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    Sarcelles : Xavier Bertrand "prêt à soutenir le gouvernement"

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-07-21T08:45" itemprop="datePublished" pubdate="">21/07/2014 à 08:45    </time>lien 

    L'ancien ministre UMP se reconnaît dans le discours de Manuel Valls et appelle au rassemblement républicain contre ceux qui "défient la France".

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Xavier Bertrand appelle au rassemblement républicain, au lendemain d'actes antisémites à Sarcelles.<figcaption>Xavier Bertrand appelle au rassemblement républicain, au lendemain d'actes antisémites à Sarcelles. © IBO / Sipa</figcaption></figure>
     
     
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    Xavier Bertrand (UMP) a appelé lundi les "républicains" à "réagir" aux violences qui ont émaillé les manifestations pro-palestiniennes àParis et Sarcelles, se disant "prêt à soutenir le gouvernement", alors qu'il attend de François Hollande qu'il s'exprime. "Il n'y a pas seulement ces scènes quasi insurrectionnelles à Sarcelles. Il y a ce qui s'est passé pendant le week-end, la semaine dernière. Nous devons tous, républicains, réagir et savoir être solidaires parce que ceux qui font ça défient la France, défient la République", a déclaré Xavier Bertrand sur RTL.

    "Je suis prêt à soutenir le gouvernement s'il est présent en permanence, s'il est efficace. Je me reconnais dans les propos tenus par Manuel Valls, d'une extrême fermeté, sur ce nouvel antisémitisme, sur cette façon dont nous devons surveiller, sur les réseaux sociaux, la façon dont ces groupuscules qui s'en prennent à la France s'organisent pour agir", a poursuivi le député-maire de Saint-Quentin (Aisne).

    Ne pas attendre "pour procéder à des interpellations"

    "Je suis aussi d'accord, même si je sais combien dans la patrie des droits de l'homme, cela semble difficile à accepter, qu'une manifestation soit interdite quand on sait bien qu'elle n'aura aucun caractère pacifique. Mais je veux en même temps que quand il y a quelques dizaines de personnes qui se rassemblent dans une manifestation interdite, on n'attende pas pour procéder à des interpellations", a développé Xavier Bertrand.

    "Je demande au ministre de l'Intérieur d'engager tous les moyens nécessaires pour que les auteurs de ces actes soient poursuivis, recherchés, qu'ils soient arrêtés et qu'ensuite, ce soit le ministère de la Justice qui fasse passer des consignes de la plus extrême fermeté. On ne peut pas casser impunément, on ne peut pas s'en prendre à la République comme ça a été le cas", a également déclaré Xavier Bertrand. "Le Premier ministre s'est exprimé. J'attends aussi que le président de la République s'exprime aussi sur un sujet comme celui-là, j'attends de sa part une parole forte", a dit encore l'ancien ministre.

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  • <article style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;"><header style="margin: 0px 0px 1em; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box;">

    Corruption présumée : Nicolas Sarkozy a bien promis "d'aider" Gilbert Azibert

    <time>Publié le 12-07-2014 à 14h39Mis à jour à 19h02</time>lien

    "Moi, je le fais monter", dit l'ex-président à propos du magistrat le 5 février, sur un téléphone acheté sous un faux nom, selon des écoutes. 

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    Nicolas Sarkozy, le 10 avril 2012.
(Kenzo Tribouillard/AFP)Nicolas Sarkozy, le 10 avril 2012. (Kenzo Tribouillard/AFP)
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    Nicolas Sarkozy, mis en examen pour corruption,a bien promis au téléphone d'intervenir pour aider le haut magistrat Gilbert Azibert à obtenir un poste de prestige à Monaco, avant de renoncer subitement, selon des extraits d'écoutes diffusées par "Le Monde" samedi 12 juillet.

    Selon ces extraits, l'ex-chef de l'Etat et son avocat Thierry Herzog évoquent plusieurs fois le désir de Gilbert Azibert, alors en poste à la Cour de cassation, d'être nommé dans la Principauté. Or, Gilbert Azibert a lui aussi été mis en examen, soupçonné d'avoir obtenu des informations couvertes par le secret et renseigné le camp Sarkozy dans l'affaire Bettencourt.

    <aside><header>LIRE</header>Sarkozy sur TF1 : mensonges, erreurs et approximations</aside>

    "Moi, je le fais monter"

    "Je l'aiderai", dit Nicolas Sarkozy à Me Thierry Herzog le 5 février, sur un téléphone acheté sous un faux nom. "Moi, je le fais monter". Et l'ancien président d'ajouter: "Appelle-le aujourd'hui en disant que je m'en occuperai parce que moi je vais à Monaco et je verrai le prince".

    Le 24 février, dans une nouvelle conversation, Nicolas Sarkozy annonce à son avocat que son intervention est imminente: "tu peux lui dire que je vais faire la démarche auprès du ministre d'Etat demain ou après-demain".

    Le lendemain, les choses se précisent encore: "Je voulais te dire, pour que tu puisses le dire à Gilbert Azibert, que j'ai rendez-vous à midi avec Michel Roger, le ministre d'Etat de Monaco (...) Je t'appellerai pour te dire ce qu'il en est".

    Mais finalement, Nicolas Sarkozy rappelle son avocat le 26 février, cette fois sur son téléphone "officiel", celui dont les enquêteurs pensent qu'il savait qu'il était sur écoute. L'ancien président affirme alors qu'il a renoncé: "J'ai trouvé que ça ferait un peu ridicule donc j'ai préféré ne pas en parler", dit-il notamment.

    Quelques minutes plus tard, Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog vont avoir une conversation similaire, mais sur leur portable secret, selon "Le Monde".

    <aside><header>LIRE</header>Sarkozy ne fait plus peur et c'est nouveau</aside>

    "Ils auraient donc adapté leur discours"

    D'après le quotidien, les enquêteurs "pensent avoir établi" que Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog ont appris le 25 février que la ligne secrète était aussi sur écoute et qu'"ils auraient donc adapté leur discours" et "éventuellement, leurs actes".

    Au lendemain de sa mise en examen, le 2 juillet, Nicolas Sarkozy avait évoqué la demande de Gilbert Azibert d'être nommé à Monaco.

    "Thierry Herzog m'a demandé si je pouvais me renseigner pour faire une démarche auprès de Monaco. Je n'ai pas fait cette démarche", avait-il assuré sur TF1 et Europe 1, affirmant aussi qu'une des écoutes dans le dossier le montrait.

    "Où est le trafic d'influence? Où est la corruption?"

    Rappelant que le magistrat n'avait in fine pas décroché le poste convoité, l'ex-président avait déclaré: "GilbertAzibert n'a rien obtenu, je n'ai pas fait de démarche et j'ai été débouté par la Cour de cassation" dans la procédure Bettencourt qui l'intéressait à cette époque. "Où est le trafic d'influence? Où est la corruption? Qui a corrompu, et pour quel objet? C'est scandaleux", s'était-il emporté.

    Sollicité par l'AFP, l'avocat de Nicolas Sarkozy dans ce dossier, Pierre Haïk, n'a pas donné suite dans l'immédiat.

    L'information judiciaire pour trafic d'influence et violation du secret de l'instruction, élargie ensuite à des faits de corruption, avait été ouverte le 26 février.

    Toujours selon Le Monde, le ministre d'Etat de Monaco, Michel Roger, a confirmé aux enquêteurs que Nicolas Sarkozy l'avait appelé au téléphone le 25 février mais qu'il n'avait pas évoqué Gilbert Azibert.

    Le délit de corruption peut être constitué par une simple promesse en faveur d'une personne dépositaire de l'autorité publique pour la pousser à agir en vue d'obtenir un avantage.


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  • UMP : tentative de cambriolage au siège du parti

    Mercredi 9 juillet, des permanents de l'UMP ont découvert que la porte d'une armoire avait été fracturée dans le bureau en charge des fédérations départementales. Pour l'heure, aucune plainte n'a été déposée...

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    Débacle

    Publié le <time datetime="2014-07-10T18:31:18+02:00" itemprop="datePublished">10 Juillet 2014</time>
    UMP : tentative de cambriolage au siège du parti

    UMP : tentative de cambriolage au siège du parti ? Crédit Reuters

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    Rien ne va plus à l'UMP depuis quelques semaines... Ce mercredi 9 juillet, à l'ouverture du siège, en pénétrant dans le bureau en charge des fédérations départementales, des permanents ont découvert que la porte d'une armoire avait été fracturée, rapporte L'Express ce jeudi 10 juillet. L'information a plus tard été confirmée par des membres du parti. 

    "Dans la nuit de mardi à mercredi, une armoire a été fracturée. Je ne sais pas si on a rajouté ou enlevé des choses, mais ça a été fouillé, c'est sûr. Il y a eu un coup de tournevis, alors que l'armoire est verrouillée d'habitude", a précisé un habitué du siège situé rue de Vaugirard à Paris. Dans cette armoire "se trouvaient les renseignements sur les adhésions", a-t-on expliqué à l'UMP. Car le service des fédérations départementales est surtout en charge de collecter les adhésions : la tâche est particulièrement sensible à l'approche du congrès de novembre.

     

    Ce dernier servira à l'élection du nouveau président du parti. La liste des adhérents autorisés à voter est close depuis le 30 juin dernier : selon Alain Juppé, ils sont 143 000.

    Pour l'heure, aucune plainte n'a été déposée ; sans doute l'UMP craint-elle de voir à nouveau la police débarquer dans ses locaux, avance L'Express. Cette effraction plonge une fois de plus le parti dans le doute... Histoire de mettre un terme à ces fuites, Valeurs Actuelles annonce ce jeudi que Luc Chatel, agacé par la multiplication de prétendues révélations et de boules puantes, va lancer une enquête pour en trouver l'auteur.


     


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    Debré critique Sarkozy sur le Conseil constitutionnel

    <time>Publié le 04-07-2014 à 17h10</time>

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    Jean-Louis Debré estime, après l'ancien Premier ministre Alain Juppé, que Nicolas Sarkozy a eu tort de s'attaquer aux magistrats et qu'il a donné une présentation inexacte du rôle du Conseil constitutionnel sur ses comptes de campagne en 2012. /Photo prise le 10 avril 2014/REUTERS/Christian Hartmann(c) Reuters
     
    Jean-Louis Debré estime, après l'ancien Premier ministre Alain Juppé, que Nicolas Sarkozy a eu tort de s'attaquer aux magistrats et qu'il a donné une présentation inexacte du rôle du Conseil constitutionnel sur ses comptes de campagne en 2012. /Photo prise le 10 avril 2014/REUTERS/Christian Hartmann (c) Reuters
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    PARIS (Reuters) - Jean-Louis Debré estime, après l'ancien Premier ministre Alain Juppé, que Nicolas Sarkozy a eu tort de s'attaquer aux magistrats et qu'il a donné une présentation inexacte du rôle du Conseil constitutionnel sur ses comptes de campagne en 2012.

    Sortant de sa réserve, le président du Conseil constitutionnel réclame dans l'émission Mediapolis d'Europe 1, qui sera diffusée samedi, le respect de l'institution judiciaire.

    "On peut contester ce qui vous est reproché, on ne conteste pas les fondements de la justice, parce qu'à ce moment-là on conteste la République", dit-il.

    Mis en examen pour corruption active et trafic d'influence actif dans l’affaire des écoutes téléphoniques, Nicolas Sarkozy a violemment mis en cause la justice, objet selon lui d’une "instrumentalisation politique" le visant.

    Il a aussi dénoncé l’appartenance de l’une des deux juges l’ayant mis en examen au Syndicat de la magistrature, classé à gauche et qui veut, selon lui, le "détruire".

    Jean-Louis Debré met en garde contre la "tentation, à droite et à gauche, de ne pas discuter les faits qui vous sont reprochés mais d’attaquer les personnes".

    Alain Juppé avait lui estimé jeudi qu'il ne fallait pas "vilipender" l'institution judiciaire.

    Le "Sage" bat aussi en brèche les arguments de Nicolas Sarkozy sur l’invalidation de ses comptes de campagne présidentielle par le Conseil constitutionnel pour un dépassement du plafond légal estimé à 400.000 euros.

    L'ancien président a déclaré que les "enquêteurs" de l'institution avaient certes invalidé les comptes mais qu'ils les avaient épluchés et qu'ils n'avaient pas trouvé trace du système présumé de fausses factures de l'affaire Bygmalion.

    "On laisse entendre que nous aurions vérifié l'ensemble des comptes de la campagne de l'ancien président de la République. Non ! Ce n'est pas exact !", dit-il, soulignant que le Conseil constitutionnel ne dispose pas d'enquêteurs et n'a pas de pouvoirs de police judiciaire.

    Jean-Louis Debré rappelle que son institution avait été saisie d'un recours par Nicolas Sarkozy lui-même qui contestait la décision de la Commission nationale des comptes de campagne de le sanctionner pour un dépassement du plafond des dépenses autorisées.

    "Nous n'avons pas validé les comptes, nous avons simplement validé la décision de la Commission nationale de contrôle qui avait constaté qu'il avait dépassé les plafonds autorisés", précise-t-il.

     

    (Gérard Bon, édité par Yves Clarisse)

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  • Raffarin perçoit "un antisarkozysme nouveau" à l’UMP

    Par Rémi Duchemin

    Publié le 24 juin 2014 à 08h43Mis à jour le 24 juin 2014 à 10h30    lien 

     
    Raffarin : "Le gouvernement a la sagesse de tenir compte de l'opinion publique"

    INTERVIEW E1 - L’un des trois membres du triumvirat à la tête de l’UMP pense que le retour de l’ex-président est "une forte probabilité". Malgré une hostilité nouvelle.

    Les jours passent, et la question du retour de Nicolas Sarkozy en politique s’impose de plus en plus. Alors que l’UMP est exsangue, l’ancien président songerait à revenir pour prendre la tête du parti lors du congrès de novembre. Sauf qu’il est de plus en plus contesté au sein même de sa formation politique. Un constat partagé par Jean-Pierre Raffarin. "Je vois dans le parti un antisarkozysme nouveau. Je veux être attentif à tout cela", a expliqué mardi sur Europe 1 l’ancien Premier ministre, membre du triumvirat qui dirige désormais l’UMP.

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    "Pas que les gens se prononcent en fonction de position 'anti'".Un antisarkozysme que Jean-Pierre Raffarin regrette. "Je ne veux pas que les gens se prononcent en fonction de positions ‘anti’, je souhaite que les militants choisissent celui qui sera le meilleur pour diriger le parti en novembre", a-t-il assuré. En rappelant qu’en théorie, l’ancien Président n’a quand même pas trop de souci à se faire. "Le leadership de Sarkozy reste nettement dominant dans l’UMP", a-t-il jugé.

    "Forte probabilité". Quant au retour de Nicolas Sarkozy, qui n’en finit plus de se faire attendre, il ne fait plus guère de doute pour Jean-Pierre Raffarin. "Sarkozy a une forte probabilité d’être en piste au congrès de novembre", a-t-il lâché.


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