-
Par marialis2.2 le 18 Juin 2015 à 01:19
Copa America: Neymar retrouve
son bourreau du Mondial
Publié le 17 juin 2015 à 14h02 lienLe 4 juillet 2014, Neymar quittait le terrain et le Mondial sur une civière en quart de finale. Mercredi soir, la superstar du Brésil croisera en Copa America celui qui l'avait spectaculairement blessé, le défenseur colombien Juan Camilo Zuñiga.
L'arrière droit colombien, Juan Camilo Zuniga, aura la pression, comme toute son équipe: la Colombie ferait mieux de battre le Brésil si elle veut rester dans la compétition. Près d'un an plus tôt, les deux équipes s'étaient affrontées en quart de finale de la Coupe du monde. La victoire de la Seleçao (2-1) avait été amère: dans les dernières minutes du match, en luttant pour le ballon, Zuñiga, qui pesait alors 10 kilos de plus que Neymar, lui avait assené un grand coup de genou dans le dos. Avec une vertèbre fracturée, le N°10 du Brésil, évacué du stade en ambulance, disait adieu au Mondial. Quatre jours plus tard, les Auriverde, privés de leur atout-clé, s'effondraient face à l'Allemagne qui leur infligeait une humiliation historique en demi-finale (7-1).
Après ce quart, qui avait mis fin au parcours jusque-là séduisant des "Cafeteros", Zuñiga avait reçu des menaces de mort et des insultes racistes via les réseaux sociaux de la part de supporters brésiliens en colère. Il s'était confondu en excuses, dans une lettre publiée sur internet: "Je regrette profondément la triste blessure dont a été victime Neymar. J'ai de la peine à cause de cette situation qui est le résultat d'une action normale de jeu, laquelle ne contenait ni mauvaise intention, ni méchanceté, ni imprudence de ma part".
Page définitivement tournéeNeymar avait assuré ne pas lui en garder rancoeur, soulignant toutefois qu'il s'agissait d'une "charge pas normale". "Si cela avait été deux centimètres plus haut, je serais peut-être dans une chaise roulante", avait-il relevé.
Le rendez-vous en Copa America ne sera pas le premier où Zuñiga (29 ans) et Neymar (23) se retrouvent: dès septembre 2014, le Brésil et la Colombie avaient en effet disputé un match amical à Miami (1-0), avec un but de... Neymar. L'accolade entre les deux joueurs, au début de la partie, avait signifié que la page était définitivement tournée. Mais la réconciliation n'avait pas empêché Zuñiga de marquer de près le capitaine brésilien, et une faute lui avait même valu un carton jaune. Avec l'enjeu de la qualification, Zuñiga devrait procéder au même marquage serré sur Neymar pour tenter de l'isoler.
Mais le latéral colombien n'arrive pas au meilleur de sa forme: éternel remplaçant à Naples, il n'a pas beaucoup joué cette saison, gêné par une lésion à un genou qui le hante depuis 10 ans et l'a obligé à se faire opérer cette année. Il s'est aussi montré apathique sur le but encaissé par la Colombie dès son entrée en lice face au Venezuela (1-0), alors que parallèlement, Neymar était prépondérant pour le Brésil face au Pérou (2-1), avec un but et une passe décisive.
Et "Ney" arrive sur sa lancée d'une saison faste au FC Barcelone, avec 22 buts dans le Championnat d'Espagne (3e meilleur buteur derrière les hors norme Christiano Ronaldo et Messi) et un triplé à la clef (Liga, Coupe d'Espagne et Ligue des Champions).
Et cette fois, le Brésil compte bien profiter de son N°10 jusqu'au bout de la compétition.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 18 Juin 2015 à 01:11
Mondial féminin : les Bleues rejoignent
avec brio les huitièmes de finale
Le Monde.fr | <time datetime="2015-06-18T00:03:46+02:00" itemprop="datePublished">18.06.2015 à 00h03</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-06-18T00:13:22+02:00" itemprop="dateModified">18.06.2015 à 00h13</time> | Par Anthony Hernandez
<figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> </figure>
Les Bleues avaient à cœur, mercredi 17 juin à Ottawa, de montrer un autre visage dans ce Mondial canadien. Et surtout, après la défaite face à la Colombie (2-0), une victoire était impérative face au Mexique pour se qualifier sans ambages pour les huitièmes de finale de la compétition. Vingt-sept secondes ont suffi à Marie-Laure Delie pour débloquer le score, ce qui a rendu plus aisé le large et réconfortant succès de l’équipe de France (5-0).
Premières du groupe F avec six points, devant l’Angleterre devancée à la différence de buts, les Tricolores connaîtront dans la nuit leur adversaire des huitièmes de finale. A Montreal le 21 juin, elles affronteront l’Espagne, le Costa Rica ou la Corée du Sud.
Lire aussi : Mondial : les Bleues condamnées à la victoire
Choix forts de Bergeroo
Jusqu’alors maladroites, fragiles et parfois nerveuses, les joueuses françaises ont offert un bien meilleur visage lors de ce troisième match. Les choix forts de Philippe Bergeroo ont d’ailleurs certainement joué un grand rôle. Le sélectionneur français, ancien membre du staff d’Aimé Jacquet lors du seul sacre mondial des Bleus en 1998, n’a pas hésité à sortir des cadres : la milieu de terrain Louisa Necib et l’attaquante Gaëtane Thiney étaient remplacées par Amel Majri et Marie-Laure Delie. Côté droit, Elodie Thomis retrouvait sa place de titulaire à la place de Kenza Dali.
Le début de match tonitruant confortait d’entrée la composition d’équipe de Bergeroo. On avait pas encore atteint le quart de jeu que les Bleues menaient déjà 3-0. Sur un débordement de Thomis, la défenseure Alina Garciamendez et la gardienne Cecilia Santiago cafouillaient le ballon. L’avant-centre du PSG Marie-Laure Delie en profitait pour s’imposer de la tête (1ere, 1-0).
A la 9e minute de jeu, le coner tiré par Camille Abily manquait d’être repris par la capitaine Wendie Renard. Sous la pression de la grande défenseure lyonnaise, la Mexicaine Jennifer Ruiz marquait contre son camp (2-0). Trois minutes plus tard, la plus belle action collective de la rencontre voyait Eugénie Le Sommer inscrire son deuxième but du Mondial. Un échange Abily-Thomis permettait à cette dernière de centrer parfaitement pour la buteuse qui coupait le ballon au premier poteau (12e, 3-0).
Eugénie Le Sommer et Marie-Laure Delie dans... par lemondefrEviter la deuxième place
Ultra dominatrices, la confiance retrouvée, les Françaises ne lâchaient pas prise, obnubilées par l’idée d’améliorer leur différence de buts et d’éviter ainsi la deuxième place du groupe, synonyme d’un périlleux huitième de finale contre la Norvège.
Sur un coup-franc d’Amel Majri repoussé par la gardienne mexicaine, Marie-Laure Delie reprenait le ballon en renard des surfaces. Le ventre de la meilleure joueuse du championnat de France de division 1, Eugénie Le Sommer, en pleine réussite, déviait victorieusement la trajectoire pour le quatrième but (36e, 4-0).
En deuxième période, Philippe Bergeroo se payait le luxe de faire tourner son effectif. Les excellentes Le Sommer et Abily soufflaient, remplacées par Gaëtane Thiney (64e) et Elise Bussaglia (70e). Laure Boulleau, touchée au genou, laissait elle sa place à Sabrina Delannoy. Les Bleues se procuraient de nouvelles situations dangereuses mais les tentatives de Thomis (66e) ou Thiney (68e) flirtaient avec les montants mexicains. Avant qu’Amandine Henry n’ajoute la cerise sur le gâteau grâce à un magnifique cinquième but d’une frappe lointaine en pleine lucarne (80e, 5-0).
Alors que le parcours de l’équipe de France pourrait lui faire rencontrer l’un des deux favoris, l’Allemagne en quart de finale, puis en cas de premier exploit, le deuxième, les Etats-Unis, les coéquipières d’Eugénie Le Sommer ont une occasion unique d’apporter encore un peu plus de lumière au football féminin. En 2011 lors du Mondial allemand, leur épopée de demi-finalistes avait permis aux Bleues de gagner en notoriété. En 2015 au Canada, on attend au moins aussi bien de leur part.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 14 Juin 2015 à 00:38
L'Allemagne cartonne contre Gibraltar, Ronaldo voit triple
Football
—lien
Mots-clés
Signaler une erreur
Vous avez vu une erreur? Merci de nous en informer.
Partager & Commenter
Google-Publicité
Nissan QASHQAI®
Le Crossover Urbain par Instinct. Testez-le Près de Chez Vous !
L'Allemagne n'a pas fait de détails face à Gibraltar dans les éliminatoires du groupe D de l'Euro 2016. Les champions du monde se sont imposés 7-0, mais les Gibraltariens n'ont pas démérité.
Les Allemands peuvent même s'estimer heureux d'être arrivés à la pause avec un avantage d'un but tant les Gibraltariens ont été dangereux devant Weidenfeller. Son vis-à-vis, Jordan Perez, a réalisé quelques parades de grande classe. Il a notamment retenu un penalty de Schweinsteiger à la 10e.
PUBLICITÉLa formation dirigée par Joachim Löw n'a jamais senti un véritable danger. Schürrle a ouvert la marque à la 28e, mais c'est surtout dès la 47e que tout s'est accéléré. Les Allemands ont alors fait passer le score de 1-0 à 4-0 en dix minutes. Schürrle en a profité pour signer un triplé.
Dans les deux autres rencontres du groupe, la Pologne a dû attendre les derniers instants de la partie pour prendre véritablement la mesure de la Géorgie 4-0. Lewandowski a imité Schürrle en réussissant un hat-trick en fin de match. Dans le troisième match de la soirée, l'Ecosse et l'Irlande ont fait match nul 1-1. La Pologne mène la danse avec 14 points et une longueur d'avance sur la Mannschaft. L'Ecosse est pour l'heure barragiste avec 11 points soit deux de mieux que l'Irlande. Ronaldo les aime par trois
Le Portugal s'est imposé à Erevan face à l'Arménie (3-2) grâce à trois buts de son capitaine Cristiano Ronaldo lors de la 6e journée des qualifications pour l'Euro 2016. Les Lusitaniens confirment leur domination sur le groupe I avec 12 points en cinq matches. Le Portugal a remporté son 4e match de qualification d'affilée et effacé l'humiliante défaite à domicile face à l'Albanie en septembre (en l'absence de Ronaldo), qui avait coûté son poste à l'entraîneur Paulo Bento, remplacé par Fernando Santos. La star du Real Madrid a inscrit le premier but sur penalty à la 29e, puis a fait la différence en trois minutes au cours de la seconde mi-temps (55e et 58e). Les Arméniens ont réduit l'écart par Hrayr Mkoyan (72e), face à un Portugal réduit à dix après l'expulsion de Tiago (62e). Le Danemark, vainqueur de la Serbie 2-0, suit avec 10 points Dans le groupe F, rien ne va plus pour la Grèce battue 2-1 par les Féroé.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 13 Juin 2015 à 23:28
Top 14.
Le Stade Français s'impose face à Clermont en finale
<aside class="toolbar rs_skip">
</aside>Au terme d'un match où les pénalités ont fait la différence, le Stade Français l'a emporté face à des Clermontois maudits en finale du championnat de France.
La première mi-temps se résumait à des pénalités. Et à ce petit jeu-là, c'était le Stade Français qui se montrait le plus adroit avec Morné Steyn au tir. Il ouvrait le score au quart d'heure de jeu de 40 mètres. Le Sud-Africain qui doublait la mise à droite des poteaux. En verve, il inscrivait une troisième pénalité synonyme de 0-9 pour les Franciliens à la 29e de jeu à une distance de plus de 45 mètres.
Après deux échecs aux 5e et 26e minutes de jeu de la part de Morgan Parra, Camille Lopez réduisait la marque juste avant la pause.
James réduit l'écart et rate l'égalisation
Les Auvergnats profitaient de la maladresse de Steyn après la pause pour se refaire une santé. Ainsi, pour un hors-jeu concédé par Papé, James réduisait l'écart pour Clermont à la 62e (6-9). Neuf minutes plus tard, James avait l'opportunité d'égaliser.
Steyn offre le 14e Brennus au Stade Français
Après son passage à vide juste après la payse, Steyn entérinait la victoire du Stade Français d'une pénalité en toute fin de match. Après son dernier sacre en 2007 face à ces mêmes Clermontois, le Stade Français soulève ainsi son 14e Bouclier de Brennus.
Clermont toujours maudit
C'est la 11e défaite de l'ASM en finale du Top 14. Après son dernier sacre en 2010, Clermont n'a plus connu la joie d'une finale remportée. Après ses deux défaites en Coupe d'Europe face à Toulon, la malédiction semble continuer pour les Auvergnats.
CLERMONT- STADE FRANÇAIS : 6-12 (3-9)
Arbitre : M. Gauzere.
LES POINTS : Clermont : Pénalité : Lopez (39'), James (62'). Stade Français : 3 Pénalités : Steyn (15', 22', 29', 80').
CLERMONT : Abendanon - Nataga, Stanley, Rougerie, Buttin - Parra, Lopez - Chouly, Lee, Bardy - Jedrasiak, Vahaamahina - Domingo, Ulugia, Zirakashvili.
STADE FRANÇAIS : Camara - Sinzelle, Danty, Waisea, Arias - Steyn, Dupuis - Burban, Parisse, Lakafia - Pyle, Flanquart - Van Der Merwe, Bonfils, Slimani.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 13 Juin 2015 à 23:21
<header class="cf" id="headline">
Rugby à XIII / Super League : les Dracs l'emportent face à Hull FC (20 à 14)
Le 13 juin à 15h40 | Mis à jour il y a 3 heures lien
</header> <figure class="articleImage"> <figcaption class="caption"></figcaption> </figure>A six journées de la fin de la phase régulière, les Dragons Catalans, 8e de Super League, accueillaient Hull FC ce samedi 18h à Brutus, 7e et concurrent direct. Les Dracs n'avaient pas droit à l'erreur. Mission accomplie, ils ont emporté la rencontre sur le score de 20 à 14.
Dans une seconde mi-temps moins enlevée que la première grâce au turn over de réalisé par Laurent Frayssinous, les Dragons sont tombés dans le piège du rythme de jeu imposé par Hull FC. Ils avaient beau assurer leur défense, les Anglais très fébriles ont multiplié les fautes surtout en fin de match. Rencontre à couteaux tirés donc. Mais les Catalans assurent la victoire et se relancent dans le trustage des 6 premières places au classement.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique