• VIDÉO. Elkabbach interviewe NKM: "Vous n'allez pas nous faire le coup de la pauvreté?"

    Le HuffPost  |  Par Nabil Touati Publication:   |  Mis à jour: 24/02/2013 14:58 CET    lien

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    POLITIQUE - Il ne fallait pas manquer de répondant pour affronter un Jean-Pierre Elkabbach en grande forme ce dimanche 24 février. L'intervieweur vedette d'Europe1 a d'abord qualifié d"archaïque" le début de campagne à Paris de son invitée Nathalie Kosciusko-Morizet, puis il s'en est pris aux vieux "trucs dont tout le monde se fiche" avant de suggérer son appartenance à la caste des bobos: "Vous n'allez pas nous faire le coup de la pauvreté de [votre] famille", s'est-il amusé.

    Sur la défensive, la candidate à la candidature UMP pour la mairie de Paris n'a pas souhaité répondre à un "quizz" sur le budget municipal (avant d'en soumettre un à son intervieweur), s'est plainte d'être souvent interrompue. Et de conclure ironiquement en regardant le journaliste: "C'est formidable ce que vous dites".


    Ce qu'il ne fallait pas rater, notre rendez-vous vidéo, refait le match Elkabbach-NKM :


    Elkabbach- NKM : on refait le match par LeHuffPost


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  • Accueil > Politique > Avant 2017, François Fillon veut "rassembler les Français"

    Avant 2017, François Fillon veut "rassembler les Français"

    Créé le 24-02-2013 à 21h47 - Mis à jour à 22h52    lien

    VIDEO. Invité au JT de TF1 pour son retour sur la scène médiatique, l'ancien Premier ministre est resté plutôt flou quant à son avenir politique.

    François Fillon indique qu'il veut aller à la rencontre des Français, dimanche 24 février. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

    François Fillon indique qu'il veut aller à la rencontre des Français, dimanche 24 février. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
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    On s'attendait à ce que François Fillon se lance déjà dans la course à l'Elysée. Après une diète médiatique de deux mois, l’ancien Premier ministre était l’invité de Claire Chazal, dimanche 24 février au JT de TF1, et il n'a (presque) rien dit.

    Concernant la présidence de son parti, François Fillon n’a pas abdiqué. "Je n'ai pas renoncé à l'élection de la présidence de l'UMP", a-t-il expliqué. "Avec Jean-François Copé, on est en train d'essayer de construire, sans rien oublier du passé, une relation qui permette à notre famille politique de rester unie." Mais il est encore trop tôt pour dire s’il briguera de nouveau ou pas la tête du principal parti d'opposition. "Je me prononcerai avant l'été", a-t-il précisé.


    "Ma détermination est totale" - ITW 20H TF1 par FrancoisFillon

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    Un projet de "redressement national"

    Même son de cloche pour 2017. L’ancien Premier ministre s’est contenté de faire part de sa "détermination". "La question qui se pose est simple : je me demande 'comment je peux être utile à mon pays ?', s’est interrogé François Fillon, avant de poursuivre : "Je peux être utile à mon pays en construisant un projet de rassemblement. Je vais essayer de construire ce projet de redressement national." L'objectif ? "Rassembler les Français" et "gagner leur confiance".

    "Le temps d'aujourd'hui n'est pas celui de la candidature", a-t-il ajouté, tout en laissant planer le doute sur une candidature personnelle à l’investiture de son parti. "Je soutiendrais celui qui me paraîtra le plus en mesure de rassembler. Si je juge que je suis le plus apte, je me porterais peut-être candidat." Pour l’heure, le député UMP souhaite écouter les Français. "Je veux, dans les mois qui viennent, aller à la rencontre des Français, parler avec eux et les entendre sur leurs attentes".

    Après cette intervention télévisée, François Fillon tiendra mardi à 18h30 un grand meeting à la Mutualité à Paris.

    J.M.


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    Marine Le Pen s'installe dans la cour des grands

    Par , publié le <time datetime="2013-02-21 18:49:14" itemprop="datePublished" pubdate="">21/02/2013 à 18:49</time><time datetime="" itemprop="dateModified"></time>

     

    La présidente du FN sera l'invitée principale de l'émission politique Des paroles et des actes, ce jeudi soir, sur France 2. C'est son 4e prime time sur la chaîne publique depuis décembre 2010. A cette occasion, elle se concentrera sur l'économie plus que sur l'immigration. 

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    Pour la quatrième fois en à peine plus de deux ans, Marine Le Pen accède au prime time de France 2. Elle est l'invitée de l'émission Des Paroles et des actes.

    REUTERS

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    En 2013, la leader frontiste est partout, et parle de tout. Invitée principale du prime time politique Des paroles et des actes ce jeudi soir, la dirigeante du FN retrouve pour la quatrième fois depuis décembre 2010 un grand format sur France 2. Une médiatisation à laquelle seule une minorité de politiques peut prétendre.  

    Mais surtout, le rendez-vous s'inscrit dans une série d'apparitions publiques, multipliées depuis janvier dernier : une tournée nationale dans les fédérations frontistes, avec des sorties thématiques comme sa visite, vendredi, à l'usine PSA de Sochaux, un discours devant la très prestigieuse université de Cambridge sur la montée d'une "Union soviétique européenne", ou encore des prises de parole remarquées sur des thèmes divers. Marine Le Pen est plus présente que jamais dans le paysage politico-médiatique.  

    Dans la cour des grands

    Portée par des enquêtes d'opinions très favorables - le dernier sondage TNS-Sofres montre que l'adhésion des Français à ses idées atteint son plus haut niveau (32%) en février- la leader frontiste semble s'être hissée au rang des personnalités politiques de premier plan. Marine Le Pen doit donc jouer dans la cour des grands: désormais, priorité aux grandes thématiques économiques. Avec un discours bien rodé sur la "lutte contre la mondialisation sauvage" la leader frontiste passe peu à peu des sujets traditionnels du FN (immigration, insécurité) aux grands problèmes sociaux-économiques.

    Et la leader frontiste ne dérogera pas à la règle lors de son passage sur France 2. "Marine Le Pen délivrera son message de l'année 2013, à savoir la lutte contre le chômage, la baisse flagrante de la croissance et du pouvoir d'achat liés à la mondialisation sauvage. Et ensuite viendront les thémes sociétaux qui en découlent, comme la perte des valeurs et des repères", explique Florian Philippot, conseiller en charge de la stratégie et de la communication. 

    L'entourage de Marine Le Pen se réjouit en tout cas que leur championne soit aujourd'hui un personnage politique à part entière: "On est parvenus à mettre de grandes problématiques au coeur du débat, et c'est pour nous une victoire que d'être arrivés à mettre en lumière tous les aspects de notre projet", assure Florian Philippot.

    Reste à débattre avec les quelques politiques de premier plan dans ce pays. Ce soir, elle affrontera Bruno Le Maire et le socialiste Malek Boutih. Pas des premiers couteaux.


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  • Raffarin gâche la fête des Amis de Nicolas Sarkozy

    Jean-Pierre Raffarin et Nicolas Sarkozy, le 5 janvier 2012, à Chasseneuil-du-Poitou. (AFP)

    "Il nous a bien pourri la journée...", se désole un membre de l'association des Amis de Nicolas Sarkozy, sous couvert d'anonymat. Les sarkozystes voulaient vanter le bilan international de l'ancien président en évacuant les spéculations sur son éventuel retour, lors d'un colloque organisé mercredi 20 février, à Paris. Mais la violente charge de Jean-Pierre Raffarin contre M. Sarkozy a bouleversé le programme.

    >> Lire : Raffarin lance la charge contre Sarkozy

    L'ancien premier ministre a lancé un pavé dans la mare en publiant la veille du colloque des sarkozystes un réquisitoire contre la "stratégie de droitisation" de la campagne présidentielle, faisant valoir de façon cinglante le droit d'inventaire.

    Dans un texte de neuf pages, intitulé "Sarkozy, les cinq occasions manquées" et paru dans "L'Etat de l'opinion 2013" (TNS Sofres/Le Seuil), le sénateur UMP estime notamment que l'ex-président aurait pu gagner la présidentielle s'il n'avait pas raté le débat télévisé de l'entre-deux-tours ou changé de premier ministre en 2010.

    "IL NOUS A BIEN POURRI LA JOURNÉE..."

    S'il voulait marquer les esprits et voler la vedette aux sarkozystes, M. Raffarin a réussi son coup. Dans les couloirs de la Maison de la Chimie, où se déroule le colloque, journalistes et politiques ne parlent que de ses propos.

    Visiblement agacés de se retrouver sur la défensive au lieu de faire l'éloge du "meilleur d'entre" eux - pour reprendre le qualificatif employé par Rachida Dati - les responsables de l'UMP se retrouvent contraints de commenter la sortie de l'ancien locataire de Matignon.

    La plupart la condamnent vivement. Lors de la conférence de presse du matin, le fidèle sarkozyste, Brice Hortefeux, donne le ton en "regrettant" que M. Raffarin "n'ait pas mis autant d'ardeur à s'engager dans la campagne présidentielle qu'il n'en déploie aujourd'hui pour la critiquer".

    VIDEO

    "PROPOS INOPPORTUNS"

    Tour à tour, les partisans de l'ex-président se relaient pour dire tout le mal qu'ils pensent des critiques formulées par le sénateur de la Vienne. "Cette sortie est très inadaptée et très choquante", tranche le filloniste Éric Ciotti.  "Ce sont des propos un peu excessifs", abonde Éric Woerth, autre soutien de François Fillon. Même tonalité chez Laurent Wauquiez : "Les critiques, on doit se les appliquer à chacun et pas uniquement à Nicolas Sarkozy."

    Même les copéistes préfèrent prendre la défense de M. Sarkozy plutôt que de ménager M. Raffarin, qui a soutenu Jean-François Copé pendant la campagne pour la présidence de l'UMP. "Il commet une erreur", estime Sébastien Huyghe. "Ce sont des propos inopportuns", juge Patrick Balkany.

    Interrogé par Le Monde lors de son arrivée en début d'après-midi au colloque, M. Copé a tenté d'éluder en affirmant ne pas avoir lu tout le texte de M. Raffarin, tout en reconnaissant que la tonalité est "très critique".

    PAS DE DROIT D'INVENTAIRE

    Sur le fond, tous balaient d'un revers de la main la volonté de M. Raffarin de lancer un droit d'inventaire du précédent quinquennat. Pour les sarkozystes, aucune raison de s'autoflageller publiquement, au risque de fournir des armes à ses adversaires. "On ne va pas s'associer au concert du PS qui veut faire le bilan de Nicolas Sarkozy !", fait valoir Éric Ciotti. "Nicolas Sarkozy est assez grand pour tirer lui-même les conséquences de la défaite", estime Patrick Balkany.

    A la tribune, Henri Guaino a répondu indirectement aux partisans d'un droit d'inventaire. "Non, Nicolas Sarkozy n'a pas tout réussi mais il a tout essayé avec son intelligence et son énergie", a lancé l'ex-conseiller de l'Elysee.

    D'autres tentent de minimiser la portée des propos de M. Raffarin pour que la journée ne se résume pas à ses critiques. C'est l'attitude adoptée par les représentants du courant de la Droite forte. "Chacun a le droit de s'exprimer. C'est bien qu'il y ait des débats", tente de positiver Guillaume Peltier. "Sans commentaires...", évacue Geoffroy Didier pour ne pas alimenter la polémique. Christian Estrosi en fait de même, en parlant "de mots qui ont totalement dépassé (l)a pensée" de M. Raffarin.

    "PAS INÉDIT DE LA PART DE RAFFARIN"

    Dans un billet publié mercredi après-midi sur son blog, M. Raffarin a tenté de nuancer ses critiques contre l'ex-chef de l'Etat, tout en ne lâchant rien sur le fond en appelant les responsables de droite "à être lucides sur les causes de l’échec de la présidentielle".

    Des sarkozystes voient une "cohérence" dans les propos de l'ancien premier ministre. "Ce n'est pas inédit de la part de Jean-Pierre Raffarin. C'est une voix qui a plus gêné la mise en œuvre de la politique du gouvernement que de l'accompagner", affirme Éric Ciotti, accusant la star du jour d'être "plus dans la destruction que dans la construction".

    Ce n'est en effet pas la première fois que le sénateur de la Vienne a la dent dure contre Nicolas Sarkozy. En colère contre Nicolas Sarkozy, l'ex-premier ministre avait déjà gâché la fête des jeunes de l'UMP en septembre 2011, en s'indignant de la volonté du gouvernement de l'époque d'augmenter la TVA sur les parcs d'attraction.

    ABOUTISSEMENT D'UNE SÉQUENCE CRITIQUE

    Sa charge actuelle n'est en fait que l'aboutissement d'une séquence critique, qui a débuté après la présidentielle, et durant laquelle il a lancé une série de piques en direction de l'ancien président. "Le temps de l'analyse viendra après le 6 mai", prévenait M. Raffarin dans un entretien au Monde, publié le 26 avril, en pleine campagne présidentielle.

    Dans son texte paru dans "L'Etat de l'opinion 2013", l'ex-premier ministre pointe l'exercice solitaire du pouvoir et de la campagne, qui a conduit M. Sarkozy à s'isoler et à s'illusionner sur ses chances de victoire. La critique n'est pas nouvelle. M. Raffarin fustigeait déjà l'"exercice solitaire du pouvoir" et "la stratégie du clivage" de M. Sarkozy, dans un autre entretien au Monde, publié le 21 juillet.

    Le 22 décembre, M. Raffarin estimait publiquement que l'UMP doit se lancer dans un droit d'inventaire du sarkozysme. Il déclare dans un entretien au JDD que son parti doit se lancer dans "un exercice utile de vérité" pour "analyser les points forts ainsi que les faiblesses du dernier quinquennat".

    RESSENTIMENT QUI DATE DES ANNÉES CHIRAC

    Le 7 janvier, M. Raffarin publiait un billet sur son blog pour réaffirmer que l'UMP "n’échapper(a) pas à un inventaire de la présidence Sarkozy". Le lendemain, l'ex-premier ministre manifestait clairement son désaccord avec la ligne Buisson, en affirmant sur RMC que M. Sarkozy aurait pu gagner la présidentielle en adoptant "un positionnement un peu plus rassembleur" au lieu de suivre "la stratégie du clivage qui s’est appuyée sur une vision de droitisation de la société française".

    Pour comprendre le ressentiment de M. Raffarin à l'égard de M. Sarkozy, il faut se replonger dans les années Chirac. Sur le fond, l'ancien premier ministre reproche à Nicolas Sarkozy d'avoir tenté de l'éclipser de 2002 à 2005, lorsque l'un était à Matignon et l'autre au ministère de l'intérieur. En pleine ascension, M. Sarkozy avait alors mené la vie dure à MM. Chirac et Raffarin. Ce dernier n'a pas oublié...

    Les élections sénatoriales de 2011, perdues par la droite, reste le deuxième sujet ayant alimenté la rancoeur de l'ex-premier ministre. Ce dernier reproche à MM. Sarkozy et Fillon de ne pas avoir donné à la droite toutes les armes pour l'emporter. Le "Sénat n'a pas été perdu" par la droite et le centre mais "il a été donné", à cause, entre autres, d'une réforme territoriale "mal portée", d'"une réforme de la taxe professionnelle improvisée" ou d'"une désinvolture permanente vis-à-vis de la Haute Assemblée", écrit M. Raffarin dans "L'Etat de l'opinion 2013 ».

    Alexandre Lemarié


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  • Les députés de l’opposition scandent la Marseillaise en pleine séance

    Les députés de l’opposition ont ainsi protesté énergiquement contre une suspension de séance, jugée abusive. Le vote portait sur un article du projet de loi modifiant les modes de scrutin locaux.

    Emmanuel Bringuier avec AFP
    Le 19/02/2013 à 20:44

    Le climat s'est tendue à l'Assemblée nationale lors d'un débat sur les scrutins locaux. (AFP)

    Le climat s'est tendue à l'Assemblée nationale lors d'un débat sur les scrutins locaux. (AFP)

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    MISE A JOUR 22h30 : le texte a finalement été adopté dans la soirée.

    Les députés UMP ont déclenché mardi une bronca, allant jusque chanter la Marseillaise, pour protester contre une suspension de séance destinée à éviter aux socialistes d'être mis en minorité sur l'article 1 de la loi instaurant un scrutin binominal mixte dans les départements.
        
    Alors qu'un vote avait été annoncé sur des amendements de l'opposition de suppression de cet article 1, remplaçant le conseiller général par un conseiller départemental, la présidente de séance Laurence Dumont a suspendu la séance.
        
    Il s'agissait pour le groupe socialiste de battre le rappel de ses troupes, alors que les bancs de l'Assemblée étaient remplis majoritairement de députés de l'opposition.

    "Ils sont où les socialistes!"

    "Ils sont où, ils sont où les socialistes!", "on veut voter! on veut voter!", ont alors scandé les élus UMP dans l'hémicycle.

    Le chef de file des députés UMP Christian Jacob a dénoncé un "tripatouillage" et déploré que "les socialistes soient incapables de se mobiliser" sur ce projet de loi.

    "Il n'est pas normal d'interrompre une séance pour convenance personnelle, c'est-à-dire pour pouvoir faire le rappel de ses parlementaires", a lancé M. Jacob dans l'hémicycle.

    François Sauvadet a dénoncé pour sa part un "déni de démocratie".

    "Déni de démocratie"

    Christian Jacob et Laurence Dumont se sont renvoyé mutuellement des déclarations du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, après un incident analogue le 6 novembre dernier, qu'ils ont interprété différemment.

    Selon M. Jacob, la séance ne peut plus être suspendue quand le vote a été annoncé, plusieurs minutes à l'avance, tandis que pour Mme Dumont, la suspension est possible jusqu'à ce que le vote lui-même commence.
        
    Les députés UMP ont alors entonné la Marseillaise, obligeant Mme Dumont à une nouvelle suspension de séance. Finalement, le vote a été repoussé à 21h30.


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