-
Par marialis2.2 le 16 Juin 2015 à 16:09PUBLICITÉ<article><header>
Jeux vidéo: quand les promesses de Sony tournent à l'entourloupe
Le ton a été une nouvelle fois donné dans la bataille rangée que se livrent Sony et Microsoft, à l'E3 de Los Angeles. Une guerre psychologique que le japonais semble extrêmement bien maîtriser.Conférence de Sony à l'E3 (c) Marco Mosca pour Challenges.fr<aside class="top-outils"></aside></article><aside class="inside-art" id="js-article-inside-art"><section class="obs-article-brelated">
- Xbox: voici les 4 grands coups de Microsoft à l'E3 de Los Angeles
- Jeux vidéo: la guerre des casques de réalité virtuelle est déclarée
Sur le papier, il n'y a pas photo. Sony remporte haut la main la bataille des conférences de presse pré-E3, le salon international de Los Angeles consacré aux jeux vidéo qui ouvre ses portes mardi 16 juin jusqu'au au jeudi 18. Le géant japonais a terminé la journée des annonces, lundi, en offrant un très beau spectacle, comme à son habitude depuis la sortie de la PlayStation 4. Le Memorial Sports Arena de Los Angeles affichait quasiment complet et la foule a répondu présente aux nombreuses annonces faites durant les quasi deux heures de show... dans un enthousiasme débordant.
Le groupe de Tokyo est parvenu à réunir tous les ingrédients nécessaires pour parler au coeur des gamers : The Last Guardian, Final Fantasy 7, Uncharted 4, Shenmue 3, Street Fighter V, Batman Arkham Knight, Star Wars Battlefront, Call of Duty Black Ops III... Autant de licences qui parlent directement au coeur des joueurs passionnés. Et il suffisait de voir les foules se lever dans l'Arena, pour comprendre qu'une nouvelle fois, Sony avait réussi son coup.
La PS4 mène la danse
Dans la guéguerre qui l'oppose à Microsoft, le groupe japonais a désormais pris le dessus. Cela se traduit dans les ventes de machines: plus de 22 millions de PS4 contre 12 millions de Xbox One. Microsoft a pourtant fait le job, lundi matin, en offrant aux gamers un line-up de jeux extrêmement garni pour la fin de l'année. Les joueurs qui n'ont pas encore fait le choix entre les deux consoles "Next Gen", pourront très certainement basculer du côté de la Xbox One, tant l'offre y est abondante pour cette fin d'année.
Chez Sony, sachant que la bataille des fêtes de fin d'année était perdue d'avance (pas assez de titres disponibles), il fallait opter pour une politique de l'enfumage. Et pour cela, le pari est gagné. Il suffisait de voir les étoiles briller dans les yeux des gamers post conférence pour comprendre que Sony était parvenu à faire oublier la conférence du concurrent du matin.
L'esbroufe de Sony
Mais si l'on regarde bien dans le détail les annonces faites, ça sent sérieusement l'esbroufe. Tout d'abord avec une présence massive des éditeurs tiers pour les jeux disponibles en fin d'année. Sony peut dire merci à Activision et Electronic Arts pour lui avoir permis d'occuper l'espace à grands coups d'exclusivités temporaires. Les deux éditeurs américains qui ont cruellement fait défaut à Microsoft plus tôt le matin même, ont clairement choisi leur camp. Celui du leader sur le marché des consoles de nouvelle génération.
Certes comme le rappelle Jean-Claude Ghinozzi, le directeur marketing de Microsoft France, leurs titres seront également disponibles sur Xbox, les joueurs n'ont donc pas de panique à avoir. Cela faisait tout de même bizarre de n'avoir aucun titre Activision et un seul d'EA: Plants vs Zombies... Pas le premier choix.
Une histoire de ton
Cette victoire sur les éditeurs tiers, on a pu la ressentir dans cette phrase ô combien symbolique d'Andrew House, le patron de Sony Computer Entertainment : "PlayStation est la nouvelle maison de Call of Duty". Une déclaration qui fait mal pour Microsoft, l'ancien refuge du blockbuster d'Activision. Et qui en dit long sur l'état d'esprit du leader.
Mais il faut également se rendre à l'évidence: la plupart des annonces faites par Sony n'offraient aucune date précise de lancement. Des promesses donc, et concrètement beaucoup de frustration pour les joueurs. Autre moment énorme à noter, le lancement sur Kickstarter de Shenmue 3 avec, en gros ce message hallucinant aux gamers: "si vous voulez vous acheter ce jeu, il va falloir payer son développement". Un comble !
A défaut de pouvoir se plonger immédiatement dans tous ces titres, il y a bel et bien quelque chose qui marque définitivement l'esprit à la sortie de ces deux shows millimétrés: la différence de ton. Chez l'Américain une dominante très FPS (first person shooter). Chez le Japonais, une once de poésie qui fait encore et toujours la différence.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 16 Juin 2015 à 01:34
Un pont sera construit au-dessus d'un canal d'Amsterdam par des robots grâce à l'impression 3D (VIDÉO)
Publication: <time datetime="2015-06-15T14:11:12-04:00"> 15/06/2015 14:11 EDT </time> Mis à jour: <time datetime="2015-06-15T14:14:13-04:00"> il y a 4 heures lien </time>Amsterdam aura bientôt son propre pont en acier partiellement suspendu dans les airs et imprimé en 3D. Voilà ainsi une autre preuve que rien n'est impossible dans le monde de l'impression en trois dimensions.
Ce projet un peu fou est celui de MX3D, une startup qui veut « imprimer » la structure complexe au-dessus d'un des fameux canaux de la cité en utilisant des robots pour « dessiner » le pont.
La chose sera particulièrement impressionnante puisque les robots cracheurs d'acier vont imprimer le pont sur place, dans un endroit qui n'a pas encore été dévoilé
.
Si tout se passe bien, les machines vont commencer l'impression d'un des deux côtés du canal, créant en plus des rails pour se déplacer le long de la structure à mesure qu'elle est imprimée et qu'elle fait la jonction avec l'autre côté.
MX3D, avec la collaboration d'autres entreprises, comme la firme de construction Heijmans et la compagnie de logiciels Autodesk, utiliseront ce qu'on appelle des robots industriels à 6 axes qui chaufferont le métal à une température de 1 500 degrés Celsius afin de le façonner dans la forme voulue.
Joris Laarman, un des concepteurs du projet, explique :
« Ce pont va montrer comment l'impression 3D est prête à entrer dans le monde des objets fonctionnels et de grande ampleur (...) en permettant une liberté sans précédent sur la forme. »
Si le projet est un succès, la prouesse enlèvera définitivement les restrictions sur la forme et la taille qui limitent en ce moment l'impression 3D.
Ce texte initialement publié sur le HuffPost UK a été traduit de l'anglais.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 13 Juin 2015 à 20:00
<header class="storyHeader">
Google lance ''Youtube Gaming'' pour contrer Twitch
Business : La filiale de Google entend bien obtenir sa part du gâteau dans le domaine du streaming de compétitions de jeu vidéo et ainsi concurrencer Amazon.
</header>La transformation de YouTube en plate-forme de contenus premiums se poursuit. Google a ainsi annoncé son intention de proposer une chaîne diffusant du sport électronique. "Cet été, nous lancerons YouTube Gaming, une application et un site internet tout nouveaux pour rester connecté aux jeux (...) avec des vidéos, des retransmissions en direct, et la plus grande communauté de joueurs sur la toile -- tout au même endroit", a annoncé vendredi Alan Joyce, gestionnaire de produit chez YouTube.
"D'Asteroids à Zelda, plus de 25.000 jeux auront chacun leur propre page" avec des vidéos et des diffusions de parties en streaming spécifiques à chaque titre, promet-il notamment. Par ailleurs, il va y avoir "dans les prochaines semaines" de nouveaux outils facilitant la retransmission d'une partie en cours sur YouTube, entre autres en permettant au joueur de la convertir automatiquement en une vidéo YouTube.
Google avait cherché à acheter Twitch
Avec cette offensive, Google attaque clairement le leader de ce marché, Twitch, désormais propriété d'Amazon pour 970 millions de dollars (et que Google avait également cherché à acheter)...
Cette jeune pousse californienne fondée en 2011 a développé une plateforme de diffusion en direct de jeux vidéo qui permet aux joueurs de partager leurs exploits avec des internautes spectateurs qui en retour peuvent commenter et échanger en temps réel. Twitch revendique ainsi 55 millions de visiteurs mensuels.
Le mouvement de Google est logique. La diffusion sur Internet voire à la télévision de compétitions de jeux vidéo devient un marché de poids, et pas seulement en Corée du Sud. Des millions de personnes peuvent se donner rendez-vous pour voir s'affronter sur League of Legends ou World of Warcraft deux équipes de renom et commenter les parties.
Selon le spécialiste réseau des flux vidéo Qwilt, Twitch représentait même 44% des stream en direct aux Etats-Unis pendant le mois d’avril ou encore 1,3% du total de la bande passante consommée en Amérique du Nord...6 milliards d’heures de vidéos sont visionnées chaque mois !
Le modèle économique de Twitch repose sur la publicité : les joueurs dont les parties sont les plus vues et les plus commentées sont rémunérés à travers ces pubs. Et Google entend obtenir sa part du gâteau.
votre commentaire -
Par marialis2.2 le 13 Juin 2015 à 17:21
La France se dote d’une Cité
de l’objet connecté
Le Monde.fr | <time datetime="2015-06-12T11:30:46+02:00" itemprop="datePublished">12.06.2015 à 11h30</time> • Mis à jour le <time datetime="2015-06-12T16:02:49+02:00" itemprop="dateModified">12.06.2015 à 16h02</time> | Par Anne Eveno et Sarah Belouezzane
<figure class="illustration_haut " style="width: 534px"> </figure>Bikinis, thermostats, balances, montres, compteurs, voitures… Tous ces objets auront désormais un lieu réservé dans la toute proche banlieue d’Angers, à Saint-Sylvain-d’Anjou. La Cité de l’objet connecté (COC), usine d’un genre nouveau, directement issue des 34 chantiers de la Nouvelle France industrielle initiés par Arnaud Montebourg en 2014, doit être inaugurée vendredi 12 juin par François Hollande.
Imaginée par Eric Carreel – PDG de la société Withings spécialiste des objets connectés du bien-être et de la forme – et portée par des industriels comme Eolane, la COC figurait en bonne place sur la feuille de route du plan industriel « Objets connectés », présenté il y a un an.
L’idée maîtresse de ce projet était de concentrer en un même lieu diverses compétences : mécanique, électronique, design, etc. Sur un site faisant pour le moment 1 800 m² (le site final devrait faire 8 300 m²), les innovateurs auront accès à un panel de services et de machines leur permettant de faire avancer leurs idées, voire dans certains cas aboutir à une commercialisation.
Dix-sept associés
Cofondée par 17 associés, aussi divers qu’Eolane, Orange, Bouygues Telecom ou encore Air Liquide, la structure privée ambitionne de convaincre les acteurs du secteur de la possibilité qui leur est offerte de venir fabriquer sur ce site des prototypes de leurs inventions, et même d’engager des préséries.
« Tout l’enjeu est de faire en sorte que l’on soit capable de produire plus près de chez nous », plutôt qu’en Chine ou ailleurs, souligne Eric Carreel. Si la partie mécanique des montres Withings est ainsi produite en Suisse, c’est selon lui parce que l’industrie des objets connectés nécessite une réactivité bien plus grande que celle proposée par nos grandes entreprises.
Or la révolution des objets connectés est en marche. Selon un rapport de l’Idate de 2013, 15 milliards d’objets étaient d’ores et déjà connectés à Internet en 2012, contre 4 milliards en 2010. Pour l’auteur de cette étude, Samuel Ropert, « en 2020, il y en aura 80 milliards ». Selon le cabinet GfK, cela signifie qu’en 2020, chaque foyer disposera de 30 objets connectés.
Une carte à jouer pour la France
Avec des start-up aussi dynamiques que Sigfox, Netatmo, Parrot ou encore Withings, la France a une carte à jouer. Les objets connectés vont « bouleverser tous les aspects de notre quotidien. A terme tout sera connecté », s’enthousiasme Luc Julia, vice-président de l’innovation chez Samsung. Le spécialiste ne voit pas la révolution s’arrêter aux poignets avec les montres, ou aux appareils ménagers. Il estime qu’à terme les maisons entières, mais aussi les villes, ou encore les usines, devraient être connectées. Le marché professionnel devenant ainsi aussi important que le celui à destination du grand public.
« Chez Samsung, nous avons décidé que d’ici à 2020, tous les produits créés chez nous seront connectés », explique le chercheur installé dans les bureaux du groupe à Menlo Park, en Californie. Pour lui, il ne s'agira pas uniquement de vérifier les battements de son cœur, ou le nombre de pas effectués dans la journée. La connectivité permettra de connaître l’état d’usure d’un objet, la nécessité de le remplacer, ou encore l’état du trafic en temps réel dans une section particulière d’une ville. « Il ne suffira pas que les objets soient connectés, il faudra aussi qu’ils communiquent entre eux, quelle que soit la marque », indique M. Julia.
De quoi constituer une nouvelle manne dont beaucoup d’acteurs voudront une part. Car si ce marché a longtemps été réservé aux start-up comme Sigfox ou Fitbit, les géants des télécoms et du Net ont aussi décidé de s’y mettre. « Les technologies étaient là donc ils savaient faire, en revanche ils attendaient de voir l’importance que ça allait prendre et si ça valait le coup de se lancer. Résultat, ils s’y sont mis à partir de fin 2013 », remarque Jim Tully, analyste chez Gartner.
« Tout produit devient porteur de services »
C’est par exemple le cas d’Orange. L’ex monopole d’Etat en a fait une priorité de son plan stratégique « Essentiels 2020 ». « Orange est présent à tous les niveaux de la chaîne de la valeur : sur la distribution en boutique de ces produits, la connectivité avec les réseaux, mais aussi les applications et services qu’ils permettront », souligne Marie-Noëlle Jego-Laveissière, vice-présidente en charge de l’innovation chez Orange.
Côté Bouygues Telecom, on a surtout misé sur le réseau. A l’instar de Sigfox, l’opérateur a décidé de constituer un réseau de très basses fréquences dit LoRa, non énergivore, idéal pour les objets connectés. « Nous nous servons de nos 15 000 points hauts déjà existants pour déployer ce réseau. Pour nous le marché devrait être principalement professionnel et il est en pleine croissance », explique Franck Moine, directeur de la division « machine to machine » chez Bouygues Telecom. Le responsable évoque des utilisations du réseau aussi diverses que le contrôle des wagons d’un train que la surveillance d’une plantation.
Une rude bataille
La bataille pour ce marché s’annonce rude. « Avec les objets connectés, tout produit devient porteur de services » analyse M. Carreel. Ainsi un constructeur d’automobile saura à tout moment quel est l’état d’un véhicule et pourra proposer les réparations en conséquence. De même en matière de santé humaine.
« Dans ces conditions, les fabricants d’objets qui ne s’orienteront pas vers cette notion de service disparaîtront », prédit M. Carreel. Plus mesuré, Thibaut de Smedt, de la banque Bryan Garnier & Co, prévient : « Il y a un côté gadget autour des montres et des bracelets qui va finir par s’essouffler, en revanche, le marché professionnel est vraiment voué à exploser ».
La prolifération des objets connectés à Internet suscite bien évidemment les appétits des géants du net, au premier rang desquels Google. L’américain ne se limite pas à racheter des start-up du secteur comme Nest, il a dévoilé à la fin du mois de mai Brillo, un système d’exploitation dédié aux objets connectés. Avec l’espoir que Brillo soit aux objets connectés, ce qu’Android est aux smartphones.
-
Anne Eveno
Journaliste au Monde
votre commentaire -
Anne Eveno
-
Par marialis2.2 le 9 Juin 2015 à 01:10
La keynote Apple en 4 points : les annonces à retenir de la conférence WWDC 2015
Enfin ! Ce 8 juin, Apple a dévoilé son nouveau service de musique, Apple Music, mais aussi plein de nouveautés pour les iPhone, iPad… et Mac. Notre mémo éclair en 4 points.
Tim Cook, chef d'orchestre de la WWDC 2015Le patron d'Apple a gardé son annonce la plus attendue pour la fin : Apple MusicVous cherchez un résumé rapide de ce qui a été annoncé ce 8 juin par Apple ? Vous êtes au bon endroit ! La rédac de 01net.com et 01netTV n’a pas raté une seconde de ce qui s’est dit au Moscone Center de San Francisco et vous offre, ici, un condensé rapide et efficace des principales révélations de cette conférence WWDC 2015.Pour les Mac : El Capitan
Apple lance une nouvelle version de Mac OS X, El Capitan, disponible tout de suite pour les développeurs, en bêta en juillet. Pour tous les utilisateurs de Mac, la mise à jour sera gratuite en septembre. Principaux avantages : un gain de rapidité et de nouveaux gestes, toujours plus proche des utilisations mobiles. Nous vous préparons une présentation détaillée dans les heures qui viennent.Pour les iPhone et iPad : iOS 9
Plusieurs nouveautés ont été dévoilées dans la nouvelle version d'iOS.- Elle profitera d’un nouvel assistant aux côtés de Siri et de l’outil de recherche Spotlight : « Pro active assistant ». Intelligent, il fouillera tout votre smartphone pour vous proposer des infos toujours plus pertinentes et au bon moment. Et tout reste anonyme, Apple ne s’intéresse pas à vos données privées, paraît-il (des promesses...).- Avec Apple Pay et Wallet (c’est le nouveau nom de l’appli PassBook), clairement, Apple met tout en œuvre pour que votre smartphone devienne votre porte-monnaie.- Vous découvrirez aussi du nouveau dans les basiques : les applis Notes et Plans profiteront de fonctionnalités plutôt malignes.- Une nouvelle appli native fait son entrée sur iOS 9 : News, pour suivre l’actu en fonction de vos centres d’intérêts et media préférés (à condition qu’ils aient passé un accord avec Apple on imagine... ).- Les smartphones sous iOS 9 profiteront d'un "Mode réserve", comme c'est déjà proposé sur l'Apple WatchToutes ces nouveautés iOS 9 profiteront aux iPhone et iPad, ainsique qu'aux voitures équipées de CarPlay, et aux équipements de la maison sous HomeKit.WatchOS 2 et un vrai store pour la montre
Apple a rappelé que l'App Store a 7 ans et que 100 milliards d’applis y ont été téléchargées depuis son lancement. Ce 8 juin 2015, Apple espère reproduire le même phénomène avec sa montre connectée.- Une nouvelle version du système dédié à l'Apple Watch sera disponible cet automne. Elle signe l'arrivée d’applis natives sur la montre (ce qui permettra notamment de les ouvrir plus rapidement).- Les principales nouveautés apportées sont des nouveaux fonds d’écran, l'ajout d'amis dans la liste des favoris directement depuis la Watch, la possibilité de répondre à ses mails avec Siri sur la montre (enfin !).Apple Music, du streaming à 10 dollars par mois
C'était le clou de la soirée, le "One more thing" si familier à Apple en clôture de ses keynotes. D'ordinaire c'est l'annonce qui laisse tout le monde sur place... Cette fois, Apple Music ne fait pas la révolution, mais le nouveau service musical va tout de même faire du bien au vieil iTunes.- Lancement le 30 juin 2015- Disponible sous iOS 8.4 et ultérieur, Android, Mac OS X et Windows.- Deux prix, avec une offre "famille" à 14,99 dollars par mois pour 6 personnes et une offre classique à 9,99 dollars par mois. Au lancement, les 3 premiers mois sont offerts.- Accès à un catalogue en streaming, recommandations de playlists faites par des connaisseurs, des clips (sans pub) en HD.- Accès aussi à Beats One, une radio online 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, animée par des DJS depuis New York, Los Angeles et Londres. Disponible dans 100 pays (dont la France, on imagine, même si cela n'a pas été précisé).- Une fonction "Connect" mettra en relation les artistes avec leurs fans. Diffusion de vidéos inédites, de petits bonus... Avec Connect on pourra "suivre" des artistes comme on "follow" sur Twitter.- Siri sera aussi de la partie, capable de faire des recherches dans Apple Music et de vous lancer le top des musiques actuelles ou des années 80…Vous savez le principal ! Pour plus détails, lisez notre récapitulatif complet des annonces.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique