• VIDEO. Téléphonie : Samsung présente

    son Galaxy S6 au salon de Barcelone

    Le nouveau Samsung Galaxy S6, dévoilé ce dimanche à Barcelone, se présente comme le concurrent direct de l'iPhone 6. Ses atouts et...ses défauts.

    Barcelone (Espagne), de notre envoyé spécial Aymeric Renou |

    01 Mars 2015, 20h12 | MAJ : 01 Mars 2015, 21h40  lien

    On oublie la coque arrière en matière plastique qui a valu bien des critiques au modèle précédent : le nouveau joujou high-tech arbore un design léché, élégant et haut-de-gamme.

    On oublie la coque arrière en matière plastique qui a valu bien des critiques au modèle précédent : le nouveau joujou high-tech arbore un design léché, élégant et haut-de-gamme. AFP/LLUIS GENE

    Oublié le vilain plastique. En présentant ce dimanche soir, à la veille de l'ouverture du salon international de la téléphonie mobile de Barcelone, son nouveau smartphone, le géant coréen Samsung a entièrement revu sa copie.

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    High Tech : On a testé le nouveau Samsung Galaxy S6

     

    «On écoute nos clients et on apprend de nos succès comme de nos erreurs, a confié son président Jong-Kyun Shin sur la scène du Centre de congrès barcelonais avant de dévoiler le S6.

    Une coque en aluminium

    Pas de faute de goût - on oublie donc la coque arrière en matière plastique qui a valu bien des critiques au modèle précédent - le nouveau joujou high-tech arbore un design léché, élégant et haut-de-gamme. L'aluminium est désormais à l'honneur avec une coque dans laquelle est enchassée un écran de 13 centimètres de diagonale au verre renforçé et résistant aux rayures.

    Techniquement, le S6 est à la pointe... et affiche clairement son objectif : faire mieux que l'
    iPhone 6 d'Apple. Il lui faut par exemple 50 % de temps de moins que son concurrent pour se recharger complètement. Plus besoin de cordon également, l'appareil se recharge en le posant simplement sur un galet à induction. Le S6 est aussi ultra rapide, grâce à l'implantation d'une nouvelle génération de mémoire, appelée DDR4, comme celle qui équipe les PC les plus performants.

    L'iPhone 6 comme concurrent frontal

    Son appareil photo, avec un capteur de 16 mégapixels, se veut lui aussi bien meilleur que celui de l'iPhone, capable de prendre des clichés nocturnes en corrigeant automatiquement les zones d'ombres ou en faisant le point sur les sujets, même en mouvement.

    En voulant marcher sur les plates-bandes de l'iPhone, le S6 va aussi jusqu'à lui emprunter quelques uns de ses principaux défauts. Comme sa coque arrière, désormais impossible à retirer, ce qui empêche de changer facilement la batterie. Ou comme - et c'est une étonnante première pour un smartphone haut-de-gamme de Samsung -  l'absence de fente pour insérer une petite carte afin d'augmenter la capacité mémoire.

    Disponible à partir du 10 avril prochain, le nouveau smartphone de Samsung se décline en deux modèles, l'un classique, le S6, et l'autre, le S6 Edge, proposant un écran aux bords latéraux légèrement incurvés. Une première mondiale et une petite coquetterie visuelle qui offrira d'abord aux futurs propriétaires l'avantage de marquer leur différence.

    Les deux modèles seront disponible en trois tailles de mémoire, 32, 64 et 128 gigaoctets. Les tarifs n'ont pas été dévoilés mais le prix de base devrait tourner autour des 700 €, comme celui de l'iPhone 6, pour s'envoler et dépasser la barre des 1000 € pour les modèles les mieux dotés.

    VIDEO. On a testé le nouveau Samsung Galaxy S6

     

     


    High Tech : On a testé le nouveau Samsung... par leparisien


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    Nokia répond aux révélations de "Cash Investigation" sur les téléphones portables

    Epinglé dans l'émission de France 2 pour son utilisation d'un minerai extrait dans des conditions dangereuses, la marque a réagi sur sa page Facebook.

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    Capture d'écran de l'émission "Cash investigation" consacrée à la fabrication des téléphones portables et diffusée le 4 novembre 2014.

    <figcaption>Capture d'écran de l'émission "Cash investigation" consacrée à la fabrication des téléphones portables et diffusée le 4 novembre 2014. (CASH INVESTIGATION / FRANCE 2 / PREMIÈRES LIGNES)</figcaption></figure></header>
    <section>Par 

    Mis à jour le <time datetime="2014-11-05T15:03:02+01:00" itemprop="dateModified">05/11/2014 | 15:03</time> , publié le <time datetime="2014-11-05T14:32:47+01:00" itemprop="datePublished">05/11/2014 | 14:32</time>

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    </section>

    L'enquête de "Cash investigation" sur la fabrication des téléphones portables fait réagir. Au lendemain de sa diffusion, le groupe Nokia France, épinglé dans le documentaire pour son utilisation d'un minerai extrait dans des conditions dangereuses pour les mineurs de la République démocratique du Congo, s'est fendu d'une réponse, mercredi 5 novembre, sur sa page Facebook.

    "Nous prenons les allégations de l'émission 'Cash Investigation' (...) très au sérieux. Bien que Microsoft [qui a racheté Nokia] n'extraie pas directement de matières premières minérales telles que l'étain, le tantale, le tungstène ou l'or, la société s'engage à user de pratiques d'approvisionnement responsables sur l'ensemble de sa chaîne logistique", indique la marque de téléphone. Une réponse quasi similaire à celle reçue, au cours de la réalisation du documentaire, par l'équipe d'Elise Lucet (à partir de 50 secondes). 

    Dans son communiqué, Nokia poursuit : "Microsoft a mis en place des règles officielles d'approvisionnement responsable en matières premières pour ses produits. (...) Ces règles expliquent que nous attendons de nos fournisseurs de composants qu'ils gèrent leur propre approvisionnement en matières premières dans le respect des droits de l'homme, du droit du travail, des règles de santé et de sécurité, de l'environnement et des principes d'éthique, et de manière à éviter le travail des enfants."


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  • FAITS DIVERS L'un des pilotes est mort et le second est grièvement blessé, selon les autorités...

    Virgin Galactic: Un pilote meurt dans le crash du vaisseau spatial SpaceShipTwo

    <figure data-src-format="photo" role="group">Photo prise de SpaceShipTwo, vaisseau spatial la firme de Richard Branson qui s'est écrasé le 31 octobre.<figcaption>Photo prise de SpaceShipTwo, vaisseau spatial la firme de Richard Branson qui s'est écrasé le 31 octobre. - 23ABCNEWS</figcaption></figure>
    Vincent Vantighem
    •  
      • Créé le <time datetime="2014-10-31" pubdate="">31.10.2014 à 19:51</time>
      • Mis à jour le <time datetime="2014-10-31">31.10.2014 à 22:20</time>

    Une «anomalie en vol». Voilà ce qu'a commencé par indiqué la firme Virgin Galactic à propos de son vaisseau spatial SpaceShipTwo qui effectuait un vol d'essai avec un nouveau type de carburant testé de nombreuses fois au sol . L'engin s'est crashédans le désert de Mojave, au sud de la Californie, a fini par annoncer la firme du milliardaire Richard Branson sur son compte Twitter. L'un des pilotes est mort et le second est «grièvement blessé» selon les autorités américaines qui ont retrouvé un parachute sur la zone.

    During the test, the vehicle suffered a serious anomaly resulting in the loss of SpaceShipTwo. WK2 landed safely. (2 of 4)

    Our first concern is the status of the pilots, which is unknown at this time. (3 of 4)

     

     

    Ce vaisseau de passagers, dont l'ambition est de faire voler des touristes à la frontière de l'espace, avait décollé depuis le désert du Mojave, vers 17H30. La télévision américaine indique encore qu'un parachute aurait été découvert sur les lieux du crash.

    >> Virgin dévoile sa navette pour touristes spatiaux

    SpaceShipTwo a deux pilotes et peut transporter six passagers. C'est la version commerciale de SpaceShipOne, le premier vaisseau privé qui a atteint la frontière de l'espace en 2004. Des centaines de personnes ont déjà pris des réservations pour un vol suborbital de quelques minutes en apesanteur à bord de SpaceShipTwo, versant une avance sur les 200.000 dollars que coûte le billet.

     

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    Virgin Galactic says is a "loss" after accident; status of pilots unknown. http://cnn.it/108sMma 

     

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    First images of @virgingalactic debris site starting to come out via @ABC7 chopper


     

     


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  • Le vaisseau SpaceShipTwo de Virgin Galactic, firme du milliardaire britannique Richard Branson, s'est écrasé vendredi dans le désert californien, faisant un mort et un blessé grave, infligeant un sérieux revers au rêve du tourisme dans l'espace.

    Crash du vaisseau SpaceShip Two: Virgin Galactic continuera son programme de vols spatiaux commerciaux

    <figure data-src-format="photo" role="group">Image de KABC News à Los Angeles montrant les débris du vaisseau de Virgin Galactic SpaceShipTwo, le 31 octobre 2014<figcaption>Image de KABC News à Los Angeles montrant les débris du vaisseau de Virgin Galactic SpaceShipTwo, le 31 octobre 2014 - KABC News</figcaption></figure>

    © 2014 AFP

      • Créé le <time datetime="2014-11-01" pubdate="">01.11.2014 à 07:11</time>
      • Mis à jour le <time datetime="2014-11-01">01.11.2014 à 13:20</time>

    Le vaisseau SpaceShipTwo de Virgin Galactic, firme du milliardaire britannique Richard Branson, s'est écrasé vendredi dans le désert californien, faisant un mort et un blessé grave, infligeant un sérieux revers au rêve du tourisme dans l'espace.

     

    C'est aussi le deuxième accident spatial en une semaine après l'explosion de la fusée Antares, qui devait ravitailler la Station spatiale internationale, illustrant les dangers liés à l'exploration spatiale.

    Tout en faisant part de son choc après l'accident, Richard Branson a juré de poursuivre son programme de vols spatiaux commerciaux.

    "Nous avons toujours su que la route de l'espace était extrêmement difficile - et que tous les nouveaux moyens de transport doivent passer par des jours difficiles au début de leur histoire", a-t-il affirmé dans un communiqué.

    "L'espace est difficile - mais en vaut la peine. Nous allons persévérer et aller de l'avant ensemble", a ajouté le milliardaire, en route vers les lieux du crash, dans le désert du Mojave, au nord-est de Los Angeles.

    Il avait déclaré plus tôt sur Twitter que ses "pensées étaient avec les familles" des pilotes et qu'il s'envolait immédiatement vers le Mojave afin d'être "près de l'équipe".

    Le flamboyant patron britannique, qui vit l'un des revers les plus cuisants de sa carrière, devrait y arriver samedi matin tout comme une équipe de l'Agence fédérale de l'aviation américaine (FAA).

    Des images de télévision ont montré les débris de SpaceShipTwo au milieu de broussailles

    Le crash a tué sur le coup l'un des deux pilotes, l'autre a été hospitalisé dans un état grave. SpaceShipTwo pouvait transporter six passagers en plus des deux pilotes.

    Virgin Galactic a écrit sur Twitter que son "partenaire", la société d'ingénierie aérospatiale Scaled Composites, avait "mené un test en vol de SpaceShipTwo, un "prototype en vue du premier vol spatial commercial".

    Le vaisseau a décollé vers 09H20 (16H20 GMT) depuis la base spatiale du Mojave.

    Il s'est séparé de son avion de lancement WhiteknightTwo vers 10H00 locales (17H00 GMT). Douze minutes après, il a "souffert d'une grave anomalie qui s'est traduite par sa destruction", tandis que WhiteKnightTwo atterrissait sans encombres, ont précisé Virgin Galactic et le directeur de la base spatiale Stuart Witt.

    Ce dernier a souligné lors de la conférence que les circonstances de l'accident restaient à élucider.

    "Avec mes yeux et mes oreilles, je n'ai rien constaté d'anormal (...). S'il y a eu une énorme explosion, je ne l'ai pas vue", a-t-il fait valoir.

    La navette était propulsée par "une nouvelle formule de combustible qui avait été testée plusieurs fois au sol", a toutefois noté Kevin Mickey, directeur de Scaled Composites.

    "Bien que ce ne soit pas une mission de la Nasa, la douleur de cette tragédie sera ressentie par tous les hommes et les femmes qui ont consacré leurs vies à l'exploration", a réagi l'administrateur de l'agence spatiale américaine, Charles Bolden.

    "Le vol spatial est incroyablement difficile, et nous saluons la passion de tous ceux qui (...) prennent des risques pour repousser les limites des réussites de l'homme", a-t-il ajouté.

     

    - Billet à 250.000 dollars -

     

    SpaceShipTwo est la version commerciale de SpaceShipOne, le premier vaisseau privé qui a atteint la frontière de l'espace en 2004.

    Des centaines de personnes ont déjà pris des réservations pour un vol suborbital de quelques minutes à bord de SpaceShipTwo, versant une avance sur les 250.000 dollars que coûte le billet, à l'instar de l'acteur américain Ashton Kutcher.

    L'acteur Leonardo DiCaprio a quant à lui vendu aux enchères pour 700.000 euros, lors d'une levée de fonds caritative, un voyage dans l'espace avec lui organisé par Virgin Galactic.

    La navette avait effectué son premier test moteur en vol il y a un an et demi.

    Le mois dernier, Richard Branson déclarait encore au Wall Street Journal qu'il comptait sur un premier voyage commercial de Virgin Galactic d'ici Noël et qu'il comptait embarquer sur l'un des premiers voyages avec son fils.

    Les sociétés comme Virgin Galactic ou XCOR Aerospace espèrent générer un secteur du tourisme spatial. Bigelow Aerospace veut notamment commercialiser des séjours dans des hôtels orbitaux.

    Pour Marco Caceres, analyste du cabinet spécialisé Teal Group, à cause de l'incident de vendredi, on ne devrait toutefois "pas voir de vols commerciaux de tourisme spatial l'an prochain et probablement pendant plusieurs années".

    A l'inverse, Stuart Witt incite à croire en ce secteur "qui bourgeonne à travers la planète" et qui veut "donner un plus vaste accès à l'espace".

    "C'est une activité qui n'est pas facile, mais elle en vaut la peine", estime-t-il.


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  • ENERGIE Le groupe américain de défense compte prouver son concept d'ici un an et bâtir un premier prototype d'ici cinq...

    Lockheed Martin promet un réacteur à fusion nucléaire compact d'ici 10 ans

    <figure data-src-format="photo" role="group">Le concept de réacteur à fusion nucléaire de Lockheed Martin utilise une architecture nouvelle.<figcaption>Le concept de réacteur à fusion nucléaire de Lockheed Martin utilise une architecture nouvelle. - E.SCHULZINGER/LOCKHEED MARTIN</figcaption></figure>
    Philippe Berry
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      • Créé le <time datetime="2014-10-16" pubdate="">16.10.2014 à 04:38</time>
      • Mis à jour le <time datetime="2014-10-16">16.10.2014 à 04:55</time>

    Recréer le Soleil dans une boîte. Tel est le Graal de la fusion nucléaire, qui piétine depuis 20 ans. Et alors que le réacteur ITER de Cadarache ne devrait pas être opérationnel avant 2020, Lockheed Martin a lâché une bombe, mercredi: le groupe américain de défense a présenté un concept de réacteur compact qui serait dix fois plus efficace que les modèles actuels. A tel point qu'un réacteur de la taille d'un gros camion pourrait fournir assez d'énergie pour alimenter une ville de 100.000 habitants. Un avion n'aurait plus besoin de se ravitailler et un vaisseau spatial pourrait faire le voyage vers Mars en un mois au lieu de six.

    Une réaction qui pourrait devenir propre

    Effet d'annonce ou vraie avancée, impossible à dire pour l'instant. Plusieurs scientifiques interrogés par Mother Jones se montrent très sceptiques. Lockheed n'a pour l'instant rien publié, si ce n'est un design «en bouteille» simplifiant grandement le vielle architecture soviétique Tokamak notamment employée à Cadarache.

    Sur le papier, la fusion nucléaire est assez simple. A l'inverse de la fission employée dans les centrales nucléaires actuelles, les noyaux ne sont pas divisés mais fusionnés. Un cocktail gazeux, à l'heure actuelle, deutérium-tritium, deux cousins «lourds» de l'hydrogène, est chauffé à ultra-haute température, ce qui permet aux noyaux de fusionner pour créer de l'énergie et des résidus radioactifs. Les déchets sont moins importants que dans le cadre de la fission mais ils ne sont pas complètement absents. En changeant la recette, il serait toutefois possible de les éliminer pour de bon.

    Contenir le plasma

    Dans la pratique, il faut de grandes quantités d'énergie réussir une fusion. Si le design de Lockheed permet véritablement une efficacité 10 fois plus élevée, cela sous-entend un volume de plasma (gaz ionisé) plus important, chauffé à plus de 100 millions de degrés. Il faudra donc des champs magnétiques surpuissants pour que le mélange reste en lévitation dans la chambre sans toucher les bords, car aucun matériau ne pourrait y résister. Bref, l'Américain a encore tout à prouver avant qu'on puisse vraiment rêver.

    >> Les explications de Lockheed Martin en vidéo


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