• Un député jordanien tire à la kalachnikov dans... par lemondefr

     

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-09-11T16:38:49+02:00" itemprop="datePublished">11.09.2013 à 16h38</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-09-11T17:02:08+02:00" itemprop="dateModified">11.09.2013 à 17h02</time>

     
    Durée : 00:30  |  Images : Reuters

    Le député jordanien Talal Al-Sharif a tiré sur un autre parlementaire, Qusay Dmesi, à l'aide d'une AK-47 en pleine séance.

    Après un débat musclé entre les deux hommes, Al-Sharif avait tenté d'introduire son arme dans le Parlement. Stoppé par des gardes, il a malgré tout réussi à tirer dans le couloir en direction du député Dmeisi, qui n'a pas été blessé.

    Le président de la Chambre a été contraint d'interrompre la session et d'organiser une réunion à huis clos pour discuter du sort d'Al-Sharif.


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  • rnière modification : 15/09/2013 

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    À Jérusalem, un fossé pour séparer

    un quartier juif d'un village palestinien

    À Jérusalem, un fossé pour séparer un quartier juif d'un village palestinien
    Le quartier French Hill à Jérusalem
    © Deror avi / Wikimedias

    À quelques semaines de l’élection municipale à Jérusalem, l’insécurité est un thème de campagne. À tel point qu’une tranchée a été creusée aux abords d’un quartier de la ville pour empêcher les habitants d’un village palestinien d’y pénétrer.

    Par FRANCE 24 (texte)
     

    C’est un fossé qui s'étire sur quelques centaines de mètres. Dix ans après la construction du mur de séparation entre une partie d’Israël et des territoires palestiniens, la municipalité de Jérusalem a décidé de creuser une tranchée entre le quartier juif dit du French Hill à Jérusalem-est et le village de Isawiyah, rapporte le journal israélien Haaretz dans son édition du vendredi 13 septembre. L’objectif ? Accroître la sécurité de la population juive face à la délinquance et la menace terroriste. L’insécurité est en effet devenu un enjeu incontournable de l’élection municipale du 22 octobre prochain.

    "Nous avons un réel problème. Il n’y a pas de séparation physique et le niveau d’hostilité est très élevé", déplore dans les colonnes d'Haaretz Avner Blankstein, membre du conseil municipal du quartier de French Hill.

    Incendies criminels, cambriolages, vols de voitures, harcèlement sexuel sont quelques-uns des maux dont souffrent les habitants du quartier de French Hill et qu’ils imputent aux Palestiniens du village voisin de Isawiyah. Après avoir renforcé le dispositif de vidéosurveillance, l’éclairage public, la mise en place d’un comité de surveillance de quartier, la municipalité a donc franchi un cap supplémentaire en creusant ce fossé. Même s’il n’empêche pas totalement les Palestiniens de se rendre dans le quartier en question, il limite de manière significative le passage des véhicules.

    "Il y a une grande haine envers Isawiyah"

    "C’est la démonstration qu’il y a une grande haine envers Isawiyah dans le quartier de French Hill, regrette Darwish Darwish, le maire du village palestinien. "Nous étions là avant eux et ils ont construit le quartier sur nos terres. Jadis les résidents étaient amicaux mais aujourd’hui ils ont changé et maintenir un bon relationnel avec leurs voisins ne les intéresse plus".

    Mais cette tranchée est aussi loin de faire l’unanimité dans la communauté juive. À quelques semaines de l’élection municipale, ces travaux ont relancé la bataille pour le fauteuil de maire. Yosef Alalu, candidat à la mairie de Jérusalem, a rappelé dans les colonnes de Haaretz qu’"un fossé et un remblai ne pouvaient régler un problème de sécurité, bien au contraire". "Les habitants du village se sentent insultés encore et encore et se demandent si après cet amas de boue il y aura une clôture de séparation. Une de plus. Ce talus invite simplement à davantage de violence (…)".

    Face à ces critiques, la municipalité de Jérusalem a répliqué en mettant en avant dans un communiqué qu’elle avait "décidé de réaliser un certain nombre d’opérations pour renforcer la sécurité et aider la police à réduire le nombre d’incidents violents dans le quartier". Et de conclure : "Le résultat de cette action coordonnée de la municipalité et de la police a permis de faire baisser le nombre d’incidents et d’améliorer la sécurité". 


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  • Israéliens et Palestiniens «déterminés»

    à continuer de négocier

    Créé le 08/09/2013 à 14h53 -- Mis à jour le 08/09/2013 à 19h07
    John Kerry s'exprime devant l'ambassade des Etats-Unis à Paris, le 8 septembre 2013
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    John Kerry s'exprime devant l'ambassade des Etats-Unis à Paris, le 8 septembre 2013 Susan Walsh Pool

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    Israéliens et Palestiniens «déterminés» à... par 20Minutes

    Paris - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a assuré dimanche que les Israéliens et les Palestiniens étaient «déterminés» à poursuivre leurs négociations directes relancées depuis la fin juillet.

    Lors d'un point de presse à Paris, M. Kerry a également indiqué qu'il rencontrerait «très prochainement» le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, «dès que les agendas le permettront».

    «Les Palestiniens et les Israéliens demeurent déterminés dans leur engagement à continuer les négociations», a assuré John Kerry, qui a déployé d'intenses efforts au printemps pour que des négociateurs des deux parties renouent leur dialogue direct à Washington les 29 et 30 juillet.

    Il a félicité le Premier ministre Netanyahu et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas -- qu'il doit voir à Londres dimanche soir -- pour «le sérieux» dont ils ont fait preuve «en entrant dans ces pourparlers» et «en prenant tous les deux des risques politiques personnels».

    M. Kerry venait de recevoir à Paris plusieurs ministres de la Ligue arabe, qu'il a informés de l'avancement des négociations.

    «Le soutien de la Ligue arabe pour un règlement définitif du conflit israélo-palestinien est très important pour créer le dynamisme et l'énergie nécessaires à la bonne fin de ces pourparlers», a déclaré le secrétaire d'Etat.

    Le chef de la diplomatie du Qatar, Khaled Al-Attiya, a néanmoins critiqué Israël pour la poursuite de la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, estimant qu'elle nuit aux efforts de paix.

    «Ce que nous avons noté, c'est que chaque fois qu'un round de négociations doit démarrer, il est précédé par l'annonce de la construction de logements» dans les colonies, a-t-il observé. Cela «affecte directement les négociations», a-t-il estimé.

    Après presque trois années de gel, Israéliens et Palestiniens ont repris les 29 et 30 juillet des contacts directs à Washington. Ils se sont ensuite revus au moins à trois reprises en août et début septembre à Jérusalem.

    Les précédentes négociations directes israélo-palestiniennes avaient capoté en septembre 2010 en raison de la poursuite de la colonisation israélienne.

    En pleine reprise de ce processus de discussions, le gouvernement israélien avait annoncé mi-août la construction de plus de 2.000 logements dans les colonies de Cisjordanie et à Jérusalem-Est, provoquant l'ire des Palestiniens.

    D'après des responsables palestiniens, les discussions israélo-palestiniennes directes de paix n'ont «jusqu'à présent pas enregistré de progrès» et sont même «futiles».

    Des allégations que des responsables américains rejettent catégoriquement. «Les négociations continuent», affirment ces diplomates du département d'Etat.

    Dimanche, John Kerry a également appelé l'Union européenne à suspendre ses nouvelles lignes directrices, publiées en juillet et qui excluent les colonies dans les territoires occupés de sa coopération avec Israël.

    «J'ai demandé à la Communauté européenne si elle pouvait envisager une suspension», a déclaré le secrétaire d'Etat américain. «Il ne s'agit pas de leur demander de politique, il s'agit de leur demander de suspendre ou de reporter son application pendant que se tiennent ces discussions», a-t-il dit.

    Le 12 août, M. Netanyahu avait critiqué la position de l'UE, en affirmant que les lignes directrices européennes avaient sapé la paix dans la mesure où elles «ont durci les positions palestiniennes».

    © 2013 AFP

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  • L'inquiétude monte en Israël où la population craint de manquer de masques à gaz

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 2 heures" data-original="le 30/08/2013 à 18:04" datetime="2013-08-30T18:04:34+02:00" itemprop="dateModified">le 30/08/2013 à 18:04</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 2 heures" data-original="le 30/08/2013 à 17:35" datetime="2013-08-30T17:35:48+02:00" itemprop="datePublished">le 30/08/2013 à 17:35</time>
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    REPORTAGE- Le gouvernement ne veut pas donner le sentiment de négliger la menace d'une riposte

    de la Syrie en cas de frappes de son territoire. Le cabinet de sécurité a ordonné, mercredi, le rappel d

    'un millier de réservistes affectés à la défense antimissile du pays.

     

    Certains sont arrivés avant l'aube, pensant s'épargner une longue attente dans la chaleur moite. Peine perdue: lorsque la poste centrale de Tel-Aviv ouvre enfin ses portes, ce jeudi 29 août, plus d'un millier de personnes jouent des coudes dans la plus extrême pagaille pour accéder au centre de distribution de masques à gaz. Dans les allées qui bordent le pavé de béton, des éclats de voix trahissent la nervosité ambiante après les menaces proférées ces derniers jours par l'Iran et la Syrie. Beaucoup dénoncent le «cafouillage» des autorités qui, jugeant peu vraisemblable une attaque contre Israël, refusent pour l'heure d'ouvrir de nouveaux lieux de distribution.

    Files d'attente et images de cohue

    «L'atmosphère est assez étrange, sourit Ruth Rafaeli, une avocate de 43 ans qui fait la queue depuis bientôt deux heures. D'un côté, je suis presque convaincue que Bachar ne prendra jamais le risque de s'attaquer à Israël. De l'autre, on commence à ressentir une tension sans équivalent depuis que Saddam Hussein nous a frappés avec ses Scud en 1991.» Les images de cohue dans les files d'attente, diffusées en boucle par la télévision, renforcent les craintes de pénurie. De l'aveu des autorités, les stocks disponibles ne permettent d'équiper que 60% de la population israélienne. Mercredi, une distribution de masques a viré au pugilat dans la localité de Pardes Hanna, 60 km au nord de Tel-Aviv.

    Face à cet accès de fièvre, le gouvernement tente de rassurer tout en s'appliquant à ne pas donner le sentiment de négliger la menace. Aux officiels de Damas et de Téhéran qui promettent de frapper Israël en cas d'opération américaine, le premier ministre Benyamin Nétanyahou a rétorqué: «Nous ne sommes pas impliqués dans la guerre civile en Syrie mais si nous discernons une tentative de nous faire du mal, alors nous répliquerons de la manière la plus puissante.»

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    «Si nous discernons une tentative de nous faire du mal, alors nous répliquerons de la manière la plus puissante. »

    Benjamin Nétanyahou
    </aside>

    Mercredi, le cabinet de sécurité a ordonné le rappel d'un millier de réservistes affectés à la défense antimissile, ainsi qu'à la protection civile et aux renseignements militaires. Plusieurs batteries d'interception ont été positionnées dans le nord du pays et dans l'agglomération de Tel-Aviv. Par mesure de précaution, enfin, les autorités ont ordonné que les stocks d'ammoniac sur le site industriel d'Haïfa soient temporairement limités afin de prévenir la formation d'un nuage toxique en cas de frappe.

    Si 67% des Israéliens sondés mercredi pour le quotidien Israel Hayom disent s'attendre à ce que leur pays soit entraîné dans la guerre en cas de frappes américaines, la grande majorité des analystes jugent très peu probable que le régime syrien ou le Hezbollah décident d'attaquer l'État hébreu. «Techniquement, Bachar el-Assad dispose certes d'un large arsenal d'armes chimiques ainsi que de nombreux missiles Scud capables d'atteindre n'importe quel point d'Israël. Mais quel intérêt aurait-il, alors qu'il est déjà très affaibli par deux années de guerre civile, à ouvrir aujourd'hui un nouveau front?», interroge Reuven Pedatzur, professeur de sciences politiques à l'université de Tel-Aviv.

    Risque d'une réaction suicidaire

    Selon Yossi Melman, spécialiste des questions de défense pour l'hebdomadaire Sof HaShavua, les menaces formulées à Damas ou Téhéran doivent plutôt être entendues comme un message adressé aux Américains. «Il s'agit de faire comprendre que la Syrie est prête à encaisser des frappes limitées sans trop broncher, analyse-t-il, mais qu'une attaque d'envergure menaçant la survie même du régime pourrait déclencher une réaction suicidaire dirigée contre Israël. En attendant, il est vraisemblable que la réponse syrienne se limitera à quelques tirs d'obus sur le plateau du Golan - tout au plus à des tirs de roquette vers la Galilée.» Dans la file d'attente qui s'étire au pied de la poste centrale de Tel-Aviv, Netta Goldin attend, stoïque, de pouvoir collecter des masques pour ses quatre enfants. «Je ne veux prendre aucun risque, même si j'ai plutôt confiance dans nos systèmes de défense», glisse cette secrétaire de 35 ans.

    Qu'il s'agisse du «Dôme de fer» (destiné à intercepter les roquettes de faible portée), des missiles Patriot (moyenne portée) ou du dispositif Arrow (longue portée), les forces armées israéliennes vantent régulièrement l'efficacité de leur défense antimissile - sans pour autant dissiper totalement les craintes du public. «Si la grande majorité de la population sait pouvoir se fier à nos forces armées, observe Yossi Melman, personne n'a oublié qu'elles ont aussi été capables de se laisser surprendre par l'Égypte et la Syrie, en octobre 1973, malgré les nombreux signes précurseurs discernables à l'époque.»

    Avec cet article, Cyrille Louis prend ses nouvelles fonctions de correspondant à Jérusalem


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-08-13T22:24" itemprop="datePublished" pubdate=""> 13/08/2013 à 22:24</time> - Modifié le <time datetime="2013-08-13T22:28" itemprop="dateModified"> 13/08/2013 à 22:28</time>

    Un bus transportant 14 prisonniers palestiniens a quitté la prison d'Ayalon près de Tel-Aviv en direction du nord de la bande de Gaza.

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    Camp de réfugiés à la frontière entre Israël et l'Égypte. (Image d'illustration)

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    Camp de réfugiés à la frontière entre Israël et l'Égypte. (Image d'illustration) © Sipa / dr

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    Israël a commencé mardi soir l'opération de libération de 26 prisonniers palestiniens avant le début des pourparlers de paix mercredi à Jérusalem, selon un correspondant de l'AFP sur place.

    Un bus transportant 14 prisonniers a quitté la prison d'Ayalon près de Tel-Aviv en direction du point de passage d'Eretz, à l'entrée nord de la bande de Gaza, alors qu'un second s'est dirigé vers la ville de Ramallah, en Cisjordanie.

    Peu après, l'un des bus a été vu entrer dans l'enceinte de la prison israélienne d'Ofer, près de Ramallah en Cisjordanie. A l'intérieur, les 12 détenus originaires de Cisjordanie devaient rencontrer des responsables palestiniens, puis être transférés dans un bus palestinien devant les conduire vers la Mouqataa, le quartier général du président Mahmoud Abbas où était prévue une cérémonie d'accueil.

    Attendus par les familles

    Dans la ville de Gaza, des proches étaient déjà rassemblés pour attendre l'arrivée des anciens prisonniers. Certains ont installé une tente pour les accueillir et d'autres accrochaient des drapeaux dans les rues.

    Ces libérations sont intervenues après le rejet par la Cour suprême israélienne d'un appel contre l'élargissement des 26 détenus palestiniens présenté par Almagor, une association des victimes israéliennes. Au total, 104 détenus condamnés doivent être relâchés au cours des neuf mois de négociations de paix prévus entre Israéliens et Palestiniens.

    Colonisation de Jérusalem-Est

    Ce début de libérations suit l'annonce par Israël d'un coup d'accélérateur à la colonisation avec un feu vert donné à la construction de 942 logements à Jérusalem-Est annexée, provoquant la fureur des Palestiniens. La municipalité de Jérusalem a confirmé que le projet de construction dans le quartier de colonisation de Gilo à Jérusalem-Est avait franchi une nouvelle étape avec "l'autorisation du ministère de l'Intérieur" tout en soulignant qu'il s'agit de la poursuite "d'un projet de développement annoncé il y a deux ans".

    "C'est une décision terrible qui relève de la provocation envers les Palestiniens, les Américains et le monde entier qui s'opposent tous à la poursuite de la colonisation", a pour sa part affirmé à l'AFP Yossef Pepe Alalu, maire adjoint de Jérusalem et conseiller municipal au nom de l'opposition de gauche.

    "La colonisation menace de provoquer l'effondrement des négociations avant même qu'elles débutent", a dit à l'AFP un haut responsable de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), Yasser Abed Rabbo. Selon un responsable de la "Paix maintenant", une ONG israélienne opposée à la colonisation, la décision de la municipalité comprend aussi la possibilité de construire 300 autres logements dans une phase ultérieure à Gilo.

    Déjà dimanche, le gouvernement israélien avait donné son feu vert à la construction de 1 187 logements en Cisjordanie et dans plusieurs quartiers de colonisation de Jérusalem-Est, dont les Palestiniens veulent faire la capitale de leur futur Etat.

    Négociations israélo-palestiniennes

    Le secrétaire d'Etat américain John Kerry, qui a mené de nombreuses missions dans la région avant d'obtenir l'accord des parties à relancer les négociations, a de nouveau jugé "illégitimes" les colonies. Mais il a affirmé que Mahmoud Abbas était "engagé à poursuivre les négociations parce qu'il croit que la négociation est ce qui permettra de résoudre ce problème".

    Aucun détail n'a été donné sur l'heure du début des négociations israélo-palestiniennes ou le lieu exact de leur tenue à Jérusalem. Selon les médias israéliens, l'annonce de constructions dans les colonies a été décidée pour calmer l'aile dure de la coalition dirigée par Benjamin Netanyahu.

    Le "Foyer juif", un parti nationaliste membre de la majorité, hostile à la création d'un Etat palestinien, ainsi que les députés et ministres "faucons" du Likoud, le propre parti de Benjamin Netanyahu, font pression pour poursuivre la colonisation afin de rendre impossible tout retrait de Cisjordanie ou toute concession sur Jérusalem-Est.


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