• Un tiers des Français devraient offrir leurs cadeaux

    de Noël en janvier

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-12-18T13:18:25+01:00" itemprop="datePublished">18.12.2013 à 13h18</time>

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    <figure class="illustration_haut"> Un tiers des Français envisagent de faire tout ou partie de ses cadeaux de Noël en janvier pour pouvoir faire des économies, et majoritairement les moins de 25 ans. </figure>

    Un tiers des Français envisagent de faire tout ou partie de leurs cadeaux de Noël en janvier, pour pouvoir faire des économies, révèle mardi 18 décembre une étude réalisée par Ipsos pour CA Com et LSA. Selon ce sondage réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 1 012 personnes, 31 % des Français déclarent envisager de décaler leurs achats de Noël en janvier.

    Le phénomène est particulièrement marqué chez les plus jeunes et les ménages les plus modestes. Si plus de la majorité des Français restent encore attachés à la tradition des cadeaux sous le sapin le matin du 25 décembre, « attendre les bonnes affaires de janvier ou même les soldes n'est plus tabou [pour un nombre grandissant de personnes] », rélèvent les auteurs de l'étude.

     
     

    « SIGNE D'UNE ÉVOLUTION SOCIALE »

    Cette nouvelle pratique s'explique en premier lieu par une « logique économique avec une partie des ménages, obligés pour cause de crise d'adopter des comportements plus pragmatiques, quitte à sacrifier quelque peu la dimension rituelle de Noël », analyse Rodolphe Bonnasse, président-directeur général de CA Com.

    Mais c'est aussi le « signe d'une évolution sociale » et des habitudes de consommation, notamment chez les plus jeunes, « pour qui la dimension sacralisée de Noël semble un peu moins forte » que chez les plus anciens. La majorité des consommateurs sont aujourd'hui « pleinement conscients des logiques et des stratégies commerciales [des enseignes et des marques] », souligne ce spécialiste de la distribution.

    Ces achats décalés interviennent majoritairement pendant la période des soldes (56 %), mais aussi dès le lendemain de Noël. Parmi les cadeaux les plus achetés en janvier, on trouve le chocolat et les vêtements (45 %), comme les jeux et jouets pour enfants (33 %), les produits culturels (29 %) et les produits high-tech (27 %).


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  • Actualité > Société > La légalisation du suicide médicalement assisté, "du bon sens"

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    La légalisation du suicide médicalement assisté,

    "du bon sens"

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    <time datetime="2013-12-16T20:36:01" itemprop="datePublished">Publié le 16-12-2013 à 20h36    lien </time>

    Le député PS Jean-Louis Touraine appelle à "faire preuve de courage" dans le débat sur la fin de vie. Interview.

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    Image d'illustration. (Jean Francois Frey/L'ALSACE/MAXPPP)

    Image d'illustration. (Jean Francois Frey/L'ALSACE/MAXPPP)

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

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    Le débat sur l'épineuse question de l'euthanasie connait un coup d'accélérateur. A quelques mois d'une future loi sur le thème de la fin de vie, un groupe représentatif de 18 citoyens, sélectionnées par l'institut de sondages Ifop, et mis sur pied par le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), vient de remettre ses conclusions ce lundi 16 décembre. Proposition phare : légaliser le suicide médicalement assisté. Jean-Louis Touraine, député PS du Rhône, médecin de formation et membre de l'office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, livre ses impressions sur ces nouvelles recommandations. Interview.

     

    Le rapport reste prudent sur l'euthanasie, mais propose en revanche de légaliser le suicide médicalement assisté. Y êtes-vous favorable ?

     

    - Oui, je suis favorable à cette proposition qui fait preuve de bon sens et qui correspond à l'opinion de la majorité des Français. Il faut donner la possibilité aux malades qui le souhaitent, d'absorber des produits qui abrégeront leurs vies et qui leur permettront de reposer en paix.

    Comme le disait Albert Camus, le suicide est la question philosophique fondamentale. Il y a quelques décennies notre société n'était pas prête : beaucoup de personnes disaient qu'il ne fallait surtout pas légiférer sur ce sujet et laisser les médecins décider en fonction de chaque cas particuliers.

    Mais aujourd'hui, on ne peut pas ne pas se poser la question de l'assistance médicale au suicide. Il faut l'aborder de face. Si nous ne légiférons pas, nous resterons à la merci d'inégalités considérables. Certaines équipes médicales peuvent être très entreprenantes en allant jusqu'à pousser la décision sur la fin de vie, quand d'autres font preuve d'intégrisme en imposant des fin de vie douloureuses.

    Si le panel de citoyens s'oppose à une inscription de l'euthanasie dans la loi, il préconise, dans des cas particuliers, des "exceptions d'euthanasie", notamment dans l'hypothèse où une personne en fin de vie n'est pas en mesure d'exprimer sa volonté. Est-ce une position d'équilibre que vous partagez ?

    - L'euthanasie, telle qu'on l'entend aujourd'hui, signifie donner la mort à autrui. C'est une pratique grave que l'on doit entourer d'un luxe de précautions. L'expression "exceptions d'euthanasie" est donc intéressante. Il y a de cas rares où la personne n'est pas en mesure de s'administrer elle-même des produits, ou même de prendre une décision. Dans ces cas-là, on peut en effet envisager de procéder - de manière exceptionnelle - à une euthanasie à l'issue d'une concertation entre un collège de médecins et la famille.

    D'ailleurs, je tiens à dire qu'il faut être plus courageux que les pratiques actuelles. Aujourd'hui, il y a des hôpitaux où des médecins confient à leurs infirmières la tâche de mettre fin à la vie d'un patient. C'est un manque de courage, c'est aux médecins de le faire !

    Faut-il mettre fin à l'hypocrisie sur les pratiques de médecins en "catimini" ?

    - Il faut aller au-delà de la loi Leonetti de 2005 qui, en clair, autorise l'emploi de sédatifs à des doses très excessives, sans pour autant ouvrir la possibilité de mettre fin à la vie. C'est hypocrite. On sait qu'il y a entre 2.000 et 4.000 cas par an d'euthanasie active en France [chiffres de l'Ined en 2012, NDLR]. Aujourd'hui, ces pratiques en "catimini" ne sont ni contrôlables, ni avouables. Il y a des gens qui sont dans des situations sans issue : fin de vie douloureuse, souffrance morale, maladies incurables.

    Même si François Hollande n'a jamais prononcé le mot d'euthanasie, son engagement 21 de la campagne présidentielle de 2012 prévoyait "une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité". A quelques mois d'une future loi sur la fin de vie, que conseillez-vous au chef de l'Etat ?

    - Je crois que François Hollande, contrairement aux pratiques de son prédécesseur, n'est pas obligé de statuer tout seul sur tous les sujets. Il fixera une direction, puis le débat doit avoir lieu au Parlement, qui choisira les termes précis et l'endroit où placer le curseur. Si la loi Leonetti a eu des vertus, elle ne répond pas à tous les cas de figure. Lors du débat parlementaire, il faudra donc être attentif car le diable se situe dans les détails.

    Avez-vous le sentiment que les lignes bougent dans ce débat où se mêlent des convictions à la fois personnelles et politiques ?

    - Si 9 Français sur 10 se disent favorables à l'euthanasie, je constate qu'à l'inverse, il y a une radicalisation religieuse sur ces sujets, comme on a pu notamment le constater lors du débat sur le mariage pour tous. On ne pourra donc pas échapper aux oppositions virulentes, lors du prochain débat au Parlement.

    Il y a des gens dont les convictions religieuses leur interdissent de penser que l'on a le droit d'abréger la vie humaine, car ils pensent que cela découle du seul pouvoir divin. Il ne faut pas froisser leur opinion, mais ils ne doivent pas imposer leur avis à d'autres dans un Etat laïc. Certains font plus que du simple prosélytisme, c'est insupportable ! J'ai envie de leur répondre que la société française a déjà réglé cette question depuis longtemps : la loi sur l'avortement de 1975 abrège déjà des potentialités de vie. Ce n'est donc pas une innovation intellectuelle, ce progrès est inscrit dans l'évolution de notre civilisation. Aujourd'hui, il est mal vu que la loi impose un ordre moral.

    Propos recueillis par Guillaume Stoll le lundi 16 décembre - Le Nouvel Observateur


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  • Les non-diplômés encore plus vulnérables

    avec la crise

    Créé le 03/12/2013 à 18h39 -- Mis à jour le 04/12/2013 à 02h27
    Un bureau de Pôle emploi à Bordeaux.
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    Un bureau de Pôle emploi à Bordeaux. SEBASTIEN ORTOLA/20 MINUTES

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    EMPLOI – Selon une étude de l’Insee, la précarité des jeunes sans diplôme s’est accrue avec la détérioration du marché de l’emploi…

    Face à la crise, le diplôme est plus que jamais une protection face au chômage. Une réalité à nouveau soulignée dans une étude de l’Insee publiée ce mercredi, qui insiste sur le lourd tribut payé par les non-diplômés, la crise ayant encore aggravé leurs difficultés d’insertion professionnelle.

    Alors qu’en 1990, leur taux de chômage un à quatre ans après leur sortie de formation initiale était de 29%, il a grimpé à 47% en 2012. Une proportion très élevée comparée au taux de chômage des jeunes diplômés du supérieur, qui n’était que de 10% en 2012. «La détérioration de leur situation s’explique tout d’abord par le fait que les jeunes sans diplôme sont moins nombreux en 2012 qu’en 1990: ils représentent 16% des sortants du système éducatif, contre 30% en 1990. Ils sont du coup beaucoup plus concurrencés par les jeunes diplômés sur le marché du travail, d’autant plus en période de crise», décrypte Daniel Martinelli, responsable du pôle diplômes de l’Insee.

    Et lorsque les non-diplômés trouvent enfin un job, leurs emplois sont aussi plus précaires. Ainsi, un à quatre ans après la fin de leurs études, 46% d’entre eux sont en CDD, contre 30,8% des autres jeunes, et 24% d’entre eux sont à temps partiel, contre 14% des diplômés. Sans surprise, ils occupent bien plus souvent un emploi non qualifié (56%) que leurs homologues diplômés.

    Le poids des origines

    L’Insee souligne aussi la double peine des non-diplômés, qui sont issus de milieux défavorisés. «Car l’origine sociale joue un rôle important dans l’insertion», souligne Daniel Martinelli. La richesse du réseau relationnel familial et la reproduction de certains codes sociaux constituant notamment des atouts pour trouver un job. La preuve: un à quatre ans après la fin de la formation initiale, le taux de chômage des non-diplômés dont l’origine sociale est la moins favorable à la réussite scolaire (père employé, ouvrier ou n’ayant jamais travaillé) était de 49% sur la période 2008-2012. Soit dix points de plus que pour les autres non-diplômés (parents cadres, professions intermédiaires…). De même, le taux de chômage des non-diplômés issus de l’immigration non européenne est nettement plus élevé que celui de leurs camarades (55% contre 43%).

    Enfin, l’absence de diplôme pénalise à long terme «car les non-diplômés n’arrivent pas à résorber leur taux de chômage, même avec de l’expérience professionnelle», affirme Daniel Martinelli. Dans cette logique, les seuls qui parviennent à trouver un second souffle dans leur carrière sont ceux qui retournent sur les bancs de l’école. C’est d’ailleurs ce que font un quart d’entre eux au début de leur vie active pour finalement décrocher un diplôme (pour les deux tiers un CAP et pour un tiers un bac). Un sésame qui améliore leurs perspectives professionnelles, puisque 75% de ceux qui ont décroché un diplôme après la fin de leur cursus en 2004 occupaient un emploi en 2011, contre 64% de ceux qui sont restés sans diplôme. Des chiffres qui soulignent encore l’intérêt des écoles de la seconde chance et de la formation continue.

    Delphine Bancaud

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  • Le crime organisé en France: pas de mafias

    mais des «organisations structurées»

    Pas de mafias "défiant l'Etat" mais des "mafieux" ici ou là et des "organisations criminelles structurées" issues des banlieues et des pays de l'Est: tel est le panorama de la criminalité organisée en France dressé par la police judiciaire.
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    Pas de mafias "défiant l'Etat" mais des "mafieux" ici ou là et des "organisations criminelles structurées" issues des banlieues et des pays de l'Est: tel est le panorama de la criminalité organisée en France dressé par la police judiciaire. Anne-Christine Poujoulat AFP

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    Mis à jour le 30.11.13 à 12h10   lien

    Pas de mafias «défiant l'Etat» mais des «mafieux» ici ou là et des «organisations criminelles structurées» issues des banlieues et des pays de l'Est: tel est le panorama de la criminalité organisée en France dressé par la police judiciaire.

    Un «document stratégique» et «confidentiel» de 140 pages avec cartes et graphiques a été réalisé récemment par des experts de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ).

    Collectant les données des services de police, de gendarmerie ou du renseignement, ce document du Service d'information, de renseignement et d'analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco) dresse chaque année un état des lieux des «organisations criminelles».

    Le rapport 2012-2013, que l'AFP s'est procuré, pointe la «persistance des organisations criminelles françaises traditionnelles» (milieux corses, marseillais ou des «gens du voyage»). Il alerte sur «l'évolution du grand banditisme avec la montée en puissance d'une jeune génération issue des cités (HLM) sensibles».

    Les experts se disent préoccupés par le «fort impact du trafic international de stupéfiants» se caractérisant par «l'activisme et les capacités d'adaptation des organisations criminelles» issues de ces cités. Elles sont, écrivent-ils, «responsables des importations massives et continues de cannabis marocain (...) principale source d'irrigation de l'économie souterraine en France».

    Le rapport se penche aussi avec force détails sur la «présence dans la plupart des agglomérations françaises d'organisations criminelles étrangères» et s'inquiète du «maintien de l'implantation des grandes mafias (russophones, italiennes, chinoises) notamment en région parisienne et sur la Côte d'Azur».

    «La France ne connaît pas de phénomènes mafieux au sens italien du terme (...) pouvant défier l'Etat», nuance le Sirasco. Mais il y a un «développement de multiples organisations criminelles plus locales et réduites» dont « la détermination et la dangerosité restent très élevées».

    «Typologie mafieuse»

    Elles sont «traditionnelles», liées au «grand banditisme» et «implantées sur un axe Nord-Sud qui va de Lille à Ajaccio via la région parisienne», tel le gang corse de la Brise de mer, loin du «milieu historique» parisien qui «n'existe plus». Ou issues des cités, une spécialité française selon le Sirasco, et liées «au développement depuis vingt ans du trafic de cannabis depuis le Maroc ou les Pays-Bas» (un milliard d'euros par an de bénéfice pour 250 tonnes importées).

    Ces dernières ont en outre des «caractéristiques» de la «typologie mafieuse», écrivent les rapporteurs: «maîtrise territoriale par la force», «contrôle physique des cités». Les «caïds» sont «hors des cités», en Espagne ou au Maroc, dirigeant de loin ces réseaux mêlés à des vols, règlements de comptes sur fond de concurrence et de blanchiment d'argent.

    La France n'est pas épargnée par les groupes étrangers, tels les «balkaniques» (2.240 personnes originaires des Balkans incarcérées en France au 1er janvier soit +25% sur un an).

    Les «albanophones» (Kosovo ou Albanie), présents surtout en région parisienne ou Rhône-Alpes, se sont spécialisés dans le trafic de cocaïne, d'armes, de cigarettes et de métaux. Ils sont «parfois le relais des trafiquants de cités».

    Ceux issus «de la communauté +rom+ (...) exploitent les mineurs» ou font «trafic de la mendicité». Par ailleurs, sur 52 réseaux de prostitution démantelés en 2012-2013, 23 provenaient de Roumanie.

    Les groupes «russophones» sont spécialisés dans le «blanchiment immobilier» et les «règlements de comptes» (7 en 2012, 4 en 2010). Plusieurs équipes de Géorgiens ont l'apanage du vol en série et sont des «composantes historiques de la mafia russe» (+78% de mis en cause géorgiens entre 2009 et 2012, +160% d'incarcérés).

    Les «mafieux» italiens ont été signalés dans le trafic de drogue et ont lien avec le banditisme français, écrivent aussi les auteurs qui s'attardent également sur les gangs «africains, asiatiques», les «cartels colombiens» ou sur la cybercriminalité.

    Près de 16.000 faits dits de grande criminalité ont été constatés en 2012 en France à rapporter aux quelque 3,5 millions de faits totaux de délinquance, nuance l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).

     

    © 2013 AFP

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  • Les jeunes plus stressés, déprimés

    et fatigués que leurs aînés

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2013-11-28T02:51:44+01:00" itemprop="datePublished">28.11.2013 à 02h51</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-11-28T10:21:41+01:00" itemprop="dateModified">28.11.2013 à 10h21</time>

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    Une kinésithérapeute enseigne à des agents de l'hôpital d'Enshisheim des techniques lors de séances de relaxation collective, pour que ces derniers évacuent leur stress sur leur lieu de travail.

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    Les jeunes sont nettement plus stressés, déprimés et en manque de sommeil que les seniors, selon un sondage publié jeudi 28 novembre, qui évalue à seulement un quart la part des Français « vraiment en bonne santé ».

    D'après ce « baromètre de la santé des Français » réalisé pour le groupe d'assurance Axa par TNS Sofres auprès d'un échantillon représentatif de 1 004 personnes, 9 Français sur 10 se déclarent « en bonne santé ».

    Mais si l'on considère les données recueillies via Internet au sujet des personnes sondées, il apparaît que seulement 24 % sont « vraiment en bonne santé », avec des résultats positifs dans cinq critères retenus : présence ou non d'une maladie grave ou chronique, dépression, surpoids ou obésité, qualité de sommeil et stress.

    LA MAJORITÉ DES JEUNES « STRESSÉS »

    Les plus jeunes seraient les plus « stressés » : 53 % des moins de 25 ans et 52 % des 25 à 34 ans déclarent « subir un stress élevé ». A l'inverse, les plus de 65 ans ne sont que 24 % à se dire stressés.

    La dépression – évaluée d'après une échelle internationale sur une série de questions – toucherait plus particulièrement les 25-34 ans avec 31 % d'entre eux touchés, 28 % pour les moins de 25 ans, alors que les 65 ans et plus ne seraient que 13 % à en souffrir.

    Enfin, pour le sommeil, les plus mauvais dormeurs semblent là aussi se situer parmi les 25 à 34 ans avec une proportion de 41 % à avoir une mauvaise qualité de sommeil contre 17 % seulement pour les plus de 65 ans.

    D'après les données fournies par les personnes sondées, 20 % des Français sont en surpoids léger, 12 % en surpoids important et 16 % sont obèses, tandis que 37 % ont une consommation d'alcool jugée « à risque » et 13 % sont dépendants à l'alcool.


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