• Comment Steve Jobs a révolutionné l'iQuotidien

    Comment Steve Jobs a révolutionné l'iQuotidien

    À la tête de la firme Apple entre 1976 et 2011, Steve Jobs a bouleversé le monde de l'informatique, de la musique ou encore de la téléphonie. Rappel de l'état de tous ces secteurs avant et après que Steve Jobs y mette son grain de sel.

    Par Sébastian SEIBT / Ségolène ALLEMANDOU (texte)
     

    Steve Jobs s'est évertué, durant son règne chez Apple, à mettre du beau et du "grand public" dans la plupart des secteurs qui, aujourd'hui, forment ce qu'il est convenu d'appeler "les nouvelles technologies".

    Une approche qui a non seulement permis à Apple de devenir la deuxième société la plus riche au monde en termes de capitalisation boursière, mais qui a aussi influencé la plupart des concurrents de la marque à la Pomme. Illustration.

    L'iMac, bienvenue dans le monde de la couleur

     
    L'iMac G3 (gauche) et l'IBM PC 5150 (droite).

     Avant l'iMac, les ordinateurs de bureau étaient laids, lourds et compliqués. C'est en tous les cas le message que Steve Jobs et Apple voulaient faire passer en présentant cet ovni informatique en 1998.

    Le design du premier iMac G3 n'a, en effet, rien à voir avec les traditionnelles boîtes grises et tristes qui ornaient jusqu'alors les bureaux des mordus du clavier. "L'arrière de notre ordinateur est plus beau que l'avant de tous nos concurrents", se vantait même Steve Jobs en dévoilant son bébé informatique.

    L'iMac n'a pas seulement des contours originaux : il innove aussi sous le capot. Il est le premier ordinateur à offrir une connexion Internet intégré et il est présenté comme le plus simple à utiliser sur le marché. D'ailleurs, la campagne publicitaire qui accompagne son lancement insiste sur la simplicité de l'iMac, comparé à un traditionnel PC. La sainte trinité "beau, simple et connecté" sera reprise par la plupart des concurrents de l'iMac... avec plus ou moins de succès.

     

    L'iPod, symbole du règne MP3

     
    L'iPod de première génération (gauche) et le Minidisc Player (droite).

     En 2001, Steve Jobs reprend sa baguette magique pour révolutionner le monde de la musique. L'iPod, qui est dévoilé le 23 octobre 2001, n'est pas le premier baladeur MP3 sur le marché, mais il deviendra le symbole de cette révolution numérique.

    C'est, en fait, en 1998 que la société asiatique SaeHan Information System met sur le marché le premier lecteur portable de musique digitale : le MPMan. D'autres enseignes, comme le français Archos et le japonais Sony, font également des incursions sur ce marché prometteur... avant qu'Apple s'en empare.

    Son argument ? Une simplicité d'utilisation à toute épreuve et un design, là encore, bien plus attrayant que celui de la concurrence. La renommée de l'iPod sera telle qu'il deviendra même un accessoire de mode, popularisé dans des séries télévisées comme Sex and the City. En tout, Apple a vendu plus de 314 millions d'iPod (tous modèles confondus) depuis 2001.

     

    L'iPhone, un succès planétaire

     
    L'iPhone première génération (gauche) et le téléphone portable classique (droite).

     Avant l'arrivée de l'iPhone, on pensait qu'un téléphone portable servait à passer des coups de fil. Mais c'était sans compter sur le génie commercial de Steve Jobs. Le PDG d'Apple a complètement bouleversé le secteur de la téléphonie, le 9 janvier 2007, en présentant le premier modèle de sa future machine à faire de l'argent.

    L'iPhone a rendu les smartphones - ces téléphones qui permettent d'aller sur Internet et de faire pléthore d'activités réservées au monde des ordinateurs - attrayants et accessibles au plus grand nombre. Jobs a, là encore, utilisé ses vieilles recettes : une interface aussi simple que possible et un look sans équivalent.

    Le succès a été immédiat et l'iPhone original s'est vendu à 6,1 millions d'exemplaires à travers le monde. A partir de l'iPhone 3 (présenté le 9 juin 2008), Apple rajoute au succès de l'appareil un nouveau moyen de faire de l'argent : l'App Store et ses applications pour son smartphone. Un nouveau marché qui a permis à Apple de gagner, depuis 2009, environ 900 millions de dollars.

     

    L'iPad, l'impossible pari aux 29 millions d'exemplaires écoulés

     
    L'iPad (gauche) face au premier netbook d'ASUS, l'EeePC (droite).

     Avec l'iPad, Apple s'aventure pour la première fois dans un monde inexploré. Jusqu'alors, Steve Jobs s'était contenté d'améliorer des technologies qui existaient déjà. Mais lorsqu'il dévoile en janvier 2010 sa première tablette tactile, Steve Jobs n'a aucun concurrent.

    Certains accueillent à l'époque ce nouveau pari avec scepticisme, s'interrogeant sur l'utilité d'un produit hybride, entre ordinateur portable et smartphone. Mais ils devront très vite se rendre à l'évidence : l'iPad est un succès. En un an, les iPad 1 et 2 se sont écoulés à près de 29 millions d'exemplaires. Aujourd'hui, malgré des tentatives de Samsung, HP et autres Motorola, l'iPad n'a toujours pas de concurrent sérieux.

    Click here to find out more!

    Apple orphelin de son légendaire président Steve Jobs
    TECHNOLOGIE

    votre commentaire
  • L'iPhone 4S, une simple évolution

    Créé le 04/10/2011 à 21h16 -- Mis à jour le 04/10/2011 à 22h23
    <aside>L'iPhone 4S propose le même design que l'iPhone 4.

    L'iPhone 4S propose le même design que l'iPhone 4. DR

    </aside>

    HIGH-TECH - Un hardware boosté suffira-t-il à séduire les acheteurs? Réponse le 14 octobre...

    iPhone 4 newlook ou iPhone 5? Tim Cook, le remplaçant de Steve Jobs et nouveau maître de cérémonie des fameuses «keynotes» de la marque à la pomme, a levé le voile, mardi, lors d’une conférence de presse à Cupertino, sur les nouveautés Apple. Le rendez-vous, baptisé «Let’s talk iPhone» n’a pas réservé de surprises.

    L’iPhone 4 devient 4S et conserve le même design. Il intègre en revanche le processeur double cœur A5 d’Apple déjà implémenté dans l’iPad 2. Le smartphone est annoncé sept fois plus rapide que son prédécesseur, avec une autonomie renforcée : 8 heures en appels 3G, 14h en appels 2G ; 6h de navigation en 3G ; 40h de vidéo ; 40h de musique.

    Il sera disponible le 14 octobre en France. Les prix seront (au moins aux Etats-Unis) inchangés: 199 dollars pour le modèle 16 Go, 299 dollars pour le 32 Go etn nouveauté, 399 dollars pour le 64 Go, avec un contrat de 2 ans. L'iPhone 3GS sera proposé gratuitement dans le cadre d'un abonnement. Pour l'iPhone 4, cela sera 99 dollars.

     

    Siri, l'assistante intelligente

    L’iPhone 4S renforce ses fonctionnalités photo avec un capteur rétroéclairé de 8 mégapixels (contre 5 pour l’iPhone 4) et une optique ouvrant à f/2,4. De quoi réaliser des photos dans des conditions de lumière difficiles… mais aussi des vidéos Full HD 1080p.

     

    La fonctionnalité AirPlay Mirroring permettra quant à elle de jouer sur son iPhone tout en profitant de ses parties en direct sur un téléviseur compatible. Amusant: Siri, un système d’assistance vocale, intégrant Wikipédia, fait son apparition. On pourra demander à son iPhone le temps qu’il fera demain ou un guidage vocal vers un lieu précis! Siri ne sera disponible que sur iPhone 4S. Le français sera supporté.

     

    Christophe Séfrin

    iOS 5 disponible le 12 octobre

    Parmi le flot d’annonces effectuées, des détails sur iOS 5. Le 12 octobre, la nouvelle version du système d’application d’Apple sera compatible avec les iPhone 4S, 4, 3GS et iPad 1&2. Elle intègrera: une application baptisée Cards grâce à laquelle Apple s’occupera de tout (de l’impression à l’envoi de cartes personnalisables moyennant 4,99 dollars n’importe où dans le monde); une appli nommée iMessages (sorte de Blackberry Messenger dédié aux utilisateurs de produits Apple); un accès direct à l’appareil photo de ses produits (le bouton Volume pourra servir de déclencheur)… Egalement prévu pour le 12, l’arrivée de iCloud, le service (gratuit jusqu’à 5 Go de stockage) de sauvegarde en ligne des musiques, photos, documents et contacts au sein duquel iMatch sera une fonction phare. Elle permettra d’accéder sur le cloud légalement à des titres que l’on n’aurait pas téléchargé sur iTunes. Mais iMatch ne sera d’abord disponible qu’aux Etats-Unis.


    votre commentaire
  • Le satellite en perdition s'est désintégré au dessus du Pacifique

    le 24 septembre 2011 à 16h57 , mis à jour le 24 septembre 2011 à 18h44         lien

    Le satellite américain est entré dans l'atmosphère dans la nuit de vendredi à samedi au-dessus du Pacifique Nord et à l'ouest des Etats-Unis, où il s'est désintégré.

      
    On avait d'abord évoqué l'Italie. Puis le territoire des Etats-Unis. Finalement, le satellite américain de 6,3 tonnes est entré dans l'atmosphère dans la nuit de vendredi à samedi au-dessus du Pacifique Nord et à l'ouest des Etats-Unis, a indiqué la
    Nasa. Quant à savoir où exactement sont tombés les débris, l'agence spatiale américaine ne peut que confesser son ignorance.

    Le satellite est entré dans l'atmosphère "au-dessus de l'océan Pacifique", a-t-elle ajouté un peu plus tard. "Le moment précis de la rentrée dans l'atmosphère et des endroits où seraient tombés des débris restent indéterminés", écrit la Nasa dans son
    dernier bulletin. L'agence précise "ne pas avoir été informée de blessures ou de dommages matériels" qui auraient résulté de la chute de débris. L'agence spatiale a annoncé une conférence de presse téléphonique sur la chute du satellite à 20 heures samedi.

     
    Avant la chute de ce satellite, annoncée il y a trois semaines, la Nasa avait jugé extrêmement faible le risque qu'un débris blesse quelqu'un ou provoque des dégâts matériels au sol. Il y avait une chance sur 3.200 qu'une personne, quelque part dans le monde, soit touché par un de ces débris -ce qui, sur une planète peuplée de sept milliards d'habitants et dont 90% de la surface est inhabitée, revient à une probabilité de 0,03%-, avait indiqué précédemment l'agence spatiale. Le satellite -nommé "Upper Atmosphere Research Satellite" (UARS)- était de la taille d'un petit bus et la Nasa avait estimé qu'une vingtaine de morceaux d'un poids de un à 158 kg pourraient survivre à la rentrée dans l'atmosphère, et s'éparpiller sur une distance d'environ 750 km.

    Aucun blessé en 50 ans
     
    Samedi matin, l'agence n'avait pas confirmé le nombre de débris provenant de l'UARS qui aurait pu atteindre le sol ni si elle était en mesure de localiser les endroits de leur chute. Selon l'agence, des objets d'une taille comparable à l'UARS retombent sur Terre environ une fois par an. En revanche, "des débris de tailles diverses entrent dans l'atmosphère chaque jour", avait expliqué un expert de la Nasa, Mark Matney. "Et en plus de 50 ans d'histoire spatiale, personne n'a jamais été blessé par un débris venu de l'espace".
     
    A noter qu'en cas de blessure ou de dommage causé par la chute d'un débris du satellite, les Etats-Unis verseraient des compensations aux victimes en vertu d'une convention internationale conclue en 1972.

    le 24 septembre 2011 à 16:57
     

    votre commentaire
  • Les appareils conçius par la société Pal Robotics seront fabriquée aux Émirats

    Barcelone crée des robots humanoïdes, fabriqués en série

    Mercredi 14.9.2011. 14:00h Voués à remplacer certaines activités actuellement dévolues aux femmes et aux hommes, les robots sont désormais capables de guider, renseigner, et protéger. Dans un marché mondial en pleine croissance, l'entreprise barcelonaise Pal Robotics, dont la maison-mère est situé aux Émirats Arabes Unis verra son produit phare, le robot REEM, fabriqué en masse dès 2012.

    La formidable montée en puissante de la robotique dans la vie quotidienne, caractérisée en 2010 par la vente de 550.000 exemplaires à l'échelle du monde entier, aura atteint les 14,4 millions en 2015.

    Cette possibilité, fondée sur une étude rélévée lundi par Shinsuke Sakakibara, président de la Fédération Internationale de Robotique, laisse entrevoir un avenir machinisé, dans lequel la technologie épaulera les humains dans leurs tâches ordinaires, voire ls remplacera. Ce secteur d'activité est celui de l'entreprise barcelonaise Pal Robotics, rattachée à Pal Émirats Arabes, qui vient de présenter son robot "REEM". Après de sévères essais de prototypes conçus en Catalogne, cette machine complexe, qui démontre une apparence de plus en plus humanoïde chez les robots, sera fabriquée pour le commerce l'année prochaine, aux Émirats. Cet appareil assumera des fonctions variées, comme la surveillance urbaine, les renseignements founis aux piétons, ou encore l'identification d’explosifs.

    À l'origine suscité par les besoins militaires, le marché du robot dans le monde, dans la prévision d'une introduction domestique, constitue désormais un débouché économique suivi de près au sud du massif des Albères. Actuellement limités, dans certains foyers avancés, à l'aspiration de poussière, les robots de demain devraient rogner, avec tous les danges que cela comporte, sur l'activité humaine. Les leaders mondiaux de ce secteur, qui paraissait futuriste voilà peu, sont le Japon, la République de Corée et les USA, dans l'attente d'une remontée de la Chine au classement général.


    votre commentaire
  • Le Point.fr - Publié le 25/08/2011 à 16:04 - Modifié le 25/08/2011 à 16:40

    La perte d'un vaisseau-cargo et d'un satellite de 265 millions de dollars plonge l'agence spatiale Roskosmos dans la tourmente.

    Les fusées russes inquiètent le monde

    La fusée Proton-M emportant Express-AM4 est en train d'être dressée sur son pas de tir, le 18 août. © Space center Yuzhny / Ap / Sipa

    Click here to find out more!

    L'agence spatiale russe Roskosmos est au fond du gouffre. La principale concurrente d'Arianespace pour les lancements commerciaux a été contrainte de repousser ses prochains lancements après une série de graves incidents. Les deux principales fusées russes, Soyouz et Proton, sont concernées et des dizaines de vols déprogrammés sont désormais incertains. En huit mois, ce sont pas moins de quatre lancements qui ont échoué, ce qui laisse planer le spectre d'un problème de grande ampleur, voire d'un sabotage.

    Dernier incident en date, mercredi. Le lanceur Soyouz a échoué à placer le cargo Progress sur l'orbite prévue. Le vaisseau (non habité) de ravitaillement de la Station spatiale internationale (ISS) s'est donc écrasé sur Terre, à la frontière de la Russie, de la Chine et du Kazakhstan. L'avenir immédiat de l'ISS n'est pas menacé, car elle dispose encore de réserves pour plusieurs mois, le temps d'attendre le prochain cargo. Mais cet accident effraie les agences spatiales du monde entier, car la Russie est l'unique pays à pouvoir convoyer les équipages vers la station spatiale, depuis la mise à la retraite des navettes américaines en juillet.

    Réputé lanceur le plus fiable du monde (98 % de réussite sur près de 2 000 lancements), le vénérable Soyouz utilise une technologie qualifiée de rudimentaire, développée dans l'Union soviétique des années 1960. Il doit être déployé prochainement depuis le centre spatial guyanais de Kourou, où il sera opéré par Arianespace, en parallèle des lancements russes. Le pas de tir est fin prêt pour le premier lancement prévu fin 2011, mais la décision de Moscou pourrait refroidir les ardeurs des Européens et entraîner des retards. L'objectif de l'Agence spatiale européenne est de disposer d'un lanceur de moyenne capacité, en plus du lanceur lourd Ariane 5 et du lanceur léger Vega (qui doit, lui aussi, être mis en service fin 2011).

    Proton

    La semaine dernière, c'est le lanceur lourd Proton-M qui a provoqué la perte très probable d'un satellite géant de 265 millions de dollars. Même si la première phase du lancement d'Express-AM4 a réussi, un dysfonctionnement du système de guidage de la fusée a placé le satellite, là aussi, sur une mauvaise orbite. Certes, il peut être déplacé, mais les réserves de carburant des satellites sont très limitées. Si, ce qui est hautement improbable, l'agence russe arrivait à le ramener sur son orbite, il ne lui resterait que très peu d'autonomie d'autonomie, voire plus du tout. Un gigantesque gâchis alors que sa durée de vie devait être de quinze ans au moins*.

    Express-AM4 devait fournir des services de télécommunications et de télévision à la Russie. Il était attendu comme un libérateur, car il devait décupler les maigres capacités satellitaires de couverture du pays et de son voisinage. L'ensemble de ses capacités d'émission et de réception avait d'ailleurs été vendu avant même le lancement, un fait très rare. Fabriqué par Astrium (EADS) à Toulouse, l'engin pèse cinq tonnes et est présenté comme le plus gros jamais construit en Europe.

    Tensions multiples

    Au mois de décembre, trois satellites Glonass (système alternatif au GPS) étaient retombés dans l'océan Pacifique et, en février, le satellite militaire GEO-IK-2 avait été perdu sur une mauvaise orbite. La fiabilité est un critère majeur pour les clients des lanceurs, car en cas d'échec ils doivent patienter plusieurs années, le temps de construire un nouveau satellite. Las, le gouvernement russe a donc décidé de limoger le patron de l'agence spatiale, le 29 avril dernier, et de le remplacer par le vice-ministre de la Défense.

    Dans le même temps, les autorités kazakhs demandent depuis des années à Moscou de quitter Baïkonour, situé sur leur territoire. Non seulement les loyers ne satisfont pas Astana, mais la population se plaint du risque permanent qu'elle court, alors que des dizaines de tonnes de combustible toxique s'étaient répandues dans la nature après des lancements ratés en 1999 et 2007. La construction d'un nouveau cosmodrome russe à Vostochny (région de l'Amour, Extrême-Orient) doit coûter au moins six milliards d'euros. Une somme difficile à réunir en ces temps de crise, même si les travaux doivent toujours commencer avant la fin de l'année.

    * Dans les satellites, le carburant ne sert pas à l'alimentation de la charge utile (c'est le rôle des panneaux solaires), mais à la propulsion. Sans carburant, un satellite ne peut être maintenu sur son orbite : il devient alors un débris spatial, sauf s'il se consume dans l'atmosphère ou part se perdre dans l'espace.

     

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique