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    Pôle Emploi : Petites économies et nouveaux tracas

    pour les chômeurs ?

    Pour ne pas être radiés, les chômeurs vont-ils être obligés de s'assurer de la fiabilité de leur connexion à l'Internet ? C'est la question que pose le site actuchomage qui révèle une « astuce » de Pôle Emploi pour supprimer les convocations papier.



    Pôle Emploi : Petites économies et nouveaux tracas pour les chômeurs ?
     

    La plus grosse angoisse d'un chômeur indemnisé, est de louper une convocation de son conseiller. En effet, dans ce cas, ce qu'il risque, c'est une radiation temporaire ou définitive comme l'expliquent nombre d'allocataires sur le site recours radiations

    A moins d'avoir un motif d'absence reconnu comme « légitime » par Pôle Emploi. Sachant que : « (...) Pôle Emploi demande à ce que ces motifs soient justifiés par des documents (attestations, certificats…) qui prouvent la véracité du motif invoqué (...) » Le tout bien entendu, pour plus de sureté, en recommandé avec accusé de réception.

    En clair, il faut surveiller son courrier postal. Car les convocations sont actuellement envoyées aux chômeurs par courrier postal.


    Le problème, comme l'écrivait le Sénat dans son : « Projet de loi de finances pour 2011 : Travail et emploi » c'est que : « (...) Pôle emploi est maintenant confronté à un nouveau défi : réaliser des gains de productivité afin de continuer à améliorer son offre de services dans un contexte budgétaire plus restrictif (...) »

    Alors, même si Xavier Bertrand s'est engagé à ne pas réduire les effectifs (pourtant sous évalués ), il faut impérativement trouver, de nouvelles sources d'économies.

    Une de ces sources serait les économies de papier et de timbres. Le recours aux nouvelles technologies de l'information n'est pas nouveau à Pôle Emploi, notamment dans le domaine des convocations de suivi, comme l'expliquait Mail Performance spécialiste de l'Email marketing

    La dernière variante, décryptée par actuchomage, de « l'optimisation des relances » laisse pourtant augurer pas mal de mauvaises surprises pour les chômeurs indemnisés.

    « (...) Afin d'augmenter ses gains de productivité, Pôle Emploi se lance dans la dématérialisation, incitant 1,5 million de ses inscrits à recourir exclusivement aux services proposés dans l'«espace personnel» de pole-emploi.fr par le biais d'un e-mail qui leur demande, sous couvert de « contribuer au développement durable en limitant les envois de courriers papier », de valider leur adresse électronique (...) »

    Pôle Emploi : Petites économies et nouveaux tracas pour les chômeurs ?
     

    Vous remarquez au passage la vielle astuce des sites de commerce électronique qui consiste à mettre en valeur et simplifier l'acceptation et à justifier votre refus. De plus, une fois l'option validée, vous souviendrez-vous de l'endroit où il faut se rendre pour : « annuler l'autorisation » ?

    Outre le fait qu'il faut disposer d'une imprimante chez soi pour imprimer les documents (à ses frais), comme le fait remarquer à juste titre actuchomage : « Ce qui signifie que, si votre connexion internet est défaillante ou si votre ordinateur tombe en panne, vous risquez, par exemple, UNE RADIATION POUR ABSENCE À CONVOCATION » puisque vous ignorerez qu'une convocation est en attente dans votre boîte Email !

    Ce qui signifie aussi que les chômeurs devront s'assurer en cas de déplacement de courte durée (qu'il n'est pas nécessaire de signaler à Pôle Emploi) d'une connexion à l'Internet !

    Même si actuchomage indique, comment procéder pour éviter la dématérialisation totale,   il est évident que de nombreux chômeurs qui auront validé l'option OUI, par peur de se faire rappeler à l'ordre par leur conseillers, risquent d'être concernés, dans les mois à venir, par une radiation temporaire.  

    Méthode perverse ? Certainement ! Mais dira t-on au gouvernement et à la direction de Pôle Emploi : Il s'agit avant tout de « contribuer au développement durable » ..


    Crédit photo
    FlickR CC - Pierro 

    Vendredi 15 Juillet 2011
    J-C Slovar

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  • Un jeune de Karachi tué de sang froid par l’armée pakistanaise

     
    Une vidéo sur laquelle cinq soldats pakistanais exécutent à bout portant un homme non armé fait scandale au Pakistan. Après avoir été diffusées sur YouTube, les images, très violentes, tournent en boucle sur les télévisions du pays. À Karachi, nos Observateurs réagissent. 
     
    La scène a eu lieu mercredi 8 juin en début de soirée, dans un parc de Karachi, la capitale économique du pays. Elle a été filmée de près par une personne non identifiée et, visiblement, à la vue des soldats. Sur les images, le jeune homme supplie les hommes en uniforme de l’épargner. Puis un des soldats pointe sur lui son fusil d’assaut, à moins d’un mètre de distance. Il lui tire une balle dans le corps et une autre dans le bras. Le jeune homme tente à plusieurs reprises de se relever en hurlant de douleur, suppliant les soldats de l’amener à l’hôpital, avant d’agoniser sur le sol.

    Le jeune homme s’appelait Sabir Shah. Il aurait entre 18 et 25 ans et, selon la police, aurait été appréhendé par des soldats après que des passants leur eussent signalé qu’il volait des promeneurs du parc. Les soldats font partie de l’unité des Rangers pakistanais, une unité des forces paramilitaires. Avant la diffusion de la vidéo, un porte-parole des Rangers a déclaré que ses hommes avaient été obligés de l’abattre parce qu’il portait une arme et qu’il ripostait aux tirs des soldats. Pourtant sur les images, Sabir Shah est traîné par les cheveux par un homme en civil, avant d’être entouré par cinq soldats. À ce moment de la scène, quelques minutes avant sa mort, Sabir Shah ne tient pas d’arme à la main.

    Au-delà de l’émoi qu’elle suscite dans la société pakistanaise, l’affaire secoue jusque dans les rangs politiques. Mercredi 8 juin, le ministre de l’Intérieur, Rehman Malik, a ordonné l’arrestation des cinq soldats impliqués dans cet affaire, tout en rappelant qu’il ne fallait pas oublier que Sabir Shah "était impliqué dans des activités criminelles". Plusieurs députés ont immédiatement dénoncé les propos du ministre de l’Intérieur et lui ont demandé de s’excuser publiquement. L’Assemblée nationale pakistanaise souhaitent que les Rangers soient jugés par une cour antiterroriste.


    En raison de la violence de la vidéo, nous avons préféré en publier des captures d'écran . Attention, ces images peuvent heurter la sensibilité.
     


    Jeudi 9 juin, des centaines de personnes ont assisté à l’enterrement de Sabir Shah et les funérailles se sont transformées en manifestation anti-Rangers. Sur la Toile pakistanaise, les réactions dénoncent la brutalité de l’armée. Nous avons sélectionné quelques "tweets" parus dans la journée :

    "Apparemment, avoir une arme au Pakistan fait de vous un juge, un juré et un bourreau" @highonsarcasm

    "Cela ne changera rien mais le parc devrait être renommé ‘Martyr Sarfaraz Shah Park’" @M_Kashitt  [le parc où a été tué Sabir Shah s’appelle Benazir Buttho, nom de la Premier ministre pakistanaise assassinée à Karachi en 2007].

    "Des terroristes en uniforme tuent les jeunes" @karachiet 

    C’est la deuxième fois en moins de deux mois qu’une vidéo met en cause l’armée. En mai dernier, cinq membres d’une famille tchétchène avaient été tués par erreur par des soldats à Quetta, dans le sud du Pakistan. L’armée avait d’abord déclaré qu’elle venait de déjouer un attentat-suicide mais le film de l’opération a prouvé que les trois enfants et leurs deux parents n’étaient pas munis d'aucune ceinture explosive, contrairement à ce qu’avait indiqué la police au moment des faits.
    Contributeurs

    "À Karachi, tout le monde considère les forces de sécurité comme des criminels"

    Zaheer est instituteur à Karachi.

    Tout le monde parle de cette histoire ici. Évidemment, elle choque la population et la Toile se fait, depuis hier, le relais des inquiétudes des uns et des autres concernant les abus de pouvoir d’une des institutions du pays. L’attitude de ces Rangers est incompréhensible. Mais, selon moi, elle n’est pas représentative des forces de sécurité à Karachi. Tous les Rangers n’agissent pas impunément, comme ces cinq-là. Comme dans toutes les professions, il y en a qui se sentent au dessus des lois et qui se permettent tout.

    Malgré tout, cette affaire ne va pas arranger les relations entre les Pakistanais et l’armée ou la police. À Karachi, tout le monde considère les forces de sécurité comme des criminels. Les gens évitent autant que possible d’avoir affaire à elles. Dernièrement, des voleurs ont cambriolé la maison d’un de mes amis. Il a préféré ne pas appeler la police, parce qu’il ne lui fait pas confiance. Tout le monde dit qu’elle est corrompue."

        


    "Ces dernières années, les rues de Karachi sont devenues des zones de non-droit"

    Rizwan est un analyste dans les ressources humaines à Karachi.

    Cette histoire prend aux tripes. J’ai grandi à Karachi et la violence y est endémique. Cette affaire est révélatrice du manque de responsabilité de l’État pakistanais quand il s’agit de ses forces armées. La police, l’armée, les Rangers peuvent vous tuer impunément, vous faire disparaître ou vous nommer ennemi d’État. Mais personne ne posera de question, pas même une cour de justice, trop occupée par les scandales de cricket. C’est le cas de ce journaliste assassiné le mois dernier [le 1er juin, un journaliste pakistanais a été retrouvé mort près d’Islamabad alors qu’il enquêtait sur la possible infiltration d’Al-Qaïda dans la marine pakistanaise. Une enquête est en cours, mais déjà les services secrets de l’armée sont mis en cause]. 

    La police et l’armée pakistanaise sont impudentes, arrogantes et corrompues. La police exige ouvertement des pots-de-vin quand elle est appelée pour faire son travail. Dans la plupart des cas, elle est impliquée dans les crimes qu’elle est censée déjouer. Et les plus corrompus sont souvent les officiers les plus hauts placés. Dans l’armée, la corruption est un véritable business. Les militaires sont influents dans les entreprises du pays, l’attribution des logements et des terres.

    Ces dernières années, les rues de Karachi sont devenues des zones de non-droit. Tous les jours, des gens sont assassinés à Karachi, mais les habitants sont habitués à cette violence. Ce qui choque le plus, c’est la facilité avec laquelle ces soldats ont abattu froidement quelqu’un sans connaître son identité et sans savoir ce qu’il a fait réellement."
    Billet rédigé avec la collaboration de Peggy Bruguière, journaliste à France 24.

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  • Tunisie - 
    Article publié le : vendredi 03 juin 2011 - Dernière modification le : vendredi 03 juin 2011

    Naufrage au large des côtes tunisiennes : plus de 200 personnes disparaissent en mer
     

    A Lampedusa, ces carcasses de navires utilisés par les migrants restent échouées sur la côte de l'île.

                       A Lampedusa, ces carcasses de navires utilisés par les migrants restent échouées sur la côte de  l'île.                                                          

    AFP/Christophe Simon
    Par RFI

    Entre 200 et 270 migrants fuyant le conflit libyen ont disparu, ce 2 juin au large des côtes tunisiennes. Six cents autres ont pu être secourus, alors qu'ils tentaient de rejoindre l'Italie et l'île de Lampedusa à bord d'une embarcation qui a fait naufrage. Les autorités militaires  tunisiennes avaient pourtant débuté dès le 1er juin des opérations de secours afin de ramener à terre ces réfugiés originaires majoritairement d'Afrique sub-saharienne.

    Avec notre envoyé spécial en Tunisie


    Pendant plus de trente heures, la Garde nationale tunisienne est parvenue à sauver près de 600 clandestins: des hommes, des femmes, des enfants également d’Afrique subsaharienne pour la plupart. Mais lorsque l’embarcation s’est finalement retournée, le colonel Tahar Landoulsi, chef des secours, n’a rien pu faire pour plus de 200 disparus : « On a essayé de repêcher tous les vivants, mais malheureusement les autres, c’était impossible puisqu’ils étaient soit à l’intérieur du navire ou alors sous la coque ».

    Cinq jours auparavant, deux Nigérians de 29 ans avaient embarqué de Tripoli pour fuir la guerre et le chômage en Libye. Dans l’accident, ils ont perdu beaucoup de leurs proches, mais ne pensent qu’à repartir pour l’Europe : « Mon père et ma mère sont morts. Qu’est-ce que je vais faire ? Je vais risquer ma vie pour l’Italie ? J’ai perdu tant de choses. Nous immigrons de la Libye vers l’Italie. Nous devons atteindre cette destination si non nous serons trop frustrés. J’ai perdu mes frères, mes sœurs dans la mer. Il y a une guerre en Libye et c’est pour cela que nous migrons vers l’Italie, pour fuir la guerre ».

    Beaucoup de ces survivants confessent que Tripoli a largement facilité leur départ. Tous ont été évacués vers le camp de réfugiés de Choucha, près de la frontière libyenne en Tunisie, d’où beaucoup espèrent maintenant repartir en Libye pour embarquer à nouveau vers l’Italie.


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  • Hormone de croissance: nouvelle relaxe, déception et lassitude des familles

    publié le 05/05/2011 à 10:23, mis à jour le 05/05/2011 à 14:06

    Hormone de croissance: nouvelle relaxe, déception et lassitude des familles

    File d'attente à l'entrée de la salle d'audience pour le procès le 11 octobre 2010 à Paris de l'hormone de croissance

    afp.com/Jacques Demarthon

    PARIS - La cour d'appel de Paris a confirmé la relaxe jeudi de deux scientifiques accusés d'avoir provoqué par "imprudence", dans les années 1980, la mort de 120 jeunes traités à l'hormone de croissance, faute de pouvoir leur imputer la moindre responsabilité dans ce drame de santé publique.

    Les nombreux proches des victimes, qui s'étaient relayés pour assister au procès, à l'automne 2010, n'ont pas manifesté d'émotion à la lecture de la décision. Mais à la sortie de la salle, les larmes coulaient sur les visages et tous les commentaires disaient la déception et l'immense lassitude des familles.

    Elles avaient subi une première désillusion à l'issue du procès de première instance, en 2008, où aucun des sept scientifiques qui avaient alors comparu n'avaient été condamnés.

    Vingt ans après le décès des premières victimes de la maladie, en 1991, et le début d'une instruction marathon, l'arrêt de la cour d'appel laisse les proches avec leur peine: "aucune faute" n'a été commise par les deux prévenus qui encouraient une sanction pénale en appel, l'ancien biochimiste Fernand Dray, 88 ans, et la pédiatre Elisabeth Mugnier, 62 ans, a expliqué le président Didier Wacogne.

    Parmi tous les intervenants de la chaîne de production de l'hormone mis en cause par la justice, deux sont morts depuis le procès en correctionnelle. A l'encontre de trois autres prévenus relaxés en première instance, le parquet n'avait pas fait appel.

    M. Dray et Mme Mugnier étaient donc les seuls à avoir dû s'expliquer devant la cour, accusés: l'un de "tromperie aggravée", l'autre de complicité, les deux d'"homicide involontaire". De la prison avec sursis avait été requise à leur encontre.

    Il leur était reproché d'avoir commis de "graves fautes d'imprudence et de négligence" dans le traitement de 1.698 enfants, trop petits pour leur âge, avec cette hormone, alors fabriquée à partir de l'hypophyse, glande crânienne prélevée sur les cadavres.

    C'est parce que certaines hypophyses étaient infectées que 120 jeunes sont morts de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), après une longue et terrible agonie.

    Comme en première instance, une grande partie des débats de la cour avait porté sur l'état des connaissances scientifiques à l'époque.

    Comme en première instance, la cour s'est appuyé sur cet argument pour juger qu'"il ne saurait être reproché" à Fernand Dray, ancien directeur du laboratoire de l'Institut Pasteur chargé d'extraire l'hormone, "de ne pas avoir eu l'intuition d'un risque de contamination qu'aucun professionnel évoluant dans ce secteur d'activité n'avait prévu à l'époque".

    Mme Mugnier fut l'une des personnes chargées de la collecte des hypophyses dans les morgues des hôpitaux et dont certaines furent prélevées sur des patients à risque. Cependant elle "n'avait aucun pouvoir pour s'immiscer dans la gestion et l'organisation des établissements" et la "responsabilité de s'assurer que les prélèvements étaient effectués conformément aux règles sanitaires" ne lui incombait pas, note l'arrêt.

    Seule concession des juges à l'idée de faute commise dans le processus, sans dire par qui: "le souci d'accroître le nombre d'hypophyses collectées pour produire plus d'hormone de croissance (...) a surtout eu pour effet pervers d'occulter les risques d'une collecte insuffisamment sélective, les impératifs de rendement étant clairement privilégiés par rapport à ceux de sécurité sanitaire".

    "Par une sorte de bonneteau judiciaire, il n'y a aucune responsabilité. Cela n'est pas conforme au fait et au droit", a dénoncé Me Francis Szpiner, l'un des avocats des victimes tandis que Me Olivier Metzner, défenseur d'Elisabeth Mugnier, a salué "la victoire de la vérité".

    Par AFP


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  • One Year After Sled Dog Murder, British Columbia Strengthens Animal Cruelty Laws

    posted by: Cori Miller 6 days ago
    One Year After Sled Dog Murder, British Columbia Strengthens Animal Cruelty Laws
    A year ago this month, 100 healthy sled dogs belonging to Outdoor Adventures Whistler were killed in a mass slaughter over two days. The story is a horrifying look at what can happen when companies who use "working animals" put their profit before the well-being of their animals.


    When we first reported the Mass Slaughter Of 100 Sled Dogs, Care2 members were outraged, and rightly so. Thanks to the compassion of thousands of members who took the time to help, this petition gained over 100,000 signatures.

    Fortunately, the outrage that the massive slaying caused will do some good. While the 100 sled dogs cannot be brought back, their memory will live on as other animals in British Columbia will be protected.

    Just in time for the one year anniversary of this tragic tale, B.C. Premier Christy Clark announced that she will be adopting all of the recommendations made by the special task force that was created to investigate the killings. Some of these recommendations include:

    • Requiring veterinarians to report animal abuse to the B.C. SPCA.
    • Establishing standards of care for the feeding, housing of sled dogs.
    • Enhancing the capacity of the B.C. SPCA to conduct animal cruelty investigations with a $100,000 donation.
    • Appointing a Crown counsellor with expertise in animal cruelty to pursue more cases.
    • Requiring sled dog companies on Crown land to submit to annual inspections.

    B.C.'s existing punishments for animal cruelty are up to $10,000 in fines and up to six months in jail, but those will be raised to a cap of $75,000 in fines and two years in prison. B.C. will urge the federal government to strengthen animal cruelty laws as well. 

    The Care2 community has been instrumental in spreading the word about this horrific tragedy and in making sure that sled dogs, and all animals in B.C., are better protected. While there will still be a criminal investigation of the killings, this is a huge step for British Columbia and the animals who live there. 

     

    TRADUCTION RAPIDE pour les personnes qui ne parlent pas anglais :

    Il y a une année ce mois, 100 chiens de traîneau sains appartenant au Siffleur d'Aventures Extérieur ont été tués dans un abattage massif plus de deux jours. L'histoire est une horrifiante, regardez ce qui peut arriver quand les sociétés qui utilisent "des animaux (travaillants pour leurs expéditions) mettent leur bénéfice avant le bien-être de leurs animaux.

    Quand nous avons d'abord annoncé que l'Abattage Massif de 100 Chiens de Traîneau, L'association Care2  en a été outragé et heureusement! Grâce à la compassion des milliers des membres qui ont pris le temps pour aider, cette pétition gagnée plus de 100,000 signatures.

    Heureusement, l'atrocité de ce meurtre massif aura de bons côtés. Tandis que les 100 chiens de traîneau ne peuvent pas être rendus, leur mémoire(souvenir) planera sur autres animaux en Colombie britannique , ils seront protégés.

    Cette année  pour l' anniversaire de cet acte tragique,  le Premier Ministre Christy Clark a annoncé qu'elle adoptera une loi se basant sur  toutes les recommandations faites par le groupe de travail spécial qui a été créé pour examiner ces mises à mort. Certaines de ces recommandations incluent :

      * L'exigence de la présence de  vétérinaires pour diagnostiquer l'abbatage d'un animal  à av. J.-C. SPCA.


        * Établissement des normes(standards) de soin pour l'alimentation, logement  des chiens de traîneau.


        * Amélioration de la capacité d'av. J.-C. SPCA pour conduire des enquêtes de cruauté animales avec une donation de 100,000 $.
        * La nomination d'un conseiller de Couronne avec l'expertise dans la cruauté animale pour poursuivre plus de cas(d'affaires).


        * L'exigence de sociétés de chiens de traîneau  de se soumettre aux inspections annuelles.

    Av. J.-C 's les amendes  existantes pour la cruauté animale sont augmentées de 10,000 $  et  sont passibles d'une peine allant jusqu'à six mois en prison, elles pourront aller  jusqu'à plus de 75,000 $  et deux ans en prison.

    Recommandation sera faite aussi par av. J.-C  au le gouvernement fédéral pour renforcer les lois dsur la  cruauté animale.

    La communauté Care2 a contribué dans la diffusion de cette tragédie terrifiante et d'orénavent  ces animaux seront protégés.

    Il y aura toujours une enquête criminelle sur les mises à mort :  c'est un pas(une étape) énorme pour  la Colombie Britannique.




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