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    24H du Mans: crash et crevaison pour Audi, Porsche en tête

    Envoyé spéciale en France, Olivier de Wilde Publié le <time datetime="2015-06-13 18:38:37" title="samedi 13 juin 2015 à 18h38"> samedi 13 juin 2015 à 18h38 </time> - Mis à jour le <time datetime="2015-06-13 18:43:57" title="samedi 13 juin 2015 à 18h43"> samedi 13 juin 2015 à 18h43 lien </time>

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    Moteurs

    Il s’est déjà passé pas mal de choses lors des trois premières heures de course au Mans où le poleman Neel Jani (Porsche) n’est pas resté longtemps en tête. A 18h, la 919 N°17 de Mark Webber, Brendon Hartley et Timo Bernhard, auteur du « ole shot » (premier tour en tête), comptait un demi tour d’avance. Derrières, les premiers héros malheureux s’appelaient André Lotterer (crevaison alors qu’il menait la course) et Loïc Duval (accident).

    C’est à un véritable Grand Prix du Mans que l’on a assisté durant la première heure de course, Timo Bernhard (Porsche) menant un peloton de six prototypes groupés en trois secondes ! Seules les Toyota ne pouvaient clairement pas suivre le rythme.

    On assistait au premier gros fait de course avec la casse moteur et le début d’incendie de la Porsche GT de Patrick Pilet. Premier abandon et première sortie de la voiture de sécurité…

    La course reprenait après vingt minutes et le Nivellois André Lotterer, en grande forme, offrait un véritable festival. Déchaîné il doublait les deux Porsche de tête en deux virages. Du grand art. Le pilote Audi s’envolait d’autant plus facilement que les R18 e-tron Quattro étaient les seules capables d’effectuer des quadruples relais avec leurs gommes Michelin. Hélas, au début de son quatrième relais, Lotterer devait rentrer suite à une crevaison lente et chutait en sixième position. La N°17 récupérait dès lors le leadership.

    Peu avant 18h, soit juste avant le huitième de la distance, Loïc Duval, surpris par un embouteillage de GT dans une « slow zone », perdait le contrôle de son proto Audi et tapait le rail. Le Français parvenait toutefois à rentrer au stand où il perdait quatre grosses minutes pour procéder aux réparations. La N°8 était le premier proto de pointe à concéder un tour aux leaders.

    « Il y avait effectivement eu une slow zone, mais on m’a indiqué par radio que cela venait de se terminer, » regrettait Duval. « Quand je suis arrivé, j’ai vu les commissaires agiter les drapeaux verts. Malheureusement, les feux lumineux clignotaient encore et les GT devant moi ont pilé sur les freins pour se mettre à 80 km/h. Il y avait un mur de voiture. J’ai évité le pire en passant hors piste par la droite, mais j’ai ensuite glissé et je n’ai pu éviter le rail. »

    Suite aux sorties des voitures de sécurité coupant le peloton en deux, la Porsche N°17 gagnait un demi tour et s’isolait en tête devant les 919 N°18 et 19 et l’Audi N°7 de Lotterer. Trois voitures groupées en 3 secondes. Incapables de suivre le rythme, concédant trois à quatre secondes par rotation, les Toyota ne peuvent clairement miser que sur la fiabilité et une course parfaite pour remonter au classement.

    En LMP2, on assistait à un chassé-croisé entre les Oreca-Nissan N°47 et 46 de Lapierre –Bradley-Howson et Badey-Gommendy-Thiriet. Auteur d’un départ prudent, Laurens Vanthoor était remonté de la 6e à la 3e place de catégorie mais perdait un demie tour lors de la première sortie des « safety car ». Après 3h, le Belge pointait à une belle 1 »e place absolue, la quatrième en LMP2.

    En GT, l’Aston N°95 des leaders danois Sorensen-Thiim-Nygaard était malheureusement touchée dans le crash avec l’Audi de Duval. Dans son stand, elle était relayée par la N°99 de Rees-McDowalll-Stanaway.

    En GTE-Am, la Ferrari N°72 de Bertolini menait la danse. En plein relais, Patrick Dempsey tenait son rang et occupait la 5e place provisoire. On pouvait toutefois qu’inquiéter en voyant la 2e voiture du team Proton Dempsey abandonner suite à un bris de moteur, le deuxième en trois heures pour les Porsche GT.

    A 18h30, la course était toujours neutralisée, les commissaires réparant les rails. Et la pluie était annoncée pour la tombée de la nuit…

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  • Six jours après, les Bleus ont tendu l'autre joue


    Dans cet article
    Dernière mise à jour il y a 6 minutes -

    Battue par la Belgique dimanche (3-4), l'équipe de France n'a pas fait mieux, samedi en Albanie. Les joueurs de Didier Deschamps, qui avait remanié son onze de départ, sont également tombés (1-0). Les Bleus n'avaient jamais perdu face à la 51e nation mondiale. La saison se termine en queue de poisson…

    Ça y est ! L'équipe de France est officiellement en vacances. Les mauvaises langues diront qu'elle y était déjà depuis quelques jours. Samedi, dans une ambiance champêtre, un stade de 12000 places et sous un soleil de plomb, elle n'a pas donné une autre impression. Et Didier Deschamps n'a pas dû goûter à cette heure et demie de football. A Elbasan (1-0), ses Bleus ont ponctué leur saison post-Coupe du monde par un nouveau revers. Six jours plus tôt, ils avaient déjà tendu la joue au Stade de France, face à la Belgique (3-4).

    Plus d'infos à suivre..


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  • Renault dévoile son concept

    Alpine Celebration

    au Mans

    Voir le site Automoto

    Alpine Celebration (1)
    Par |Ecrit pour TF1|aujourd'hui à 15:19, mis à jour aujourd'hui à 15:54lien

    Alpine, constructeur engagé en Championnat du Monde d’Endurance, a profité de ces 24 heures du Mans pour introduire ce samedi, un tout nouveau concept-car baptisé Alpine Celebration, dont les traits préfigurent la future Alpine qui sortira en 2016.

    Le rendez-vous avait été donné ce samedi à 13h45 à tous les amoureux de la marque Alpine, sur le tracé du Mans – ou à défaut sur un site spécialement créé en cette occasion- pour découvrir le dernier prototype dessiné en l’honneur de ses 60 ans.

    ==&gt; L'Alpine Celebration en images

    Une silhouette de sportive

    Son nom : Alpine Celebration. Ce concept-car, vêtu d’une robe bleue et orange qui n’est pas sans rappeler les M63, M64, M65, A210 et autres A220 des années 60, nous donne un avant-goût de la prochaine Berlinette prévue pour 2016. On soulignera, sur ce coupé biplace, le nez plongeant, cette proximité avec le sol ainsi que le becquet arrière… sans oublier évidemment ces deux larges sorties d’échappement qui confère au modèle, un vrai look de sportive ! L’insigne Alpine est présent un peu partout : sur les flancs, sur la grille d’entrée d’air.

    « Nous avons imaginé le show-car Alpine Célébration comme l’écrin ultime destiné à fêter soixante ans de style Alpine et de passion pour le sport automobile, affirme Antony Villain, directeur du design Alpine. Nous avons méticuleusement travaillé chaque détail. Or nous voulions aller plus loin, en touchant le cœur d’un public très large. »
     

    Encore des doutes sur le moteur

    D’un point de vue technique, Alpine n’a pas livré plus de précision mais selon les rumeurs cette Alpine Celebration pourrait embarquer un quatre cylindres 1,8 turbo de 260 chevaux pour un poids proche de la tonne. Ce concept-car prendra ensuite la direction de Goodwood à la fin juin.

    A noter qu’Alpine avait déjà dévoilé un concept-car il y a trois ans, lors de ce même évènement : il s’agissait de l’A110-50. En attendant place à la course avec Paul Loup Chatin, Nelson Panciatici et Vincent Capillaire au volant de la LMP2 A450 B, qui s’élanceront de la 15e place sur la grille.


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  • 24 heures du Mans : c'est parti,

    sous les yeux de François Hollande

    Le départ de la 83e édition des 24 heures du Mans a été donné à 15 heures sur le circuit de la Sarthe. François Hollande était présent en tribunes au démarrage des 55 concurrents. 

    13 Juin 2015, 15h05 | MAJ : 13 Juin 2015, 15h54
     
    <figure> Le Mans (Sarthe), samedi. François Hollande dans le stand de la Toyota du pilote français Stéphane Sarrazin, deux heures avant le départ des 24 heures du Mans 2015.  <figcaption class="articleChapeau ">Le Mans (Sarthe), samedi. François Hollande dans le stand de la Toyota du pilote français Stéphane Sarrazin, deux heures avant le départ des 24 heures du Mans 2015.  AFP / Jean-François Monier</figcaption> </figure>

    Les 24 heures du Mans 2015, c'est parti ! Le départ de la 83 édition de la célèbre course d'endurance a été donné à 15 heures ce samedi sous les yeux de François Hollande, présent dans les gradins.

     
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    <figure> «Je suis président, je n'ai pas besoin d'être candidat», affirme Hollande </figure>
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    C'est la première fois depuis Georges Pompidou, en 1972, qu'un président français en exercice assiste au départ des 24 heures, organisées depuis 1923 par l'Automobile club de l'Ouest (ACO). Il a toutefois été sifflé et même hué par des spectateurs installés en tribune ou dans les loges privées, pendant qu'il remontait la ligne droite des stands, trois heures avant le départ.

    55 voitures, représentant des marques automobiles majeures (Audi, Porsche, Toyota, Nissan, Alpine), ont pris le départ, donné par Bill Ford, président de la marque américaine. Porsche est toutefois la grande favorite, 17 ans après sa dernière victoire, en 1998, parce que ses 919 Hybrid ont signé les meilleurs temps de la journée test, le 31 mai, puis des qualifications, mercredi et jeudi soir. 

    Plus de 250 000 spectateurs sont attendus ce week-end autour du mythique circuit du Mans, long de 13,629 km. Pour les canaliser, 600 fonctionnaires et 1 500 bénévoles seront à leur disposition. 
     






    Arrivé samedi en fin de matinée, le président Hollande a commencé par visiter les stands des équipes Toyota, Alpine et Audi, en compagnie de Pierre Fillon, frère de François Fillon, et Jean Todt, président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA). Dans le stand Toyota, le Français Stéphane Sarrazin, engagé sur la voiture numéro 2 et longtemps recordman du tour le plus rapide sur une Peugeot 908, lui a expliqué le fonctionnement du volant d'un prototype de la catégorie-reine (LMP1).

    Quand Hollande rencontre Patrick Dempsey

    «C'est une grande fierté de se dire qu'il y a ici les meilleurs pilotes mais aussi les meilleurs ingénieurs du monde», a déclaré le président français. «Quel que soit le vainqueur, il y aura de la technologie française» dans la voiture gagnante, a-t-il souligné, car Michelin fournit les pneus de tous les prototypes candidats à la victoire finale.

    Le président s'est aussi rendu dans le stand de la marque française Alpine, vainqueur au Mans dans les années 1960. Accompagné des ministres de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, et de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, originaire de la Sarthe, François Hollande a ensuite remonté la ligne droite des stands, pendant que quelques sifflets venaient des tribunes bien garnies, à trois heures du départ.

    Puis il s'est rendu au PC sécurité puis a posé pour une photo de famille avec des pilotes, sur la piste, et a brièvement discuté avec l'acteur américain Patrick Dempsey, engagé dans une Porsche de la catégorie GTE-Am. Il est ensuite parti déjeuner rapidement avec les organisateurs et les officiels.


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  • Mondial féminin :

    victorieuses de l'Angleterre

    (1-0), les Bleues sont lancées

    De notre envoyé spécial à Moncton (Canada), Franck Gineste | 09 Juin 2015, 21h02 | MAJ : 09 Juin 2015, 22h59
     
     
    <figure> Eugénie Le Sommer a inscrit son 45e but en sélection, le 10e depuis un an. <figcaption class="articleChapeau ">Eugénie Le Sommer a inscrit son 45e but en sélection, le 10e depuis un an.
    AFP/ F.FIFE</figcaption> </figure>

    L'équipe de France féminine n'a pas tremblé. Les Bleues ont parfaitement lancé leur Mondial par une courte victoire (1-0) face à l'Angleterre, ce mardi dans le cadre champêtre de Moncton (Canada). Les filles du sélectionneur Philippe Bergeroo n'ont presque pas eu à forcer leur talent pour s'adjuger le choc et ainsi prendre déjà une option sur la 1re place du groupe F.

     


    Rarement inquiétées par des Anglaises moins rugueuses et plus limitées que prévu, les Bleues se sont contentées d'assurer l'essentiel. Le duel tant attendu n'a finalement pas atteint des sommets,  la pluie et le vent n'aidant pas non plus à la performance sur le terrain synthétique.

    Le Sommer encore décisive

    Encore une fois, la délivrance est venue d'Eugénie Le Sommer à la demi-heure de jeu. Servie par Gaëtane Thiney, l'attaquante lyonnaise, qui a reçu le Trophée UNFP de meilleure joueuse de D 1, a inscrit son 45e but en sélection, le 10e depuis un an, d'une superbe frappe en lucarne. L'attaquante de poche (1,61 m) a d'ailleurs été la plus entreprenante. Mais encore une fois, le réalisme a fait défaut aux Françaises.

    «On savait que ça allait être difficile, contre une équipe qui joue en contre. Avec le vent, la pluie... Ca a été compliqué pour les deux mais plus pour nous, pour trouver notre maîtrise technique et collective, insiste Philippe Bergeroo.  Il fallait être patient. C'est une victoire importante, sans blessée ni carton. C'est une bonne entrée en matière. Il faut féliciter les filles pour le contenu et la patience. On a pris une option (ndlr: sur la qualification pour les 8es de finale) . A nous de confirmer au prochain match."  Les Bleues affronteront la Colombie samedi, toujours à Moncton.

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