• « La vague de froid aux Etats-Unis s'explique

    par un déplacement du vortex polaire »

    Le Monde.fr | <time datetime="2014-01-08T08:30:39+01:00" itemprop="datePublished">08.01.2014 à 08h30</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-01-08T12:32:23+01:00" itemprop="dateModified">08.01.2014 à 12h32</time> | Propos recueillis par

    Abonnez-vous
    à partir de 1 €
    Réagir Classer

    Partager google + linkedin pinterest

    <figure class="illustration_haut"> Le lac Michigan gelé aux Etats-Unis, lundi 6 janvier. </figure>

    Les Etats-Unis continuent de geler. Inédite depuis vingt ans, une vague de froid exceptionnelle paralysait toujours, mardi 7 janvier, le centre, le nord et l'est du pays. Dans de nombreux Etats, les autorités ont appelé les habitants à rester chez eux, alors que chutes de neige et pluies verglaçantes ont fait une douzaine de morts en moins d'une semaine. Le climatologue Christophe Cassou, chercheur du CNRS au Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique, explique cet épisode de froid intense.

    Comment expliquer la vague de froid qui s'abat sur l'Amérique du Nord ?

    Christophe Cassou : Ce phénomène s'explique par un déplacement du vortex polaire. Ce vortex est un régime de vents très violents (autour de 300 km/h), qui tournent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et circulent à 16 km d'altitude et autour de 60° de latitude. En temps normal, ce tourbillon maintient l'air froid au-dessus de l'Arctique. Le vortex est associé au Jet Stream, un bandeau de vents qui sépare l'air froid de l'air chaud à plus basse altitude (entre 8 et 12 km).

    <figure class="illustration_haut"> Mouvements du vortex polaire associé à l'oscillation arctique. </figure>

    Quand le vortex polaire et le Jet Stream se renforcent, en hiver, ils peuvent présenter un caractère chaotique : ils forment des méandres qui peuvent descendre très au sud. En se déplaçant ainsi, ils laissent alors pénétrer l'air froid vers des latitudes moyennes. C'est ce qui se passe actuellement au-dessus des Etats-Unis : l'air froid plonge vers le sud à l'aval des Rocheuses jusqu'au golfe du Mexique, comme le montre cette carte de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) de lundi 6 janvier, ainsi qu'une animation.

    <figure class="illustration_haut"> Direction et force des vents du vortex polaire sur le continent américain le 6 janvier. </figure>

    Le Jet Stream s'accompagne de dépressions sur sa « rive gauche » (que l'on retrouve actuellement sur le Québec et les Grands Lacs) et d'anticyclones, sur sa « rive droite », localisés au-dessus de la Californie et au large des côtes est des Etats-Unis. Tous ces mouvements de pression, de par leur intensité, renforcent le Jet Stream au centre et assurent une descente plus importante vers le sud du continent. A l'inverse, la France, et plus largement l'Europe, connaît actuellement un hiver doux dans la mesure où elle se situe sur la « rive droite » du méandre, du côté de l'air chaud.

    Peut-on expliquer ces oscillations du vortex polaire ? Surviennent-elles fréquemment ?

    On ne sait pas expliquer les causes de l'instabilité du vortex polaire et du Jet Stream. Mais ce mécanisme est un phénomène classique : il survient chaque année environ. En février-mars 2013, le vortex s'était ainsi déplacé sur le continent européen, ce qui avait également entraîné une période de grands froids. Les oscillations ont aussi lieu au-dessus de la Sibérie ou des océans.

    Le caractère exceptionnel de ce mouvement du vortex réside davantage dans son intensité : cette fois, les vents sont très forts (jusqu'à 350 km/h) et les températures très froides (jusqu'à – 53 °C en température ressentie et – 35 °C en température réelle). On n'avait pas vu un tel phénomène depuis 1994 aux Etats-Unis.

    Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique sur le vortex polaire ?

    Sous l'effet du changement climatique, les latitudes polaires se réchauffent plus vite que les latitutes moyennes (Europe ou Etats-Unis par exemple). Les différences de températures entre l'Arctique et les latitudes moyennes vont donc diminuer, ce qui devrait affaiblir le vortex polaire. Sous l'effet de ce réchauffement, le vortex devrait également remonter un peu vers le Nord. La probabilité d'une vague de froid due à une oscillation du vortex, comme celle que connaissent les Etats-Unis, sera donc en théorie plus faible.

    Mais dans le même temps, si le vortex polaire s'affaiblit d'ici la fin du siècle, il pourrait également laisser passer de petites descentes d'air arctique vers le sud. Au final, il n'y a pas de consensus scientifique sur la question.

     Audrey Garric
    Journaliste multimédia


    votre commentaire
  • OGM: Séralini refuse de retirer son article

    sur le maïs Monsanto

    Le chercheur caennais a tenu ce matin une conférence de presse à Bruxelles. Le rédacteur en chef de la revue Food and Chemical Toxicology (Groupe Elsevier), qui avait publié l’article en septembre 2012, l'a prié de se rétracter.

    • Par Marc Sadouni
    • Publié le 28/11/2013 | 11:56, mis à jour le 29/11/2013 | 09:46
    • lien
    Gilles-Eric Séralini © France 3 rédaction européenne
    © France 3 rédaction européenne Gilles-Eric Séralini
     

    "Nous refusons le retrait de l'article"


    Le chercheur a dénoncé "des pressions insupportables" et souligné que l'éditeur de la revue Food and Chemical Toxicology (groupe Elsevier) n'avait relevé "ni fraude, ni mauvaise interprétation des données" dans son étude.

    "Les résultats présentés, s'ils ne sont pas incorrects, ne permettent pas de conclure", a estimé le responsable éditorial de Food and hemical toxicology dans un courrier adressé à M. Séralini, daté du 19 novembre. En conséquence, l'article a été retiré de la revue.


    "Nous maintenons nos conclusions", a répondu Gilles-Eric Séralini, dans une réponse adressée à la revue, dont un groupe de scientifiques avait évalué l'étude avant sa publication, conformément aux règles habituelles.


    Le chercheur de l'Université de Caen a relié cette décision de retrait à l'arrivée dans le comité éditorial de la revue de Richard Goodman, un biologiste qui a travaillé plusieurs années chez Monsanto.

    "Un débat scientifique reposé n'est pas une raison pour retirer un article, seulement un cas de fraude ou une erreur peut le justifier", a-t-il ajouté. La revue pointe une  "raison légitime d’inquiétude concernant à la fois le nombre d’animaux testés dans chaque groupe et la souche particulière de rats sélectionnée,Les résultats présentés sont peu concluants et n’atteignent donc pas le seuil de la publication".

    Retrouvez sur ce lien nos articles sur l'affaire Séralini

    Le compte-rendu de Pierre-Marie Puaud et la réaction de G.E. Séralini:


     

    La contre-attaque de G.E. Séralini

    votre commentaire
  • <script>(function(g,k){ function h(a,b,f){ a.attachEvent?a.attachEvent("on"+b,f):a.addEventListener(b,f,!1) }function p(a){ var b;return function(){ var f=this,d=arguments;clearTimeout(b);b=setTimeout(function(){ b=null;a.apply(f,d) },15) } }function q(a){ function b(b,d,e){ if(!l(k.documentElement,b)||!l(k.documentElement,a))return setTimeout(f(b,d,e),0);var c=b.getBoundingClientRect(),g=a.getBoundingClientRect(),h=c.left,c=c.top,m=d,n=d;a===k.body?(m+=k.documentElement.clientWidth,n+=k.documentElement.clientHeight):(h-=g.left,c-=g.top,m+=a.clientWidth,n+=a.clientHeight);if(h>=-d&&h<=m&&c>=-d&&c<=n)if(e)e(b);else return!0;else if(e)setTimeout(f(b,d,e),0);else return!1 }function f(a,f,e){ return function(){ d.push(function(){ b(a,f,e) }) } }var d=[],e=a===k.body?g:a,c=p(function(){ for(var a;a=d.shift();)a() });h(e,"scroll",c);e===g&&h(g,"resize",c);return{ b:a,a:b } }var c=[];g.inViewport=function(a,b,f){ var d=k.body;if(void 0===b||"function"===typeof b)f=b,b={ };d=b.container||d;b=b.offset||0;for(var e=0;e<c.length;e++)if(c[e].b===d)return c[e].a(a,b,f);return c[c.push(q(d))-1].a(a,b,f) };var l=document.documentElement.compareDocumentPosition?function(a,b){ return!!(a.compareDocumentPosition(b)&16) }:document.documentElement.contains?function(a,b){ return a!==b&&(a.contains?a.contains(b):!1) }:function(a,b){ for(;b=b.parentNode;)if(b===a)return!0;return!1 } })(window,document);(function(g){ function k(a){ -1===c.call(l,a)&&l.push(a) }function h(a){ function b(b){ var e="function"===typeof a.src?a.src(b):b.getAttribute(a.src);e&&(b.src=e);b["data-lzled"]=!0;f[c.call(f,b)]=null }if(1<arguments.length)return inViewport.apply(void 0,arguments);a=q(a||{ });"string"===typeof a.src&&k(a.src);var f=[];return function(d){ d.onload=null;d.removeAttribute("onload");-1===c.call(f,d)&&inViewport(d,a,b) } }function p(a){ a="HTML"+a+"Element";if(!1!==a in g){ var b=g[a].prototype.getAttribute;g[a].prototype.getAttribute=function(a){ if("src"===a){ for(var d,e=0,c=l.length;e<c&&!(d=b.call(this,l[e]));e++);return d||b.call(this,a) }return b.call(this,a) } } }function q(a){ var b={ offset:333,src:"data-src",container:!1 },c;for(c in b)void 0===a[c]&&(a[c]=b[c]);return a }function c(a){ for(var b=this.length;b--&&this[b]!==a;);return b }var l=["data-src"];g.lazyload=h;g.lzld=h();p("Image");p("IFrame") })(window,document);</script><script> var domaines=["gentside.com","chronofoot.com","maxisciences.com","ohmymag.com","simplyvoyage.com"];if(("standalone" in window.navigator)&&window.navigator.standalone){ document.body.className+=" webapp";document.addEventListener('click',function(e){ var res=0,noddy=e.target;while(noddy.nodeName!=="A"&&noddy.nodeName!=="HTML"){ noddy=noddy.parentNode; }for(var i=0;i<domaines.length;i++){ res=noddy.href.indexOf(domaines[i]);if(res!==-1){ break; } }if('href' in noddy&&noddy.href.indexOf('http')!==-1&&res!==-1){ showFullbkg();e.preventDefault();document.location.href=noddy.href; }else if(noddy.href){ e.preventDefault();launchPopWarnUser(noddy.href); } },false); }</script><script>function resizeIframe(id,w,h){ var n=document.getElementById(id);if(h!=undefined){ h=parseInt(h);n.height=h;n.style.height=h+'px'; }if(w!=undefined){ w=parseInt(w);n.width=w;n.style.width=w+'px'; } }</script><script type='text/javascript'>var googletag=googletag||{};googletag.cmd=googletag.cmd||[];(function(){var gads=document.createElement('script');gads.async=true;gads.type='text/javascript';var useSSL='https:'==document.location.protocol;gads.src=(useSSL?'https:':'http:')+'//www.googletagservices.com/tag/js/gpt.js';var node=document.getElementsByTagName('script')[0];node.parentNode.insertBefore(gads,node);})();</script>
     
     
     
     

    <header id="header">

    </header>

    Marialis
    Marialis
    Femme - 53 ans - Conilhac-corbières
    Mon fil d'actualité Ma communauté Ma messagerie Paramètres Déconnexion
    Lecture sociale : ON
    • Gentside
    • Sport
    • Découverte
       
    • Voyage
    Communauté
     
    <section class="bloc"> <article class="post story last-post" id="article" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article"> <header>

    Kepler-78b, la première exoplanète rocheuse de la même taille que la Terre

    Publié par Maxime Lambert, le <time datetime="2013-10-31T11:30:33+01:00" itemprop="datePublished">31 octobre 2013</time>
     
    </header>
    <figure class="pic-container right center w250">L'exoplanète Kepler-78b présente une masse équivalant à 1,7 fois celle de la Terre pour un diamètre légèrement supérieur</figure>

    Des astronomes ont découvert une exoplanète, Kepler-78b, qui possède une taille et une composition assez proches de celles de la Terre. Elle renforce l'espoir de pouvoir un jour trouver une planète habitable hors de notre système solaire.

    C'est encore le télescope spatial Kepler qui est à l'origine de la remarquable découverte. Dans la constellation de la Lyre, l'engin a repéré une nouvelle exoplanète et pas des moindres. Nommée Kepler-78b, celle-ci fait partie des milliers de planètes telluriques (ou rocheuses) que Kepler a identifiée comme candidate possible à l’apparition de la vie. Pour en savoir plus sur elle, deux équipes d'astronomes ont repris et étudié les données du télescope.

    Ceci leur a permis de constater que Kepler-78b est loin d'être inintéressante et pour cause, elle présente plusieurs similarités avec la Terre. En effet, d'après les résultats parus dans la revue Nature, la masse de l'exoplanète serait comprise entre 1,69 et 1,86 fois celle de la Terre pour un diamètre équivalent à 1,2 fois celui de notre planète. De même, sa densité est très proche de celle de la Terre et avoisine les 5,5 grammes par centimètre cube. Au vu de cette donnée, l'exoplanète est très certainement constituée de roches et de fer, estiment les chercheurs. 

    Un bon présage

    Peu de planètes présentant une masse ou une taille similaire à celle de la Terre ont été découvertes. Il est donc encore plus rare qu'une exoplanète cumule deux caractéristiques semblables. "La nouvelle est arrivée avec style et le message : Kepler-10b a un petit frère", a expliqué Natalie Batalha, scientifique de la mission Kepler au Ames Research Center de la NASA. Cette dernière a mené l'équipe qui a découvert Kepler-10b, une planète plus grande mais aussi rocheuse identifiée par le télescope.

    "Le message exprime la joie de savoir que la famille des exoplanètes de Kepler grandit. Cela évoque également un progrès. Les équipes atteignent une précision plus élevée et mesurent les masses de planètes toujours plus petites. C'est un bon présage dans la perspective de trouver un jour des traces de vie ailleurs que sur Terre", a ajouté Batalha citée dans un communiqué de la NASA. Kepler-78b a pu être étudiée car elle orbite suffisamment près de son soleil pour pouvoir être observée en détail.

    Une quasi-jumelle bouillante

    D'après les estimations, elle orbite autour de Kepler-78, un peu plus petite et moins massive que le Soleil, en 8 heures 30. Aussi, malgré ces nombreuses similitudes avec la Terre, il ne faut pas espérer retrouver de vie sous une forme connue sur Kepler-78b. En effet, du fait de la proximité avec l'étoile, sur cette exoplanète, la température varie de 1.500 à 3.000°C, soit une température bien trop élevée pour qu'une quelconque vie puisse s'y être créée ou qu'elle puisse être habitée.

    Selon Drake Deming, astronome à l'Université américaine du Maryland cité par l'AFP, Kepler-78b "a au moins le mérite de montrer que des planètes extrasolaires ayant une composition similaire à la Terre ne sont pas rares" dans la Voie Lactée. Elle renforce ainsi l'espoir de pouvoir un jour trouver une "Terre bis" parmi les milliards d'exoplanètes cachées dans notre galaxie. "Kepler-78b est un signe encourageant dans la quête de mondes habitables hors de notre système solaire", conclut Drake Deming.

    (crédits photo : David A. Aguilar - CfA)

     
    <aside class="post big-top-border">
    Suivi

    Exoplanète

    </aside>
    Poster le commentaire
    </article> </section>
    <aside class="left" id="col2">
     
    <section class="bloc"> <header class="hd2 mb5">

    Videos

    </header>
    Une superlune apparaitra dans le ciel dimanche 23 juin au soir 3:25

    Ne manquez pas la "super lune" prévue pour dimanche

    </section>
     
    <section class="bloc"> <header class="hd2 mb5">

    vous aimerez

    </header>
    Suivi
    planète

    Planète

    Espace

    Espace

    </section>
     
    </aside> <footer id="footer"> © Gentside - Contact - Conditions générales - Fabriqué par des passionnés
    Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © Istockphotos.
    </footer>
     
    <script> var _gaq = _gaq || []; var groupe = "Exoplanète"; var nom_site = "Gentside Découverte", facebook_app_id = "193269930696037", width_site = document.documentElement.clientWidth, ecran_site = width_site > 1024 ? "GRAND" : width_site < 600 ? "PETIT" : "MOYEN"; var actionreceiver = document.getElementById('actionreceiver'), actiontomove = document.getElementById('actiontomove'); actionreceiver.innerHTML += actiontomove.innerHTML; actiontomove.parentNode.removeChild(actiontomove); </script><script src="http://static.mxstatic.com/static/mscripts/index63.js"></script><script>(function(w,d,s,l,i){ w[l]=w[l]||[];w[l].push({ 'gtm.start':new Date().getTime(),event:'gtm.js' });var f=d.getElementsByTagName(s)[0],j=d.createElement(s),dl=l!='dataLayer'?'&l='+l:'';j.async=true;j.src='//www.googletagmanager.com/gtm.js?id='+i+dl;f.parentNode.insertBefore(j,f); })(window,document,'script','dataLayer','GTM-5K74');</script><script type="text/javascript">googletag.cmd.push(function() {var slot_operation_speciale;window.slot_operation_speciale=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_OPERATION_SPECIALE", [3, 1], "operation_speciale").addService(googletag.pubads());var slot_incentive;window.slot_incentive=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_INCENTIVE", [2, 1], "incentive").addService(googletag.pubads());var slot_habillage;window.slot_habillage=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_HABILLAGE", [1, 1], "habillage").addService(googletag.pubads());var slot_habillage_popup;window.slot_habillage_popup=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_POPUP_1x1", [1, 1], "habillage_popup").addService(googletag.pubads());var slot_banniere;window.slot_banniere=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_728x90_HAUT", [728, 90], "banniere").addService(googletag.pubads());var slot_annonce;window.slot_annonce=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_BLOC_ARTICLE", [590, 300], "annonce").addService(googletag.pubads());var slot_pave_haut;window.slot_pave_haut=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_300x250_HAUT", [300, 250], "pave_haut").addService(googletag.pubads());var slot_pave_milieu;window.slot_pave_milieu=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_300x250_MILIEU", [300, 250], "pave_milieu").addService(googletag.pubads());var slot_pave_bas;window.slot_pave_bas=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_300x250_BAS", [300, 250], "pave_bas").addService(googletag.pubads());var slot_pave_popup;window.slot_pave_popup=googletag.defineSlot("/1077805/V4_GENTSIDE_RG_DISCOVERY_SCIENCES_POPUP_300x250", [300, 250], "pave_popup").addService(googletag.pubads());googletag.pubads().collapseEmptyDivs();googletag.pubads().setTargeting("MEMBRE", "1");googletag.pubads().setTargeting("GBOT", "0");googletag.pubads().setTargeting("FIREPOPUP", "0");googletag.pubads().setTargeting("ECRAN", ecran_site);googletag.enableServices();});</script><script type="text/javascript">googletag.cmd.push(function() { googletag.display("operation_speciale"); });googletag.cmd.push(function() { googletag.display("incentive"); });googletag.cmd.push(function() { googletag.display("habillage"); });googletag.cmd.push(function() { googletag.display("banniere"); });googletag.cmd.push(function() { googletag.display("annonce"); });googletag.cmd.push(function() { googletag.display("pave_haut"); });</script><script> ajouterHitcount("1383485860::a3a4e6eb82b03fcf11430f611c909f66","yPyFvIzPBoTVPHqrxpVx5iM3XOLFafvlIIT_vim-aTHJcC-LtAGGf8uUlzmDaiSxsfOIQ38YMUy7EQ3eK9Eh5GSCil6ggseGz3TTQIwi6n8"); var publier_commentaires = 1; _gaq.push(['_setAccount', 'UA-1919409-4']);_gaq.push(['_setDomainName', 'maxisciences.com']);_gaq.push(['_setCustomVar', 1, 'membre', '0', 2]);_gaq.push(['_setCustomVar', 2, 'page', 'article.php', 3]);_gaq.push(['_setCustomVar', 3, 'redacteur', '406', 3]);_gaq.push(['_setCustomVar', 4, 'NL', 'site', 2]);_gaq.push(['_trackPageview']);(function() {var ga = document.createElement('script');ga.type = 'text/javascript';ga.async = true;ga.src = ('https:' == document.location.protocol ? 'https://ssl' : 'http://www') + '.google-analytics.com/ga.js';var s = document.getElementsByTagName('script')[0];s.parentNode.insertBefore(ga, s);})(); var _PJS=0;(function() {var eS = document.createElement('script'); eS.type = 'text/javascript'; eS.async = true; eS.src = 'http://prof.estat.com/js/296096209260.js'; var s = document.getElementsByTagName('script')[0]; s.parentNode.insertBefore(eS, s);})(); function eStat_PJS() {eStat_id.serial("296096209260"); eStat_id.master("272072209262"); eStat_id.pg_mq(""); eStat_id.gp_pg_mq(""); eStat_tag.post("m");} window.fbAsyncInit = function() { FB.init({ appId : '193269930696037',status : true,cookie : true,xfbml: true,oauth : true }); FB.Event.subscribe('auth.login', function(response) { authLoginFb(); }); FB.Event.subscribe('edge.create',function(response) { fb_like_function(response);_gaq.push(['_trackSocial', 'facebook', 'like', response]); }); FB.Event.subscribe('edge.remove',function(response) { fb_remove_like_function(response);_gaq.push(['_trackSocial', 'facebook', 'unlike', response]); }); }; (function(d,s,id){ var js,fjs=d.getElementsByTagName(s)[0];if(d.getElementById(id))return;js=d.createElement(s);js.id=id;js.src="//connect.facebook.net/fr_FR/all.js";fjs.parentNode.insertBefore(js,fjs); }(document,'script','facebook-jssdk')); window.google_analytics_uacct = "UA-1919409-4"; </script>

    votre commentaire
  • <header class="banner-headline">

    Ménopause : les orques aussi,

    et c'est tant mieux

    Virginie BALLET<time datetime="2013-10-18T07:42:27" itemprop="datePublished"> 18 octobre 2013 à 07:42 </time>
    <aside class="tool-bar"> </aside><figure>Wikie, une femelle orque du Marineland d'Antibes, le 19 avril 2011.<figcaption>Wikie, une femelle orque du Marineland d'Antibes, le 19 avril 2011. (Photo Valéry Hache. AFP)</figcaption></figure>
    VENDREDI, VIE SAUVAGE

    Une étude britannique révèle que les femelles orques sont ménopausées, ce qui permet notamment d'accroître les chances de survie de leur progéniture.

    </header>

    Ménopausées à 30 ou 40 ans. Tel est le sort des femelles orques (Orcinus orca). Mais, loin d'être un drame, leur destin est au contraire une chance pour leur progéniture, et donc, pour l'espèce. C'est ce que révèle une étude du Centre britannique pour la recherche environnementale, parue jeudi.

    Basée sur l'observation de plus de 500 individus sur une trentaine d'années, ces travaux, menés par les universités d'Exeter et de York (Royaume-Uni), tentent de comprendre ce qu'apporte la ménopause aux orques, alors que seuls deux autres types de mammifères sont concernés : les humains, et les globicéphales (également appelés «dauphins pilotes»). Il en ressort que la présence d'une femelle qui ne se reproduit plus à proximité des populations les plus jeunes accroît de manière considérable les chances de survie de ces dernières.

    Cette équation s'explique par le schéma social qui règne chez les orques. Ainsi, quand l'humain quitte le foyer familial pour fonder sa propre famille, l'orque, elle, effectue une sorte de va-et-vient. «Lorsqu'un mâle se reproduit, il se rend vers le groupe où se trouve sa femelle et s'accouple avec elle là-bas. Mais, à la différence des humains, il revient ensuite au sein du groupe où se trouve sa mère», explique le Dr Dan Franks, de l'université de York.

    Les aînées en meneuses

    «Les petits des orques, filles ou garçons, restent aux côtés de leur mère toute leur vie. Lorsqu'une femelle vieillit, elle tire davantage de bénéfices de l'aide qu'elle apporte à ses enfants et petits-enfants que d'une éventuelle reproduction», renchérit le Dr Darren Croft, de l'université d'Exeter.

    Car un tel schéma social évite notamment la question de la compétition pour les ressources naturelles. «Si une femelle plus âgée donnait naissance en même temps que l'une de ses filles, alors leur progéniture se trouverait en compétition, notamment pour ce qui est de la nourriture, explique le Dr Franks. Ce qui explique que la femelle plus âgée renonce à se reproduire, pour aider plutôt à élever les petits de la jeune génération.»

    Les aînées endossent alors un rôle de meneuses, et peuvent partager leur expérience avec les mères plus jeunes, augmentant ainsi les chances de survie des petits.

    Virginie BALLET

    votre commentaire
  • <section class="bloc"> <article class="post story last-post" id="article" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article"> <header>

    Le lézard Pinocchio repointe son nez

    après avoir disparu pendant 50 ans

    Publié par Morgane Henry, le <time datetime="2013-10-08T11:18:40+02:00" itemprop="datePublished">08 octobre 2013        </time>
    lien

    Le lézard Pinocchio repointe son nez après avoir disparu pendant 50 ans par Gentside Découvertes
     
    </header>
    <figure class="pic-container right center w250">

    L'anoli Pinocchio, un lézard à long nez, vient d'être redécouvert par une équipe de chercheurs, après 50 ans de disparition, dans une forêt équatorienne.

    </figure>

    Éteint ? Pas tout à fait ! Un petit lézard au nez pointu, soi-disant disparu depuis 50 ans, vient d'être redécouvert dans les forêts tropicales de l'Équateur. Après trois ans de recherches, des scientifiques ont enfin réussi à lui mettre la main dessus.

    Non, l'Homme n'a pas fait revivre une espèce disparue. Le lézard, anolis plus précisément, Pinocchio, de la famille des sauriens, vient tout juste d'être aperçu par une équipe de photographes et de scientifiques. Après trois ans de recherches, le petit lézard au nez allongé a enfin été repéré dans la forêt vierge de l'Équateur, au nord-ouest du pays, explique Alejandro Arteaga, leader des recherches et co-fondateur de la société d'éco-tourisme Tropical Herping.

    Une redécouverte

    L'anolis Pinocchio, nommé d'après le nez d'un petit pantin en bois bien connu qui voulait devenir un vrai petit garçon, a été observé pour la première fois en 1953. Néanmoins, entre les années 1960 et 2005, personne ne l'avait jamais revu. En 2005, un ornithologue a annoncé avoir rapidement croisé son chemin dans la même forêt équatorienne. Mais le lézard s'est fait plus que discret durant toutes ces années, il n'a été aperçu que trois fois depuis sa découverte. C'est pourquoi après 50 ans sans observation, les chercheurs pensaient qu'il avait disparu mais ce n'était semble t-il pas le cas.

    Traditionnellement, les scientifiques partent à la recherche des lézards la nuit. En effet, à ce moment-là, leurs couleurs, utilisées pour le camouflage, s'atténuent et ils sont moins enclins à détaler au moindre bruit suspect, précise LiveScience. Le premier mâle anolis Pinocchio a été aperçu en janvier dernier remontant le long d'une branche. L'équipe de chercheurs a alors attendu toute la nuit qu'il repointe le bout de son nez pour le photographier.

    "Après l'avoir cherché pendant si longtemps, c'était très excitant de trouver cet étrange animal", s'enthousiasme Alejandro Arteaga.

    Un long nez pour séduire ces dames

    C'est un véritable sentiment de victoire pour le chercheur et ses collègues qui traquaient le petit animal depuis des années. Leur objectif ? Pouvoir enfin compléter leur livre "Les Amphibiens et les Reptiles de Mindo", un recueil sur la région rurale de Mindo, à deux heures de trajet de Quito, la capitale de l'Équateur.

    La particularité, facilement repérable, de l'anolis Pinocchio reste son appendice nasal. Présent uniquement chez les mâles, il est probable qu'il n'ait pas d'autre fonction que de démontrer les bons gènes d'un mâle à la femelle. Selon les premières études, le nez allongé du lézard permet aux femelles de déterminer s'il est en bonne santé et capable d'engendrer des petits aptes.

    Une espèce menacée

    D'abord découvert, puis porté disparu, puis de nouveau observé, l'anolis Pinocchio est une espèce en danger. En effet, selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature, le lézard n'a, jusqu'à ce jour, été observé que dans quatre régions, le plus souvent le long d'un chemin. C'est ainsi l'un des lézards les moins représentés au monde.

    </article></section>
    Le lézard Pinocchio repointe son nez après avoir disparu pendant 50 ans Publié par Morgane Henry, le 08 octobre 2013 25 Vous avez lu cet article 86 Partager L'anoli Pinocchio, un lézard à long nez, vient d'être redécouvert par une équipe de chercheurs, après 50 ans de disparition, dans une forêt équatorienne. Éteint ? Pas tout à fait ! Un petit lézard au nez pointu, soi-disant disparu depuis 50 ans, vient d'être redécouvert dans les forêts tropicales de l'Équateur. Après trois ans de recherches, des scientifiques ont enfin réussi à lui mettre la main dessus. Non, l'Homme n'a pas fait revivre une espèce disparue. Le lézard, anolis plus précisément, Pinocchio, de la famille des sauriens, vient tout juste d'être aperçu par une équipe de photographes et de scientifiques. Après trois ans de recherches, le petit lézard au nez allongé a enfin été repéré dans la forêt vierge de l'Équateur, au nord-ouest du pays, explique Alejandro Arteaga, leader des recherches et co-fondateur de la société d'éco-tourisme Tropical Herping. Une redécouverte L'anolis Pinocchio, nommé d'après le nez d'un petit pantin en bois bien connu qui voulait devenir un vrai petit garçon, a été observé pour la première fois en 1953. Néanmoins, entre les années 1960 et 2005, personne ne l'avait jamais revu. En 2005, un ornithologue a annoncé avoir rapidement croisé son chemin dans la même forêt équatorienne. Mais le lézard s'est fait plus que discret durant toutes ces années, il n'a été aperçu que trois fois depuis sa découverte. C'est pourquoi après 50 ans sans observation, les chercheurs pensaient qu'il avait disparu mais ce n'était semble t-il pas le cas. Traditionnellement, les scientifiques partent à la recherche des lézards la nuit. En effet, à ce moment-là, leurs couleurs, utilisées pour le camouflage, s'atténuent et ils sont moins enclins à détaler au moindre bruit suspect, précise LiveScience. Le premier mâle anolis Pinocchio a été aperçu en janvier dernier remontant le long d'une branche. L'équipe de chercheurs a alors attendu toute la nuit qu'il repointe le bout de son nez pour le photographier. "Après l'avoir cherché pendant si longtemps, c'était très excitant de trouver cet étrange animal", s'enthousiasme Alejandro Arteaga. Un long nez pour séduire ces dames C'est un véritable sentiment de victoire pour le chercheur et ses collègues qui traquaient le petit animal depuis des années. Leur objectif ? Pouvoir enfin compléter leur livre "Les Amphibiens et les Reptiles de Mindo", un recueil sur la région rurale de Mindo, à deux heures de trajet de Quito, la capitale de l'Équateur. La particularité, facilement repérable, de l'anolis Pinocchio reste son appendice nasal. Présent uniquement chez les mâles, il est probable qu'il n'ait pas d'autre fonction que de démontrer les bons gènes d'un mâle à la femelle. Selon les premières études, le nez allongé du lézard permet aux femelles de déterminer s'il est en bonne santé et capable d'engendrer des petits aptes. Une espèce menacée D'abord découvert, puis porté disparu, puis de nouveau observé, l'anolis Pinocchio est une espèce en danger. En effet, selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature, le lézard n'a, jusqu'à ce jour, été observé que dans quatre régions, le plus souvent le long d'un chemin. C'est ainsi l'un des lézards les moins représentés au monde.

    En savoir plus: http://www.maxisciences.com/l%e9zard/le-lezard-pinocchio-repointe-son-nez-apres-avoir-disparu-pendant-50-ans_art31002.html
    Copyright © Gentside Découvertes
    Le lézard Pinocchio repointe son nez après avoir disparu pendant 50 ans Publié par Morgane Henry, le 08 octobre 2013 25 Vous avez lu cet article 86 Partager L'anoli Pinocchio, un lézard à long nez, vient d'être redécouvert par une équipe de chercheurs, après 50 ans de disparition, dans une forêt équatorienne. Éteint ? Pas tout à fait ! Un petit lézard au nez pointu, soi-disant disparu depuis 50 ans, vient d'être redécouvert dans les forêts tropicales de l'Équateur. Après trois ans de recherches, des scientifiques ont enfin réussi à lui mettre la main dessus. Non, l'Homme n'a pas fait revivre une espèce disparue. Le lézard, anolis plus précisément, Pinocchio, de la famille des sauriens, vient tout juste d'être aperçu par une équipe de photographes et de scientifiques. Après trois ans de recherches, le petit lézard au nez allongé a enfin été repéré dans la forêt vierge de l'Équateur, au nord-ouest du pays, explique Alejandro Arteaga, leader des recherches et co-fondateur de la société d'éco-tourisme Tropical Herping. Une redécouverte L'anolis Pinocchio, nommé d'après le nez d'un petit pantin en bois bien connu qui voulait devenir un vrai petit garçon, a été observé pour la première fois en 1953. Néanmoins, entre les années 1960 et 2005, personne ne l'avait jamais revu. En 2005, un ornithologue a annoncé avoir rapidement croisé son chemin dans la même forêt équatorienne. Mais le lézard s'est fait plus que discret durant toutes ces années, il n'a été aperçu que trois fois depuis sa découverte. C'est pourquoi après 50 ans sans observation, les chercheurs pensaient qu'il avait disparu mais ce n'était semble t-il pas le cas. Traditionnellement, les scientifiques partent à la recherche des lézards la nuit. En effet, à ce moment-là, leurs couleurs, utilisées pour le camouflage, s'atténuent et ils sont moins enclins à détaler au moindre bruit suspect, précise LiveScience. Le premier mâle anolis Pinocchio a été aperçu en janvier dernier remontant le long d'une branche. L'équipe de chercheurs a alors attendu toute la nuit qu'il repointe le bout de son nez pour le photographier. "Après l'avoir cherché pendant si longtemps, c'était très excitant de trouver cet étrange animal", s'enthousiasme Alejandro Arteaga. Un long nez pour séduire ces dames C'est un véritable sentiment de victoire pour le chercheur et ses collègues qui traquaient le petit animal depuis des années. Leur objectif ? Pouvoir enfin compléter leur livre "Les Amphibiens et les Reptiles de Mindo", un recueil sur la région rurale de Mindo, à deux heures de trajet de Quito, la capitale de l'Équateur. La particularité, facilement repérable, de l'anolis Pinocchio reste son appendice nasal. Présent uniquement chez les mâles, il est probable qu'il n'ait pas d'autre fonction que de démontrer les bons gènes d'un mâle à la femelle. Selon les premières études, le nez allongé du lézard permet aux femelles de déterminer s'il est en bonne santé et capable d'engendrer des petits aptes. Une espèce menacée D'abord découvert, puis porté disparu, puis de nouveau observé, l'anolis Pinocchio est une espèce en danger. En effet, selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature, le lézard n'a, jusqu'à ce jour, été observé que dans quatre régions, le plus souvent le long d'un chemin. C'est ainsi l'un des lézards les moins représentés au monde.

    En savoir plus: http://www.maxisciences.com/l%e9zard/le-lezard-pinocchio-repointe-son-nez-apres-avoir-disparu-pendant-50-ans_art31002.html
    Copyright © Gentside Découvertes

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique