• SNCF : la grève a déjà coûté 153 millions d?euros, selon Pépy

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    SNCF : la grève a déjà coûté 153 millions d’euros, selon Pépy

    <time datetime="2014-06-19T06:30:26+02:00">LE 19/06 À 06:30, MIS À JOUR À 06:38</time> | lien
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    La grève à la SNCF a déjà coûté 153 millions d’euros à l’entreprise, estime Guillaume Pépy - AFP/Berntrad Guay

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    + VIDEO Alors que la grève a été une nouvelle fois reconduite, le patron de la SNCF estime appelle les cheminots à «se remettre au travail».

    Le patron de la SNCF, Guillaume Pepy, estime à 153 millions d’euros le coût de la grève contre la réforme ferroviaire , au neuvième jour du mouvement social, et affirme qu’«il est temps de se remettre au travail», dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui en France jeudi .

    «Les cheminots sont légitimistes. Ils respectent les lois. L’Assemblée nationale vote aujourd’hui la réforme ferroviaire... Une fois que la démocratie s’est exprimée, il serait à l’honneur du mouvement qu’il s’arrête», explique Guillaume Pepy avant de lancer : «Il est temps de se remettre au travail au service public.» Et de préciser : «On a perdu 153 millions d’euros, ça fait 15 trains franciliens. Soit un tiers de notre résultat de l’année dernière. C’est énorme.»

    «J’ai assisté pendant deux ans à la concertation menée par Frédéric Cuvillier [secrétaire d’Etat aux Transports, NDLR]. Il a rencontré tous les syndicats, j’ai bien dit tous, une dizaine de fois. On ne peut pas lui reprocher d’avoir fermé la porte», rappelle le patron de la SNCF. Alors que s’est-il passé, demande le journal : «Certains ont changé d’avis, pour répondre pudiquement», déclare M. Pepy pour qui «sauver le système ferroviaire, c’est réformer et réformer c’est négocier».

     

    Guillaume Pépy : «La grève a déjà couté 150... par leparisien

    «Un risque que cela laisse des traces»

    Quant à savoir si ce mouvement laissera des traces dans l’entreprise : «Il y a un risque que cela laisse des traces à cause de ces clivages, des pressions qu’il y a eus entre grévistes et ceux qui travaillent», reconnaît le dirigeant. Aussi, «dès la fin de ce mouvement on va retravailler tous ensemble. Ma responsabilité, c’est la cohésion de l’entreprise. Dans ce nouveau groupe on a besoin de tous pour bâtir une nouvelle SNCF», indique-t-il.

    Enfin, interrogé sur son possible départ : «C’est de l’intox. Je suis à la SNCF et je reste à la SNCF. En tous cas, c’est mon souhait», répond Guillaume Pepy dont le nom a été évoqué en début de semaine pour prendre la présidence d’EDF

    Source AFP
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