• <header class="article_header">

    A l'Elysée, les chers conseils de Guaino

    Par , publié le <time datetime="2012-10-05 19:01:17" itemprop="datePublished" pubdate="">05/10/2012 à 19:01    </time>lien <time datetime="" itemprop="dateModified"></time>

     

    Selon le Nouvel Obs, Henri Guaino percevait 244 000 euros par an lorsqu'il était le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. 

    <aside class="toolbar">
    •  
    </aside> <figure class="ouverture"> A l'Elysée, les chers conseils de Guaino <figcaption>

    GUAINO - Durant le quinquennat Sarkozy, Henri Guaino et Catherine Pégard avaient la rémunération la plus élévée de tous les conseillers de l'exécutif.

    afp.com/Lionel Bonaventure

    </figcaption> </figure> </header>

    A ce prix-là, les conseils d'Henri Guaino valaient sûrement de l'or. Selon le Nouvel Observateur de cette semaine, l'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy percevait à l'Elysée une rémunération annuelle de 244 000 euros. Idem pour la conseillère politique Catherine Pégard. 

    S'agissant d'Henri Guaino, le chiffre correspond à peu près à celui qu'avait publié en 2010 sur son blog le député PS René Dosière, spécialiste du train de vie de l'Etat. Selon lui, la "plume" du président, détachée de la Cour des comptes, émargeait alors à 19 000 euros mensuels net, soit 228 000 euros pour l'année.  

    A titre de comparaison, Nicolas Sarkozy gagnait 19 331 euros net par mois, soit 231 972 euros par an. 

    Invité en juillet 2011 de l'émission Les Grandes gueules sur RMC, le conseiller spécial avait refusé de "voir son salaire s'étaler sur les murs de Paris". 

     VIDEO

    Selon René Dosière, travailler en tant que conseiller à l'Elysée paye mieux que n'importe quel autre cabinet ministériel. En 2010, la moyenne des cinq rémunérations les plus élevées du "Chateau" était environ 50% supérieure, indique t-il.  

    François Hollande ayant diminué son salaire de 30% (12 696 euros net par mois), reste à savoir si le salaire des conseillers élyséens et ministériels a subi le même dégraissage.


    votre commentaire
  • Pharmacies en ligne: Plus de 18.000 sites fermés après une opération internationale

    Mis à jour le 04.10.12 à 17h57 
    lien

    Plus de 18.000 sites Internet ont été fermés dans le cadre d'une vaste opération internationale contre la vente illicite de médicaments sur Internet, annonce Interpol.

    Menée entre le 25 septembre et le 2 octobre en collaboration avec les autorités d'une centaine de pays, dont les Etats-unis, l'opération baptisée Pangea V a en outre permis l'arrestation de 79 suspects et des saisies évaluées à 10,5 millions de dollars (8,11 millions d'euros). Elle entrait dans le cadre de la Semaine d'action internationale sur internet, un campagne internationale contre les médicaments contrefaits ou illicites.

    «C'est grâce aux efforts coordonnés de toutes les instances impliquées - police, douanes, autorités sanitaires, et secteur privé - que nous avons obtenu les résultats les plus probants depuis le lancement de Pangea, il y a cinq ans», s'est félicité Ronald Noble, secrétaire général d'Interpol. «Il s'agit d'une étape majeure dans la protection de la santé et de la sécurité publiques et de la lutte contre les réseaux organisés qui sont derrière ce crime», ajoute-t-il.

    Avec Reuters

    votre commentaire
  • Exil fiscal: ils font le grand saut

     Par Bruno Abescat (L'Express) - publié le 04/10/2012 à 12:24 
    lien

    De plus en plus de contribuables choisissent de s'exiler. Pour échapper à l'impôt, bien sûr, mais aussi parce qu'ils se sentent exclus et ne supportent plus la valse des réformes fiscales.

    EXIL FISCAL - Le patron de LVHM a demandé la nationalité belge. Une démarche qui a provoqué un tollé.

    EXIL FISCAL - Le patron de LVHM a demandé la nationalité belge. Une démarche qui a provoqué un tollé.
    REUTERS/Benoit Tessier

    C'est officiel : Lindsay Owen-Jones, retraité de L'Oréal, vient de s'installer à Lugano, en Suisse italienne. Pour sa part, Gilles Pélisson, ex-PDG d'Accor, a choisi de s'exiler en Belgique. Hugues Taittinger encore, héritier de la célèbre dynastie champenoise, a endossé cet été la nationalité belge, quelques semaines avant que le patron de LVMH, Bernard Arnault, confirme avoir entrepris la même démarche et provoque un tollé. Pour ces personnalités, le déménagement, c'est maintenant (ou presque) !

    Combien sont-ils ainsi chaque année à sauter le pas ? Environ 800, s'accordent à dire l'administration et les experts. "Difficile, en réalité, de mesurer précisément l'ampleur du phénomène, explique Gilles Carrez, président (UMP) de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Pourtant, nous aurions besoin d'un travail objectif."

    Dès mars 2011, un rapport "strictement confidentiel" s'alarmait de ce mouvement.

    En attendant, chacun doit se contenter d'informations "impressionnistes", selon son propre mot. Celles qui remontent du terrain, des notaires et des gestionnaires de fortune, des agents immobiliers et des avocats fiscalistes. Or ces professionnels - aux premières loges - sont unanimes : de plus en plus de contribuables sont inquiets et s'interrogent. "Depuis 2010 déjà, nous étions davantage sollicités. Mais l'exaspération va grandissant", relève Philippe Bruneau, président-fondateur du Cercle des fiscalistes. "Depuis sept à huit mois, nous avons dû faire face à autant de demandes de renseignements qu'en trois ans !" précise le notaire Bernard Monassier, conseiller des Dassault et de plusieurs autres grandes familles.

    Le malaise est là. "Un mal français", dixit Jean-Sébastien Dumont, du cabinet Nixon Peabody. Et si la majorité des contribuables choisissent encore de demeurer dans l'Hexagone - utilisant l'arsenal réglementaire le plus sophistiqué pour réduire leurs impôts -, d'autres n'hésitent plus, à présent, à s'installer sous des cieux plus cléments.

    "Deux tiers du Code général des impôts ont été récrits"

    Dès mars 2011, dans un rapport "strictement confidentiel" transmis à l'Elysée, que nous avons pu nous procurer, 42 avocats, issus de cabinets parisiens, s'alarmaient de ce mouvement. Les résultats de leur enquête sont éloquents : 85 % de leurs clients, candidats à l'expatriation, reconnaissaient vouloir d'abord "se soustraire à une pression fiscale excessive". Depuis, les surenchères de campagne, notamment l'annonce d'une taxe de 75 % sur les très hauts revenus, ont eu un effet psychologique dévastateur.

    Les "partants" ne se plaignent pas seulement d'être essorés. Ils se sentent exclus. Victimes, sotiennent-ils, d'un certain ostracisme à l'égard des "riches" et, au-delà, de "ceux qui réussissent". Ils déplorent aussi l'insécurité fiscale. "Nous avons subi cinq lois de finances rien qu'en 2011 et déjà trois en 2012. En trois ans, environ deux tiers du Code général des impôts ont été récrits. Cette instabilité est devenue insupportable pour nombre de clients", souligne Sandra Hazan, du cabinet Salans.

    Bref, pour beaucoup, la coupe est pleine. Le constat est d'autant plus préoccupant que le profil des candidats au départ se démocratise. "L'âge et la taille du patrimoine des exilés fiscaux, qui sont dorénavant principalement des actifs, tendent à diminuer significativement", concluait le rapport des 42 avocats. Créateurs de start-up, patrons de PME exportatrices ou hauts cadres dirigeants, souvent polyglottes et globe-trotteurs, mettent plus facilement leur projet à exécution. Et le phénomène tendra à s'amplifier, du moins tant que les Etats se livreront à une concurrence fiscale...


    votre commentaire
  • Accueil > Vu sur le web > ETATS-UNIS. Un journal invente la "délation collaborative"

    ETATS-UNIS. Un journal invente la "délation collaborative"

    Créé le 02-10-2012 à 11h37 - Mis à jour à 15h13 
    lien

    Depuis qu'un journal local de la ville américaine de Pottstown publie sur le réseau social les avis de recherche de la police, les arrestations ont augmenté de 58%.

    La compte Pinterest du journal (DR)

    La compte Pinterest du journal (DR)

    Pottstown est une petite ville d’un peu plus de 20.000 habitants située en Pennsylvanie avec un problème récurrent d’insécurité. Sans être un véritable coupe-gorge, l’agglomération figure en effet depuis plusieurs années dans le haut des différents classements sur la criminalité.

    Le journal local, le "Pottstown Mercury", est d’ailleurs réputé pour ses pages faits-divers, à qui certains reprochent d’ailleurs leur "sensationnalisme". Comme dans beaucoup de villes américaines, les forces de l’ordre comptent en grande partie sur la "vigilance" des citoyens pour signaler, voire dénoncer, les criminels. Le "Pottstown Mercury" a par exemple intégré à chacune de ses pages l’application "SeeClickFix" permettant aux citoyens de signaler, via une GoogleMap, le moindre incident.

    Plus pratique qu'un diaporama

    Récemment, une journaliste du quotidien, Brandie Kessler, a eu l’idée d’aider les forces de l’ordre en ouvrant un compte sur Pinterest, un réseau social fonctionnant selon un système d’images, afin d’y poster les avis de recherche de la ville.

    Bien avant de créer un compte Pinterest, j’avais créé sur notre site une liste sous la forme d’un diaporama, mais celui-ci se bloquait ou ne marchait pas", explique-t-elle. "De plus, il était difficile de le mettre à jour et de le mettre en valeur sur Facebook et Twitter. J’ai donc décidé de créer une liste sur Pinterest. C’est super parce que c’est facile à mettre à jour, facile à consulter depuis un smartphone et vous n’avez pas besoin d’avoir un compte Pinterest pour y accéder".

    A ces avantages, il convient d’ajouter la formidable propension des citoyens à traquer ses voisins et l’efficacité de ce type de méthode au niveau local. En effet, dans les commentaires postés sous chaque avis de recherche, il n’est pas rare qu’un internaute reconnaisse un suspect et informe que celui-ci a déménagé en Californie, a emménagé avec sa copine ou encore a changé de nom

    De son côté, la police locale se frotte les mains et salue cet aide bénévole qui lui a permis de faire exploser ses statistiques d’arrestations de 58%.


    votre commentaire
  • Accueil > economie > Immobilier : nouveau record à Paris, 8.410 euros le m²

    Immobilier : nouveau record à Paris,

    8.410 euros le m²

    Créé le 02-10-2012 à 16h56 - Mis à jour à 17h13

    C'était le prix moyen fin juillet. La Chambre des notaires Paris-Ile-de-France estime que les prix des appartements parisiens dans l'ancien ont encore augmenté en septembre.

     

    Paris (c) Sipa

    Paris (c) Sipa

    Les prix des logements anciens à Paris ont battu un nouveau record à 8.410 euros par mètre carré en moyenne pour la période comprise entre mai et juillet 2012, a annoncé mardi 2 octobre la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France.

    Le précédent record, à 8.390 euros/m2, datait de la période comprise entre septembre et novembre 2011 et avait été égalé par la période entre février et avril 2012. Le recul sensible des ventes qui touche l'ensemble de l'Ile-de-France n'influe donc pas encore sur les prix.

    Les vendeurs n'acceptent visiblement pas de brader leurs biens. Selon les avant-contrats (promesses de vente) les prix dans la capitale devraient encore progresser jusqu'à fin octobre. Les notaires tablent sur 8.550 euros/m² en octobre.  Mais selon eux, on ne doit plus parler de hausse mais de "stabilisation des prix" que l'on retrouve dans la petite et grande couronne.

    Sur un an, les prix au m² ont gagné 1% sur l'ensemble de l''Ile-de-France. Le prix moyen en petite couronne atteignait fin juillet 4.420 euros/m² et 3.110 euros/m² au-delà.

    (Avec AFP)


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique