis plusieurs années", puis d'admettre avoir imposé des fellations à plusieurs de ses élèves.

    Selon le parquet de Vienne, il a également photographié, puis effacé ces agressions, à l'aide de matériels vidéo prépositionnés dans la classe.

    Le directeur, qui exerçait auparavant dans une école de La Tour-du-Pin (Isère), avait pris ses fonctions à la rentrée 2014 dans cette petite école de quartier de Villefontaine, comprenant six classes élémentaires. Il enseignait dans une classe de cours préparatoire.

    "Il était arrivé dans l'académie de Grenoble le 1er septembre 2008 mais il n'avait pas exercé entre 2008 et 2011 car il était en congé maladie après avoir perdu un enfant", a précisé Mme Fis qui a pris à son encontre un arrêté de suspension et nommé un nouveau directeur.

    Une cellule psychologique a été mise en place pour les élèves, leurs parents et le personnel de l'Education nationale.

     


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  • Isère. Neuf élèves portent plainte pour viol contre le directeur d'école

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    Soupçonné de viols sur des élèves de CP, le directeur d'une école de Villefontaine (Isère) a reconnu les faits. Neuf élèves ont déposé plainte pour l'instant.

    Le directeur d'une école primaire de Villefontaine (Isère), soupçonné de viols sur des élèves de sa classe de CP, a reconnu les faits en garde à vue, a indiqué le parquet de Vienne mardi soir.

    Neuf plaintes correspondant à neuf élèves de la classe de cet enseignant ont été enregistrées à ce stade, a précisé le procureur de la République, Matthieu Bourrette, dans un communiqué.

    Âgé de 45 ans, ce père de famille sera déféré mercredi matin devant un magistrat en vue de l'ouverture d'une information judiciaire. Compte tenu de la nature criminelle des faits, le parquet de Vienne doit se dessaisir au profit du procureur de Grenoble.

    Atelier de goût

    Le suspect aurait imposé « par surprise » des fellations à au moins deux de ses élèves dans le cadre de ce qu'il appelait « un atelier du goût » durant lequel les enfants les yeux bandés, devaient identifier des « choses » que l'enseignant leur faisait goûter.

    Les faits de viols auraient été commis entre décembre et mars, selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la brigade de recherches (BR) de la gendarmerie de Bourgoin-Jallieu.

    Des images  pédopornographiques à son domicile

    Le suspect avait été interpellé lundi matin à son domicile où les gendarmes isérois ont retrouvé une clé USB avec des images à caractère pédopornographique. Cet homme, qui avait pris ses fonctions à la rentrée 2014 dans cette petite école de quartier de Villefontaine, avait nié dans un premier temps les faits qui lui sont reprochés.

    Il a ensuite reconnu la détention d'images pornographiques, « expliquant qu'il s'agissait pour lui d'une addiction qui n'avait cessé depuis plusieurs années », avant de reconnaitre avoir imposé des fellations à plusieurs de ses élèves.

    Selon le parquet de Vienne, il a également photographié, puis effacé ces agressions, à l'aide de matériels vidéo prépositionnés dans la classe.

    Condamné en 2008

    Le suspect avait déjà fait l'objet d'une condamnation pénale en 2008 pour recel d'images à caractère pédopornographiques, à six mois de prison avec sursis, avec obligation de soins et mise à l'épreuve.Aucune interdiction d'exercer un travail avec les enfants n'avait cependant été prononcée au moment de cette condamnation.

    La ministre de l'Education Najat Vallaud-Belkacem a annoncé mardi l'ouverture d'une enquête administrative, « afin de faire toute la lumière sur cette affaire et sans préjudice de l'enquête judiciaire placée sous l'autorité du Parquet ».


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    Perquisitions au siège d'Uber France

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2015-03-17T22:07:11+01:00" itemprop="datePublished">17.03.2015 à 22h07   lien </time>

    Le siège parisien d'Uber France a été perquisitionné lundi 16 mars, dans le cadre d'une enquête sur son service controversé de covoiturage UberPop. Cette intervention dans les locaux de la filiale française du géant américain de la location de véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) ont été faites sur ordre du parquet de Paris, a précisé un porte-parole d'Uber France.

    Selon le mandat, la justice enquête sur l'une des activités controversées d'Uber : son application pour smartphones UberPop. Ce service met en relation des particuliers et des conducteurs non professionnels, ce qui est interdit depuis le 1er janvier. Lors de cette perquisition, la police a saisi des téléphones portables.

    Lire aussi : Pourquoi UberPop va continuer sur sa lancée après le 1er janvier

    L'entreprise considère cet épisode comme une nouvelle « tentative d'intimidation », a commenté un responsable de l'entreprise, alors que plusieurs dizaines des conducteurs non professionnels d'UberPop ont été verbalisés depuis le début de l'année. « Nous voyons dans cette perquisition une action disproportionnée, menée sur des bases légales fragiles », a réagi le patron d'Uber France, Thibaud Simphal, interrogé par L'Obs.

    Uber conteste depuis plusieurs mois la loi Thévenoud du 1er octobre 2014, qui encadre l'activité des VTC. La filiale française a ainsi déposé deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC), sur l'usage de la géolocalisation et la fixation des tarifs, qui ont été transmises vendredi par la Cour de cassation au Conseil constitutionnel.

    Lire aussi notre éclairage : Uber bouscule la loi Thévenoud

    Par ailleurs, la maison-mère américaine a déposé deux plaintes contre la France auprès de la Commission européenne, afin d'obtenir l'annulation de la loi Thévenoud.

    Lire aussi l'entretien avec Travis Kalanick, le PDG du groupe : « Les batailles juridiques seront sans fin »

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