• Ile-de-France : des députés PS veulent l'ouverture dominicale des magasins de bricolage

    Publié le 20.05.2013, 18h19 | Mise à jour : 22h40 lien

    Plusieurs députés PS ont écrit à François Hollande pour apporter leur soutien aux salariés des magasins Leroy Merlin et Castorama qui avaient manifesté le 14 mai à Paris pour défendre le travail dominical.

    Plusieurs députés PS ont écrit à François Hollande pour apporter leur soutien aux salariés des magasins Leroy Merlin et Castorama qui avaient manifesté le 14 mai à Paris pour défendre le travail dominical. | Capture d'écran / BFMTV

     
    Plusieurs députés ont écrit au ministre du Travail Michel Sapin pour lui demander le maintien de l'ouverture des magasins de bricolage le dimanche en Ile-de-, a annoncé lundi Olivier Faure, élu de Seine-et-Marne.

    «On ne demande pas la généralisation de l'ouverture des magasins de bricolage le dimanche», a précisé le député. «Mais que ceux qui ouvrent actuellement, aux côtés de jardineries ou de magasins de meubles, puissent continuer à le faire, en particulier pour tenir compte des rythmes de vie en Ile-de-France».

    La contrainte des temps de transports mise en avant

    Ces derniers mois, des procédures contre les magasins de bricolage qui ouvrent le dimanche les menacent de fermeture, mettant en danger les emplois dédiés, souligne Olivier Faure. «Cela se fait en dépit de la demande des collaborateurs volontaires pour travailler le dimanche, et des consommateurs franciliens qui veulent bénéficier d'un service auquel ils sont habitués depuis de très nombreuses années et qui correspond à leur mode de vie», poursuit-il. Il relève qu'en Ile-de- de nombreuses familles passent beaucoup de temps dans les transports durant la semaine pour se rendre à leur travail et ne peuvent donc faire leurs courses que durant le week-end.

    Le chef de file des députés socialistes, Bruno Le Roux, élu de Seine-Saint-Denis, figure parmi les signataires tandis que le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, dont le fief est la Seine-Saint-Denis, leur a apporté son soutien, a souligné M. Faure.

    Environ un millier de salariés de deux enseignes de bricolage, venant de 47 magasins d'Ile-de-France, avaient manifesté le 14 mai à Paris pour défendre le travail dominical, avec le soutien de leur direction. Ils avaient déposé au ministère du Travail des pétitions en faveur du travail du dimanche signées selon eux par quelque 200.000 personnes.

    Les syndicats s'opposent aux enseignes qui ouvrent le dimanche, journée théoriquement consacrée au repos hebdomadaire, mais sujette à de nombreuses dérogations et aménagements

    LeParisien.fr


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    - Publié le <time datetime="2013-05-04T19:44" itemprop="datePublished" pubdate=""> 04/05/2013 à 19:44</time>

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    Un porte-parole du PS, Eduardo Rihan-Cypel, a répliqué samedi à la campagne "grotesque" selon lui, lancée par l'UMP pour dénoncer "l'échec" de François Hollande.

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    Un porte-parole du PS, Eduardo Rihan-Cypel, a répliqué samedi à la campagne "grotesque" selon lui, lancée par l'UMP pour dénoncer "l'échec" de François Hollande.

    L'UMP lance à partir de dimanche une campagne d'affichage et de tracts chocs, résumant en une formule, "l'échec", le bilan de la première année de François Hollande à l'Elysée.

    "L'UMP s'est lancée dans une campagne grotesque", a réagi M. Rihan-Cypel dans un communiqué.

    "L'+échec+ colle tellement à la peau de l'UMP qu'elle le voit partout. Tel un spectre qui hante la rue de Vaugirard (siège du parti de Jean-François Copé, ndlr), l' +échec+ reste la marque de fabrique de l'UMP qui refuse toujours de faire l'inventaire de sa défaite en 2012", fustige-t-il.

    "S'il y a +échec+, c'est d'abord celui d'une décennie de politique de l'UMP qui s'est radicalisée sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy", estime le porte-parole du PS.

    M. Rihan-Cypel cite notamment l'aggravation du chômage, l'augmentation de la dette ou encore "le saccage de l'école de la République", durant le dernier quinquennat.

    "Nous n'avons qu'une ambition : faire échec et mat à la crise qui frappe la France et l'Europe. En attendant, l'UMP a déjà fait échec et mat à la bonne foi", conclut-il.


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  • 30 avril 2013 - 23H01  

    La direction du PS adopte un texte de
    "réorientation" européenne

    Le Bureau national, la direction du Parti socialiste, a adopté mardi soir un texte se voulant de

    Le Bureau national, la direction du Parti socialiste, a adopté mardi soir un texte se voulant
    de "réorientation" des politiques européennes en faveur de la croissance et aussi "de combat
    contre les droites" en Europe, a-t-on appris auprès des participants à la réunion.

    AFP - Le Bureau national, la direction du Parti socialiste, a adopté mardi soir un texte se voulant

    de "réorientation" des politiques européennes en faveur de la croissance et aussi "de combat contre

    les droites" en Europe, a-t-on appris auprès des participants à la réunion.

    Après la polémique qui avait forcé Jean-Marc Ayrault à intervenir ce week-end, le texte a été

    expurgé de toutes les mentions qui s'en prenaient à Angela Merkel. Un premier "brouillon" du

    document qui évoquait "l'intransigeance égoïste" de la chancelière allemande et avait fuité

    dans la presse vendredi avait suscité un vif émoi en France et en Allemagne.

    Le texte adopté mardi soir, par 26 voix contre 6 et 4 abstentions, va être soumis aux militants

    socialistes en vue de la Convention du PS sur l'Europe, le 16 juin à Paris, étape dans la préparation

    de la campagne pour les élections européennes de mai 2014.

    "Nous avons adopté un texte de rassemblement des socialistes pour réorienter les politiques

    européennes, avec en priorité la croissance et l'emploi", a déclaré à la presse le porte-parole

    du PS, David Assouline.

    "C'est aussi un texte de combat contre les droites européennes qui ont non seulement aggravé

    la crise par leurs politiques mais qui, avec le verrou de l'austérité, ne permettent pas d'en sortir"

    , a-t-il ajouté.

    Plusieurs représentants de l'aile gauche du PS ont dit à la presse qu'ils avaient proposé de

    déposer devant le Bureau national un "texte alternatif", intitulé "L'Europe le sursaut", mais

    que leur demande avait été refusée.

    Un seul texte du BN doit être soumis aux militants, a expliqué David Assouline.

    "L'état de la discussion, la situation de notre parti dans le moment où nous sommes, l'état du

    pays, le fait d'avoir pu surmonter plusieurs divergences, tout cela milite pour que nous ayons

    un seul texte présenté aux militants", a souligné devant le Bureau national Jean-Christophe

    Cambadélis, secrétaire national du PS en charge de la convention sur l'Europe avec Catherine

    Trautmann, cité dans un communiqué.

    "C'était une feuille de route pour réorienter la construction européenne avant même les

    élections européennes de 2014", a expliqué Emmanuel Maurel, du courant "Maintenant la gauche".

    "On va déposer des amendements (à l'attention des militants) pour réorienter la construction

    européenne et faire des propositions un peu concrète en termes de calendrier pour les mois

    à venir. On va le proposer avec ceux qui le souhaitent, je pense aux amis de Benoît Hamon"

    (du courant "Un Monde d'avance"), a-t-il ajouté.

    Ces amendements, "un peu clivants", a dit Jérôme Guedj, portent sur plusieurs sujets principaux

    et notamment "un moratoire sur l'application du Pacte de stabilité", le refus du nouveau budget

    européen, "car il est en diminution et ne permet pas une relance notamment par les

    investissements à l'échelle européenne", a-t-il ajouté.

    "On demande que l'euro fort soit mis en débat (...) ainsi que son impact sur la compétitivité

    et les exportations", a poursuivi Jérôme Guedj.


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  • Le PS déclare la guerre à l'Allemagne…

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 4 heures" data-original="le 26/04/2013 à 21:31" datetime="2013-04-26T21:31:26+02:00" itemprop="dateModified">le 26/04/2013 à 21:31</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 7 heures" data-original="le 26/04/2013 à 17:37" datetime="2013-04-26T17:37:05+02:00" itemprop="datePublished">le 26/04/2013 à 17:37</time>
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    <figure class="fig-photo"> Les socialistes français fustigent «l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel».<figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description">

    Les socialistes français fustigent «l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel». Crédits photo : © BPA AGENCY / Reuters/REUTERS

    </figcaption> </figure>

    Les socialistes durcissent le ton contre «l'Europe de la rigueur» et Angela Merkel. Un texte bientôt validé par la direction du PS appelle à «l'affrontement démocratique».

     

    Comment donner des gages à une majorité en plein blues sans remettre en cause le cap de la politique menée? Les dirigeants socialistes ont trouvé la parade, en attaquant violemment l'Europe conservatrice, cette «Europe de la rigueur», et la chancelière allemande. Les socialistes ont durci le ton envers Angela Merkel, en appelant à «l'affrontement démocratique» avec l'Allemagne, dans un texte qui sera validé mardi prochain au bureau national du PS, avant une convention du parti sur l'Europe, prévue le 16 juin.

    «Le projet communautaire est meurtri par une alliance de circonstance entre les accents thatchériens de l'actuel premier ministre britannique et l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel», écrivent les auteurs de ce texte, qui devait être amendé vendredi lors d'une commission des résolutions. Les socialistes refusent une Europe où les peuples passeraient après les marchés. «L'amitié entre la France et l'Allemagne, ce n'est pas l'amitié entre la France et la politique européenne de la chancelière», poursuivent-ils.

    La charge est violente. Elle avait déjà été menée, mais en des termes plus feutrés, lors du dernier conseil national du PS, le 13 avril. Le premier secrétaire Harlem Désir avait alors appelé à être à «la pointe de la confrontation» avec Merkel, la «chancelière de l'austérité». Même le premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui avait défendu sa politique de sérieux budgétaire, avait critiqué les conservateurs européens, rappelant que la recherche de la croissance devait être menée à l'échelle de l'Europe.

    Les critiques contre l'austérité et l'Europe, d'abord portées par l'aile gauche du PS, n'ont eu de cesse de faire tache d'huile ces derniers mois. Jusqu'à contaminer le gouvernement lui-même, avec l'offensive antiaustérité de trois ministres (Arnaud Montebourg, Cécile Duflot, Benoît Hamon), début avril. Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a franchi un pas supplémentaire cette semaine: après la «tension amicale» revendiquée en mars par François Hollande lors de sa dernière intervention télévisée, le quatrième personnage de l'État a carrément prôné dans Le Monde «la tension tout court», voire «la confrontation».

    Donner des gages à l'aile gauche du PS

    Ce changement de ton avec l'Allemagne a été discuté lundi soir à Matignon, lors d'une réunion au sommet. Étaient présents autour de Jean-Marc Ayrault tous les poids lourds du gouvernement et de la majorité, dont le président de l'Assemblée nationale, celui du Sénat, les présidents de groupe, le premier secrétaire du PS, le numéro deux du parti, Guillaume Bachelay, ainsi que le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis (coordinateur du texte). Les ministres étaient présents en tant que représentants des composantes de la majorité, des hollandais à l'aile gauche, en passant par les aubrystes et les royalistes.

    Ayrault, comme Hollande, ont compris qu'il fallait lâcher du lest pour rassurer une partie de la majorité et de leur électorat, qui rejettent le sérieux budgétaire comme seul horizon, dans un contexte économique et social cataclysmique. L'exécutif a donc validé le principe d'un «texte combatif contre les droites européennes». Mais en germanophile qui doit traiter au quotidien avec la chancelière, Ayrault a mis en garde contre les dangers de l'opération: «Il ne faut pas que ça aille trop loin. C'est dangereux», a-t-il prévenu.

    «Construire une gauche européenne, oui. En revanche pas besoin de taper sur la chancelière»

    Un conseiller de Matignon

    Claude Barlolone, qui n'a pas pipé mot pendant la réunion, a joué sa carte personnelle trois jours plus tard en appelant Hollande à passer à une deuxième phase du quinquennat, plus ancrée à gauche. Un moyen pour celui qui se positionne pour Matignon de gagner des points.

    À Matignon, où l'on redoute que la mèche allumée par le PS ne devienne explosive, on temporisait vendredi, en rappelant que ce texte n'est qu'une «ébauche», appelée à être adoucie. «Construire une gauche européenne, oui. En revanche pas besoin de taper sur la chancelière», indique un conseiller. À l'Élysée, tout en renvoyant au PS la responsabilité du texte, on en salue le contenu: «Le parti connaît bien la position du président. C'est un texte très fort de soutien à son action en général», note-t-on dans l'entourage du chef de l'État. «C'est un partage des rôles, décrypte un dirigeant socialiste. Le PS peut aller plus loin que le gouvernement.»

    Ce durcissement à l'égard de l'Allemagne répond à plusieurs objectifs. Éviter d'abord que le PS se déchire à nouveau sur l'Europe comme en 2005, quand Hollande, alors premier secrétaire, avait organisé une «consultation militante» sur le traité européen. Consultation qu'il avait remportée en interne mais au prix d'un affaiblissement durable et profond du parti.

    En laissant le PS hausser le ton contre l'Allemagne, le président donne des gages à l'aile gauche du PS, sans froisser les autres. «Ça permet à ceux qui rêvent d'un tournant de croire qu'il est amorcé et à ceux qui ne le souhaitent pas de continuer à défendre le sérieux budgétaire, décrypte - non sans cynisme - un dirigeant du PS. Avec ce texte, on est sur la ligne de crête.» Un deuxième ajoute: «La convention Europe pouvait être du liquide inflammable. Il fallait éviter que l'aile gauche l'utilise pour mettre en difficulté le gouvernement.»

    «C'est une unité de façade»

    Un dirigeant PS

    Autre objectif: ressouder des troupes très déprimées. «Depuis un an, nous n'avons pas désigné d'adversaire politique. Nous avons essayé de nous mettre bien avec chacun. Résultat, on s'est mis tout le monde à dos, raconte un conseiller gouvernemental. Il était temps de désigner un adversaire pour ressouder les troupes.» La droite allemande de Merkel fait désormais figure d'ennemi commun de la gauche française. «C'est une unité de façade, décrypte un dirigeant PS. On tape sur Merkel tout en disant que ce qu'on fait en France, c'est bien. L'Europe sert de dérivatif. Ça arrange tout le monde et ça permet de gagner du temps…»

    Le leader de l'aile gauche du PS, Emmanuel Maurel, n'est pas dupe. Et appelle l'exécutif à passer «des paroles aux actes». «C'est trop facile de tonner contre l'austérité en Europe sans faire le lien avec la politique menée en France, assène Maurel. Notre condamnation unanime de l'Europe ne doit pas nous exonérer de réfléchir au cap économique poursuivi en France. Il y a un lien entre les deux. Passons donc sans tarder à une deuxième phase du quinquennat.»


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  • Ségolène Royal-Nicolas Dufourcq : les coulisses d'un numéro

    de duettiste improvisé a la BPI

    (Reuters)

    Par Le Lab   
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    | 22/04/13 - 18:24

     

    COULISSES - Tout était prévu : deuxième conseil d'administration de la Banque publique d'investissement à Paris, puis conférence de presse à 18h30 avec Ségolène Royal et Nicolas Dufourcq pour faire le bilan de l'activité au premier trimestre 2013.

     

    Mais dans le 7e arrondissement, où se déroulait le rendez-vous, les choses ne se sont pas passées comme prévues. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle a quelque peu bousculé l'agenda et a court-circuité la communication de l'établissement bancaire public.

     

    [Edit, 19h] Signe de la confusion, Nicolas Dufourcq, à 18h30, a commencé son point de presse seul.

     

    Interrogé sur l'absence de Ségolène Royal a ses côtés, il s'agace:

     

    Elle est en duplex à côté.

     

    Relancé sur les multiples prises de positions divergentes entre lui et sa vice présidente, il assure qu'il est: "tout a fait possible" de travailler ensemble, promettant que Ségolène Royal sera "de plus en plus d'accord" avec les positions de la BPI.

     

    Et, quelques minutes plus tard, Segolene Royal rejoint, à son tour, la conference.

     

    Revendiquant sa "liberté de parole", elle semble aussitôt s'aligner sur la vision "Dufourcquienne" de la BPI, expliquant que sa premiere mission est de "se concentrer pour bâtir l'avenir", épousant sa vision de "l'horizon 2030".

     

    Mais pour mieux s'en démarquer dans la foulée, expliquant que: "La BPI peut accompagner [des entreprises en difficulté] dans leur mutation industrielle".

     

    Fin du numéro de duettiste? Même pas. Nicolas Dufourcq reprend aussitôt la parole pour detailler qu'il s'agira alors uniquement de "fonds privés".

     

     

    Plus tôt dans l'après-midi, l'attachée de presse de Ségolène Royal à la région invite des journalistes à un point presse à 16h. Du côté de la BPI, il est toujours prévu à 18h30.

     

    Erreur d'agenda ? Non, une prise de vitesse de la présidente de la région Poitou-Charentes. L’idée : pouvoir réagir avant la prise de la parole au nom de la BPI.

                                 

    Si la conseillère presse Ségolène Royal assure avoir prévenu la BPI et que "tout était prévu comme cela", l'organisation de la Banque publique d'investissement reconnait ne pas avoir été mise au courant.

     

    Résultat : alors que le conseil d'administration s'est tenu jusqu'à 18 heures, Ségolène Royal s'est éclipsée pour parler à la presse, dans une conférence de presse à partir de 16 heures. Puis en profite pour faire également dans la foulée un direct à la télévision.

      

    Quelque jours auparavant, l'élue socialiste avait été très critique à l'égard du directeur général de la BPI, Nicolas Dufourcq. Elle avait parlé de "grave dérapage" au sujet des propos de Nicolas Dufourcq, qui avait déclaré que le sauvetage de Petroplus ou de Florange n'aurait pas représenté "un bon business" pour la BPI.

     

    Une capacité à se distinguer qu'avait soulignée ... Jean-Pierre Jouyet, président de la BPI lors de sa prise de fonction.

     

    A la tête de la Banque publique d'investissement, il avait salué le "rôle important" que pourrait jouer Ségolène Royal :

    Et compte tenu de ses capacités, si j'ose m'exprimer ainsi, en terme de communication, elle pourra jouer un rôle important en tant que porte-parole de la BPI.

    Antoine Bayet et Ivan Valerio


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