• Des globules rouges fabriqués à partir de cellules souches

     
     
     

    Les chercheurs de l’équipe du professeur Luc Douay ont réalisé une prouesse technologique en fabriquant puis en transfusant avec succès des globules rouges qu’ils ont obtenus à partir de cellules souches d’un donneur volontaire. Ces travaux ouvrent la voie à la création des « usines du sang », précisent les scientifiques.

    Il est connu dans les milieux sportifs qu’un nombre important de globules rouges dans le sang assure une meilleure oxygénation. Les globules rouges représentent plus de 85% des besoins de transfusions dans le monde.

     

    En partenariat avec l’Etablissement français du sang (EFS), l’équipe du professeur Luc Douay a réalisé une première mondiale en produisant des globules rouges fonctionnels à partir de cellules souches. Ces globules rouges de synthèse auraient toutes les capacités des globules naturels.

    Les chercheurs songent déjà à une production industrielle des globules rouges dans les trois prochaines années. Mais les premières transfusions sont prévues vers 2020.

    Les résultats de cette vaste étude ont été publiée vendredi dans la revue spécialisée Blood.


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  • 24/08/2011 à 21:25

    Un trou noir géant surpris en train d'engloutir une étoile

    Des astronomes ont assisté au réveil d'un trou noir géant, un monstre cosmique, surpris alors qu'il disloquait et avalait une étoile passant trop près, selon deux études publiées mercredi dans la revue scientifique britannique Nature .

    photo : AFP

     

     

    Un flux de rayons gamma captés par le satellite Swift a trahi le repas de l'ogre du cosmos, un trou noir aussi massif qu'un million de soleils, comme celui situé au coeur de notre galaxie La Voie Lactée.

    La plupart des galaxies abritent en leur centre un trou noir qui peut avoir la masse de millions, voire de milliards d'étoiles semblables au Soleil.

    Ces trous noirs supermassifs peuvent piéger dans leur champ de gravité des étoiles qui sont détruites par des effets de marée. La partie de l'étoile la plus proche du trou noir est soumise à une force de gravité plus grande que sa face plus éloignée. L'étoile est étirée et finit par se disloquer.

    Les débris ne tombent pas directement dans le trou noir. Avant d'être engloutis, ils spiralent à grande vitesse autour de ce glouton, émettant un puissant rayonnement. Des émissions résiduelles résultant de ce processus avaient déjà été détectées dans des galaxies lointaines.

     

    Les signaux captés à partir du 25 mars par le satellite Swift avaient mis en alerte les astronomes.

    Compte tenu des caractéristiques du rayonnement et de son évolution, ils estiment avoir été pour la première fois témoins de la dislocation d'une étoile et de la naissance du puissant rayonnement résultant de l'accrétion de sa matière autour d'un massif trou noir.

    "Le début d'un tel événement (...) n'avait pas été observé jusqu'alors", souligne David Burrows (Université de l'Etat de Pennsylvanie, Etats-Unis) qui a analysé avec son équipe les rayons X émis.

    Ils se sont révélés 10.000 fois plus lumineux que prédit par la théorie, souligne un expert, Davide Lazzati (Université de l'Etat de Caroline du Sud, Etats-Unis) dans Nature, faisant état des "surprises" des astronomes.

    L'équipe d'Ashley Zauderer (Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, (Etats-Unis) qui a analysé les ondes radio émises, conclut que leur source coïncide avec le centre de la galaxie et estime que le trou noir central correspond à 1 million de masse solaire.

    Le jet de particules associées au rayonnement se propage à des vitesses proches de celle de la lumière. L'émission d'un tel jet "n'était pas prévue dans cette situation", relèvent les chercheurs, qui estiment néanmoins que la dislocation gravitationnelle d'une étoile "explique naturellement" les propriétés du rayonnement observé.


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    La maladie   

    1. Qu'est-ce que la SEP ?
     

    La maladie appelée Sclérose en Plaques est mal connue par le public. Voici quelques éclaircissements.  
    28/02/2011

     

    Des questions? Cliquez ici pour consulter les réponses aux questions les plus fréquentes ou pour connaître le numéro de la permanence téléphonique médicale, où des médecins bénévoles pourront directement répondre à vos interrogations.


    La SEP est une maladie du système nerveux central (SNC), qui comprend le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière.

    Le SNC est composé de cellules (neurones) qui véhiculent l'influx nerveux. Celles-ci comportent un prolongement, l'axone, qui est entouré d'une gaine protectrice, la myéline.

     

     

    La myéline permet de transmettre très rapidement l'influx nerveux du cerveau au reste du corps.

    Dans la SEP, la myéline est la cible du processus pathologique. Ce dernier se traduit par une réaction inflammatoire (entrée dans le cerveau d'éléments de défense de l'organisme), qui attaque la myéline (démyélinisation), entraînant des difficultés de conduction de l'influx nerveux.

    Lorsque cet influx est interrompu, l'information élaborée par le cerveau n'est plus transmise aux différentes parties du corps, ce qui explique les signes de la maladie.

    Parallèlement à l'attaque de la myéline, une souffrance précoce de l'axone apparaît. Le plus souvent, l'inflammation disparaît et des mécanismes de réparation (la remyélinisation) permettent la restauration, plus ou moins complète, de la conduction nerveuse et donc une régression partielle ou complète des symptômes.

    Malheureusement, dans les formes évoluées de SEP ou lors d'attaque inflammatoires importantes, les mécanismes de remyélinisation sont insuffisants et des troubles irréversibles de la conduction nerveuse s'installent, entraînant des signes neurologiques persistants qui peuvent conduire jusqu'au handicap.

    La SEP est considérée comme une maladie auto-immune, c'est à dire que le propre système de défense immunitaire de l'individu (qui normalement défend l'organisme contre les attaques bactériennes ou virales) ne reconnaît plus les molécules du 'soi' et se met à les attaquer. Ainsi dans la SEP, le système immunitaire attaque la myéline qui entoure les neurones du SNC de l'individu.

    Bien que la maladie soit décrite depuis le XIXème siècle, l'origine de la SEP reste toujours inconnue. De nombreuses données scientifiques considèrent que la SEP est une maladie multifactorielle dans laquelle intervient à la fois une prédisposition génétique (propre à l'individu) et des facteurs environnementaux.

    On appelle cette maladie SEP car elle entraîne un durcissement (sclérose) des tissus atteints dans plusieurs régions (Plaques) du SNC.

    Explications par le Docteur Stankoff - Vidéos réalisées par l'APF.

    Les actions d'aide à la recherche de la Fondation ARSEP

    La Fondation ARSEP consacre annuellement environ 1 million d’euros au soutien de projets de recherche.

    Les axes de recherche développés sont multiples :

    • GÉNÉTIQUE (recherche des terrains familiaux de prédisposition),
    • VIROLOGIE (étude du rôle des virus dans la maladie),
    • IMMUNOLOGIE (compréhension des mécanismes immunitaires impliqués),
    • RECHERCHE CLINIQUE (étude et développement de nouveaux traitements),
    • IMAGERIE (développement des systèmes d’analyse pour l’aide au diagnostic et au pronostic)
    • NEUROBIOLOGIE (étude des mécanismes biologiques).
       

    L'état des connaissances sur la maladie

    La Sclérose en Plaques garde encore des mystères plus de 100 ans après sa découverte par Jean Martin Charcot, neurologue à l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière. Néanmoins, des avancées toute récentes modifient à la fois notre compréhension des mécanismes de la maladie et les perspectives thérapeutiques. Les avancées se font sur plusieurs plans.

    Mieux comprendre le déclenchement de la maladie

    L’étude de la réaction inflammatoire dans le sang et dans le système nerveux central des patients atteints de Sclérose en Plaques fait apparaître que les responsables des lésions de la myéline sont multiples : lymphocytes (cellules de l’immunité), anticorps, molécules sécrétées ou cytokines, concourent à créer les plaques (les lésions) de Sclérose en Plaques.

    Le rôle de chacun de ces acteurs commence à être précisé. Notamment, il apparaît que certains lymphocytes ont un rôle agressif alors que d’autres au contraire ont un rôle régulateur limitant le processus inflammatoire. Le démembrement de ces différentes étapes du processus inflammatoire est d’une importance majeure car il permet d’ouvrir de nouvelles perspectives thérapeutiques innovantes.

    Parallèlement à ces recherches en neuro-immunologie, les études anatomiques ont montré la grande diversité des lésions du système nerveux central qui sont déclenchées par cette réaction inflammatoire. En effet, ces lésions sont très différentes d’un individu à l’autre. Alors que certaines lésions ont un fort potentiel de réparation, d’autres au contraire laissent une atteinte chronique de myéline, sans remyélinisation. Cette hétérogénéité explique probablement en partie la grande variabilité de la sévérité de la maladie, et fait envisager des réponses thérapeutiques différentes. Il n’y a donc peut être pas une seule Sclérose en Plaques, mais en réalité différentes maladies qui sont regroupées sous le même terme de Sclérose en Plaques.

    Mieux voir, pour mieux suivre l’évolution des lésions et pour évaluer l’efficacité des nouveaux traitements.

    L’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) a révolutionné les possibilités de diagnostic de la maladie, en montrant les lésions dans le cerveau et dans la moelle épinière, et en précisant leur caractère inflammatoire. A côté de l’IRM conventionnelle, de nombreuses méthodes d’imagerie plus sophistiquées se développent activement, permettant d’évaluer de façon beaucoup plus précise les anomalies du tissu nerveux (spectroscopie, imagerie de diffusion, tractographie..). Ces nouveaux outils IRM sont en outre d’une importance capitale pour l’évaluation de l’efficacité des nouveaux traitements.

    Mieux maîtriser le processus inflammatoire.

    Depuis plusieurs années, les différents traitements immunomodulateurs (interférons et Copaxone) ont montré une efficacité dans la phase rémittente de la maladie, en diminuant d’environ 30% la fréquence des poussées. Plus récemment, des études ont montré l’intérêt de traitements immunosuppresseurs, comme la mitoxantrone, dans certaines formes très agressives, très inflammatoires de Sclérose en Plaques.

    Enfin, depuis quelques semaines, des résultats préliminaires d’un très large essai thérapeutique multicentrique de phase III ont été communiqués. L’étude a évalué l’efficacité d’un anticorps monoclonal, le natalizumab, dans les formes rémittentes de la maladie. Cet anticorps empêche le lymphocyte actif d’entrer dans le système nerveux central. Les résultats à 1 an sont très prometteurs et montrent une diminution franche de la fréquence des poussées. Ils doivent bien sûr être confirmés à 2 ans. Si tel était le cas, il s’agirait alors d’une nouvelle possibilité thérapeutique très intéressante dans la Sclérose en Plaques.

    Il est en outre important de savoir que plus de 30 essais thérapeutiques multicentriques internationaux sont en cours, testant des molécules dont les mécanismes d’action sont différents.

    Favoriser la réparation des lésions.

    A côté des traitements à visée anti-inflammatoire dont le but est de limiter l’agression à l’origine des lésions, des stratégies expérimentales visant à favoriser la réparation des lésions du tissu cérébral se développent, qu’il s’agisse de stratégies de protection axonale et/ou de remyélinisation. Le dynamisme de ces recherches fondamentales, et la réalité d’une recherche translationnelle sont des atouts majeurs et représentent un réel espoir pour les patients.

    Pr Catherine LUBETZKI (déc 2004)
    Fédération de Neurologie – GH Salpêtrière
    Présidente du Comité Scientifique de la Fondation ARSEP


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  • Neandertal aurait été submergé par le nombre

    Mots clés : , , ,

    Par Marc Mennessier Publié <time datetime="28-07-2011T15:31:00+02:00;" pubdate="">le 28/07/2011 à 15:31 </time> Réactions (32)

    Reconstitution d'une scène de chasse à l'époque de Neandertal. (Crédits photo : Frank Vincentz, sous licence GNU 1.2)
    Reconstitution d'une scène de chasse à l'époque de Neandertal. (Crédits photo : Frank Vincentz, sous licence GNU 1.2)
     

    Nos premiers ancêtres Homo sapiens ont colonisé l'Europe il y a 40.000 ans.

    Le sujet fait débat depuis des années : pourquoi l'homme de Neandertal a-t-il disparu après avoir régné sur l'Europe pendant environ 400.000 ans ? Longtemps considéré - à tort - comme une brute épaisse, ce chasseur-cueilleur particulièrement bien adapté au froid, qui maîtrisait le feu et enterrait ses morts, s'est complètement éteint quelques milliers d'années seulement après l'arrivée de nos ancêtres Homo sapiens, des «envahisseurs» venus d'Afrique et du Proche-Orient, qui ont déferlé sur notre continent il y a environ 40.000 ans.

    Réchauffement climatique 

    Dans une étude publiée vendredi dans la revue Science, Paul Mellars et Jennifer French, paléontologues à l'université de Cambridge (Royaume-Uni), avancent une hypothèse hardie :

    les hommes de Neandertal auraient tout simplement été submergés par le nombre des nouveaux arrivants. Pour cela, ils ont étudié les vestiges préhistoriques du Périgord, dans le sud-ouest de la France, lesquels rassemblent la plus grande concentration de sites archéologiques de ces deux espèces d'hominidés en Europe.

    En se focalisant sur trois périodes bien précises, entre -35.000 et -55.000 ans, les chercheurs britanniques ont constaté que la population des premiers hommes modernes était neuf à dix fois plus nombreuse que celle des néandertaliens qui occupaient la place. Ce formidable boom démographique aurait largement contribué, selon eux, à repousser les autochtones néandertaliens aux marges de l'Europe. Notamment dans la région de Malaga, dans le sud de l'Espagne, et dans le nord de la Sibérie où les derniers survivants connus du «plus vieil Européen» se sont éteints il y a environ 28.000 ans.

    Le brutal réchauffement climatique qui s'est produit il y a 40.000 ans, c'est-à-dire à peu près au même moment, n'aurait fait qu'accentuer le processus, en ouvrant d'avantage d'espaces aux nouveaux arrivants. «Plus nombreux, mais aussi plus sédentaire et plus diversifié dans son alimentation, Homo sapiens a su mieux tirer son épingle du jeu que Neandertal», souligne le paléontologue Pascal Picq qui juge l'approche de ses collègues «solide» et «intéressante».

    Un avis que ne partage pas du tout son collègue Bruno Maureille (université Bordeaux-I/CNRS). «Quels que soient les gisements étudiés, y compris dans le sud-ouest de la France, les niveaux stratigraphiques censés être rapportés aux néandertaliens sont toujours antérieurs à ceux de l'Aurignacien (période correspondant à l'arrivée des premiers hommes modernes, NDLR), explique-t-il au Figaro. Or pour parler d'expansion démographique, il faudrait que les niveaux soient contemporains, ce qui n'est le cas nulle part.»

    Plus nuancé, le Pr Yves Coppens suggère de faire la même étude dans d'autres régions. «À cette époque la densité de population était extrêmement faible, avec à peine 10.000 habitants pour toute l'Europe, de l'Atlantique à l'Oural. Dans ces conditions, il est difficile d'extrapoler des résultats obtenus à l'échelle régionale sur l'ensemble du continent.» Le débat n'est donc pas clos.


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  • Extinction des dinosaures: une petite corne pourrait trancher le débat

    PARIS — Mais qu'est ce qui a bien pu faire disparaître les dinosaures voici 65 millions d'années ? Une petite corne fossilisée, découverte là où elle n'était pas censée être, pourrait trancher dans le débat qui déchire depuis 30 ans les partisans de théories concurrentes.

    Selon une étude publiée mardi dans la revue Biology Letters de la Royal Society britannique, la présence de cette corne de dinosaure dans une couche de sédiments des collines du Montana (USA) plaide en faveur d'un brusque changement climatique provoqué par la chute d'un astéroïde sur Terre.

    Durant très longtemps, la disparition des dinosaures est tout simplement restée un mystère, donnant lieu à des spéculations parfois loufoques (mammifères ayant dévoré tous les oeufs de dinosaures, allergie généralisée au pollen, etc.).

    Les spécialistes se bornaient à constater que leurs fossiles abondent durant l'ère mésozoïque (-248 à -65 millions d'années) mais qu'on n'en trouve plus trace dans les roches plus récentes.

    Jusqu'à ce qu'en 1980, un groupe de scientifiques de l'Université de Californie à Berkeley (USA), emmenés par Luis Alvarez et son fils Walter, découvrent un fait troublant: une couche argileuse datant de 65 millions d'années contient un fort taux d'iridium, métal très rare quasiment absent de la surface de la Terre... mais pas des météorites!

    Pour les chercheurs, c'est le signe d'un impact de la collision avec la Terre d'un gros objet venu de l'espace, qui aurait provoqué une catastrophe écologique rayant brusquement de la planète les dinosaures et de nombreuses autres espèces animales et végétales.

    Très controversée au début, cette théorie de l'extinction du Crétacé-Tertiaire ("KT") a par la suite été alimentée par de nombreuses études.

    En mars 2010, 41 chercheurs accusent un astéroïde de 15 km de diamètre qui s'est abattu sur Chicxulub, dans la province mexicaine du Yucatan, frappant la Terre avec une puissance phénoménale.

    Un choc si violent qu'il aurait provoqué des incendies à grande échelle et soulevé des nuages de poussières masquant le soleil, provoquant un refroidissement fatal à de nombreuses espèces.

    Mais cela n'a pas suffi à convaincre les tenants de la principale théorie adverse.

    S'ils ne nient pas la chute de cet astéroïde à l'époque du KT, ils estiment que cette extinction massive est liée à des phénomènes volcaniques beaucoup plus anciens, ayant pour origine l'Inde actuelle. Après 1,5 million d'années, ces éruptions auraient abouti au même résultat que l'astéroïde: lent refroidissement et dépôts d'iridium ou d'autres minéraux rares.

    Selon certains d'entre eux, la population de dinosaures aurait d'ailleurs déjà disparu avant la chute de cet astéroïde sur le Yucatan. La preuve? L'existence d'une couche de trois mètres dans les sédiments géologiques situés sous ceux du KT, et donc antérieurs à cette période, où aucun fossile de dinosaure n'a jamais été découvert...

    Jusqu'à ce qu'une équipe dirigée par Tyler Lyson, de l'Université de Yale, ne trouve la corne frontale d'un ceratops, à 13 cm sous la limite géologique marquant le début de l'épisode KT.

    "La localisation de ce dinosaure démontre qu'il n'existe pas de +vide de trois mètres+ au Crétacé et est incompatible avec l'hypothèse selon laquelle les dinosaures (...) étaient éteints avant l'impact" de l'astéroïde, conclut l'étude du Pr Lyson.

    La polémique n'est toutefois pas définitivement enterrée.

    Les géologues ayant découvert cette corne admettent en effet ne pas pouvoir expliquer l'absence totale de fossiles dans une couche de sédiments de 125 cm déposée immédiatement après la chute de l'astéroïde.

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