• Affaire Merah: Deux nouvelles interpellations à Toulouse

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    Créé le 26/03/2013 à 22h55 -- Mis à jour le 26/03/2013 à 23h01
    <aside>Mohamed Merah dans le documentaire "Affaire Merah, itinéraire d'un tueur" de Jean-Charles Doria

    Mohamed Merah dans le documentaire "Affaire Merah, itinéraire d'un tueur" de Jean-Charles Doria France Télévisions/ Jean-Charles Doria

    </aside>

    TERRORISME - Quatre personnes ont été arrêtées depuis le début de l'année...

    Deux personnes ont été interpellées mardi dans l'enquête sur d'éventuelles complicités dont aurait pu bénéficier Mohamed Merah, a-t-on appris de source policière.

    Ces arrestations s'inscrivent dans le cadre des investigations menées dans l'entourage de l'ancien djihadiste, qui a tué sept personnes en mars 2012 à Montauban et à Toulouse, précise-t-on de même source. Quatre personnes ont ainsi été interpellées depuis le début de l'année à Toulouse avant d'être relâchées.


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  • Dernière modification : 24/03/2013 

    Aqmi a désigné le successeur d’Abou Zeïd

    Aqmi a désigné le successeur d’Abou Zeïd
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    © AFP
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    Au lendemain de la confirmation par Paris de la mort d’Abou Zeïd, l’un des émirs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, l'Algérien Djamel Okacha, 34 ans, a été nommé pour lui succéder, selon une chaîne de télévision algérienne.

    Par Dépêche (texte)
     

    L'Algérien Djamel Okacha, 34 ans, a été désigné comme successeur d'Abdelhamid Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dont Paris vient de confirmer la mort au Mali, a rapporté dimanche la chaîne de télévision algérienne Ennahar TV.

    Okacha, au pseudonyme de Yahia Aboul Hannam, est un proche du chef d'Aqmi, Abdelmalek Droukdel. Il a été désigné "il y a quelques jours" mais doit encore être confirmé dans ses fonctions lors d'une réunion de la direction d'Aqmi, a précisé à l'AFP le patron d'Ennahar TV, Mohamed Mokeddem (bien: Mokeddem).

    Le nouveau chef d'Aqmi pour la région s'étendant de Ghardaïa (centre-sud de l'Algérie) à la région de l'Azawad (Nord du Mali) est considéré comme "l'homme de confiance de Droukdel" et "l'homme fort de l'organisation", selon la même source.

    Samedi, le président français François Hollande a confirmé "de manière certaine" la mort de l'Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, tué fin février par l'armée française dans le massif des Ifoghas dans le nord du Mali.

    Sa mort avait été annoncée le 1er mars par le président tchadien Idriss Déby, dont les forces combattent aux côtés des soldats français dans l'extrême nord du Mali notamment contre les combattants d'Aqmi.

    AFP


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    Les talibans pakistanais veulent assassiner Pervez Musharraf

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | <time datetime="2013-03-23T10:31:17+01:00" itemprop="datePublished">23.03.2013 à 10h31</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-03-23T10:33:18+01:00" itemprop="dateModified">23.03.2013 à 10h33</time>

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    <figure class="illustration_haut">

    L'assaut donné par l'armée contre la Mosquée rouge, en 2007 à Islamabad, en a fait une des cibles principales des islamistes armés.

    </figure>

    Les talibans pakistanais, alliés à Al-Qaida, menacent d'assassiner l'ancien président Pervez Musharraf s'il rentre dimanche au Pakistan. "Nous avons préparé un commando de kamikazes spécialement pour Musharraf", a précisé Ehsanullah Ehsan, porte-parole du Mouvement des Talibans du Pakistan (TTP), dans un entretien téléphonique depuis un lieu inconnu. Le TTP est l'un des principaux groupes armés islamistes responsables d'une vague sans précédent d'attentats qui ont fait pas loin de 6 000 morts dans tout le Pakistan en près de 6 ans.

    "Les combattants de l'islam ont mis sur un pied une escouade spéciale pour expédier Musharraf en enfer. Elle est composée de kamikazes, de tueurs d'élite, d'une unité spéciale d'assaut et d'une équipe de combat rapproché", affirme dans cette vidéo Adnan Rasheed, impliqué dans de précédentes tentatives de meurtre contre Musharraf. "On dit que lorsque sa mort est proche, le chacal vient en ville", ajoute-t-il.

    L'assaut donné par l'armée contre la Mosquée rouge, en 2007 à Islamabad, en a fait une des cibles principales des islamistes armés. Selon le gouvernement, les combats dans le vaste complexe religieux ont fait 102 morts. L'ancien général Musharraf, qui avait ravi le pouvoir en 1999 au terme d'un putsch et avait été contraint de démissionner en 2008 après des législatives perdues par son parti, vit depuis plus de quatre ans en exil à Londres et Dubaï et se présente comme une "alternative"lors des prochaines élections générales prévues le 11 mai.

    L'ancien général risque d'être arrêté à son retour. Il est accusé de négligence pour ne pas avoir mis une équipe de sécurité suffisante à disposition de l'ex-première ministre Benazir Bhutto, assassinée en décembre 2007. Son nom apparaît dans d'autres affaires.

    Pervez Musharraf a déjà survécu quand il était président à deux attentats le visant perpétrés par des groupes fondamentalistes musulmans qui reprochent depuis fin 2001 aux gouvernements successifs et à la toute puissante armée pakistanaise de s'être alliés à Washington dans sa "guerre contre le terrorisme".

    Dans une interview exclusive donnée à l'AFP vendredi à Dubaï, à 69 ans, M. Musharraf a promis de rentrer dimanche dans son pays pour participer aux élections législatives. "Je reviendrai par terre, air ou mer, même au péril de ma vie, c'est l'engagement que j'ai pris pour le pays", avait-il assuré.

    L'ancien président pakistanais, porté au pouvoir à la faveur d'un coup d'Etat en 1999, a rallié la "guerre contre le terrorisme" déclarée par les Etats-Unis après les attentats du 11 septembre 2001 et a engagé l'armée pakistanaise dans une vaste répression des mouvements militants armés.

    </article>

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  • Aqmi a exécuté un otage français dans

    le nord du Mali, selon l'agence mauritanienne

    ANI

    Mis à jour le <time datetime="2013-03-20T00:46:15+01:00" itemprop="dateModified">20/03/2013 | 00:46</time> , publié le <time datetime="2013-03-20T00:35:22+01:00" itemprop="datePublished">20/03/2013 | 00:35   </time>
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    Le Français Philippe Verdon, le 6 janvier 2004 à Moroni (Comores).

    Le Français Philippe Verdon, le 6 janvier 2004 à Moroni (Comores).

    (YOUSSOUF IBRAHIM / AFP)

    Un porte-parole d'Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) a affirmé à l'agence mauritanienne ANI,

    mercredi 20 mars, avoir exécuté l'otage français Philippe Verdon, détenu dans le nord du Mali

     depuis novembre 2011.

    Ce porte-parole a précisé que l'otage avait été exécuté le 10 mars en réprésailles à l’intervention

    militaire française dans le nord du Mali, soulignant que "le président français demeure le seul

    responsable  de la vie des autres otages", rapporte l'agence ANI.

    Contacté par francetv info, l'Elysée n'était pas joignable pour confirmer l'information. Joint par

    l'agence Reuters, le Quai d'Orsay n'a fait aucun commentaire.

    Un "agent secret de la France", selon Aqmi

    Philippe Verdon avait été enlevé dans la nuit du 23 au 24 novembre 2011 dans son hôtel

    à Hombori (nord-est du Mali), avec un autre français, Serge Lazarevic. Selon leurs proches,

    les deux hommes, présentés comme des géologues, travaillaient sur un projet de cimenterie.

     Le parcours de Philippe Verdon, déjà emprisonné au Soudan et inquiété par la justice aux 

    Comores, comme le racontait Le Figaro, a cependant suscité des interrogations sur leur

    présence dans la zone. Le porte-parole d'Aqmi le présente comme un "agent secret de la France".

    Ces deux otages sont apparus vivant pour la dernière fois dans une vidéo diffusée en février 2012.


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  • Terrorisme : faut-il négocier avec les preneurs d'otages ?

    OUI
     
    11.8 %
     
    NON
     
    88.2 %
     

    Publié le 09.03.2013, 19h26

    Le groupe Boko Haram est responsable de l'enlèvement d'une famille française mi-février. Pensez-vous que la France doit négocier avec des groupes terroristes ? 

    Le groupe Boko Haram est responsable de l'enlèvement d'une famille française mi-février. Pensez-vous que la France doit négocier avec des groupes terroristes ?  | (AFP/YouTube.)

    6259 votants

     

    Alors que le groupe islamiste nigérian Ansaru a annoncé ce samedi avoir tué sept étrangers enlevés dans le nord du Nigeria, l'inquiétude continue de grandir autour du sort des sept Français enlevés mi-février au Cameroun et retenus par le groupe Boko Haram au Nigéria.
     


    Boko Haram, réputé proche d'Ansaru, avait demandé la libération de plusieurs de ses membres emprisonnés en échange de la libération des Français. Mais la position, officielle, de la , est claire : Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a rappelé fin février que la ne négociait pas avec les preneurs d'otages. Pensez-vous qu'elle devrait le faire ? La devrait-elle payer ou accepter les demandes des groupes terroristes en échange de la libération des otages ? 

    LeParisien.fr


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