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    Les nanomatériaux : des dangers

    encore inexplorés

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-15T15:38" itemprop="datePublished" pubdate="">15/05/2014 à 15:38</time>

    L'Anses met en garde contre la toxicité possible des matériaux de l'infiniment petit, dont l'usage est en plein essor, mais qui restent peu étudiés.    lien

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Modélisation par ordinateur d'un nanotube de carbone.<figcaption>Modélisation par ordinateur d'un nanotube de carbone. © AFP</figcaption></figure>
     
     
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    L'Agence française de sécurité alimentaire et sanitaire Anses a mis en garde jeudi contre les dangers potentiels mais encore largement inexplorés des matériaux de l'infiniment petit, les nanomatériaux, et réclamé une réglementation européenne plus stricte à leur égard. Les nanomatériaux sont des matériaux naturels ou manufacturés constitués de particules dont la taille se situe entre 1 et 100 nanomètres, soit 1 à 100 milliardièmes de mètre. Cette taille intermédiaire entre la taille des atomes et celle des matériaux classiques leur confère des propriétés physiques, chimiques et biologiques particulières.

    "Les nanomatériaux représentent un domaine de la recherche scientifique et technique en pleine expansion" en raison de ces propriétés et leurs applications industrielles, explique dans un rapport l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail). "L'utilisation des nanomatériaux est en plein essor et désormais, ils entrent dans la composition de nombreux produits de la vie courante disponibles sur le marché : cosmétiques, textiles, aliments, peintures, etc.", indique l'agence. Mais les effets de ces nanomatériaux sur l'homme restent encore largement méconnus, faute d'étude. "Il n'existe pas à l'heure actuelle de données" sur la toxicité directe de ces produits sur l'homme "en raison de l'absence d'études épidémiologiques", relève l'Agence.

    Développer les connaissances

    Plusieurs éléments plaident pour la prudence vis-à-vis de ces nouveaux matériaux. En premier lieu, la petitesse de leurs particules leur permet de franchir les barrières physiologiques, comme la peau ou les muqueuses qui constituent les protections naturelles du corps. Ensuite, des tests in vitro et in vivo sur l'animal indiquent une toxicité pour certains d'entre eux. En particulier, des nanotubes de carbone, utilisés comme additifs ou revêtements dans l'industrie, peuvent entraîner le développement anormal d'embryons, causer des cancers ou bien des maladies respiratoires, souligne le rapport. Ces mêmes nanotubes de carbone peuvent aussi entraîner des effets toxiques sur l'environnement avec par exemple un effet antimicrobien lorsqu'ils sont dispersés dans le sol. Des études plus approfondies sur ces nanotubes de carbone et sur leur effet à long terme seraient donc nécessaires, souligne l'Agence.

    De manière générale, l'Anses "recommande la mise en oeuvre de projets pluridisciplinaires permettant de développer les connaissances sur les caractéristiques des nanomatériaux et de leurs dangers, tout au long du cycle de vie des produits." En attendant, l'Agence recommande la prudence et "appelle, dès à présent, à un encadrement réglementaire renforcé des nanomatériaux manufacturés au niveau européen, afin de mieux caractériser chaque substance et ses usages, en prenant en compte l'ensemble du cycle de vie des produits."

    La réglementation européenne en matière de classification et d'étiquetage (CLP) et celle sur les produits chimiques (REACh) devrait s'appliquer aux nanomatériaux afin d'en "renforcer la traçabilité" et de mieux contrôler l'exposition de la population, estime l'Anses. Selon un premier recensement officiel pour ce type de matériaux, publié en novembre, 282 000 tonnes de nanomatériaux ont été produites enFrance en 2012 et 222 000 tonnes ont été importées.

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  • Le monde merveilleux de la pollinisation

    dévoilée comme jamais

    Publié par Emmanuel Perrin, le 20 février 2014 Facebook 4315Twitter 11   lien


    Le monde merveilleux de la pollinisation dévoilée comme jamais par Gentside Découverte

    Une séquence vidéo, réalisée par le cinéaste de renom Louie Schwartzberg, dévoile au ralenti le monde des pollinisateurs. Un spectacle incroyable qui révèle avec poésie le lien fondamental qui unit les plantes à fleur avec ces spécimens. Un lien duquel dépend la survie de notre planète.

     Louie Schwartzberg est un fervent admirateur de la nature. Ce réalisateur et producteur américain est réputé principalement pour ses documentaires qui parviennent à capturer de manière originale et insolite la beauté de nos écosystèmes. 

Depuis plus de 30 ans, le cinéaste est spécialisé dans les prises de vues botaniques et plus précisément les plantes à fleur. Pollen, son long métrage produit en 2011 par Disneynature, révèle avec poésie le lien fondamental entre fleurs et pollinisateurs. Un lien précieux duquel dépend la survie de notre planète. L’engagement de Louie Schwartzberg dans la cause environnementale, l’ont amené à tenir plusieurs fois des conférences internationales TED (Technology, Entertainment and Design). L’objectif de ces événements de renommée mondiale est celui de promouvoir et diffuser des idées inspirantes, capables de changer le monde. Au cours de ces conférences, le cinéaste explique comment les plantes à fleurs dépendent des pollinisateurs. Ces petits animaux ailés, qui se nourrissent de nectar, assurent en effet la reproduction des plantes en transportant le pollen d’une fleur à l’autre. Pour convaincre son auditoire, Louie Schwartzberg a recours à des séquences vidéo réalisées par ses soins. Un monde merveilleux en danger Les images qui défilent au ralenti, dévoilent un monde imperceptible à l’œil nu. On peut y voir différents pollinisateurs effectuer leurs activités quotidiennes. Qu’il s’agisse de colibris, de chauves-souris, d’abeilles, de papillons ou autres spécimens, tous participent au maintien de l’écosystème. Pourtant, ce dernier est aujourd'hui en danger. Les abeilles notamment traversent une crise grave qui inquiète les scientifiques

    . "Quand j'ai appris pour le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles [en anglais "Colony Collapse Disorder"[, cela m'a motivé pour agir. Nous dépendons de la pollinisation pour plus d'un tiers des fruits et légumes que nous mangeons", a expliqué le réalisateur lors de sa conférence. C'est pourquoi selon lui, il est si important de montrer les merveilles de ce monde insoupçonné qui oeuvre sans même que nous nous en rendions compte. "La beauté et la séduction sont les outils de la nature pour survivre. Parce que nous protègerons ce dont nous tomberons amoureux".  

    En savoir plus: http://www.maxisciences.com/pollinisation/le-monde-merveilleux-de-la-pollinisation-devoilee-comme-jamais_art32029.html
    Copyright © Gentside Découverte


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  • Des physiciens observent les

    premiers instants de l'Univers

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-03-17T17:50:18+01:00" itemprop="datePublished" style="box-sizing: border-box;">17.03.2014 à 17h50</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-03-17T18:27:17+01:00" itemprop="dateModified" style="box-sizing: border-box;">17.03.2014 à 18h27   </time>lien Abonnez-vous


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    <figure class="illustration_haut" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; position: relative;">Le téléscope BICEP2, à l'origine des observations des premiers instants de l'univers.</figure>

     

    Des physiciens américains sont parvenus à observer la trace des tout premiers instants du Big Bang, atteignant un des « objectifs les plus importants de la cosmologie aujourd'hui » selon les termes de John Kovac, professeur à Harvard et responsable de l'équipe à l'origine de cette découverte, annoncée lundi 17 mars.

    La survenue du Big Bang, qui a marqué la naissance de l'Univers il y a 13,8 milliards d'années, s'est accompagnée de l'émission d'ondes gravitationnelles primordiales. C'est l'empreinte que ces ondes gravitationnelles ont laissée sur le rayonnement fossile (lequel baigne le cosmos) que sont parvenus à détecter les scientifiques.

    DES ONDULATIONS PRÉVUES PAR LA RELATIVITÉ

    Ces ondulations de l'espace-temps, qui avaient été prévues par la théorie de la relativité d'Albert Einstein, sont la preuve de l'expansion extrêmement rapide de l'Univers dans les premières fractions de seconde de son existence, un phénomène appelé inflation cosmique.

    Pour le physicien théoricien Avi Loeb, de l'université Harvard, cette avancée« apporte un nouvel éclairage sur certaines des questions les plus fondamentales. A savoir : pourquoi nous existons et comment a commencé l'Univers. Non seulement ces résultats sont la preuve irréfutable de l'inflation cosmique mais ils nous informent aussi du moment de cette expansion rapide de l'Univers et de la puissance de ce phénomène. »

    L'observation de tels rayonnements a été réalisée par le télescope Bicep 2. Depuis l'Antarctique, il a scruté le fond diffus cosmologique, le rayonnement faible hérité du Big Bang. Les scientifiques sont parvenus à étudier de minuscules fluctuations dans ce rayonnement, comme autant d'indices sur la petite enfance de l'Univers.

    Vidéo suggérée sur le même sujet

    • L emprise de la gravite terrestre

      De la surface des oceans aux entrailles rocheuses de la Terre la gravite modele tout Cette force de la nature qui nous maintient tous au sol est un point de reference essentiel pour la vie On ressent la gravite comme s il s agissait d une force d attraction constante Mais si a un endroit donne on ajoute une masse ou qu on la retire le signal gravitationnel subit une variation faible mais mesurable Or c est un casse-tete pour la science Depuis 20 ans souligne Volker Liebig directeur des Programmes d observation de la Terre de l Agence spatiale europeenne les scientifiques revaient d une mission qui leur donnerait une carte du champ de gravite en haute resolution C est chose faite avec le satellite GOCE de l ESA qui mesure ses variations depuis quelques annees Ces donnees regroupees au centre ESRIN pres de Rome interessent toutes les filieres des sciences de la Terre Grace a ce panorama obtenu a une orbite particulierement basse (de 237 kilometres d altitude actuellement) les geologues par exemple disposent d une vue unique sur l interieur de notre planete Ils peuvent ainsi relever les indices de la structure et de l histoire de la Terre comme detecter la presence eventuelle de roches interessantes telles que du minerai de fer ou savoir jusqu a quelle profondeur les racines des chaines montagneuses s enfoncent dans la croUte L un des sites interessants pour les geologues italiens se situe dans le nord du pays pres de Trieste Une immense grotte souterraine permet de mettre en evidence une gravite plus faible car du fait de la presence d une cavite sous nos pieds l attraction terrestre est moindre Mais le champ gravitationnel local est aussi influence par les marees terrestres comme l explique Carla Breitenburg professeure de geophysique a l Universite de Trieste la Terre reagit de maniere elastique a ces variations de gravite et a ces deformations souligne-t-elle Autre domaine de la recherche oU l on attend beaucoup de cette vue d ensemble de la gravite terrestre que GOCE fournit chaque mois l etude des oceans L analyse de l influence du champ gravitationnel terrestre est essentielle pour elaborer des modeles et a terme etudier l evolution de notre climat Ainsi au Centre de recherche allemand pour les geosciences de Potsdam le chercheur Ingo Sasgen s est servi des informations fournies par le satellite pour observer la fonte de la calotte glaciaire au Groenland sur les dix dernieres annees La gravite est un revelateur tres precis et tres exact des variations de masse assure-t-il et quand on voit ces resultats il ne fait aucun doute que la couche de glace du Groenland perd de la masse et on peut quantifier le phenomene avec precision De quoi donner un peu plus de credit a tous ceux qui alertent sur la disparition de la calotte glaciaire

      12:0

    Lire aussi : L’enfance de l’Univers dévoilée

    UNE DÉCOUVERTE DIGNE DU NOBEL

    Ces données permettent également de confirmer « la relation profonde entre la mécanique quantique et la théorie de la relativité générale ». Pour Tom LeCompte, un physicien au CERN et au Laboratoire national Argonne près de Chicago, qui n'a pas participé à ces travaux, cette percée « est la plus grande annonce enphysique depuis des années », qui « peut potentiellement donner le prix Nobel » à leurs auteurs, a-t-il expliqué à l'AFP.

    Lire le billet du blog Big Browser : Ecoutez le son du Big Bang


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  • Hubble photographie une collision galactique

    Créé le 05/03/2014 à 20h16 -- Mis à jour le 06/03/2014 à 00h33
    La galaxie ESO 137-001, photographiée par Hubble alors qu'elle se désintègre en traversant l'amas de la Règle.
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    La galaxie ESO 137-001, photographiée par Hubble alors qu'elle se désintègre en traversant l'amas de la Règle. NASA

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    ESPACE - Lancée à toute allure, une galaxie spirale se déchire alors qu'elle traverse l'amas de la Règle...

    Voici un petit aperçu du destin qui attend notre galaxie, la Voie lactée, lorsqu’elle entrera en collision avec sa voisine Andromède dans quatre milliards d’années: la rencontre sera chaude et spectaculaire. Mercredi, la Nasa a publié une photo d’un phénomène similaire, avec la galaxie ESO 137-001 qui traverse l’amas de la Règle, un coin de l’univers riche en galaxies.

    La collision a lieu à 200 millions d’années-lumière de distance. La galaxie fonce à plus de 7 millions de km/h dans le nuage cosmique. Les forces gravitationnelles déchirent sa structure en spirale et elle «saigne» du gaz chaud et compressé. Ces traînées bleues sur l’image deviendront plus tard des pouponnières dont émergeront de nouvelles étoiles.

    L’avenir du système solaire incertain

    Contrairement à ce que beaucoup imaginent, la rencontre entre deux galaxies ne provoque pas de collision entre leurs étoiles. Même si elles comptent des centaines de milliards d’astres, les distances sont tellement grandes que la probabilité d’un impact est quasi-nulle. A l’échelle cosmique, le Soleil est une balle de ping-pong, et sa voisine, Proxima du Centaure, un petit pois situé à plus de 1.000km.

    Les trous noirs qui se trouvent au centre de chaque galaxie devraient, en revanche, finir par converger pour une fusion qui pourrait donner naissance à un quasar, les objets les plus brillants de l’univers. Le destin du système solaire, lui, est plus incertain: il devrait valser à l’intérieur de cette future super galaxie fusionnée, ou, peut-être, en être expulsé. Quoi qu’il arrive, ce ne sera pas le problème principal: l’expansion du Soleil aura déjà commencé et il n’y aura déjà plus d’eau liquide sur Terre. Avec un peu de chance, l’humanité aura trouvé une nouvelle maison d’ici là.

    » Le zoom sur la galaxie ESO 137-001 en vidéo      lien


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  • Des chercheurs équipent des milliers d’abeilles

    … avec des capteurs

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    Le projet est une première mondiale. Un laboratoire australien a posé plusieurs milliers de capteurs sur le dos d’abeilles en vue d’enregistrer tous leurs déplacements dans la nature. En déterminant de lien entre la butineuse et son environnement, l’équipe espère mieux comprendre son implication de la pollinisation.

    Des milliers d'abeilles butineuses en Australie sont équipées de capteurs minuscules dans le cadre du programme « essaim de détection ». © CSIRO

    Des milliers d'abeilles butineuses en Australie sont équipées de capteurs minuscules dans le cadre du programme « essaim de détection ». © CSIRO

     

    Plus de 5.000 capteurs ont été placés sur des abeilles en Australie. C’est la première fois qu’autant d’abeilles sont relâchées dans la nature avec ce système de surveillance. Ces petits outils ne mesurent que 2,5 x 2,5 mm et ont été placés sur leur dos. Une équipe du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO) enregistre en continu leur position et espère être en mesure de construire un modèle tridimensionnel du déplacement des insectes dans leur environnement. « Les abeilles sont des insectes sociaux qui retournent au même point et fonctionnent sur un calendrier très prévisible. Tout changement dans leur comportement indique un changement dans leur environnement », explique Paulo de Souza, directeur de l’étude.

    Comprendre le déplacement des abeilles permettra à l’équipe d’améliorer le rendement de la pollinisation des abeilles et leur productivité dans les fermes australiennes. Ces insectes ont en effet un rôle essentiel dans l’agriculture. Le CSIRO a montré que dans la productivité de féveroles par exemple, la pollinisation des abeilles pouvait augmenter la productivité de 17 %. À l’échelle mondiale, un tiers de la nourriture que nous consommons repose sur la pollinisation, mais aujourd’hui les abeilles disparaissent, il y a donc urgence.

    L’enregistrement des mouvements des abeilles permettra peut-être aussi d’identifier les facteurs qui pilotent le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles. « Si nous pouvons modéliser leurs mouvements, nous serons en mesure de reconnaître très rapidement lorsque leur activité montre une variation et d’en identifier la cause, ajoute Paulo de Souza. Cela nous aidera à comprendre comment maximiser leur productivité et surveiller les risques de biosécurité. »

     Le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles concerne les colonies d'abeilles domestiques et touche les élevages de souche européenne depuis 1998. © CSIRO 
    Le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles concerne les colonies d'abeilles domestiques et touche les élevages de souche européenne depuis 1998. © CSIRO

    Des capteurs de plus en plus petits pour d’autres insectes

    Dans le monde, les abeilles disparaissent à grande vitesse principalement à cause de deux facteurs, le parasite Varroa et le syndrome de d’effondrement des colonies. L’Australie est l’un des rares pays, où ni l’un ni l’autre n’a réellement d’influence, mais elle utilise des pesticides pour sa production agricole. Ainsi cette étude permettra peut-être de déterminer plus clairement l’impact des produits agricoles sur les butineuses.

    Pour placer les capteurs sur le dos des abeilles, l’équipe a dû les réfrigérer durant une courte période. Avec le froid, elles entrent dans un état de repos prolongé, laissant assez de temps aux scientifiques pour fixer les capteurs avec de l’adhésif. Le processus est non-destructif et semble pas gêner le vol des abeilles. Ces petits capteurs sont des Rfid, ils utilisent la radio-indentification, qui mémorise et récupère les données à distance. Ce système fonctionne comme le système Tag de voiture. Les données sont recueillies lorsque l’insecte passe à un point de contrôle.

    Le projet vient de démarrer, il n’y a plus qu’à espérer que les capteurs fournissent suffisamment de données pour modéliser le déplacement des butineuses. L’étape numéro deux sera de réduire par deux la taille des capteurs en vue de les fixer sur d’autres insectes plus petits.


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