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    27.000 ont visité les monuments de la ville le temps d'un week-end

    La cathédrale de Perpignan, "number one" des Journées du patrimoine

    Jeudi 23.9.2010. 21:30h
     

    La 27e édition des Journées européennes du Patrimoine, qui se tenait le week-end dernier en territoire français, a invité 27.000 visiteurs dans les monuments de la Ville de Perpignan, ouverts gratuitement pour l'occasion. Même si sa visite, prosaïque ou religieuse, n'est évidemment pas payante, la cathédrale Saint-Jean Baptiste a obtenu le meilleur score en matière de fréquentation. Selon le rapport officiel de ces deux journées de vieilles pierres, communiqué mardi par la Direction du Patrimoine de la mairie de Perpignan, le second grand lieu saint de la ville en capacité d'accueil, après la grande mosquée du quartier du Vernet, a attiré une foule de 6173 personnes. Cette occasion annuelle a concerné en deuxième lieu le Castillet, visité par 4919 curieux, l'Hôtel de Ville avec 3375 visiteurs, la Casa Xanxo avec 2453 visiteurs, et l'Hôtel Pams, avec 2074 visiteurs. En queue de liste, le Cloître-Saint Jean/Campo Santo, et la chapelle de la Funeraria, ont reçu 1419 visiteurs, tandis que la chapelle du Tiers Ordre en recevait 820 visiteurs. Les Journées du Patrimoine 2010 ont attiré dans les monuments cités une bonne proportion de nouveaux arrivants en Pays Catalan, soucieux de parfaire, le temps de quelques heures, leur connaissance du territoire.

    Cathédrale Saint-Jean Baptiste de Perpignan, 2010 / J.P. Ferrer
    Cathédrale Saint-Jean Baptiste de Perpignan, 2010 / J.P. Ferrer



     
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    Le 7 septembre, 15.000 personnes s’étaient mobilisées

    18.000 manifestants à Perpignan pour la retraite à 60 ans

    Jeudi 23.9.2010. 13:45h
     

    18.000 manifestants ont parcouru ce jeudi matin les boulevards périphériques du centre-ville de Perpignan, au départ de la place de Catalogne. Après les 15.000 personnes mobilisées le 7 septembre, le cortège était évalué à 9000 personnes selon les anciens Renseignements Généraux et à 25.000 personnes par le Parti Communiste. Au son de la Marseillaise, de l’Internationale et des titres du chanteur Cali, le goudron perpignanais a été foulé par les organisations syndicales CFDT, CGT, ou encore FO, des collectifs de retraités, accompagnés, en tête de manifestation, par une délégation de militants de l’organisation sud-catalane Commissions Ouvrières. Sans incident, cette nouvelle mobilisation, finalisée par une légère bruine, s’est agrémentée des slogans « 60 ans, ça suffit, la retraite est un acquis » et « Assez de cadeaux pour la France d’en haut, assez de coups bas pour la France d’en bas ». Après l’adoption de la réforme des retraites par l’Assemblée nationale, la semaine dernière, l’addition des chiffres de manifestants de cette journée, en hausse globale, selon les principaux syndicats, constitue pour ceux-ci un espoir d’infléchissement des prérogatives contenues dans la politique menée par Nicolas Sarkozy.

    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau
    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau
    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau
    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau
    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau
    Manifestation per la retraite à 60 ans, Perpignan, 23 septembre 2010 / La Clau



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    Le président de l'agglomération du Roussillon prône un axe Narbonne-Perpignan-Giron                     Jean-Paul Alduy veut fusionner Perpignan-Méditerranée avec  NARBONNE     

    Jeudi 16.9.2010. 00:30h


    Le 1er janvier 2011, la nouvelle version de l'Agglomération Perpignan-Méditerranée à 36 communes, actée lundi, sera une réalité de 275.000 habitants, mitoyenne du Languedoc. La fusion avec la communauté de communes du Rivesaltais conforte en effet une assise au nord, préalable à l'effacement du département des Pyrénées-Orientales. Mais c'est encore plus au nord, vers Narbonne, que regarde le président de l'Agglomération, Jean-Paul Alduy, fidèle à son ouvrage « Perpignan Perpinyà 2020 » paru en 2007. Sur ce principe, le concept de « ville archipel », qui dépasse des limites territoriales parfois héritées du XVIIe siècle, transparaît dans une interview publié ce jeudi par l'hebdomadaire La Semaine du Roussillon. L'ancien maire de Perpignan, vice-président de l'Association des maires de grandes villes de France, y lance« la fusion est possible » avec l'agglomération du « Grand Narbonne », qui touchera le Roussillon à l'horizon 2013, en vertu des réformes territoriales lancées par l'Etat. Mais l'axe Narbonne-Perpignan-Girona, prôné par M. Alduy, tout comme l'Eurocité catalane qu'il imagine sur le modèle basque, se heurtent à une difficulté, car l'agglomération de Perpignan n'est pas voisine de la Catalogne du sud. Courant 2012, la disparition de la province de Girona pourrait favoriser une accélération des événements.

    Jean-Paul Alduy, 2010 / DR
    Jean-Paul Alduy, 2010 / DR


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    Du poker en ligne dissimulé dans les jeux vidéo de cafés du Roussillon

    Perpignan était le centre d’un réseau de jeux clandestins

    Mercredi 15.9.2010. 06:00h
     

    Une vaste opération policière, menée ce mardi matin en Pays Catalan, a débouché sur la mise en l’arrêt d’un important réseau de machines à sous illégales, centralisé à Perpignan, qui a produit des gains évalués à plusieurs centaines de milliers d’euros. Au total, 18 bars du territoire ont été contrôlés à Perpignan, Ille-sur-Têt et dans les alentours, Pia et Maury, tandis que 21 personnes été interpellées. Les patrons des établissements, qui tenaient un véritable rôle de croupiers, opéraient, pour certains, depuis deux ou trois ans. Cinq des tenanciers concernés restaient en garde à vue ce mercredi matin, tandis que les autorités cherchaient à identifier en Languedoc l’ensemble des ramifications de cette chaîne. Une cellule spéciale mobilisée depuis mars 2009 puis relayée ce mardi par 80 gendarmes et 20 douaniers a permis ce coup de filet, après sollicitation de moyens de surveillance comprenant des écoutes téléphoniques. Ce fait d’actualité révèle l’existence, au nord des Pyrénées, d’une pratique habituelle en territoire espagnol, où la présence de machines à sous est parfaitement autorisée dans les bars. Dans le cas présent, les appareils, incorporés à des jeux vidéo, fonctionnaient en réseau local. Ils permettaient aux joueurs clandestins des adonner au poker en ligne.

    Poker en ligne © Worldcasinos
    Poker en ligne © Worldcasinos


     
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  • A Figueres, des couples forcés à rester ensemble à cause de la crise

     Le nombre de divorces a baissé de 10% depuis le début de l'année

    Mercredi 15.9.2010. 00:00h  Divorces 
     

    Les effets de la crise économique en Catalogne du sud, qui induisent un départ des enfants adultes, du domicile de leurs parents, plus tardive qu'auparavant, concernent aussi la vie conjugale.

    Dans la région de l'Alt Empordà, qui comprend , La Jonquera, Portbou, Roses et 64 autres communes, se confirme un phénomène sociologique apparu en 2009. Selon l'avocat Jaume Torrent, doyen de l'Ordre des Avocats de Figueres, capitale du secteur, le nombre de divorces a diminué de 10 % au cours des deux dernières années dans la région, à cause des difficultés financières des ménages.

    Ainsi, au sein de certains couples mariés, l'arrivée de la récession a été simultanées à des projets de séparation entre conjoints, qui conservent donc leur union matrimoniale, forcés par la crise.

    Dans une étude publiée il y a un an, en septembre 2009, l'Institut National de Statistique espagnol précisait que le nombre de divorces avait chuté de 13,5 % en 2008 sur l'ensemble de l'Espagne. En Catalogne du sud, 2,98 % des couples, mariés ou en union libre, s'étaient séparés cette même année, marquée dès la fin de l'été par le déclenchement de la crise dans l'Union Européenne.

    © Peter Gilmour
    © Peter Gilmour





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