• Roland-Garros. Wawrinka terrasse Djokovic

    et s'offre le titre

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    En quatre sets, Stan Wawrinka a pris le meilleur sur Novak Djokovic pour s'offrir un nouveau Grand Chelem après l'Open d'Australie (6-4, 4-6, 3-6, 4-6).

     

    Novak Djokovic avait pourtant remporté le premier set mais Stan Wawrinka a ensuite su revenir dans le match pour faire douter le Serbe. Le Suisse est parvenu à remporter les trois sets suivants pour s'offrir un deuxième titre en Grand Chelem après l'Open d'Australie.

    Novak Djokovic peut s'en vouloir après avoir réussi à enfin faire tomber Nadal, le Serbe tombe en finale d'une compétition qu'il se voyait remporter pour se diriger pourquoi pas vers un Grand Chelem.

    C'est finalement Stan Wawrinka qui s'offre une victoire surprise.


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    Et tout là-haut, il y a le Barça...

    Dernière mise à jour Il y a 12 heures -

    Vainqueur de la Juventus Turin (3-1), samedi à Berlin, le FC Barcelone décroche sa cinquième Ligue des champions. Grâce à des buts de Rakitic, Suarez et Neymar, le club catalan revient au sommet du football continental pour la première fois depuis 2011. Ce succès récompense la formidable saison des hommes de Luis Enrique, auteurs d'un triplé C1 - Liga - Coupe du Roi fantastique.

    Le Barça est de retour sur le toit de l'Europe ! Quatre ans après son dernier sacre à Wembley face à Manchester United (3-1), le FC Barcelone a ajouté un cinquième titre de champion d'Europe à son palmarès en venant à bout de la Juventus Turin (3-1), samedi à Berlin. Des buts d'Ivan Rakitic (4e), Luis Suarez (68e) et Neymar (90+6) ont permis à la formation de Luis Enrique de signer un superbe triplé cette saison après ses titres en Liga et en Coupe du Roi, alors qu'Alvaro Morata (55e) avait auparavant ramené la Juve à hauteur des Catalans.

    La Juve lui a pourtant donné beaucoup de fil à retordre. La Vieille Dame a affiché cette qualité et ce caractère qui ont fait sa force durant tout son parcours dans cette Ligue des champions. Même en prenant le match par le mauvais bout, en concédant un but sur la première offensive - somptueuse - du Barça. Une transversale de Lionel Messi, une remise en une touche de Jordi Alba pour Neymar et une passe du Brésilien dans un timing parfait pour Andres Iniesta, dont le centre a été repris victorieusement par Ivan Rakitic (1-0, 4e). Du Barça dans le texte.

    A l'image de cette action, les Turinois ont été dominés techniquement durant la première période. Ils ont fait le dos rond, laissant passer l'orage dans le sillage d'un Gianluigi Buffon impérial devant Dani Alves (13e), tout en essayant de pousser le Barça à la faute avec un pressing très haut sur les relances catalanes. Cela aurait pu lui sourire en première période (1re, 8e, 25e). Ça a fini par payer en deuxième. Héros de la qualification face au Real, Alvaro Morata, en embuscade, a redonné espoir au peuple bianconero après une frappe en pivot de Carlos Tevez repoussée par Marc-André ter Stegen (1-1, 55e).

    Messi décisif, comme toujours

    A ce moment-là, le Barça n'en menait pas large. Tevez (63e) et Paul Pogba (65e) ont même fait craindre le pire aux supporters catalans. Mais, après un contact litigieux entre le milieu français et Dani Alves dans la surface (68e), le magicien est sorti de sa boîte pour faire tourner le vent dans le sens des Barcelonais. D'une accélération irrésistible, Lionel Messi a déposé la défense turinoise avant d'adresser une frappe croisée difficilement repoussée par Buffon. En embuscade au deuxième poteau, Luis Suarez a expédié le ballon au fond des filets (2-1, 68e).

    Barcelone a souffert pour conserver son avantage. La Juve a mis tout son cœur dans la bataille pour échapper à son destin, mais ter Stegen et la défense barcelonaise n'ont pas craqué (75e, 79e). Et à  force de se découvrir, la Vieille Dame s'est fait punir sur un dernier contre conclu par Neymar après une passe de Pedro (3-1, 90e+6). Les Turinois n'auront pas grand-chose à regretter. Ce Barça, sans avoir la mainmise attendue sur cette finale, surtout en seconde période, a quand même été supérieur. Et sa place, en toute logique, est sur le toit de l'Europe.

    Luis Suarez exulte après son but en finale

    Luis Suarez exulte après son but....


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  • Ligue des champions : le Barça s'offre

    un cinquième trophée

    Le Monde.fr | <time datetime="2015-06-06T22:43:58+02:00" itemprop="datePublished">06.06.2015 à 22h43</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-06-06T23:06:44+02:00" itemprop="dateModified">06.06.2015 à 23h06</time> | Par

    <figure class="illustration_haut " style="width: 534px">L'équipe du FC Barcelone soulève sa cinquième Ligue des champions, samedi 6 juin au Stade olympique de Berlin. </figure>

    Le Barça a fait la moitié du chemin samedi à Berlin en dominant la Juventus en finale de la Ligue des champions (3-1). Face aux Turinois, les Catalans ont en effet remporté une cinquième fois la prestigieuse compétition, à cinq unités du record de leur rival du Real Madrid, vainqueur à dix reprises.

    Grâce à ce nouveau succès européen, Barcelone réalise un triplé après sa victoire dans la Liga et en Coupe du Roi. Pour sa première saison à la tête de l'équipe, l'ancien international Luis Enrique réussit un coup de maître. Mais malgré une première période maîtrisée, le Barça n'a pas eu la partie facile.

    Revivez minute par minute la victoire du Barça contre la Juventus (3-1)

    Iniesta et Rakitic d'entrée

    Attendus dans la peau des grands favoris grâce au trio d'attaquants vedettes Messi-Neymar-Suárez, les Barcelonais ont pris rapidement les choses en mains. Et c'est du milieu de terrain qu'est venue l'ouverture. Après un décalage du Brésilien Neymar, l'Espagnol Iniesta s'est infiltré dans la surface adverse pour trouver en retrait le Croate Rakitic qui reprenait sans contrôle pour tromper le gardien italien, Gianluigi Buffon (3e, 1-0).

    En première période, Messi avait eu le temps de se mettre en évidence sur deux actions de classe : une passe lobée par-dessus la défense que Neymar manquait de peu (12e) et un slalom dans la surface qui ne donnait rien (45e). A la reprise, « la puce », au prix d'un double une-deux avec Suárez et avec Neymar, se procurait une belle occasion mais son tir n'était pas cadré (51e).

    La Juventus, invitée surprise de cette finale, n'est pas parvenue à triompher une troisième fois en finale de la Ligue des champions (1985 et 1996), après douze ans d'absence à ce stade de la compétition. Gênée par le pressing intense des joueurs de Luis Enrique, les Turinois ont mis du temps à créer le danger sur le but espagnol. Pendant 45 minutes, seules quelques tentatives imprécises et non cadrées pour la plupart (1/5) ont été à l'actif de la « Vieille Dame » (Vidal, Morata et Marchisio).

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    Morata a égalisé pour la Juve mais son équipe a perdu face au Barça (3-1). </figure>

    Morata redonne espoir à la Juve

    Transformée au retour des vestiaires, la Juve a fait trembler Barcelone jusqu'à l'égalisation consécutive à une belle action collective. Une talonnade de Marchisio trouvait Lichtsteiner dont le centre était repris en pivot par Tevez. Le tir de l'Argentin, repoussé par Ter Stegen permettait au joueur formé au Real Madrid, Alvaro Morata, de tromper le gardien du Barça (55e). Dans la foulée, Carlos Tevez (63e) et Paul Pogba (65e) inquiétaient le Barça sur des tirs à mi-distance.

    S'il remporte une troisième fois la plus grande des coupes d'Europe, Lionel Messi n'a pas inscrit son 59e but de la saison, ni son 78e en Ligue des champions. Le petit Argentin a de quoi se consoler avec l'action qui a mené le but de la victoire. Son accélération conclue par une frappe à ras-de-terre n'était que repoussée par Buffon. L'Urugayen Luis Suárez n'avait plus qu'à pousser le ballon dans les buts (68e).

    Les adieux réussis de Xavi

    Sur l'action précédente, un contact litigieux entre Pogba et Alves était jugé sans faute par l'arbitre turc de la rencontre, Cüneyt Çakir. La finale avait choisi son camp. Une ultime tentative de Marchisio était déviée en corner par Ter Stegen (89e). L'idole catalane Xavi participait à la fête en entrant en jeu à la place d'Iniesta et assistait du terrain au troisième but anecdotique de Neymar au bout des arrêts de jeu (96e). 

    Ses adieux à son club de toujours ne pouvaient être plus forts. S'il n'a jamais gagné le ballon d'or, que son coéquipier Messi devrait remporter une cinquième fois cette année, le milieu de terrain aura enchanté pendant dix-sept ans le jeu du Barça.


     

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  • Rugby. Top 14 : Paris affrontera Clermont en finale

    De Notre Envoyé Spécial À Bordeaux David Opoczynski | 06 Juin 2015, 18h32 | MAJ : 06 Juin 2015, 18h44
     
     
    <figure> Les Clermontois ont fait la différence grâce à leur demi d'ouverture, l'Australien Brock James, ici après la victoire contre les Saracens en demi-finale de Coupe d'Europe, le 18 avril 2015 à Saint-Etienne <figcaption class="articleChapeau ">Les Clermontois ont fait la différence grâce à leur demi d'ouverture, l'Australien Brock James, ici après la victoire contre les Saracens en demi-finale de Coupe d'Europe, le 18 avril 2015 à Saint-Etienne (AFP/Thierry Zoccolan)</figcaption> </figure>

     

    Rentrés de Bordeaux en TGV ce samedi après-midi peu après 18 heures, les joueurs du Stade Français, qui s'étaient qualifiés la veille pour la finale du Top 14 en dominant Toulon (33-16), affronteront donc Clermont dans une semaine au Stade de France.

     

    Ce sera un beau clin d'oeil puisque la dernière finale parisienne, en 2007, avait été remportée face aux Clermontois (23-18).

    Dans une belle ambiance et sous un soleil radieux, les Auvergnats ont peiné pour s'imposer. Le score a longtemps balancé d'un camp à l'autre. Plus réalistes, les Toulousains ont inscrit un essai par Médard (46e) sur un de leurs rares temps forts. Les Clermontois ont gâché un nombre incalculable d'occasions malgré la maîtrise du ballon.

    Mais, finalement, ils ont fait la différence en fin de match grâce au talent de buteur de Brock James. D'abord sur une pénalité pour reprendre l'avantage (15-14, 72e). Puis sur un drop (18-14, 75e). Le virage clermontois a pu alors hurler sa joie et son bonheur de retrouver une finale, après celle perdue face à Toulon en Coupe d'Europe.


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  • Djokovic:"Je ne crois pas avoir eu de la chance que le match s'arrête, je jouais du très bon tennis"

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    Dernière mise à jour Il y a 2 heures -

    ROLAND-GARROS - Bousculé la veille par Andy Murray et à nouveau samedi, Novak Djokovic a fini par s'imposer en cinq sets contre l'Ecossais. Le numéro un mondial est revenu sur sa sortie du court la veille après le troisième set et sur l'interruption de la rencontre, dont il ne pense pas qu'elle lui a été favorable.

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    Pensez-vous avoir eu de la chance que le match soit arrêté vendredi soir ?

    N.D. : Non, je ne crois pas avoir eu de la chance que le match s'arrête, je jouais du très bon tennis. Il a réussi à hausser son niveau en fin de troisième set. J'ai eu des opportunités pour boucler la rencontre en trois sets mais je ne l'ai pas fait, et il faut surtout donner du crédit à Andy pour ça. Je n'ai pas l'impression d'avoir mal joué à ce moment-là, c'est lui qui a su en faire plus.

    Il n'a jamais rien lâché dans ce match, à part en toute fin de cinquième set peut-être...

    N.D. : Il a montré qu'il était un des plus grands compétiteurs et combattants du circuit. C'était vraiment un match très dur. Plus de quatre heures... Un peu comme d'habitude entre nous ! Avec Andy, c'est toujours un thriller, un marathon. Je suis content de m'en être sorti.

    On a l'impression que, face à Andy, ce type de combat est effectivement inévitable...

    N.D. : C'est épuisant de jouer Andy. On joue beaucoup au chat et à la souris tous les deux. C'est fatigant. Des matches de cinq heures, de quatre heures. Cette demi-finale est un des matches les plus durs que j'ai eu à jouer contre lui. C'est toujours physique.

    Quand vous avez perdu le quatrième set, dans quel état d'esprit étiez-vous ?

    N.D. : Je trouvais que j'avais plutôt bien commencé à la reprise, avec deux jeux de service blanc. Puis à 5-5, j'ai fait quelques fautes, raté deux coups droits. Il a super bien défendu sur un ou deux points, aussi. Il méritait de gagner ce set globalement. Aucun doute là-dessus. J'ai surtout essayé de rester calme. Honnêtement, je savais que j'aurai ma chance dans le cinquième set. Je continuais à y croire et j'ai fait un super dernier set.

    Le fait d'avoir dû jouer ce samedi peut-il vous être préjudiciable dans l'optique de la finale ?

    N.D. : Physiquement, ce n'était pas un match facile. C'est certain. Mais je pense que ça ira pour dimanche. Je vais mettre tout ce qu'il me reste. Espérons que ça suffira.

    Vendredi soir, après la perte du troisième set, vous êtes sorti du court et le match a été interrompu pendant huit minutes. Trouvez-vous ça juste ?

    N.D. : Ecoutez, j'ai quitté le court dès la fin du set. J'ai pris mon sac et j'ai demandé un temps mort médical. Après, j'ai été examiné. Il faut juste le temps de quitter le court, d'aller au vestiaire, de s'installer sur la table et d'être soigné. Alors, je ne vois pas en quoi ce serait injuste.

    En quoi consistait ce traitement ?

    N.D. : C'était pour me faire soigner à la jambe.

    Comment avez-vous trouvé le public vendredi et samedi ? Il a massivement soutenu Andy. Cela vous a-t-il perturbé ?

    N.D. : Je crois que les gens voulaient qu'Andy gagne le troisième set, avoir un match excitant et que ça dure aussi longtemps que possible. Vous savez, je respecte ça. Je n'ai pas de problèmes avec ça, ça ne me blesse pas, même si bien sûr, ça peut être frustrant par moments quand la foule n'est pas de votre côté. Mais c'est comme ça. Aujourd'hui (samedi), je pense que ça allait.


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